Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Je suis toujours à la terrasse de ce café en face de la plage prés de Palma de Majorque, aux Baléares, et nous sommes toujours en Juillet. Je me remets tranquillement de la rêverie où m'a plongé la vue de cet androgyne si troublant. Tout ceci se passe sous l'œil amusé et intéressé d'un couple gay et anglais qui, visiblement semble me trouver à leur goût. Après tout si l'envie leur prend, pourquoi pas ? Je suis en vacances et ce sera une occasion pour moi de vérifier si la fameuse « Entente Cordiale » est toujours opérationnelle.

 

Histoire de voir si mon pressentiment est bon, je me commande un second verre de jus de fruits bien frais pour justifier le fait que je reste collé à ma chaise. Mes deux dragueurs discutent entre eux dans leur langue. Je ne comprends pas un traitre mot de ce qu'ils disent et ça m'agace, car j'aime bien écouter ce qui se dit autour de moi, ça m'amuse quand je suis seul. Les conversations et les attitudes des gens sont des mines de rigolades pour qui sait observer.

 

Soudain, l'un des deux hommes se penche vers moi et m'adresse la parole :

« Sorry, I'am Dom ! »

 

Je l'arrête tout de suite pour lui demander de parler français. Il se reprend aussitôt et avec un accent à couper au knife (Shit ! V'là qu'j'cause english moi tout d'un coup) :

« Pardonnez-moi, je suis Dom, et avec mon ami Harry, on voudrait que vous preniez un verre avec nous, s'il vous plait !

- Moi, c'est Bruno, je vous remercie, c'est avec plaisir ! »

 

Je les rejoins à leur table, et nous nous présentons un peu mieux. Dom est un grand blond assez costaud, Harry, quant à lui est brun et de taille moyenne. Ils sont d'un abord sympathique. Ce sont des Irlandais, je comprends mieux alors leur comportement ,qui est sans beaucoup de réserve comme l'on peut voir chez les Anglais. Dom tient une agence immobilière à Dublin, Harry quant à lui est kiné. Ils sont là pour faire provision de chaleur, de soleil.......et d'aventures, si la chance en met sur leur route.

 

Et nous voilà partis dans une conversation où chacun tente de se dépeindre à son avantage, puis on se lance dans quelques généralités sans grand intérêt. Soudain Harry s'adresse à moi et sans prendre de gants, me dit presque crument :

« On t'a vu regarder tout à l'heure cet homme qui ressemblait à une femme et tu as bandé ! Tu es gay ? Parce que nous oui !

- Non,non, je suis juste bisexuel et ce qui est beau m'excite, et cet homme m'a rappelé une transsexuelle que j'ai bien aimé il y a quelques années ! »

 

Comme il fallait s'y attendre, ils me harcèlent de question sur cette aventure. Je ne peux faire moins que de la leur raconter. Ça a l'air de les intéresser car ils semblent tout émoustillés. Au point qu'ils finissent par m'inviter à diner chez eux. Ils ont loué pour leur vacances un « appart'hôtel ». J'accepte avec plaisir, et nous nous séparons car j'ai quelques petites choses à faire en ville, puis retourne à ma chambre pour me laver. Je n'aime pas aller à une partie de jambes en l'air sans être propre. Et pour une partie homosexuelle, je tiens absolument à m'occuper méticuleusement de mon « petit intérieur » . Je suis très strict sur l'hygiène. J'ai une sainte horreur de ce que j'appelle les mauvaises surprises éventuelles.

 

Nous tombons d'accord pour nous retrouver vers 21 heures. L'heure des diners en Espagne. Pas certain du tout des qualités de cuisiniers de mes futurs amants anglais, je les informe que je m'occuperai du diner. Je fais donc le tour des boutiques pour leur préparer un repas méditerranéen puis je rentre à mon hôtel.

 

A l'heure dite, tout frais, tout propre et me demandant comment va se dérouler la soirée, je suis passablement excité et, les victuailles à la main je me rends chez "mes" Irlandais. A mon coup de sonnette, c'est Harry qui vient m'ouvrir, aussitôt rejoint par Dom. Ils me font entrer dans leur salon où nous nous installons dans des fauteuils pour déguster un whisky.

 

Mais Harry qui semble être dans ce couple l'initiateur de toutes les actions, se lève soudain, s'approche de moi en retirant son short, trempe sa bite dans son verre et me la tend. Poli et gourmand, je réponds à son invitation et entame une petite sucette. Le whisky semble bon et sa queue aussi d'ailleurs. Je le suce quelques instants, et lui fait compliment sur sa queue. Elle est épaisse et circoncise, on peut admirer son gland qui déborde bien de la hampe.

 

J'aime beaucoup ça. Elle me rappelle celle de Philippe, celui qui m'a initié dans ma jeunesse. Harry a le pubis très légèrement poilu, le reste du corps est parfaitement lisse. Il semble sensible au compliment car il bande un peu plus vite. Dom, ne voulant pas être en reste, imite son chéri, se dévêt, et me temps à son tour sa bite après l'avoir trempée lui aussi dans le whisky. La sienne est plus longue et plus fine et le prépuce cache son gland. Je le suce un peu lui aussi, et il réagit aussitôt en montrant une belle érection.

 

Mais je me sens un peu gêné, je suis le seul à être vêtu, aussi j'enlève mon short, et leur offre ma bite que j'humecte à mon tour de whisky qu'ils s'empressent de sucer. Nous voilà maintenant nus tous trois et bandant. Nous nous installons à nouveau dans les fauteuils et nous complétons les présentations sommaires faites un peu plus tôt au café. C'est ainsi que j'apprends qu'ils sont tous les deux à la fois actifs et passifs. Ce à quoi je réponds que je suis presque essentiellement passif. Ils me font un grand sourire pour me dire qu'ils apprécient cela.

 

Mais il me faut préparer le repas, et je leur demande de me conduire à la cuisine. Je commence à m'occuper de la préparation, quand je vois Dom prendre un concombre. Aussitôt, Harry s'allonge sur le dos et sur la table, jambes en l'air bien écartées, et son petit camarade entreprend de le sodomiser avec le cucurbitacée. J'ai toutes les peines du monde à me concentrer sur ce que je fais.

 

J'ai envie de les regarder jouer. Ils sont excités comme des poux. Et moi, ça commence à me gagner. Je me concentre du mieux que je peux sur ce que je fais, mais pas facile quand dans mon dos, j'entends les gémissements de Harry enculé avec un concombre que Dom fait aller et venir avec énergie.

 

Enfin, ils s'arrêtent de jouer, et soudain je sens deux mains écarter mes fesses et une langue jouer avec mon anus. J'adore les feuilles de roses, ça me colle des frissons dans tous le corps. Aussi, je cambre un peu les reins pour aider la langue à me faire plus plaisir encore.

 

Voilà, par miracle, j'ai réussi à terminer mon plat, je vais pouvoir me concentrer sur le plaisir, car la langue de Harry m'excite considérablement, et je bande plus que fort. Je me retourne alors pour faire face à mes deux nouveaux amis et retire mon tablier. Dom semble particulièrement intéressé par mon érection, aussi il m'allonge sur la table, se place sur moi en 69, et nous commençons à nous sucer. Je vois Harry s'éloigner pour revenir très vite avec des préservatifs.

 

Ouf, je respire, je vais pouvoir sucer Dom en toute tranquillité, je ne risque pas d'être enculé sans protection, je peux « soixanteneuver » . J'apprécie particulièrement la manière de me sucer de Dom. Pas facile à expliquer, mais c'est vraiment formidable ce qu'il me fait. Au point que je ne m'aperçois que Harry est en moi, seulement lorsque son ventre claque contre mes fesses, et pourtant il est vraiment bien monté ! Il faut dire aussi que cela fait un moment que je suis passablement excité et que j'avais envie de me faire prendre.

 

La science « pipesque » de Dom ajoutée aux va et viens de Harry en moi, m'empêchent de bien me concentrer sur la queue de Dom que je suis en train de sucer. Je suis dans une sorte d'euphorie qui me fait remercier Dame Nature de m'avoir fait naître bisexuel. Comme si tout cela ne suffisait pas, les mains de Harry caressent mes hanches les frôlant doucement ajoutant des frissons supplémentaires à tout ce que je ressens.

 

Dom ralentit sa sucette pour m'éviter de jouir vite, c'est que je suis à la limite d'exploser. Pour le remercier, je glisse deux doigts dans son anus et le sodomise ainsi, par petits coups de poignet. Lui et moi émettons quelques grognements de plaisirs. C'est que nous sommes entre gens bien élevés, nous ne parlons pas la bouche pleine.

 

Seul Harry, tout en haletant, prononce quelques mots que je suis incapable de déchiffrer, ils sont en anglais. J'ose croire que ce sont des mots de contentement. Cette séance totalement impromptue dure ainsi un bon moment. Je n'en peux plus, je sens que je vais craquer bientôt. Je le fais savoir en leur criant un « I come » d'alerte.

 

Cette exclamation semble magique, car elle déclenche notre jouissance à tous les trois. Dom et moi jouissons dans la bouche l'un de l'autre, et Harry explose dans son condom. Je le sens parfaitement, j'ai l'impression, fort agréable, qu'il éjacule une quantité phénoménale de sperme. J'ai encore la queue de Dom dans la bouche, je la suce doucement pour bien la nettoyer, tandis que Harry et lui s'embrasse à pleine bouche pour se partager le jus du Frenchy que je suis.

 

Voilà nous avons pris l'apéritif et fait connaissance d'une manière très sympa, nous avons ainsi baissé notre tension, nous pouvons nous mettre à table. Je suis assis entre eux deux, le repas se passe d'une manière tout à fait conviviale. J'apprécie beaucoup ces deux gars, ils sont pleins d'humour et ont oublié d'être bête ce qui rend notre relation intéressante. Seul défaut, ils boivent sans cesse, mais cela ne semble rien faire d'autres que les rendre plus prompts à rire de tout sans perdre conscience A leur place je serais en coma éthylique depuis un moment. Mais bon cela n'altère en rien leur envie de baiser si j'en juge par leurs mains baladeuses qui viennent me caresser les cuisses et la queue. La main de Harry est bien plus efficace que celle de son chéri, décidément ce garçon est doué pour les caresses. Ses clients doivent apprécier ses massages.

 

Je les envie, moi qui en France, n'ai jamais réussi à trouver un kiné qui soit bisex ou gay. J'en tiens un, je vais en profiter, cela me rappellera celui que j'ai connu dans mes jeunes années. Le repas est terminé et comme pousse café j'ai envie de sucer, aussi je me penche vers Harry pour prendre sa queue en bouche. J'ai un faible pour elle, non seulement elle est épaisse mais sa circoncision met bien en valeur son gland qui déborde bien .

 

Ça lui donne belle allure. Et quand je l'ai dans ma bouche, je titille le tour du gland du bout de ma langue. J'aime bien jouer comme ça avec une queue. Comme je me suis penché sur le côté, j'offre à Dom le spectacle de mon arrière-train. Aussitôt, je le sens qui me caresse les fesses. Il fait cela avec un toucher frôleur et délicat presque féminin. J'aime beaucoup surtout que très vite ses doigts viennent titiller mon sphincter qui frémit et se détend pour faciliter les gestes de Dom.

 

Je suis heureux, ma gourmandise sexuelle est comblée. J'ai une bite splendide dans ma bouche et une autre qui ne va pas tarder à visiter mon intérieur. Et pendant un très bref instant j'oublie que ces gens-là sont nos ennemis sur un terrain de rugby et qu'ils ont une très mauvaise cuisine. Une seule chose compte maintenant : faire jouir ces deux garçons en moi pour jouir à mon tour. Harry gémit de plaisir, il aime ma façon de le sucer, ses mains me caressent le dos, ça me colle des frissons partout.

 

Décidément, il va falloir que je me mette en quête d'un kiné homo dans ma région,  moi ! Dom a trois de ses doigts dans mon ventre, ça me fait un bien fou. Je l'encourage à continuer, et exerçant une pression sur sa main, je lui fais comprendre qu'il peut tenter de me fister ce qu'il réussit à faire. J'adore vraiment ce truc. Il fait jouer un moment ses doigts en moi, puis les retire pour y glisser son long sexe, la sensation n'est pas la même, mais quel régal de sentir un sexe coulisser en soi, on aimerait que cela dure très longtemps.

 

Il agit avec moi comme il l'a fait un peu plus tôt avec son ami. Il baise avec énergie, comme s'il avait un train à prendre. Je n'aime pas trop quand on me prend comme ça, je me vois donc obligé de lui dire :

« Cours pas si vite, Dom, tu ne risques pas de louper le train, puisque tu es déjà dedans, c'est le mien ! »

 

Il me laisse la responsabilité de ma vanne et obéit à ma demande. Enfin, il varie ses mouvements, enchainant les rapides et les lent,s sortant parfois complètement pour entrer à nouveau jusqu'au fond. C'est cette façon de faire que j'aime, c'est comme ça que je prends mon pied. J'ai de plus en plus de plaisir, je le dis à Dom en me risquant à une petite plaisanterie qui échappera sans doute à mon English enculeur et qui ne fera sourire que moi :

« So ! Dom ! Go more ! Go more ! »

 

Effectivement la seule chose qu'il pige c'est que je veux qu'il continue à me prendre, mais pas grave, je prends un plaisir fou .

 

Notre trio se produit sur le balcon de l'appartement. Il est très tard et la chaleur tombe un peu. Nous arrêtons notre jeu un moment pour que Harry et moi changions de position, car il veut absolument que j'entre en lui, je suis surtout passif, mais comment résister au plaisir de pénétrer un cul. Et nous voilà debout tous les trois en train de jouer au petit train, dans ce sandwich érotique c'est moi qui joue le rôle du jambon et je suis le seul à faire bouger mon bassin, de cette manière je peux me faire sodomiser comme j'aime et par voie de conséquence faire goûter à Harry ma façon de faire.

 

Ce que j'aime par-dessus tout, c'est remuer mes hanches latéralement pour que toute la paroi interne soit titillée. Harry est un grand sensible et n'hésite pas à exprimer bruyamment son plaisir. Nul doute que le voisinage doit profiter de nos petits jeux, au moins en ce qui concerne la partie...euh...musicale. Le risque éventuel que le lendemain nous soyons regardés d'un œil bizarre nous laisse complètement indifférent.

 

J'adore être pris en sandwich comme ça. Avoir le cul agréablement garni et sentir sa propre queue aller et venir dans un petit trou bien serré, est quelque chose que je conseille à tous les amateurs de plaisirs. Nous baisons ainsi un long moment en variant les mouvements, nos gémissements se confondent, nos mains caressent les corps, puis Dom, qui jusque-là n'avait pas encore été sodomisé, proteste gentiment et nous demande de le prendre, mais il veut que Harry et moi le fassions ensemble.

 

Chouette ! Jusqu’à ce jour, je n'avais encore jamais pris un homme en double sodo. Harry s'allonge sur la table du balcon, Dom, s'empale sur lui en lui faisant face, et moi, je le pénètre à mon tour. A mon grand étonnement, je n'ai aucune difficulté à entrer, il a l'anus plus souple que le mien qui l'est déjà pas mal. J'adore sentir ma queue coincée contre une autre dans un petit trou chaud et humide, ça ajoute encore à l'excitation.

 

Harry et moi finissons par exploser presque ensemble. Nous nous retirons, et je prends la queue de Dom pour le sucer et le faire jouir dans ma bouche, Harry, lui, lèche consciencieusement l'anus de son chéri pour apaiser son excitation, mais il m'observe du coin de l'œil. Et dès que Dom a joui dans ma bouche, il plaque ses lèvres contre les miennes, nous nous roulons une pelle goulue pour partager la semence de Dom. Elle a un goût un peu acre, mais bien agréable à consommer.

 

Il est déjà deux heures du matin. Nous buvons un dernier verre et passons à la douche où chacun lave le corps de l'autre, puis mes deux nouveaux amis me proposent de rester chez eux et partager leur lit, pour dormir. J'accepte, mais à la seule condition qu'au réve,il ils me prennent tous les deux ensemble. Ils sautent de joie et nous nous couchons. Je prends soin de me mettre au milieu, ainsi je ne dormirai peut-être pas profondément, mais je sentirai deux corps nus contre le mien. J'adore sentir une peau nue contre la mienne pendant mon sommeil. Sans compter que s'endormir en sentant un cul contre mon ventre et une queue qui caresse mes fesses c'est un bonheur parfait.

 

Je suis soudain réveillé par une sensation agréable, comme un frisson qui me parcourt le corps. Qui n'a jamais été réveillé par une bouche s'occupant de son sexe ne peut me comprendre. J'ouvre un œil, le soleil est déjà haut dans le ciel. Et je réalise où je suis en voyant Dom et Harry s'occuper de mon bas ventre. L'un me suce la queue, tandis que l'autre me doigte l'anus. Quel agréable réveil que voilà ! Je leur dis bonjour en caressant leurs cheveux, et change un peu ma position pour qu'ils puissent mieux jouer avec mon corps. Je me couche sur le côté et lève une jambe pour mieux leur ouvrir la route.

 

Harry met à profit ses qualités de kiné pour me faire un massage anal particulièrement excitant. Par le seul mouvement de ses mains sur mon anus et ses alentours proches, il réussit à me mettre le feu au ventre, ma queue emplit la bouche de Dom, et mon cul a de plus en plus envie d'être visité. Les mouvements de mon bassin montrent à mes deux amis qu'il est temps de me prendre.

 

Aussi je me sépare d'eux pour les sucer et les mettre en forme. Assis sur le lit entre eux deux debout je les suce tour à tour. Je me régale d'avoir ainsi deux jolies bites à sucer. Je goûte à nouveau le plaisir de sentir une queue dans la bouche, c'est très doux et chaud. C'est pour moi une occasion de plus d'être heureux d'être bisexuel.

 

Quand, enfin ils sont prêts, Harry s'allonge sur le lit et je me couche sur lui en lui tournant le dos. Dom prend la belle bite de son chéri et pointe le gland vers mon petit trou qui est impatient de recevoir une visite. La grosse queue de Harry n'a aucune difficulté à entrer en moi. Je glisse le long de la hampe pour tout faire entrer. On reste quelques secondes immobiles pour savourer ce plaisir, puis Harry commence ses va et vient que j'accompagne de mouvements du bassin. Pendant ce temps Dom s'est approché de mon visage pour que je le suce, il est déjà assez dure mais ma langue finit de le faire bander, je lèche sa tige du gland aux couilles, elle a un goût étrange qui me plait assez. Le moment est venu de laisser Dom rejoindre Harry en moi.

 

Nous arrêtons de bouger, Dom lubrifie bien sa bite qu'il a habillée d'une capote, il lubrifie aussi l'endroit où il va entrer. De mes deux mains j'écarte mes fesses tandis que Dom commence à entrer son gland en moi, je grimace un peu car j'ai beau être excité et souple de ce côté-là, Dom a tout de même quelques difficultés. Enfin les deux bites sont en moi. Nous poussons tous les trois un soupir de plaisir immobile afin de savourer cette sensation, puis la machine se met en route. Dom et Harry vont et viennent alternativement.

 

Bon sang de bon sang, qu'est-ce que c'est bon ce truc, je ne peux m'empêcher de gémir de plaisir, moi d'habitude plutôt muet dans ces moments-là, je comprends mieux les femmes qui expriment leur jouissance quand on les baise. Ça ajoute encore au plaisir. Je peux vous avouer que sans perdre un pouce de ma virilité, je me sens presque femelle dans ces moments-là, avec deux belles bites qui me perforent. J'ai envie que ça dure très longtemps Et en effet, ça a duré un long moment, car ces deux bougres d'Irish gays sont très loin d'être des éjaculateurs précoces.

 

Mais tout ayant, trois fois hélas, une fin, Dom sort de moi, imité bientôt par Harry. Ils retirent leurs préservatifs et jouissent sur mon ventre où mon jus rejoint le leur. Comme ils sont très propres, ils me lèchent consciencieusement, puis nous nous embrassons à pleine bouche pour déguster nos semences mélangées. Nous restons un moment étendus pour récupérer puis un bonne douche, prise en commun bien entendu, qui nous permet de prolonger un peu notre corps à corps. Puis Harry file à la cuisine nous préparer un breakfast à l'anglaise, copieux et nourrissant donc.

 

La matinée est bien avancée, aussi nous nous quittons sans promesse de nous revoir car ils rentrent en Irlande en fin d'après-midi. Moi j'ai encore une bonne semaine à passer ici. J'attends d'ailleurs avec impatience l'arrivée de Yasmine, une brune particulièrement sensuelle qui est la secrétaire d'une société d'ambulances concurrente de celle où je travaille. Nous nous sommes promis de faire plus ample connaissance pendant les vacances.

Jeu 28 avr 2011 5 commentaires
Je ne suis pas gay, mais à force de lire les experiences de Bruno, ca me donne très envie d'essayer. Ce trio et à couper le souffle. Ca m'a fait bander comme un taureau!
Jason - le 28/04/2011 à 14h14

C'estun bon debut, continue comme ça, et tu testeras...  ;)

Sophie de R.
beau recit, les trios, c'est superbe, on peut faire un max de possibilités. Je bande comme un dingue, je vais pas tarder à reprendre ma branlette pour me faire jouir.
Totophe - le 28/04/2011 à 14h30

Contacte Jason, vous devriez vous entendre...  ;)

Sophie de R.
@ Jason

heureux que mon aventure te plaise et te fasse bander.
Si t'as envie d'essayer l'amour avec un homme, n'hésites pas. Tu y trouveras beaucoup de plaisirs sans compter que ce n'est pas parce que tu auras eu cette expérience que tu seras moins "Mec".
brunobi - le 28/04/2011 à 20h39

Toujours des conseils judicieux ! Merci, mon cher Bruno...

Sophie de R.
Merci à Bruno pour ses belles histoires et à toi, Sophie de les publier!
Je ne connais rien de plus beau que de voir des hommes s'aimer entre eux
J'ai la chance d'avoir un mari bisexuel, j'adore quand il se fait prendre devant moi
C'est d'ailleurs le seul cas où je suis candauliste, contrairement à lui
Olga - le 29/04/2011 à 07h20

Ca reste l'un de mes plusbeau fatasmes, car meme si je l'ai deja vecu, c'est toujours une chose qui m'excite intensement !

Sophie de R.
belle aventure un beau trio beaucoup de complicitée
romain57 - le 30/04/2011 à 09h20

Belle histoire, tout comme je les aime aussi !

Sophie de R.