Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Merci pour la participation de Marcel qui a envoyé ce post :
Ca m’a pris soudainement d’avoir envie d’un rapport homosexuel, et j’ai cherché sur internet. N’ayant pas trouvé mon profil, j’ai passé une petite annonce sur des sites gratuits.
« Homme 55 ans ayant petit pénis de 10 cm, cherche homme peu poilu pour premier rapport ayant également petit sexe. Aimerai faire fellation nature sans avaler du moins au début. Caresse et pénétration anale douce ».
Je n’ai eu qu’a choisir dans les nombreuses réponses reçues, et j’ai retenu un homme de quarante ans également, peu expérimenté, qui m’a envoyé sa photo de lui nu. La semaine suivante, il me recevait dans sa maison de banlieue.
Après avoir bu un verre de détente, je suis passé par la douche et enfilé un peignoir avant de le retrouver dans le salon, lieu choisi pour nos ébats. Ceci était moins solennel qu’une chambre avec un lit…
On a tombé nos peignoirs en même temps, et nous nous sommes regardés nos corps mutuellement, lui affichant doucement une érection naissante au fur et à mesure de son auscultation détaillée. Plus musclé que moi, qui commence à être un peu empâté avec mes poignées d’amour, il a la même taille, ce qui nous place sur un pied d’égalité. Il a fait le premier pas, et m’a caressé le corps en partant des épaules et en descendant lentement sur les seins qu’il a pinçouillé légèrement avant d’arriver sur mes fesses.
J’étais en érection moi aussi. Il a voulu m’embrasser sur la bouche, ce que j’ai refusé au début, avant qu’il pose la main sur les couilles. Là, j’ai cédé, et sa langue s’est faufilée dans ma bouche. Il avait l’haleine fraiche, son baiser était doux et je lui ai rendu, oubliant que j’embrassais un homme tellement j’étais pris dans ce jeu de séduction et d’émotion.
Toujours debout, je l’ai embrassé dans le cou et suis descendu lentement sur son torse où pointait les mamelons de ses seins. J’ai continué millimètre par millimètre le supplice en léchant son ventre, et j’ai contourné son sexe que j’effleurai d’un souffle d’air. Il avait aussi une petite bite toute raide, fine, bien décalottée qui n’attendait que ma bouche pour se satisfaire.
En relevant la tête, j’ai vu les yeux d’Albin suppliant que je le suce. Je lui ai proposé :
« nature ?
Et il m’a répondu :
- oh ! Oui ! »
Je l’ai poussé sur le canapé, et à genoux, je lui ai écarté les jambes et pris en bouche cette petite queue que je trouvais splendide. Je tenais ses couilles dans ma main car elles étaient dures et ne formaient qu’une boule. Je les ai avalées, léchées. On était convenu qu’on se couperait les poils et se raserait les couilles.
Ses boules étaient douces en bouche, et je les chauffais bien pour les voir pendre un peu et les triturer comme j’en avais envie. Albin appréciait beaucoup et se laissait faire, abandonné à son plaisir. Tellement abandonné que le reprenant en bouche, et commençant un pipage plus sévère, je l’entendis éructer que s’était trop bon et sentis dans ma bouche le petit jet de sperme annonciateur du flot qui allait lui vider les couilles.
Une minute après, j’avais la bouche pleine de son sperme qu’il me demanda d’avaler d’un air pleureur de chien battu. Je l’ai fixé dans les yeux et comme par défit, j’ai tout englouti. J’avais déjà avalé mon sperme, et j’ai trouvé celui d’Albin du même gout, un peu salé, neutre, qui donne soif. Partit dans la salle de bain me laver les dents, je trouvais que je faisais fort pour mon premier contact homosexuel.
De retour au salon, je le trouvais impatient de s’occuper de moi et, poussé sur le sofa, il commença une lèche totale de mes attributs. En relevant mes fesses ; il s’aventura dans la raie du cul pour me sucer mon petit trou. Un peu réticent, puis sollicitant plus de caresses, de léchouille de sa langue, refusant le doigt qu’il voulait m’introduire pour le ramener s’occuper de ma bite qui commençait à perler du liquide lubrificateur.
Sa langue chaude sur ma bite, sur mes couilles, était pour moi encore meilleure que celle d’une femme, car il devinait mes envies et réagissait à tous mes soupirs.
« Je veux te boire moi aussi », me dit-il, en enfournant mon sexe entièrement jusqu’à toucher le fond de sa gorge, le faisant tousser et saliver à l’excès.
Je n’ai pas mis longtemps à me vider les couilles dans sa bouche qu’il a tenu ouverte pour que je me vois jouir, le sperme sortant par à-coups comme un flot bouillonnant, blanc, crémeux qui semblait ne pas pouvoir s’interrompre. La quantité était là après une semaine d’abstinence, et j’ai bien cru qu’il allait tout dégueuler en se forçant à avaler. C’était une première pour lui, il ne connaissait pas le gout de la semence masculine. Il avait les larmes aux yeux le pauvre petit.
Nous étions comme deux couillons avachis sur le sofa, essayant de reprendre notre souffle et nos esprits, le sourire émerveillé aux lèvres, béats, encore repu de jouissance.
« Social-time », on fait le break et on parle des femmes, et de nos envies de sexe frère, tranquillement assis sur le canapé côte à côte, nus, heureux, sans gêne.
On a ensuite discuté duquel allait se faire enculer le premier, et on a décidé de laisser le feeling. On est parti dans la salle de bain se relaver les fesses et chacun a savonné le petit trou l’autre dans la baignoire au savon de Marseille. On a bien rigolé quand on a pensé que la prochaine fois, il faudrait demander conseil à des spécialistes. Retour dans la chambre, cette fois ci, c’est du sérieux. Nous avons sorti les capotes, le gel lubrifiant et même un petit gode qu’Albin a testé et a trouvé bon.
« Histoire de m’ouvrir le cul car il est drôlement serré et j’espère que tu auras la bite assez dure pour passer le premier barrage ! »
Le défi est lancé : c’est moi qui ouvre les hostilités et qui encule le premier. Préparation minutieuse, je ne veux pas louper mon coup. Je commence par la langue, écartant les poils du cul qu’il n’a pas coupé, petits crachats de salive, et je rentre un doigt. Je m’enduis de gel et lui enfourne deux doigts que je tourne pour bien lui ouvrir l’anus. Il aime.
Je sens le passage étroit s’élargir, et dix minutes après, son trou reste ouvert quand je retire mes doigts. Capoté vite fait, je le pénètre doucement ayant la queue bien raide. Il souffle, pousse, et quand j’ai entré entièrement ma petite bite, il ne bande plus le chou, trop occupé à accepter ma bite qui lui perce le cul.
J’ai gardé toute mon attention à mon érection et commencé mes vas et viens. Il aimait de plus en plus et il fallait que « je le défonce », mais étant limité en longueur comme en grosseur, il a fallu qu’il se contente de ce que je pouvais lui offrir. Il rebandait très fort durant mon enculage, et je l’ai masturbé assez fort comme pour me venger sur sa bite pas plus grande que la mienne. J’ai jouis dans son cul (enfin dans la capote) et au même moment j’ai senti, à ma main toute poisseuse de sperme, qu’il venait d’éjaculer.
Il m’a raconté ses sensations, son bonheur de s’être fait prendre par un sexe d’homme ce qui n’a rien à voir avec un gode dur et froid. Il était épuisé de ses deux éjaculations, je n’ai jamais pu le faire rebander et ayant un rendez-vous, j’ai dû repartir mon petit trou encore intact. On se retrouve la semaine prochaine pour mon dépucelage. Je lui ai emprunté son gode pour préparer le passage pendant la semaine…
Je suis impatient !!!
Signé : Marcel
J'espère pour lui qu'il a continué...
Nous sommes deux dans ce cas !
Je ne peux que confirmer ce que tu dis !
Alors, fais-le !!! Tu trouveras sans problèmes des hommes pour accepter.
Tu as raison, il faut commencer par le debut : petit, puis de plus en plus gros ! Je sais que tu adorerais...
Je souhaite qu'il tienne compte de tes conseils avisés !