Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Lorsque je pris enfin place dans l'avion qui me ramenait de Singapore, je m'écroulais de fatigue dans le large fauteuil de la classe affaire. Après une semaine de travail épuisant, je pouvais me détendre et laisser retomber la tension nerveuse accumulée. Je défis mes chaussures, m'enveloppais de la couverture fournie, inclina à l'horizontal le fauteuil et m'endormis presque aussitôt, ne ressentant qu'à peine le décollage.
Quatre heures plus tard, je me réveillais et constatais que la cabine était maintenant plongée dans un douce pénombre. Mes voisins s'étaient à leur tour assoupis, et rien ne bougeait. Je réalisais alors que j'avais faim et que j'avais manqué le repas servi juste après le départ. Je m'étirai, me levai, me dirigeai à tâtons vers l'office, et m'enquis auprès de l’hôtesse présente. Elle me répondit par un sourire et m'invita à rejoindre ma place afin que l'on m'y serve un plat chaud.
Cinq minutes plus tard, elle vint vers moi chargée d'un plateau qu'elle posa sur ma tablette. Son parfum inonda l'espace et dans le mouvement, sa veste s'ouvrit et je pus admirer son sein droit, lourd et blanc. Elle disposa alors les couverts, sa veste toujours ouverts, je restais fixé sur son magnifique décolleté.
Puis elle se pencha pour disposer un bouteille d'eau tant et si bien qu'elle frôla de son épaule ma joue. Sa veste était maintenant si ouverte que, n'y tenant plus, je cueillis dans ma main ce sein frais et doux. Il était comme un fruit juteux que l'été gonfle de sève. L'approchant de ma bouche, je le suçais tendrement, dans un mouvement plein de douceur. Elle ne se rebella pas, défit ma ceinture d'un geste leste, fit pivoter ma tablette pour me dégager et m'entraina par la main jusqu'à l'office où une petite porte donnait sur les couchettes pour le personnel naviguant.
Ayant passé la porte, elle m'embrassa à pleine bouche, déboutonna adroitement ma chemise, déboucla ma ceinture, dézippa mon pantalon. Ses mains caressèrent un moment mon buste puis elles descendirent vers mon sexe dressé. Elle défit alors doucement mon boxer et commença à masser voluptueusement ma queue. Pendant ce temps, je caressais ses seins puis déboutonnais sa jupe, faisait glisser le tissu sur sa croupe magnifique.
D'instinct je me mis à genou et me précipitait sur sa chatte pour la lécher longuement. Je tenais son cul dans mes mains et appliquais de langoureux coups de langues sur ses lèvres, remontant jusqu’à son pistil et tournant autour. Elle commençait à gémir puis se dégagea, se retournant et offrit à mon regard son magnifique cul. Je me redressais, lui écartais alors doucement les jambes et pris ses hanches dans mes mains. Je n'eus aucun mal à m'introduire tant sa chatte était mouillée et écartée. La sentant bien relever son cul, je la pilonnais alors littéralement de coups rapides et vigoureux.
Elle poussait des gémissements, puis des petits cris et tendait toujours plus son cul en arrière. Je ne mis pas bien longtemps avant de jouir, arrosant généreusement sa chatte de foutre. Elle se dégagea alors, pris ma tète dans ses mains et plaqua ma bouche sur sa chatte.
Me concentrant sur son clito, je lui donnais alors de furieux coups de langues, au point qu'elle ne mit pas bien longtemps pour atteindre à son tour la jouissance, en étouffant ses cris.
Ensuite nous restâmes prostrés un long moment avant de pouvoir nous habiller, regagner nos places et nous endormir ... au septième ciel.
Signé Hugues L.
L'avion reste l'un des fantasmes numero 1 des français.. et des françaises !
Il est celui de beaucoup d'hommes.. Je te souhaite de le vivre !
Il ne faut jamais desesperer.. et surtout, prendre l'avion !
Il faut que tu recommences ! on ne sait jamais... ;-)
Comment viendras-tu me voir, si tu ne peux pas prendre l'avion ? EN bateau, c'est bien plus long, et aps très drole...
Tiens donc.. je n'aurais jamais cru qu'il existait un endroit où tu n'avais pas encore fait l'amour... ;-)
Je le sais bien, et je te le souhaite !