Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
J'imagine... cela... parfois... au milieu d'autre pensées pas forcément sur le même sujet... Ma partenaire est (serait donc) dans l'attente de mes envies... de toutes mes envies...
Et :
Je lui donne rendez-vous, tel jour telle heure. Elle est ponctuelle, toujours bien femelle.
Elle est tout sourire, habillée d’une robe fleurie légère mi-longue avec un généreux décolleté, d’un boléro de cuir prune et de chaussures à talon ouverte mais enserrant ses chevilles. Je ne dis rien, j'ouvre mon coffre et lui fais signe d'entrer là.
Petit temps d'arrêt, pose un genou au sol et s'incline. Je lui pose son collier.
Elle monte et se love tremblante dans ce volume restreint.
Je lui tends un foulard :
« Mets cela devant les yeux. »
Je roule avec douceur, transportant une beauté de perversité qui sera bousculée plus tard...
Après un long moment, je suis arrivé à destination. Je sors de la voiture en lui annoncant que je reviens. Le propriétaire du lieu m'attend avec un sourire jusqu'aux oreilles.
Il me dit :
« Nous vous attendions. Le couple dont je vous ai parle est là aussi et tous mes mâles sont en pleine forme.
- Je vous remercie Monsieur, ma femelle est en attente dans le coffre. Elle ne sait pas de quoi, mais elle est en attente. »
Il rigole tout en se retournant, je le suis. Nous entrons dans cette magnifique grange presque vide avec une grande litière de paille au centre formant un rond. Deux canapés et un fauteuil sont installés autour en demi-cercle.
En face, au bord de la grande litière, une cage en acier brut est posée à même le sol
De chaque coté, deux jeunes hommes se tiennent aux garde à vous avec des tabliers de cuir. Un couple est présent, me regardant.
Je les salue. Je m’approche, la femme se courbe. Elle est séduisante la quarantaine brune, cheveux au carré, habillée classique, chemisier brun, jupe droite brun foncé et bottes cuir moyen.
L'homme très corpulent est habillé en chasseur...
Il dit doucement :
« Dis lui bonjour, Lise. »
La femme prend délicatement ma main droite et l’amène à sa bouche et l’embrasse langoureusement. Agréable sensation...
Les invités s’assoient, le couple sur un des canapés et moi sur l’autre.
Ou plus exactement, la femme se place à genou au coté de son chasseur.
Notre hôte, debout au centre, nous présente les deux jeunes hommes et dresse un rapide exposé (sans utiliser les vrais mots) de notre présence ici. Tout est ok.
J'annonce que je vais chercher ma femelle de ce pas. J'entends deux voix bien épaisses me répondre :
« Avec joie. »
J'ouvre le coffre, elle attend, sage, un brin peureuse et en même temps, joyeuse...
« Allez, viens ! »
Je l’aide, la guide.
Je pousse la porte de cette grange, je remarque son grincement sinistre. Elle se raidit et ralenti brutalement son pas.
« Viens, il s’agit de notre baptême sur un versant pervers que nous voulons tous les deux. »
On entre. Silence...
Je la place au centre de la litière et lui intime :
« Reste ici debout, cambrée et bien fière d’être ma chose. »
Elle se met en position, l’ouïe à l'aguets.
Je m’assoie sur un fauteuil :
« Voici Anna, elle est racée, n’est ce pas !? »
L'assemblée masculine, silencieuse, approuve en hochant la tête tout en scrutant ma femelle. À voix haute, j’annonce :
« A vous de jouer Messieurs ! »
Elle se raidie...
Notre hôte se lève et se rapproche d’elle de très près, la frôle. Il sort des menottes et annonce :
« Mains derrière la nuque. »
Frêle, elle agit... Il lui attache les poignets à son collier. Il se rassoit en faisant signe à notre chasseur.
Celui ci se penche à l’oreille de sa femme et lui tend un objet. Elle se lève doucement, et s’approche du centre. Elle embrasse délicatement la bouche de ma femelle, puis elle se place à genoux devant elle. L'objet, une paire de ciseau, entre en action, coupant du bas vers le haut le tissu fleuri.
Une fois la paire de ciseau au chômage, le chasseur tonne :
« Tourne-toi Anna ! »
Saccadés sont ses gestes. Je la fixe et prends plaisir... La paire de ciseau fend à nouveau l’arrière de sa robe.
« Ecarte les cuisses et penche toi en avant ! »
Une fois en position, Lise enfonce son visage entre les fesses et s’aide de ses mains pour être sure d’atteindre son but.
Ma femelle rejette sa tête en arrière et fait glisser sa langue sur sa lèvre supérieure.
Nous profitons silencieux des respirations et des légers soupirs de ces femelles.
L'hôte m’ayant demandé d’être récompensé à l’avance pour son accueil, je lui fis signe d’agir. J'ai bien vu que déjà, il a du mal à se contenir d’intervenir.
Il se lève, et rapidement, écarta Lise pour lui donner un préservatif. Elle lui sortit sa verge bien tendue, plaça le latex. Il se retourne et s’enfonce fiévreux entre les fesses d’Anna.
Lise lui caressait l’entre jambe. Anna cria puis gémit doucement...
Une fois sa fièvre passée, notre hôte fait signe à l’un des jeunes hommes.
Celui-ci s’en va.
L'hôte claque la croupe d’Anna, détache ses menottes et crie :
« A quatre pattes toutes les deux, côte à côte ! »
Les voilà jumelles, une nue et déjà écartée, et l’autre encore secrète.
Aussi je me lève, prends la paire de ciseau, regarde le chasseur qui acquiesce.
Je fends le tissu de la jupe et du chemisier. Nue en dessous, j’en finis ou presque.
J'ai envie de vérifier l’état de Lise... Je lève un doigt, le bon et regarde le chasseur qui sourit. Puis, je sonde sa fente, et lève mon pouce en direction de son patron.
Le jeune arrive avec un des sujets de cette rencontre: un chien, un beau mâle, un Dogue allemand de soixante kilos. Le chasseur se lève, attrape les cheveux de sa femelle, la place dans la cage et l’enferme.
« Retourne-toi et regarde ! »
Le chien est lâché. Il se précipite vers ma femelle. Il semble joyeux et aussitôt lui lèche le visage. Anna crie, surprise, et se met à trembler...
Je m’approche d’elle, et lui pose ma main sur sa tête et lui dis :
« Bien sur tu as compris, nous voici devant la réalité. Je veux être fière de ma femelle n’est ce pas ?...»
Elle approuve de la tête. Et me souffle :
« J’ai peur, aidez-moi à être celle dont nous avons parlé ensemble..
- Je suis là tout près ma bonne femelle, je ne te lâche pas.
- Merci Monsieur », souffla-t-elle...
Je fais signe au dresseur de venir. Je caresse le dos puis la croupe d’Anna.
« Montre-moi ta nature de chienne… »
Le dresseur montre le cul offert au Dogue. Il s’approche et le renifle avec force. Des courants d’air font tressaillir Anna. Puis il lèche avec envie voir même avec frénésie.
« Braky adore ça ! » déclare notre hôte.
Tandis qu’il lèche sans cesse, je remarque que Lise se pourlèche les babines... elle semble connaitre... Ma femelle commence à gémir et à onduler... Cela perdure, et nous nous rinçons les yeux !
Braky est excité et sa verge rose rouge toute pointue est prête à besogner. Le dresseur me regarde, je fais signe qu’il peut commencer la saillie.
Il siffle et le Dogue monte ma femelle aussitôt et trouve la fente avec précision et fornique comme un lapin !
Ma femelle gémie et crie en alternance. Les soixante kilos la malmène... elle est toute branlante sous les soubresauts frénétiques du chien...
Son excitation semble lui faire perdre le contrôle de ses mouvements. Je vois bien son dard quitter la fente pour fendre l’air puis y revenir, en sortir et même s’installer dans l’anus d’Anna. Elle bondit, et aussitôt s’écroule épaules à terre en poussant un râle fort et profond. Le Dogue lui ramone la croupe et vide ses bourses. Il est très très généreux...
Le dresseur le saisit et l’éloigne...
Je m’approche d’Anna, elle est toujours sous le règne de ses sensations.
« Te voilà vraiment femelle, ma femelle. Ce chien t’a inondé ! »
Lise en face se frotte la croupe aux barreaux et bave littéralement.
Le chasseur :
« Calme-toi ! »
Anna me souffle :
« Ooooh merci mon Mâle. »
Je me redresse satisfait :
« Continuez, je vous en prie ! »
L’hôte fait signe au deuxième dresseur qui revient avec un autre Dogue, plus petit mais plus épais, plus vieux.
« Que chienne Anna le fasse jouir, il le mérite, cet ancien. »
Anna se recroqueville, mais quand le chien s’approche, elle le caresse et très vite le masturbe avec douceur. Le dresseur le fait se coucher. Anna s’occupe de son sexe et de ses testicules avec zèle.
Je lui claque la croupe :
« Laisse toujours ça bien en l’air et le plus écarté possible. »
Le sperme de Braky est partout... il sort de son anus, coule le long de ses lèvres, de ses cuisses... Le vieux chien sort son appendice, Anna le branle franchement.
« Mieux que cela », je tonne.
Elle se rapproche et hésite puis avale la pointe et l’enfonce profondément, l’aspire.
Le chien en miaule presque, tout en faisant de paresseux coups de reins. Anna se déchaine.
Lise bave de plus en plus. Le chasseur rigole en la voyant faire. Le canidé éjacule remplissant la gueule de ma femelle qui se retire et reçoit les giclées suivantes sur le visage et les cheveux.
Notre hôte applaudit. Ma femelle doit être efficace... Le chien est emmené à son tour.
Je flatte la croupe d’Anna et détache le foulard. Elle ferme les yeux.
« Regarde-toi, bonne à chien ! »
Elle tremble. Je sais que ce n’est pas de froid.
Le chasseur :
« Excusez-moi, mais me permettez vous de lâcher mon affolée ?
- Bien sur ! »
Lise se précipite à quatre pattes et se met à lécher le visage, les cheveux d’Anna. Elle est gourmande ! Puis elle se lance à l’assaut de la croupe, de la fente, des cuisses.
Elle se glisse en dessous d’Anna en 69. Anna me demande l’autorisation de la lécher, que je lui accorde. Et nous, nous observons le spectacle.
Puis je me lève vers la table en inox plus loin et prend quatre spéculums.
« Vous permettez Messieurs ? »
Étonnés, ils annoncent :
« Bien sur. »
J'attrape les cheveux d’Anna :
« Stop ! »
J'enfonce le premier spéculum dans le vagin de chienne Lise. Il est très accueillant !
Le deuxième dans l’anus, qui se laisse bien moins faire et génère un cri étouffé.
Je les ouvre doucement et les bloque. Je fais de même pour ma chienne qui en frétille ainsi équipée.
Au jet d’eau, j’entreprends de nettoyer. L'eau est froide, elles hurlent et se crispent.
« Ne bougez pas ! »
Je me rapproche, diminue la force du jet et commence à remplir Anna qui s’écoule sur Lise et reçoit le trop plein.
J'arrête le jet.
« Redresse-toi ! »
Elle achève de se vider.
« À quatre pattes ! »
Je vérifie et fignole le travail. Puis je m’attaque à Lise qui semble réticente. Le chasseur crie :
« Sage ! »
Elle obéit... je suis plus confortable pour la remplir, donc ! Ensuite je nettoie le visage d’Anna et lui frotte les cheveux. Les deux femelles deviennent bleues de froid. J'arrête.
Je prends du foin un peu plus loin et frotte ma propriété, laissant le chasseur s’occuper de son bien. Des couvertures sont disponibles, j’en place une en carré au pied de mon canapé et appelle ma femelle en tapant au centre de ce carré.
Elle s’avance à quatre pattes, frigorifiée.
« Couche-toi là ! »
Je place une autre couverture sur elle... Le chasseur ne s’occupe pas vraiment de sa femelle et déclare :
« A elle ! »
Les dresseurs reviennent avec trois chiens. Lise se place aussitôt à quatre pattes !
Et les chiens s’occupent de Lise et vice versa...
Anna me regarde.
«Tourne-toi, observe, et apprends. »
Elle assiste au spectacle. Elle regarde cette femelle expérimentée videuse de chien.
Ma chienne se serre un peu plus contre moi, glisse une main jusqu’à mon mollet et le caresse, signe qu’elle est satisfaite de ma
perversité....
Il parait que les dominateurs masculins aiment les femmes qui se comportent ainsi...
Si tu as envie d'en parrler ici, tu sais que tu peux publier ce que tu souhaites.... bisouxxxx
bisous a tous de ns deux
Tu vois, nous sommes deja deux à te le proposer !
C'est tellement bon de se faire saillir par un gentil toutou câlin
Si elle nous fait la gâce de publier son histoire, tu verras que c'etait vraiment traumatisant... Helas..
Je savais que ca te plairait !
Tout à fait.. Olga l'a deja fait dans son blog, je crois. Mais ce serait bien qu'elle la republie !
Moi aussi, je ne supporte pas la seule idée d'etre dominée...