Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Voilà quinze jours que la piscine est terminée. Sylvie, ma ravissante épouse, et moi-même, décidons d'organiser une soirée, pour pendre la crémaillère. Au total, une vingtaine de personnes, dont Marc un copain d'enfance, venu sans sa femme, Rébecca, et surtout Gérard, témoin de mon mariage.
« Damien, demande ma femme, comme fait-on pour héberger tout ce monde ? Il y en a qui ne sont pas en couple, on ne peut quand même pas les mélanger !
- On s'arrangera, lui dis-je en souriant. Je peux dormir avec Gérard, toi avec ta cousine. Marc, bien sur, il faut le mettre tout seul, pour les autres, on envisagera, ce n’est pas la place qui manque. »
La soirée se passe dans une ambiance chaleureuse. Mon épouse est d'une beauté, à couper le souffle. Les amis se bousculent pour la faire danser. Malheureusement pour eux, sa fidélité est sans faille. La petite fête se termine vers minuit, et tous les invités regagnent leur coin pour la nuit.
Tôt le matin, je quitte ma chambre pour aller calmer un mal de crâne, reste d'une soirée un peu trop arrosée. Arrivé dans le hall, j'entends des voix provenant de la cuisine. Certainement mon épouse qui prépare le petit déjeuner. Je m'approche sans bruit, et la découvre, entièrement nue, sous sa courte nuisette. Collé derrière elle, Marc, le gland décalotté dépassant d'un mini slip ne cachant rien de son anatomie, la tient par la taille, lui caresse les seins, tout en l'embrassant dans le cou.
« Whoua... quelle nuit, souffle-t-il. Tu sais que tu es un bon coup au lit ? On ne peut pas dire que tu sois fainéante.
- Je sais, répond-elle, je suis insatiable, mon mari me le dit chaque fois qu'on fait l'amour. Pourquoi, Rébecca, ta connasse de femme, elle ne bouge pas son cul au lit ? Depuis que j'ai envie de lui mettre une rouste à celle là.
- S'il te plait, ne soit pas méchante avec elle. Parle-moi plutôt de toi, as-tu d'autres amants ?
- Je n'ai pas d'amants, et n'en aurai jamais. Tu es le premier, et Damien me suffit amplement.
- Whoua, quel honneur, reprend Marc. J'espère avoir été à la hauteur, et te l'avoir fait oublier, ne serait-ce que le temps d'une nuit. A t'entendre crier, je pense y être parvenu.
- Heu...franchement, non. Il a une façon de se servir d'une femme, que tu n'as pas, et ça, ça ne s'invente pas. Quand aux cris, ce sont ceux d'une femme qui a quand même joui.
- Ah bon, message reçu, je vais réfléchir à ça, ce sera mieux la prochaine fois.
- Honnêtement, je pense qu'il n'y aura pas de prochaine fois. J'aime mon mari, alors mettons ça sur le fait que l'ambiance était un peu chaude. »
Ma femme se retourne, lui caresse la joue, et lui prend tendrement les lèvres.
« Allez, sans rancune. »
Elle entre dans le salon, le plateau à la main, suivi par son amant d'une nuit. Je suis campé au milieu de la pièce, mains derrière le dos, face à eux.
« Mais, bafouille mon épouse... tu es là ? Tu as...
- Tout entendu ? Oui, répondis-je. Laisse-nous Marc, il faut que je parle avec ma femme. »
Nous nous asseyons sur le canapé. C'est Sylvie, le visage livide, qui rompt le long silence.
« Laisse moi t'expliquer chéri, me dit-elle, ce n'est pas ce que tu crois. Marc a insisté, et j’avoue que le champagne aidant, j'ai succombé. Que puis-je faire pour réparer tout ça ?
- Mais tout se négocie ma chérie, dis-je. Justement, je cherche une hôtesse pour mes soirées coquines, et tu rentres parfaitement dans le moule que je recherche. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Tu sais que je ferai n'importe quoi pour toi, me dit Sylvie, mais là, tu me fais peur. Mon travail consisterait en quoi ?
- Mais à ce que tu sais faire le mieux ma chérie : la pute, comme tu l’as fais cette nuit avec Marc. »
Mon épouse accuse le coup, ferme les yeux. Elle sait qu'il n'y à pas d'autre alternative.
« Je vais prendre rendez-vous à la boutique de Rébecca lundi, entre midi et deux, c'est fermé. il faut que tu sois super sexy pour ma soirée de samedi.
« Rébecca, bégaie Sylvie. Mon dieu, mais... tu sais bien que...
- Quoi ? Que tu la détestes ? Oui je sais... Il faudra t'y faire ma chérie, elle risque de participer aux ébats, d'autant qu'elle adore les femmes. »
Midi pétante, nous rentrons dans la boutique. Rébecca, sculpturale brune, nous attend. Elle m'embrasse amoureusement, mais reste totalement indifférente à la présence de mon épouse.
« Cabine numéro neuf, lui dit-elle sèchement, je prépare tes affaires et j'arrive. »
Bien sur, la cabine est là pour pimenter la situation, puisque il n'y a personne dans la boutique.
Je promène entre les présentoirs, quand j’entends des cris venant de la cabine. C'est Sylvie qui est en train de prendre une fessée.
« Alors comme ça, tu voulais me mettre une rouste, gronde Rébecca, c'est pas gentil ça.
- Assez, assez, se plaint mon épouse. J'ai dit ça suffit comme ça ! Arrête, s'il te plait.
- Tu préfères ça peut-être, salope ? »
Je m'avance de la cabine, et découvre ma femme, appuyée contre la paroi de la cabine, nue, les reins cambrés en arrière, croupe offerte, en train de se faire chatter. Je vois nettement sa fente se faire pénétrer par les doigts vicieux de la vendeuse. Petit à petit, les râles de douleurs se transforment en râles de plaisir. Elle sort sa langue, et lèche le miroir.
« Mais c'est qu'elle mouille la pute, elle se régale, dit Rébecca en me regardant. Tu sens ce que je fais à ton clitoris ? Mhum... c'est bon ça, hein ?
- Oh oui, gémit mon épouse. Vas-y, gratte-le... Fais-moi jouir... Oh oui... doigte-moi... Oh, hou... »
Jamais, dans mes rêves les plus fous, je n’aurais imaginé ma femme se faisant doigter par une autre femme. Je la découvrais de plus en plus salope, et j’adorais ça !
Après avoir fait lécher ses doigts par ma femme, Rébecca me rejoint, satisfaite.
« Tu vois qu'elle aime les femmes, dit-elle, tu l'as entendu gueuler ? Dommage que je ne sois pas libre cet après midi, je me serai bien amusée avec elle. La prochaine fois peut être.. Allez, récupérez vos paquets à la caisse. Par contre, il faut que sa petite chatte soit bien épilée. Allez, à samedi. »
No sortons sans mot dire de la boutique. Sylvie n’ose pas me regarder.
« Tu as honte, ma chérie ? tu n’as pas aimé jouir sous les doigts de ton ennemie ?
- Euh. je.. je.. sais pas, bégaie-t-elle, rouge come une tomate.
- Je sais que tu as aimé. Mais tu vois, ce n’est que le début. Tu vas me servir à finaliser des commandes que je n’arrive pas à conclure. AU moins, le fait de te comporter en pute me servira à quelques chose !
-Mais tu ne peux pas.. pas comme ça, pas des clients.
-Tu obéis, ou c’ets la porte. »
Sylvie ne dit plus rien, muette de stupeur. Elle n’imaginait pas que son cher imari la traiterait ainsi. Mais pourtant, elle a encore plus honte en sentant la chaleur qui irradie son bas-ventre quand elle s’imagine en pute…
La samedi, j'invite donc deux futurs clients et amis du club de golf. Rémi, quarante-cinq ans, cheveux grisonnant, très séduisant, et Malik, un jeune nouveau venu dans la profession. Tout les deux sont des fervents du sexe, capable de baiser une nuit entière.
Rébecca est là aussi, assise sur le canapé, toujours aussi belle dans ses tenues extravagantes.
J’ai chois une sorte d’alcôve, un peu retirée, faite pour les repas d’affaires. Là où nous sommes, les autres membres du club ne peuvent pas nous voir. Mes deux amis et moi, sommes installés à la table, quand ma femme apparait, magnifique. Rébecca a choisi des vêtements « d'appel d'urgence », une mini-jupe au ras de la moule, et un petit haut, dont on peut voir, en dessous, la naissance des seins. Tout est réuni pour passer une agréable soirée. Rébecca invite Sylvie à s'asseoir à côté d'elle. Celle-ci obéit, sans un mot, intimidée, elle serre les jambes, pose timidement ses mains sur ses genoux.
Aussitôt, Rébecca essaie d'insinuer une main entre les cuisses fermées, en vain.
Un sourire aux lèvres, mes clients et moi, reprenons le fil de nôtre conversation. Je ne m’aperçois pas de suite que ma femme a quitté la table.
Soudain, de faibles gémissements envahissent le salon privé. Je me retourne, et vois ma femme, avachie sur le canapé, largement ouverte, se faire doigter par Rébecca, parfaite en meneuse de revue.
« Enfin, sourit-elle, je savais que j'arriverai à t'avoir, salope. Fais voir que je te sorte le clito. Voilà, il est dur ce salaud. Je vais bien te faire mouiller la chatte, Ok ? Tu me diras quand tu es prête à te le faire mettre. »
Sylvie se tord de plaisir sous les caresses de sa rivale. Elle mouille abondamment, je le vois de ma place. Je l’ai rarement vue aussi excitée.
Je vois ma femme murmurer à l'oreille de Rébecca.
« Quoi ? dit celle-ci. Damien… c'est vrai, elle n'a jamais été sodomisée ? On va combler ce vide ma chérie. »
Je n’en reviens pas !!! Sylvie, qui refuse toute pratique hormis la pénétration vaginale, et à peine la fellation, vient de demander une sodomie ! Je n’en crois pas mes oreilles.
Pendant ce temps, à ma demande, mes deux invités se mettent en tenue d'Adam. Ils obéissent très vite, commençant à dire des insanités :
« Dis donc, on ne savait pas ta femme aussi salope... Quelle belle garce bonne à baiser… on va te la défoncera, tu vas voir... On peut faire tout ce qu’on veut d’elle ?
- Oui bien sur, tant que vous n’utilisez pas la violence, elle est votre pute ! »
Impressionné, je vois leurs membres de dimensions imposantes balancer entre leurs jambes, les couilles bien pleines. Mon épouse stupéfaite par les mensurations, les découvre aussi.
« Vas-y, Rebecca, implore Sylvie. Branle-moi, bien profond... Fais-moi bien mouiller, bien baver pour que ces bites me perforent à fond ! Ca y est, je suis prête. J'ai envie de coups de queues... »
Rebecca la lâche, et Sylvie en profite pour se faire fourrer quatre doigts dans sa chatte baveuse par Malik, qui n’en revient pas de a bonne fortune. . En un tour de main, Rébecca fait disparaitre la mini jupe et le petit haut. C'est complètement nue que Sylvie se présente à Rémi.
Celui-ci s’agenouille devant elle, et caresse la fente, lui fait faire un demi-tour, le cul offert sur le canapé.. Il la saisit par les hanches, et d’un unique coup de rein, fait coulisser sa chatte baveuse sur son imposante hampe, entièrement décalottée. Ma femme ouvre grand la bouche en poussant un long soupir. Rémi fait rouler le bout des seins, prêt à exploser, entre ses doigts. Il les malaxe les triture, les maltraite, en même qu’il baise plus fort ma femme.
Elle s’arque sous les coups de boutoir, pour accentuer la pénétration. Une vraie chienne en chaleur ! Je bande comme un fou, de la voir ainsi… Je n’en peux plus, je défais mon pantalon, pour me branler devant ce superbe spectacle.
C'est maintenant Malik qui s'avance, et qui place sa bite, qui n'a rien à envier à celle de Rémi, devant la le visage de mon épouse. Sylvie la saisit à pleine main, libère le gland du bout des lèvres, et l'avale. Elle le pompe avec une vigueur que je n’aurais jamais soupçonnée. La garce arrive même à avaler les vingt-et-un centimètres en gorge profonde. Et dire qu’elle renâcle devant mes quinze centimètres. Elle me le paiera plus tard, la salope !
Elle aspire, malaxe les grosses bourses pleines, Malik baise sa bouche. Il a l’air d’oublier que ce n’est pas un vagin. Dans une poussée plus forte, qui manque de faire étouffer ma femme, il gicle fort et puissant ; je vois le sperme s’écouler de la commissure des lèvres de Sylvie. Cette crème est indécente ! D’autant qu’elle retire le pieu de sa bouche, pour mieux se pourlécher les lèvres de cette sauce gluante.
Malik ne débande pas d’un poil !
Au bout de cinq minutes, Rémi soulève ma femme, dans la visible intention de changer de trou. Je vois la rosette se dilater, avant absorber l'énorme pieux dans un cri de douleur, étouffé en partie par la queue du jeune maghrébin.
« Ah... arrive à dire Sylvie. Il m'encule avec sa grosse bite... Il me dépucelle le cul ce salaud ! Hou... hou... »
Avec une souplesse de chat, Malik se couche sur le canapé, sous ma femme, et de son membre raide comme l’acier, il perfore le vagin dilaté de Sylvie. Elle cire de sentir remplit aisni. Je n’y tiens plus, et présente ma propre bite devant sa bouche, par-dessus l’accoudoir. J’ai un peu de mal à l’atteindre, mais elle gobe sans rechigner ma queue.
Pour la première fois, je vois ma femme en double, puis en triple ! Une vraie chaudasse de porno ! Cette pensée, cette vision m’excite tant que je jouis bien trop vite, inondant la gorge de mon épouse de ma purée épaisse. Je me retire juste à temps pour qu’elle reprenne son souffle, au moment où ils jouissent tous les trois, presqu’ensemble. Dans un souffle, je m’affale sur le siège voisin.
C'est dans un cri simultané que se confondent l'orgasme de Sylvie, et l'éjaculation des deux hommes.
Je ne me rends même pas compte que mes doigts fouillent la chatte de Rébecca, installée, jambes écartées sur mes genoux, en train de se tordre comme un ver.
« Enfoiré, gémit-elle. Vas-y, ça t'excite de voir ta femme se faire niquer ? Branle... Fais-moi couler la chatte ! »
Ma femme va se faire maquer, saillir jusqu'à quatre heure du matin, par tout les trous, dans toutes les positions par ces deux étalons avides de sexe. Rébecca, qui n'a rien raté de la soumission de Sylvie, se tourne vers moi. A ma grande surprise, elle prend sa défense :
« Arrête ça Damien, c'est ta femme, ne la détruit pas. Dis leur d'arrêter, je vais les emmener avec moi. Ok ? »
Je me rends compte que j’ai sans doute été trop loin. D’autant que je suis vexé de la voir jouir encore et encore, alors qu’en fait, elle devait juste être humiliée…
A mon regard, mes invités comprennent qu’il leur faut partir. Ils se rhabillent vite, et me remercient en me tapant sur l'épaule.
« Pour tes contrats, c’est ok. Passe lundi les faire signer, » me glisse Rémi à l’oreille.
J’acquiesce d’un signe de tête. Rébecca quitte le club, accompagnée par les deux vicelards. Je pense que c'est à elle maintenant, d'assouvir leurs fantasmes. Elle en a les compétences. Et je sais qu’elle en meurt d’envie !
Je regarde avec tristesse mon épouse allongée sur la moquette. Les paupières sont à demi fermées, le maquillage coule sur son visage, comme le sperme et la mouille dégoulinent entre ses jambes. Je sens sa respiration secouée par des sanglots.
Rébecca à raison. Méritait-elle tout ça ? N'ai-je pas fait payer trop cher cet écart d’infidélité ? Après tout, il m'est bien arrivé d'avoir des relations torrides avec Rébecca. Je me sens un peu coupable moi aussi…
Je l’aide à se rhabiller, et nous rentrons, sous le regard curieux des derniers clients. Je réalise qu’ils ont du tout entendre. Et même voir… J’en suis à la foi honteux et fier…
Dès notre arrivée à la maison, je me dirige sans un mot à la salle de bains, et remplis le jacuzzi de bain moussant. Puis, je m'approche d’elle, et la soulève dans mes bras. Elle se pend littéralement à mon cou.
« C'est fini ma chérie, dis-je en la déshabillant. Tu vas prendre un bon bain et te reposer. »
Elle me regarde tristement. Est-ce parce qu’elle regrette d’avoir été traitée en moins que rien.
« Je pourrai dormir dans tes bras, pleure-t-elle, s'il te plait.
- Mais bien sur mon amour », réponds-je.
Après une matinée de sommeil agitée, mon épouse fait enfin surface vers quinze heures. Elle ôte son peignoir, apparait nue, et me rejoint dans la piscine. Même si je lis des cernes autour des yeux, elle reste toujours aussi belle. Sa magnifique poitrine s'écrase sur mon torse, je sens ma queue se raidir sous la pression de son bassin.
« Tu ne peux pas quitter ce maillot ridicule, me dit-elle, j'ai envie que tu me prennes là, tout de suite... »
Comment résister à une telle proposition ? On va faire l'amour dans l'eau, sur les dalles du jardin, sur la terrasse, se souciant peu des éventuels regards des voisins.
« Et si on allait passer quelques jours dans le chalet de tes parents ? me demande Sylvie.
- Ah bon, et pour quoi faire ?
- Ben je ne sais pas... Un bébé...pourquoi pas, ça te dis ?
- Viens ici petite vicieuse… »
Comme quoi, il smeble que certains se decouvrent un peu candaulistes sans le savoir !
Un bon moment passé en lecture, merci pour tout.
JM
Ravie que ca te plaise... et merci de ta fidélité !
Je l'adore. Merci.
Moi ausi.. merci de nous ravir de tes histoires... il nous en faut d'autres.. plein de bisouxxx à toi, et bon retablissement.
Les choses n'evoluent pas forcement comme on aurait pu le prevoir... et l'on dit bien qu chaque mauvaise chose qui nous arrive à son bon coté.. ;-)
Elle n'a pas vraiment dit non, à ce que je comprends ! ;-) C'est plutot l'arroseur arrosé. Son mari ne devait pas imaginer qu'elle prendrait autant de plaisir !