Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Un nouvel auteur de talent, publié pour la première fois dans mon blog, Trekker. Merci à lui !
Décembre, six heures du matin à Paris, il fait nuit et froid. Moi curé Antoine, je prends un café au buffet de la gare d'Austerlitz en attendant mon train. Comme chaque fois que je viens à Paris, j'ai passé ma soirée rue Saint Denis. Les peep shows et quelques prostituées de cette rue me font oublier la morosité de ma paroisse rurale. J'adore voir les filles se caresser et se doigter derrière la glace de leurs cabines.
Après en avoir visité plusieurs, j'ai baisé avec une jeune prostituée : Roumaine ou Bulgare. Elle ne savait que quelques mots de Français, mais avait un sacré coup de reins et m'a fait gicler très vite.
Il y a près de dix ans, j'ai été viré du lycée de Sainte Pétronille qui est en périphérie de
Québec. C’était mon premier poste, et j’avais été nommé là comme confesseur. La Directrice une vieille teigne de sœur supérieure, fut scandalisée par ma brève aventure avec une des pensionnaires.
Une certaine Mya qui avait le démon dans sa culotte. Ah son visage d'ange, son corps fin, ses petits seins à peine formés et sa petite chatte étroite...
Je l'ai reçue en confession quelques jours après son arrivée au lycée. Elle venait de feter ses dix-huit ans.
Elle ne venait pas pour soulager son âme, mais découvrir le goût du péché avec un homme.
C'était la première fois que je dépucelais une fille. Cela m'excitait terriblement, et cette Mya encore lus,
elle mouillait beaucoup et jouissait à grand cris.
Mais hélas, cette garce de directrice en a été informée dans les jours suivants, et me congédia immédiatement.
L'évêque me convoqua et sermonna longuement, mais après m’être repenti il me pardonna ce péché de jeunesse. Il m’envoya alors comme curé d’une paroisse en banlieue de Trois Rivières. Là, plus de jeunes pucelles comme Mya, c'était un quartier habité en grande majorité par des retraités. Parmi toutes les vieilles bigotes fréquentant mon église, une grande blonde mince détonnait : tout juste quarante ans, un sourire aguicheur, et laissant voir généreusement ses cuisses gainées de bas noirs. C'était l'épouse d'un vieil avocat alcoolique et fortuné. Plusieurs de mes paroissiennes, aussi vipères que laides, m'ont prévenu à son sujet :
« C'est une ancienne call-girl qui a séduit ce benêt d’avocat. Elle se donne à tous les hommes qui passent chez eux : du facteur aux livreurs de pizzas ! »
.
Je me suis hâté de recevoir en confession cette dame, et pas aux heures habituelles. Elle est venue tout de noir vêtue : long manteau, tailleur en cuir noir, escarpins à hauts talons et bas résille. Elle s'est agenouillée devant moi et après quelques minutes de parlottes, elle a relevé sa jupe. Elle était nue dessous, avait la chatte intégralement épilée avec juste un trait de duvet au dessus.
Profitant de ma surprise, elle a posé son visage sur le haut de mes cuisses et m'a fait une fellation divine. Ah Sabrina, tu m'as quasiment tout appris : sodomiser une femme, usage des godes, poser des boules de geishas, bandés les yeux, attacher les mains avec un bas, etc... Ma bouche se souvient encore du goût salé de ta mouille.3
Notre liaison discrète a duré plusieurs années, et nous baisions généralement dans la sacristie. Parfois aussi dans la cabine du confessionnal, notamment quand une vieille bigote priait dans le fond de l'église.
Sabrina m'a demandé d'apprendre le piano à une
petite-nièce de son mari. Cela me donnait un prétexte pour aller chez Sabrina. Pendant que la petite-nièce fort mignonne répétait ses gammes, nous baisions telles des bêtes dans le lit conjugal Les leçons de piano duraient deux heures, et parfois Sabrina s'absentait. J’en profitais pour « éduquer » ma jeune élève.
Je lui caressais gentiment sa petite chatte et clito, lui apprenais aussi à sucer. Un jour que je giclais dans sa bouche, j'ai enfoncé un peu trop mes doigts en elle. Elle a crié très fort, car j'avais déchiré son pucelage. Sabrina était de retour et a entendu, elle s'est précipitée vers nous !......
Folle de jalousie Sabrina informa la police, et raconta la scène dans toute la ville de
Trois Rivières. Le scandale fût énorme, et le nouvel évêque me convoqua devant une sorte de conseil de discipline. Révoqué de ma paroisse, on me donna le choix entre : aumônier dans un pénitencier militaire en Angola, ou curé d'une bourgade en France. J'optais pour la deuxième solution, et quelques jours après je me présentais à l'archevêché de Paris. Un chanoine semblable à un vieux matou madré, me désigna avec un sourire ironique ma nouvelle paroisse : Flayat, trois cents habitants, dans le sud du département de la Creuse au centre de la France.
Après quatre heures de train et une heure trente dans un vieil autocar, j'arrivais dans mon nouveau presbytère. Mes paroissiens sont une bande de paysans âgés et mécréants. Les hommes n'aiment pas les curés, et se moquent de mon accent Québécois. Seules des femmes âgées fréquentent mon église, et ne risquent pas d'inspirer le désir. Les quelques jeunes femmes ou adolescentes du lieu, elles n’ont que mépris pour la religion et son serviteur.
La seule distraction, c’est le café du village, tenu par un « bouffeur de curé ». L'évêque dont je dépends se désintéresse totalement de moi, cela me facilite la constitution d’une cagnotte avec les recettes des divers cérémonies et dons.
Tous les trimestres, je prétexte des problèmes administratifs avec l'ambassade du Canada pour me rendre à Paris.
Oh ! Six heures trente, mon train va partir dans quinze minutes Je quitte le buffet de la gare et me dirige sur les quais, mon train est déjà là lumières éteintes. Je monte et recherche un compartiment sans occupant, car je voudrais dormir pendant le voyage . Difficile de distinguer avec cette pénombre et de plus nombre de rideaux sont tirés. Après plusieurs vaines tentatives, enfin un compartiment libre. J'entre, referme la porte et les rideaux, et m'allonge à demi sur une banquette.
Mais c'est quoi sur celle en face de moi, un manteau abandonné ? Bizarre, il est quand même bien volumineux ce vêtement.
Évidemment, il y a quelqu'un allongé dessous. Pourvu que ce ne soit pas un clochard cuvant son vin !... Ouf, cela ne sent pas mauvais et ne ronfle pas ! Un passager m'a devancé, c'est sans importance et je commence à somnoler.
Bruits divers du train qui démarre, secousses pendant les quinze à vingt minutes du début du trajet. Je connais bien, ce sont les aiguillages en sortie de Paris. Je garde les yeux clos et essaye de dormir. Toc toc énergique, « Messieurs dames, contrôle des billets ».
Enfoiré de contrôleur, juste au moment où je commençais à dormir !... J'entrebâille, difficilement les yeux et cherche laborieusement mon billet. Le manteau en face de moi s'est soulevé et son possesseur tend le sien. On dirait un jeune éphèbe, mais cela semble avoir des seins et ce n'est pas une drague queen version ferroviaire !...
Juste une fille, brune, cheveux courts, grande, très mince, environ 23 - 26 ans. Pas ou peu de maquillage, un pull ample et un pantalon ou caleçon noir
Fatigué par ma nuit, j'ai plus envie de dormir que de la confesser. De plus, je ne suis pas habillé en curé, et rien sur moi ne rappelle ma fonction. Somnolence, puis de nouveau secousses des aiguillages. On doit passer Étampes, après ce sera plus calme. J'ouvre à demi les yeux, les lumières sont enfin allumées et le jour se lève.
Sous le manteau, la fille est allongée sur le dos et la tête calée sur son sac de voyage. Ses bottines à lacets sont posées sur le plancher, et du vêtement dépassent ses pieds. Un élastique noir sous chacun, elle porte donc un fuseau, chose peu courante dans cette situation. Mignonne de visage, et bras allongés sagement sous son manteau. Je l’observe et j'ai un choc, son visage me rappelle celui de Mya. Cette jeune pensionnaire que j’ai dépucelé, au collège de Sainte Pétronille.
Dans ma tête, je me repasse cet épisode bien agréable. Cela réveille mon désir et envies. Des années que je n'ai touché, et pénétré une chatte juvénile .... Allons Antoine rêve pas, que ferait Mya ici dans un train Français au mois de Décembre.
Ondulations, mouvements lents et discrets sous cette couverture improvisée. Mais je rêve ou quoi, elle se caresse un de ses seins !... Elle n’a pas le visage de quelqu'un qui dort et ses yeux sont mi-clos. Ne perturbons pas cela, la suite peut s'avérer intéressante. Car aucun arrêt avant au moins une heure trente Je fais semblant de dormir, et l'observe discrètement à travers mes paupières en fentes. La caresse sur son sein se fait plus insistante, bien que discrète. Son visage est impassible, et elle semble m'observer à la dérobée par intermittence.
Le temps est comme suspendu et mon désir est plus qu'éveillé : dur et dressé. Elle doit quand même pas le voir, quoique j'aimerai bien.... Et surtout sentir ses doigts me branler, puis sa bouche me prendre... humm . Le souvenir des délicieuses caresses de Mya me revient.
Antoine le bon Dieu est avec toi ce matin, et je murmure intérieurement « Merci mon seigneur, faites que cela dure... » Tiens, une légère rougeur sur son visage, son souffle parait plus rapide et ses jambes font des mouvements discrets sous son manteau. Ses pieds et chevilles qui dépassent, trahissent bien ce qui se passe. Cuisses qui se croisent, se frottent l'une contre l'autre et se contractent. Ce doit être chaud et humide, tout en haut entre ses cuisses. J'imagine sa chatte étroite, sa mouille qui suinte dans entre ses lèvres et son clito gonflé !... humm....
Mon membre durcit encore plus et mon gland est turgescent. Maintenant, les mouvements de ses cuisses se devinent très bien sous le manteau. Une de ses mains a glissé sur son ventre et le caresse. Oh la salope, elle va se branler devant moi !....
« Oh merci mon seigneur de m'offrir un si beau matin ! Elle veut que je la baise ou quoi ? »
J'allonge bien mes jambes et cuisses, afin de bander confortablement.
Aie aie... elle parait s'arrêter, son visage se tourne légèrement vers moi. Faisons semblant de dormir, ne gâchons pas la suite des événements par précipitation. Mais très
vite, j'entrebâille légèrement mes yeux ... Wouahhh ..... Une de ses cuisses est repliée, sa main a quitté son ventre et farfouille entre son asine et sa hanche. Bizarre cela, puis ses reins se soulèvent un peu. Compris, elle a ouvert le zip sur le coté de son fuseau et fait glisser ce dernier sur ses cuisses. Certainement aussi son string ou brésilien, si elle en a un !
Maintenant, sa main est blottie entre ses cuisses, le mouvement régulier de son poignet ne trompe pas. Elle caresse son clito, ou alors se doigte tout en le massant avec sa paume... Wouahhh.... Sa fente doit être chaude, trempée et sa mouille couler sur ses cuisses. Son clito gonflé doit saillir de son capuchon ! Mhummm.
Ses pointes de seins doivent bander aussi , car son autre main en palpe toujours un....
Antoine, tu fais quoi maintenant ? Tu glisses ta main sous le manteau, rejoins ses doigts dans sa chatte trempée ou/et tu poses ton gland turgescent sur sa bouche ? Elle doit savoir sucer subliment et aimer cela. Non attends un peu, on a encore quarante-cinq minutes de voyage, laisse-la jouir et là elle acceptera tout !
Cela va être géant, je la doigterai et baiserai partout : dans la bouche, la chatte, le cul... Je giclerai tout mon foutre en elle...
Oh qu'est ce qui se passe ? D'un mouvement brusque, elle me tourne le dos, allongée sur le coté et repliée sur elle même. Contractions spasmodiques de ses cuisses. Ouahhh, elle jouit !.... sans un cri, sans un gémissement....
Je me lève une main sur ma braguette, j'hésite un instant : mes doigts rejoignent les siens, et l’a font rejouir avant de la prendre ? Je lui enfonce mon gland au fond de sa chatte trempée et bien chaude ?
Dring.. dring... Sonnerie stridente dans son sac de voyage sous sa tête. Surpris, je reste debout sur place. Elle se retourne brutalement sur le dos et se redresse à demi, comme si elle s'éveillait. D'une voix assurée, ferme et avec un accent prononcé :
« C'est mon réveil qui sonne, dans cinq minutes le train s'arrête à ma gare. »
Oh merde ! J'avais oublié que le lundi, ce train faisait un arrêt là. Je me rassieds, décontenancé et dépité. Je réalise alors qu'elle a parlé avec l'accent Québécois. Pendant que je cherche mes mots pour tenter de prolonger cet échange, elle se rajuste rapidement sous le manteau et s'assoit sur la banquette Elle se penche vers ses bottines posées sur le plancher.
Je les prends, lui tend et ses doigts encore tout mouillés d'elle frôlent les miens. Contact bref, mais plus long que nécessaire. Comme une décharge électrique qui me tétanise, impossible de prononcer la moindre phrase. Très vite elle enfile ses bottines, se lève et revêt son long manteau. Elle prend son bagage, se dirige rapidement vers la porte du compartiment et l'ouvre. Le train freine, elle se retourne vers moi et d'une voix neutre :
« Contente d'avoir dormi avec vous.... bonne fin de voyage mon père »
Mya me fait un sourire salope comme pas permis, et disparaît très vite dans le couloir.
Trkker......
En effet, mais le tabou et l'interdit restent immenses !
Ou plutot, je dirai qu'il doit resulter d'un veritable choix, et non de la contrainte d'une autorité supéreieure !
Moi athée je ne vais pas te critiquer de mépriser le fameux voeu de chasteté.
Et tout cela est très bien écrit. J'aime beaucoup
J'ai beaucoup aimé aussi, et j'espère que Trekker nous fera le plaisir de nous offrir d'autres récits !
Ah bon ??? Ton enfance? Etonnant.. tu attises macurisosité. tu nous en dis plus ?
Ce genrde détail est accessoire.. Seul ton recit est passionnant, et appelle une suite !!! ;-)