Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Cela fait un an que Marylou, jeune et jolie fille de vingt-deux ans, se rend au parloir de la prison, pour s'entretenir avec son copain Sony, qui a pris cinq ans ferme. Le couple est séparé par une cloison de verre, et communique par un hublot. Il est évident que Sony est sevré en ce moment, en manque de sexe.
Aussi, n'hésite-t-il pas à demander à se compagne, de s'habiller sexy, pour l'émoustiller un peu. Il n'est pas rare qu'à la fin de l'entretien, Sony est la main dans son jogging, en train de se masturber.
Marylou aussi est en manque de relations sexuelles. D'ailleurs, elle s'est procuré une paire de godes, bien calibrés, et autres objets qui donnent du plaisir, achetés dans un magasin spécialisé à Nantes, lors d'une visite chez sa grand mère.
Aujourd'hui, Marylou décide de frapper un grand coup. Elle se présente au parloir dans une tenue vestimentaire à faire bander un mort. Mini jupe, chemisier largement ouvert, escarpin de huit centimètres. Même le gardien ne la quitte pas des yeux.
« Alors mon chérie, dit-elle langoureusement, ça va ?... »
Sony parcourt des yeux le corps de la superbe créature qui est devant lui, comme s'il la voyait pour la première fois.
« Heu... bof, comme quelqu'un qui est au trou », bégaie-t-il.
Marylou est venue dans l'intention de faire plaisir à son copain. Elle joue de ses charmes, emploie des termes coquins. Tout pour faire monter Sony en température.
« Ouvre ton chemisier, demande-t-il, s'il te plait. »
Marylou hésite, car les gardiens ne sont pas loin. Et ils interdisent de faire cela. Pourtant, elle déboutonne le vêtement, et libère une poitrine à damner un saint. Sony commence à s'agiter sur sa chaise.
« Ecarte tes jambes, poursuit le détenu, je veux voir, je t'en prie... »
La jeune femme sait que, même virtuellement, elle tient son copain par les couilles, qu'il ne pourra pas résister. Elle ouvre largement ses cuisses, et, surprise. Elle n'a pas de culotte.
« C'est ma petite fente que tu veux voir mon amour, sourit-elle. Regarde ma chatte, elle n'attend que toi pour la caresser. »
Sur sa chaise, Sony s'agite de plus en plus, demande à Marylou de se reculer pour qu'il puisse mieux voir. Il regarde autour de lui, et baisse même son jogging, libérant une bite en pleine érection.
Marylou, provocatrice, excite son copain, le fait monter en ébullition.
« Oh, le pauvre chéri, il va être obligé de se soulager à la main, alors que je pourrai lui tailler une pipe. T'as pas un copain de cellule qui pourrait te faire ça ? A moins que ce soit toi qui t'y colles, c'est bon tu sais, et un peu de sperme n'a jamais empoisonné personne. »
Sony commence à baver, frappe du poing sur la vitre sécurisée qui les sépare.
« Sale pute... Jamais je ne sucerai un mec !!! »
Deux gardiens se précipitent, et le prennent chacun par un bras pour le maitriser.
De l'autre côté de la vitre, un gardien, d'une cinquantaine d'année, a maté toute la scène de loin, excité parce qu’il voyait…
Il s'approche de Marylou en lançant un sourire ironique à Sony, toujours aussi furieux.
Le maton n'y va pas par quatre chemins, il ôte le chemisier et la jupe de Marylou. Celle-ci se laisse faire, autant par peur que par défi. Elle se retrouve entièrement nue, dressée sur ses escarpins. Les mains du gardien caressent l'opulente poitrine de la jeune femme, descendent jusqu'entre les cuisses. Marylou fixe son copain droit dans les yeux, en se passant la langue sur les lèvres.
« Mon bébé, dit-elle, regarde ce qu'il me fait ce vilain... ça faisait si longtemps qu’un vrai mec ne m’a pas touchée... »
En face, les autres gardiens ont du mal à contenir Sony, qui a deviné le complot. Il est furieux en voyant les doigts boudinés pénétrer dans la chatte débordante de mouille de sa copine, pendant qu'un autre doigt lime le clitoris sorti de sa capuche.
« Mais c'est que la petite est en manque, dit le gardien. Un petit coup de queue serait le bienvenu, je me trompe? Devant ton copain, ça te gène pas ?
- Non, non...continuez... Doigtez-moi... Branlez-moi... Oh oui...comme ça !!!
- Je ne pourrai pas m'en sortir tout seul, tu es trop gourmande, poursuit le maton, tu veux que j'appelle des copains ?
- Arrêtez, hurle Sony, laissez la partir, s'il vous plait.
- Oh non mon chéri, souffle Marylou, j'ai trop envie de me le faire mettre... Ok, appelez vos copains... Qu'ils me niquent... qu'ils m'enculent... J'espère qu'ils sont bien montés... »
Sony assiste impuissant, toujours maintenu par ses geôliers, à la prise de sa copine par les matons de la prison. C'est le premier gardien qui à droit aux faveurs de la petite. Assis sur une chaise, il la force à s'empaler sur sa bite décalotté. Marylou entame alors une folle chevauchée sur le pieu ainsi proposé. Le deuxième arrivé est debout à côté d'elle, pantalon aux chevilles, et se fait tailler une pipe, le troisième voit ses couilles rouler dans les doigts de la jeune femme. En lui faisant faire un demi-tour, pour que Sony assiste au siège du corps de sa copine, la bite du gardien s'échappe de la chatte baveuse. Un maton se dévoue pour la remettre en place, caressant au passage les couilles de son collègue.
« Chéri, gémit-elle, quelle bande de cochons...pardonne moi mon amour...c'est trop bon !! »
D'autres gardiens vont se joindre à la partouze. Si les gardiens plus âgés ont de l'expérience, les plus jeunes ne sont pas en reste. Un nouveau venu s'allonge sur le dos à même le sol, et oblige à Marylou à s'embrocher sur son énorme bite, en la plaquant sur son torse. Un deuxième maton s'accroupit derrière elle, lubrifie le petit trou, et le pénètre doucement.
Sony assiste impuissant à la double pénétration de sa compagne. Il entend les couilles des matons frapper contre ses fesses, il devine les jets de sperme gicler dans ses entrailles. Petit à petit, il voit son faciès se déformer sous le joug de ses amants, le maquillage dégouliner sur son visage.
Les gardiens décident de porter l'estocade. L'un d'eux la pousse contre la cloison de verre, l'enserre de ses bras. Une main caresse les seins, deux doigts de l'autre pénètrent profondément la chatte. Marylou écarte ses jambes, glousse de plaisir. Si ce n'était la cloison, Sony pourrai la toucher, caresser ce corps qui lui manque. Hélas, ce sont les autres qui jouent avec.
« Oh oui... gratte moi... bien au fond, » murmure Marylou.
Le maton regarde Sony d'un air ironique, vicieux.
« Regarde ta pute comme elle se régale, sourit le gardien, et attend, c'est pas fini. »
Il montre le majeur et l'index plein de mouille, et fait pivoter la jeune femme d'un demi-tour.
Il écarte les fesses, et enfonce ses doigts dans le petit trou.
« Allez petite, fais voir à ton mec comme tu bouge ton cul. »
En effet, c'est Marylou elle même qui fait des va et vient sur les doigts qui l'enculent.
« Hou...doigte moi le clito aussi, supplie Marylou. Prends-moi de partout ! »
Sony est en rage, se jette contre la paroi de verre, mais est vite maitrisé par les gardes.
« Espèces d'enfoirés, hurle-t-il, vous allez me le payer !!! »
Mais rien n'arrête Marylou qui s'offre un superbe cuni, pendant qu'un autre gardien la sodomise.
Les orgasmes s'enchainent, résonnent dans le parloir.
Les gardiens d'en face ne sont pas vache. Ils finissent de baisser le jogging de Sony, pour libérer sa bite raide comme un gourdin. Ils lui ont même libéré un bras pour qu’il puisse se faire une petite gâterie. Sony, même s'il est en colère, à quand même de fortes pulsions sexuelles. Il se palpe les couilles, puis saisit son pieu tendu, qu'il se met à branler.
Autour de lui, les autres gardiens en font autant. Ce n’est pas tous les jours qu’on assiste à un tel spectacle en direct !
La jeune femme les regarde, et son excitation est décuplée. Elle s’enfonce elle-même encore plus profond le pieu qui la sodomise sauvagement. Elle attrape un petit jeune, se penche et le pompe comme si sa vie en dépendait. Il ne tarde pas à décharger dans la bouche gourmande.
Marylou se retourne juste au moment où son copain éjacule contre la paroi de verre.
« Ah, ah ah... Bande de salauds, je crache ! Ah ah, ah,, je me vide les ouilles !!!
- Oh mon chéri, tu vois que ça t'excite de me voir me faire baiser, vois comme il m'encule celui là. Et regarde... »
Marylou ouvre sa bouche pour montrer à son copain sa langue chargée de sperme.
« J'avais tellement envie, et puis, ils ont été si gentils avec moi, je leur devais bien ça. Tu ne seras même pas puni ! Bon, j'y vais mon chéri, y a un gardien qui m'a proposé d'aller au bâtiment des femmes, prendre une douche avec les prisonnières. Il parait qu'elles sont très vicieuses, mais t'inquiète pas, ça va bien se passer. Je te raconterai…. »
Sonny se laisse tomber, assommé par sa jouissance et ce qu’il vient de voir. C’est alors qu’un gardien lui dit :
« Si tu nous suces, on te laissera la baiser la semaine prochaine… »
Eh oui, il a tout ensemble, le veinard ! et peut-etre bientot la bisexualité !
Mais, qui est ce L'amoureux.
un auteur de talent, que j'ADORE !!!
Eh bien, j'aimerai te voir le faire aussi... ;-)
Presque !!! Ou d'etre la visteuse du prsionnier.. miam miam...
Et moi, etre la visiteuse !! lol
Sans doute un candauliste refoulé... mais parfois, le desir prend le pas sur la raison...
Oui, mais le bagne n'existe plus depuis longtemps !! et en plus, il n'a jamais existé à Cayenne, mais à Saint Laurent du Maroni.. ;-)
mais si jamais tu viens ici un jour...
Il va falloir se mettre au travail !
Là, il va falloir l'inventer... ;-)
cocufiage et candaulisme malgé lui