Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Manuel me déshabilla, me souleva et sans ménagement, il m’empala sur son chibre. L’empalement très facilité par l’humidité importante de ma grotte.

 

Consuela s’assit sur le canapé tenant le caméscope dans la main droite et se branlant de la main gauche. Sur l’écran, je pus voir les couilles de Manuel se balancer au rythme des coups de butoir qu’il me donnait. Je ne touchais plus le sol. A chaque aller, il venait de plus en plus profond. Une grosse boule de chaleur gonflait tant et plus au creux de mes entrailles.

 

Sentant sa reddition, il s’arrêta de me limer et tout en restant embrochée, il me conduisit sur la table de leur salon. Le verre me fit frissonner. A peine couchée, il reprit son incessant va-et-vient. Consuela jouit pour la première fois. Manuel voyant sa fiancée prendre son pied ne se retint plus. Il s’ôta de moi et en se branlant, lâcha son jus protéiné sur mon sexe gluant.

 

Consuela remise à peine de ses émotions se jeta sur mon sexe et lapa le précieux liquide qui lentement glissait le long de mes lèvres. Elle goûta pour la première fois le sexe d’une femme. Elle but jusque la dernière goutte et s’attardant sur mon clitoris tout gonflé, elle me fit jouir.

 

Il s’enleva de moi et s’assit sur le divan. Revenant à moi, je m’agenouillai en face de lui et pris son sexe devenu mou dans ma bouche. Je le goûtais, le suçais, le nettoyais. Très vite, je le sentis durcir et reprendre une forme apte à assouvir nos envies de pilonnage.
 
Consuela me regardait avec envie et ce fut avec un certain plaisir que je lui présentai le sexe de son homme. Le concert en duo commença. Chacune à notre tour, nous le prîmes en bouche. Nos salives se mêlèrent au bonheur de monsieur. Sentant que le point de non retour arrivait, nous cessâmes de concert nos branlantes caresses linguales. Il parut dépité.

 
Délicatement, je me tournai vers ma douce voisine et l’embrassai lentement. Ses lèvres brûlantes par le désir me chauffaient encore plus fort. Nos langues attisées par le plaisir s’enflammèrent encore plus.
 
En la prenant par les épaules, je lui fis comprendre qu’elle devait s’asseoir à son tour sur le divan. Je me mis en face d’elle, écartai ses jambes et en remontant lentement les cuisses du bout de ma langue, j’arrivai à son sexe presque entièrement lisse.
 
Ses lèvres gorgées par le feu incandescent ne réclamaient que lèches et caresses. Je dardai ma langue et les écartai. Le suc de sa jouissance les avait collées l’une à l’autre.  
Le rose délicat de l’entrée de sa grotte était un appel d’air et j’y engouffrai un doigt afin d’éviter qu’un courant d’air vienne apaiser le brasier.
 
Consuela se prit les seins à pleine main et tantôt tirant, tantôt pinçant s’excitait encore plus. Manuel vint derrière moi et pas encore assouvi de mon sexe, il s’y engouffra lentement en me faisant connaître chaque centimètre de son sexe. Je fouillai de plus en plus profond le sexe de mon amante tout en évitant de toucher le petit bouton déjà dardé de futures jouissances.
 
Un deuxième doigt obtura la cavité qui s’agrandissait à vue d’œil. J’y allais et sortais de plus en plus vite et de plus en plus fort.
 
Manuel imprima ses va-et-vient aux miens de sorte que chaque fois qu’il entrait en moi, je faisais de même avec Consuela. Je n’étais que leur ustensile à plaisir. Je servais à la fois de poupée gonflable et de gode. Consuela se mit à gémir de plus en plus fort. Elle réclamait que je la suce.
 
J’obtempérai et plaquai ma bouche sur le petit bouton. Je le pinçai avec mes lèvres, je le suçai avec la langue. Les doigts allèrent de plus en plus vite.
 
La jouissance approchait encore plus. Manuel regardant sa femme prendre son pied sous la langue d’une autre femme le rendait fou voire bestial. Je sentais ses couilles frapper à chaque fois mon derrière. La boule de chaleur allait bientôt exploser en moi. Ce fut Consuela qui partit la première. Je la suivis rapidement. L’orgasme fut tellement dévastateur que Manuel fut expulsé.
 
Dans un bref instant de lucidité, je me retournai vers lui, engouffrai sa pine dans ma bouche et le branla fermement. Il ne tarda pas à jouir dans ma gorge mais je n’avalai rien. Le largage de son suc fini, je dirigeai ma bouche vers celle de Consuela et je partageai avec elle la liqueur intime de son homme.
 
C’en était presque obscène mais tellement bon. En une journée, deux hommes avaient joui dans ma bouche. La liqueur avalée totalement, je m’effondrai à ses côtés.
 
Le silence de la pièce n’était qu’interrompu par nos respiration haletantes.
 « Merci, me fit Consuela. J’ai adoré.
- De rien !
- Ce sera quand tu voudras chez nous en Espagne. La maison te sera toujours ouverte.
- Merci mais cela n’arrivera pas tout de suite.
- On patientera, répondit-elle.
- Surtout pas, fis-je, trouvez une belle Catalane qui pourra satisfaire vos et ses plaisirs. Je suis sûre que Barcelone doit receler de tels trésors !
- On verra.
- Chérie ?
- Oui, dit-elle.
- Lorsque tu veux filmer, mets un cd.
- Merde ! C’est con.
- Tant pis ! Je vais vous laisser. Demain, le travail m’attend. »
 
Je me rhabillai et les embrassai avant de partir. Manuel me donna leur nouvelle adresse. Arrivée dans ma chambre, je m’écroulai littéralement dans mon lit.
« Ce week-end, repos ! Sinon mon petit abricot va épuiser ses réserves de cyprine à la vitesse grand V. », dis-je en me glissant dans les draps.
 
Morphée m’accueillit rapidement dans ses bras.

 

Je me réveillai en pleine forme. Je fis le déjeuner. Steve se leva. Nous étions seulement deux dans la maison.
 « Bonjour Gwendoline !
- Dis simplement Gwen !
- Ok.
- Bonjour ! Bien dormi ?
- Comme un loir ! Dis, hier soir, c’était toi qui m’a…
- Je t’ai dit hier que tu ne le sauras jamais. Tu en as bien profité ?
- Oui ! C’était si… si…
- Jouissif ?
- Oui !
- Prêt pour ce soir ?
- Je crois ! Thomas m’a envoyé un sms pour me dire qu’il était impatient de me voir.
- Tant mieux. Bon, maintenant il est temps d’aller aux cours.
- A plus… »
 
Il partit. Je fis le ménage habituel et voulant en savoir beaucoup plus sur la relation entre ce porc de Jacques et sa salope de Thérèse, je fouillai la chambre de celui-ci. Je trouvai un bout de carton glissé dans la veste de son costume qu’il avait mis hier. Sur ce papier était inscrit une heure : quinze heures, et le nom d’un hôtel très chic de Bruxelles.
 
Je décidai que j’y serai aussi.
 
J’allai dans ma chambre et regardai le solde de mon nouveau compte en banque. La somme de deux mille euros avait été bien versée. La communication était dans le style de Jacques, trivial !
 
« Une fois mais pas deux ! Vous n’êtes qu’une raclure de notre société. La prochaine fois, les flics seront avertis ! »
 
Et j’allais le croire ! Comme si il allait étaler sa vie très privée ! Quel con ! Et le viol qu’il voulait me faire subir hier allait aussi se payer très cher !
 
Je créai une adresse e-mail sur Hotmail : « Jacques.lalavette ». Je réfléchis quelques instants et écrivis :
 « Merci pour le versement. J’apprécie la promptitude mais la prochaine fois, cela ne sert à rien de m’insulter. Pour ta peine, je t’invite à regarder l’adresse e-mail en-dessous. C’est celle de ton chef de clinique. Facile avec internet de trouver une adresse ! Bref, si dans d’une heure, je n’ai pas quelques euros de plus sur mon compte, disons trois mille euros, j’enverrai un petit film distrayant à toi et ton chef.
« Quel film ? Je serai bon, je te donne un indice. Que faisais-tu dans ta chambre nu le jour des fiançailles de ta fille ? J'y étais et tu étais pitoyable.
« Donc si à 11h45 précise, je ne suis pas plus riche, tu auras quelques problèmes.
« Ah oui ! N’envoie rien à cette adresse e-mail, elle sera supprimée tout de suite. »
 
J’appuyai sur le bouton envoi, attendit l’accusé de réception de la lecture et supprima l’adresse inventée. Je vaquai à mes occupations calmement.
 
A 11h45, j’ouvris mon compte et remarquai l’absence du montant. Je recréai une nouvelle adresse et écrivis ce message :
 « Pas bien ! Pas bien ! Tant pis pour toi ! »
 
Je l’envoyai et aussitôt rédigea un autre toujours adressé à Jacques et à son directeur.
« A mourir de rire ! »
 
Je joignis un petit film que j’intitulai : « Jacques à la fête ». Je le verrouillai par un mot de passe et l’envoyai.
 
Un troisième message partit presque aussi vite :
 « Tu as de la chance ! J’y ai mis un mot de passe. Je te laisse un ultime délai de quinze minutes et si toujours pas de QUATRE mille euros (désolé mais l’inflation !). Le mot de passe partira ! »
 
La réponse fut prompte.

« Attends ! Tu les auras ! Qui es-tu ? Pourquoi tu m’en veux comme cela ? Tu es un vrai salaud ! Je te préviens que c’est la dernière fois que je paie ! »
 
Je n’allais surtout pas répondre. J’attendis le quart d’heure et regardai le compte qui était devenu déjà plus conséquent. Je jubilai, je le tenais par les couilles. Mais je devais rester prudente et surtout ne pas trop en demander sinon l’argent s’arrêterait.

 

A suivre !!!!

Mar 13 sep 2011 7 commentaires
Belel histoire, qui allie le sexe et un certain machiavélisme ! J'aime beaucoup ! vite, la suite !
Jasmine - le 17/09/2011 à 14h56

Elle est arrivée hier ! L'as-tu lue ?

Sophie de R.
les aventures sexuelles de Gwen sont toujours aussi excitantes.
brunobi - le 17/09/2011 à 18h09

Mais elles touchent à leur fin....

Sophie de R.
J'aime toujours autant cette histoire, vivement la suite
jeff - le 19/09/2011 à 13h30

Elle vient d'arriver.. t'a-t-elle plu ?

Sophie de R.
Très excitant ce trio...
Vivement la suite...
Le chantage c'est pas bien...
Mika - le 20/09/2011 à 12h46

Non, mais parfois, certaines personnes le méritent bien !!! lol

Sophie de R.
C est pas faux ;-)
Mika - le 22/09/2011 à 17h03

Enfin, on n'est pas là pour faire la morale, mais prendre un peu de plaisir !

Sophie de R.
Oui j ai lu la suite et je confirme. Cette histoire me plait depuis le debut. Je suis un inconditionnel mais c excitant d attendre les suites avec impatience. Bises coquines
Jeff - le 22/09/2011 à 18h09

Alors, je vais en publier une bientot...  ;-) Une petite idée sur la suite ?

Sophie de R.
Je me laisse guider ma chère sophie. Des idées tu peux toujours en avoir mais de là a les mettre sur papier c'est autre chose. Je laisse cela aux pro et habitués.
jeff - le 30/09/2011 à 16h50

Il faut oser se lancer ! la première fois, je ne pensais pas que j'y arriverai...  ;-) et pourtant !...

Sophie de R.