Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Je lui envoyai le mot de passe (Jacques est la lope d’une femme). En
fait, le film qu’il verrait était tout simplement un morceau de la messe de la Saint-Jacques en Espagne. Je n’avais donc pas menti.
« Espèce de salopard ! » furent les quelques mots de réponse.
Il me prenait pour un homme. Et tant mieux. Je supprimai ma nouvelle adresse e-mail. Je m’apprêtai
et partis à mon aise vers l’hôtel du rendez-vous.
A quinze heures, Thérèse entra dans le grand salon de thé. J’avais vu juste. Jacques, l’air
livide, entra à sa suite. Ils allèrent se mettre dans un coin de la salle derrière un écran de plantes.
Lentement, je m’y installai avec mon thé. De dos, ils ne pouvaient pas me voir et surtout me
reconnaître.
« T’as l’air mal ?
- Quelqu’un me fait chanter ?
- Quoi ?
- Quelqu’un me fait chanter ! Il m’a donné deux CDs dans lesquels on nous voit en train de… enfin
tu comprends.
- On me voit aussi ?
- Ben oui ! Et parfaitement !
- Merde ! Si mon mari savait cela, ce serait…
- Le fin de la grande vie !
- Et comment il a pu filmer ?
- Par les caméras de surveillance de la maison.
- Ce ne serait pas Caroline ?
- Non ! La connaissant, elle m’aurait déjà rentré dans le lard !
- Pas faux ! La bonne ? »
Je faillis tressaillir et une sueur froide coula le long de mon échine.
« Cette bonniche, répondit Jacques, elle n’est même pas capable de faire fonctionner le
micro-onde, alors sauvegarder des films qui normalement ne restent en mémoire qu’une heure…
- T’en es sûr ?
- Oh oui ! Il y a un mois, elle a réussi à déprogrammer le digicode de la maison alors que c’est
enfantin comme pas deux de presser quatre boutons et de faire enter !
- Sûrement pas les deux mouflets ! Ils sont trop cons !
- Surveille tes paroles, ce sont mes enfants !
- Fais attention où je te rappelle qui commande ici ! Ok ?
- Oui, maîtresse.
- Brave chienne. Et ce ne serait pas l’entreprise qui la installé ?
- Non, il n’y a aucune connexion avec l’extérieur.
- Putain !
- Je te l’avais dit qu’il ne fallait pas faire cela chez moi. Aujourd’hui, le message parlait des
fiançailles lorsque j’étais à poil sur le lit complètement ligoté.
- Donc, on connait cette personne !
- Pas forcément, avec les serveurs et autres gens, il y avait beaucoup
d’étrangers.
- Merde ! Merde ! Et combien tu as payé ?
- Six mille euros.
- Joli salaire !
- Aujourd’hui, elle a envoyé un petit film à moi et à mon chef. C’était une messe ! J’ai payé
quatre mille euros pour voir une minute d’une messe. Putain, c’est cher la collecte ! Le pire c’est lorsque mon chef est venu m’engueuler car je pourrissais sa boîte e-mail. Si je tiens ce
salopard, je l’étripe !
- Calme-toi. La police, on ne peut pas l’appeler. Il faut trouver quelqu’un qui sache faire
discrètement une enquête. Je connais un privé. Je prendrai contact avec lui. Il saura quoi faire.
- Ok !
- Maintenant, j’espère que tu as ce que je t’ai demandé de m’apporter.
- Oui ! Tiens !
- Quel beau plug ! Je l’essaierai ce soir mais avant je veux que tu ailles aux toilettes et que tu
te l’enfiles et que tu reviennes ici !
- Bien maitresse. »
Jacques se leva et alla aux toilettes.
« Allo ?
- …
- J’ai besoin de tes services.
- …
- Il faut que tu trouves le propriétaire d’un compte bancaire. C’est possible ?
- …
- Parfait ! Je t’envoie le numéro lorsque je l’aurai.
- …
- A bientôt. »
Si elle savait que le vrai propriétaire n’est autre que… Jacques. C’est bête qu’il laisse sa carte
de banque avec son code secret dans sa table de nuit ! Le pauvre ! Mais il fallait que je vire l’argent sur un autre compte. Ou mieux, normalement lundi, j’aurai la carte de banque par la poste,
je le prendrai à un distributeur de billets.
Jacques revint.
« Alors ma petite salope, qu’est-ce qu’on dit à sa maîtresse ?
- J’adore avoir un plug dans le cul. S’il te plaît maitresse, pourrais-tu le faire vibrer
?
- Pour que tu jouisses, pas question ! Viens, on va chez moi !
- Chez toi ?
- Pauvre con, bien sûr que non mais dans ton lit qui m’appartiendra bientôt. Tu te souviens du
délai pour que ta salope de femme déguerpisse ?
- Putain, tu fais chier. Et les caméras ?
- T’es vraiment con, tu débrancheras le système.
- Il faudra attendre que Steve soit parti chez son
copain. »
S’il savait que son copain allait devenir très bientôt sa deuxième copine.
« Dis-donc, on va aller dans notre club privé jusque ce soir. Au fait, ta bonne sera là
?
- Je crois.
- Ce soir, je veux qu’elle me lèche la cramouille.
- Laisse-la tranquille.
- Je ne suis pas comme toi qui rate ce qu’on lui demande. Tu n’as pas écouté mes conseils. Si
j’avais été là, je suis sûre qu’elle ne pourrait plus s’asseoir pendant quelques jours. Je te l’aurais défoncée avec mon plus gros gode. Elle aurait pleuré et m’aurait supplié. J’adore voir les
yeux qui me supplient d’arrêter. »
Une vraie folle ! Elle aussi paverait pour cela et je connaissais la personne adéquate qui
pourrait le faire. La gentille secrétaire particulière de Caroline, Catherine !
Mais avant tout, il fallait que je place une de mes caméras à moi
!
Je rentrai à la villa, montai dans ma chambre, pris la plus petite webcam que j’avais (c’est
facile, j’en ai que deux !) et allai la placer dans un endroit qu’ils ne pourraient pas voir !
J’allai dans la chambre et examinai l’endroit où ils ne pourraient rien voir et je trouvai. Le
lustre ! La première fois, on le regarde mais après ? Si juste lorsqu’une lampe pète !
Je la plaçai en face du lit. Heureusement qu’elle a la wifi sinon j’étais cuite !
Je regagnai ma chambre et connectai la caméra. L’image n’était pas trop nette mais on
reconnaîtrait les visages et puis, je savais faire des zooms. Le son, lui, était parfait ! J’avais rudement bien fait de l’acheter celle-là même si elle m’avait coûté cher !
J’allai dans le bureau de Caroline et trouvai le numéro de Catherine.
- Allo ?
- Allo ! C’est Gwendoline.
- Oui ? Que veux-tu ?
- Je voudrais que l’on se voie ce soir.
- Pour ?
- C’est au sujet de Caroline ! Je crois qu’elle est en danger et je voudrais que tu m’aides à
éliminer le danger.
- Quel danger ?
- Pas au téléphone.
- Ok ! Où ?
- Pas ici !
- Pourquoi ?
- Le danger s’y trouve !
- Alors rendez-vous dans mon port d’attache. »
Elle me donna l’adresse.
« L’endroit n’est fréquenté que par des bonnes femmes.
Caroline m’a dit que tu n’étais pas contre une bonne chatte !
- Euh ! Oui ! Ca arrive !
- A quelle heure ?
- Vingt heures ?
- Parfait ! Ne t’habille pas trop sexy ! Je n’ai pas envie qu’une de mes copines te viole sur
place. T’as un beau cul !
- Ok, fis-je un peu interloquée. »
Steve revint des cours et tout excité par sa future nuit avec son copain ne resta pas longtemps.
Je pus partir avant que les deux fêlés n’arrivent.
Je trouvai le café. Un drapeau bariolé, étendard des gays et lesbiennes, trônait au-dessus de la
porte. J’y entrai et je sentis qu’une vingtaine d’yeux ne regardaient qu’une chose : mon cul !
« Gwen, je suis ici. »
Elle était à l’écart, une bière devant elle. Le t-shirt lui moulait les seins à la perfection.
J’approchai d’elle et lui fis la bise.
« Qu’est-ce que tu prends ?
- Comme toi, une chope mais à la bouteille.
- Jeanne, remets deux chopes. Bouteilles ! »
Elle me dévisagea et dit :
« Putain ! Même en jean et t-shirt tu me fais mouiller comme une fontaine. T’es si bien
foutue. J’en vois ici qui doivent dire la même chose.
- Toi aussi t’es pas mal ! dis-je spontanément.
- Tu trouves ?
- Oui !
- Merci ! Cela fait plaisir. Quel est ton problème ma belle.
- Caroline est en danger. Son salopard de mari veut l’éjecter de la maison.
- Tant mieux car cela fait longtemps que je lui dis de quitter cette lavette.
- Moi aussi, je le crois mais ce n’est pas le plus grave. »
Je lui racontai Thérèse, la tournante qu’elle avait prévu, les nuits de débauches dans le lit de
Caroline, la perspective qu’elle supplante Caroline dans sa maison et le commandement de me violer.
« Putain ! Quelle salope !
- Tu l’as dit. J’ai pensé à toi pour m’aider.
- Que veux-tu que je fasse ?
- Caroline m’a raconté pour l’autre con, le soir des fiançailles.
- Ah oui ! Putain ! Que c’était bon ! Depuis, il est devenu une vraie salope ! Mais je l’ai vendu
à une ancienne copine. Il lui mange dans la main et elle s’en sert comme sex-toy permanent pour elle et pour son mari. Tu devrais le voir maintenant. Son cul doit pouvoir engober sans problème un
ballon de rugby.
- Je veux que tu fasses de cette salope une vraie serpillère. Qu’elle soit l’esclave de qui tu
veux. Je veux la voir ramper et crier pitié.
- Ouf ! T’es rancunière toi. Je ne voudrais pas t’avoir comme adversaire.
- T’es d’accord avec moi ?
- Je suis avec toi. Je le ferai pour Caroline et pour toi ! Tu l’aimes ?
- Qui ?
- Caroline !
- Comme amie.
- Je vais faire semblant de te croire mais sans vouloir te faire du mal, aime-la comme amie pas
comme autrement. U te sentiras mieux.
- Merci du conseil. Que fait-on ?
- D’abord, je dois prendre quelques renseignements. Je connais pas mal de monde dans ce milieu et
je suis sûre qu’une de mes anciennes… euh… apprenties doit la connaître.
- Parfait ! »
J’omis bien entendu de lui parler de mon petit chantage et des petits films que je
faisais. « Pour la peine, fis-je, je t’invite à souper !
- Non merci ! J’ai faim oui mais pas de nourritures terrestres ! J’ai envie de te goûter
!
- Me goûter ?
- Manger ta chatte ! te brouter ! Tu dois être bonne au pieu !
- Euh…
- Je ne suis pas à ton goût ? dit-elle en s’énervant.
- Non ! Mais dis comme cela, c’est la première fois !
- Il faut un début à tout ! Mais je comprends que cela te choque un peu. Qu’est-ce que tu décides
? »
Son langage m’excitait. Jamais on ne m’avait traitée comme cela. J’avais envie de devenir sa chose
et puis retourner à la villa en sachant que ces deux porcs couinaient dans la pièce du bas me donnait des nausées.
« Ok ! Je te suis !
- Tu ne le regretteras pas. Ce soir il n’y aura que toi qui jouiras. Moi, je me contenterai de te
combler.
Elle se leva, me prit la main et on partit sous le regard désapprobateur ou déçu d’autres femmes.
Son appartement n’était pas loin. A l’entrée, on vit une femme d’une cinquantaine d’années, le chignon strict, habillée en Dior.
« Zut ! Je l’avais oubliée. Désolé ma douce mais ce soir, je devrai te laisser. J’ai un
empêchement. »
Nous arrivâmes près de cette femme qui dodelinait sans cesse.
« Bonjour Madame la juge », murmura Catherine, le regard pétillant.
La femme apeurée regardait partout dans la rue.
« Ne te tourmente pas ainsi ! La rue est déserte ! Personne, à part mon amie, ne sait qu’une
juge vient chez moi pour… Au fait, pourquoi viens-tu chez moi à cette heure ?
- Ben… Pour…
- Sois plus clair, fit Catherine le ton plus sec !
- Je suis venue pour notre séance hebdomadaire.
- Et en quoi consiste-t-elle ? Donne les détails afin que mon amie connaisse les raisons pour
lesquelles je devrai prendre congé d’elle et surtout qu’elles me privent d’un bon moment.
- Je suis venue ici pour… dit la femme en écrasant le dernier mot afin que je ne l’entende
pas.
- Pour quoi ? Crie-le !
- Pour baiser ! répondit la femme.
- Bien ! Bien ! Tu vois, me fit Catherine, Madame le Juge aime le sexe mais pas n’importe lequel.
Dis-nous ce que tu as envie de faire ? »
La femme semblait de plus en plus honteuse de parler mais paradoxalement le ton rauque de sa voix
montrait qu’elle y prenait un plaisir de plus en plus grand.
« J’ai envie de faire pipi !
- Madame le juge a laissé sa culotte ?
- Oui !
- Alors, va faire pipi au milieu dans le caniveau comme les chiennes.
- Bien madame ! »
Elle nous quitta, alla entre deux voitures et releva sa jupe.
« Mais laisses-en assez pour tout à l’heure ! »
Elle s’agenouilla.
« Debout ! »
Elle écarta alors les jambes et se mit à uriner. Cela coulait le long de ses
jambes.
« Stop ! « cira Catherine.
Dans un effort terrible, elle réussit à bloquer les vannes et arrêta d’uriner.
« Viens ! Je t’offre un verre.
- Mais tu ne veux pas être seule avec…
- Non ! Pas tout de suite. Il faut qu’elle aille faire une petite course pour moi. N’est-ce pas
madame le juge ?
- Où, répondit-elle.
- Chez Ernest.
- Non ! Pas lui !
- Bon d’accord ! Tu peux alors retourner chez toi. Tu sais ce que cela veut dire.
- Oui, madame. Combien dois-je avoir ?
- Septante ! Non, je suis un peu raide ces moments-ci, ce sera cent.
- Tout cela ?
- Tu veux que j’augmente ?
- Non.
- Et reviens vite ! Dans une demi-heure, pas plus !
- C’est court !
- Débrouilles-toi ! »
La femme partit rapidement. Catherine me fit entrer chez elle. L’appartement était spacieux, bien
aménagé.
« Installe-toi là, j’arrive. Je vais me changer. Prends-toi un verre dans le
bar.
- Ok ! »
Je me servis une vodka et attendis Catherine. Elle revint deux minutes plus tard dans une
combinaison noire en latex. Ses formes étaient en valeur et je dois dire que si il n’y avait pas madame le juge qui allait arriver, je me serais bien laissée aller sous sa langue.
« Comment me trouves-tu ?
- Belle !
- C’est plus pour la forme que pour le reste.
- Où doit-elle aller ?
- Dans un sex-shop assez glauque. En fait, il n’y a pas de protection entre les femmes qui se
déshabillent et le client. Comme il n’y a que très peu de femmes qui aiment se faire juter dessus, le patron accepte des femmes en manque d’argent ou de sexe comme c’est le cas ici. Par trainée
laissée sur le corps, il donne dix euros.
- Elle devra accepter dix hommes ?
- Plus, quinze car le patron demande cinquante euros pour pouvoir aller sur le divan et s’exhiber.
Il n’y a que les professionnelles qui sont payées sans devoir donner un droit d’entrée.
- Et elle accepte ?
- Oui mais plus par plaisir d’être avilie que par crainte. Chaque personne qui vient chez moi ne
demande qu’une chose : que je sois capable de leur faire connaître leur façon la plus grande de jouir. Ici, elle, qui a un certain pouvoir, aime devenir une sorte d’esclave. Elle adore être
honteuse. Je ne suis pas ces maîtresses ou domina. Tout se fait chez moi par l’esprit. Je suis devenue leur maîtresse de leurs jeux érotiques les plus hard sans jamais avoir eu à les frapper ou
fouetter. Cela je laisse à d’autres de le faire.
- C’est elles qui viennent te voir ou c’est toi qui va les chercher ?
- Les deux ! La juge c’est son mari qui est aussi un de mes clients qui m’en a
parlé.
- Et quel est son jeu préféré ?
- L’urine ! En fait, tout est arrivé simplement. Lors de longs procès, elle ne peut pas
interrompre les débats parce qu’elle a envie de faire pipi. Et comme elle ne sait pas se retenir, elle a pris l’habitude de mettre des langes. Ainsi plus de problèmes ! Seulement, elle s’est
rendue compte qu’elle adorait cette sensation d’être « sale » si bien qu’au lieu de changer de langes souvent, comme au début, elle les a portés un jour puis deux, puis trois. Bref, elle adore
végéter dans son urine. Un jour, elle n’eut plus de langes au tribunal et laissa sa culotte. Au bout d’un long moment, elle ne put se retenir et urina sur elle en plein tribunal. Personne ne s’en
rendit compte. Le fait de le faire, m’a-t-elle dit, lui procura un orgasme qui la fit s’écrouler. Bref, en la relevant, ils crurent qu’elle avait uriné sous l’effet du malaise. Depuis ce jour,
sous le lange, elle garde ses sous-vêtements.
- Ben dis donc !
- L’envie d’aller plus loin lui prit. Elle commença par uriner dans les lieux bondés, métro, train
et aimait se promener la culotte sale. Puis, elle le fit dans les soirées mondaines dans un coin, derrière une plante. Mais cela ne la satisfit qu’un moment. Elle s’ouvrit de son problème à son
mari qui, déjà client et cela elle ne le sait pas, m’en parla lors d’une de nos séances. Un jour, j’allai la trouver pour un dossier de Caroline et connaissant son problème, je lui glissai à
l’oreille que je savais son envie de faire pipi en public. Elle résista au début mais à chaque fois que j’allais la voir au tribunal, elle ne pouvait se retenir. Un jour, elle m’invita dans son
bureau et me demanda ce que je pouvais faire pour elle. Depuis, à chaque fois qu’elle vient, elle est ma chose. J’essaie de l’avilir sans cesse. Et elle y prend du plaisir ! Mais ce n’est pas
ici, chez moi qu’elle prend son pied, c’est au retour pour chez elle, lorsqu’elle croise des gens et qui reniflent les odeurs âpres de l’urine. Elle m’a raconté un jour qu’elle avait joui rien
par ce qu’un homme l’a traité de raclure.
- Et tu en d’autres ?
- Oh oui ! »
Elle allait parler lorsque la sonnette retentit.
« Oui ?
- C’est moi.
- QUI, moi ?
- Madame le juge.
- Bien, tu les as ?
- Oui, fit-elle fièrement.
- Très bien, maintenant, déshabille-toi et ne garde que ta culotte qui, je crois, doit être fort
humide.
- Mais je suis dans la rue.
- Et alors ? Dépêche-toi ou tu peux retourner chez toi !
- Bien madame.
- Viens, me dit Catherine, on va vérifier. »
La femme se déshabillait lentement en regardant dans tous les sens. Deux hommes la virent et
vinrent près d’elle.
« Putain, regarde la meuf ! Tu crois qu’elle voudrait me sucer ?
- Quelle salope ! »
Catherine courut et atteignit la porte d’entrée rapidement. D’un geste brusque, elle fit entrer la
femme. Les deux hommes voulurent entrer, mais Catherine, rompue aux arts martiaux, les envoya s’étaler sur le sol du trottoir. Ils partirent en la traitant de tous les noms !
Catherine revint avec la femme complètement nue, gardant juste sa culotte. Je compris que je
devais prendre congé et je les laissai jouer à des jeux interdits par la société.
A suivre...
Pour etre glauque, c'est glauque !!! le sece peut amener à toutes les dérives...
Je suis ocmme toi, plus cérbrale que coups et fouets !
Et l'urine . . . c'est tellement enivrant. Je connais !
Tu pratiques souvent ?
En fait c'est ma sublime Maîtresse qui décide, mais oui ça arrive souvent.
Je consomme son champagne intime avec délectation.
Et parfois elle préfère mouiller mes vêtements et les laisser sécher sur moi.
Le principal est que tu apprécies !
C'est le principal !