Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Ils montent en voiture, Janet, vaguement gênée, n’ose pas parler… En silence, ils roulent un long moment.

Ludovic décide de prendre la route de la corniche, itinéraire bis qu’utilisent les poids lourds pour désengorger la vallée. Il fait un temps splendide. Dès les premiers lacets, on aperçoit une file impressionnante de camions qui regagne l'Italie.

 

Ayant envie de parler à nouveau, elle lance une banalité à son cousin :

« Tu te rends compte, dit Janet, ces pauvres mecs, seuls toute la semaine, sous cette chaleur…

- Ne les plaint pas trop, répond Ludo, ils leur arrivent de prendre du bon temps. Tu sais, une  fois, sur un blog, j'ai lu un récit sur les routiers. C'est un chauffeur qui s'arrête dans un relais,  pour présenter son épouse à des copains. Tu sais quoi, pendant que les chauffeurs trinquaient avec lui, sa femme se faisait mettre par deux autres routiers dans la cabine du camion....

-Ah bon, et il n’a rien dit ?

- il n’ pas pu, il en faisait autant après avec la patronne… Au fait, pourquoi tu n’essaierais pas de leur donner un peu de bonheur toi aussi ?

- Ah bon ? Et tu veux que je fasse quoi, dit Janet en riant, que je monte dans une cabine... Hi..hi..hi… ?

- Non, mais imagine la scène, poursuit Ludo, tu dégrafes ton sous-tif, tu écartes ton string, et tu te caresses. Moi, je ralentis à la hauteur du bahut pour que le chauffeur puisse se rincer l'œil.  Je suis sur qu'il adorerait !

- Quoi ? Mais tu n'y penses pas ! sursaute Janet. Tu es vicieux jusqu'au bout des ongles toi...

- Mais si… Vas-y, je peux te doigter si tu veux...Allez, amuse toi un peu... Oh la la... Mais, dégourdis-toi... décoince-toi...Regarde, tout à l’heure, chez toi.. je t’ai prise à la sauvage, et tu as adoré…

- Euh oui… j’ai un peu honte mais tu…

- Attrape une serviette derrière, mets-là sur le siège, » lui intime-t-il.

 

 

Plus on avance dans le trajet, plus Janet trouve l'idée de Ludovic excitante, et décide de se lâcher. Elle ouvre sa chemise, libère sa superbe poitrine, puis un doigt glisse entre ses cuisses, sur la fente parfaitement épilée. Très vite, la chatte s'humidifie.

« Qu'est-ce-que tu me fais faire ? glousse Janet. Et moi, comme une conne, je t'écoute et je t’obéis. »

 

Soudain, le chauffeur médusé, aperçoit la scène, il voit Janet se tordre comme un ver, enfoncée dans le siège du cabriolet. Ses mains pétrissent les seins prêt à s'éjecter sur le pare brise.

Ce sont maintenant les doigts de Ludovic qui, inlassablement, harcèlent le clitoris de sa belle cousine, s'enfoncent profondément dans la chatte baveuse à souhait.

« Vas-y, hurle-t-elle, doigte moi..fort...comme tu sais faire... Yu avais promis.. Ou... hou, hou... oui... Tu me paralyses salaud...Tu sais que j'aime ça, hein... Je me faire maquer... »

 

Les rochers renvoient l'écho des klaxons jusque dans la vallée. La CB doit fonctionner, puisque à chaque dépassement, Ludo ralentit pour que les autres chauffeurs puissent en profiter, et pour peu qu'on y regarde de plus près, on peut voir le clitoris entièrement décalotté, et la chatte pleine de mouille. Le dernier routier assiste à l'orgasme en direct, les cris de plaisir montent jusque dans la cabine. Janet, cambrée sur le siège, envoi des coups de reins, empalée sur les doigts de Ludovic.

Puis, petit à petit, le corps épuisé, s'apaise, retrouve une respiration normale.

« Je ne sais pas si je n’ai pas fais une connerie de venir avec toi... il faut que je me rince... J'ai la chatte sale, toute mouillée...

- Il y a un petit bosquet plus haut, on s'y arrête pour que tu puisses te nettoyer... Je peux le faire  si tu veux..

- Non non non...tu es trop polisson... »

 

Le jeune couple éclate de rire.

La voiture s’arrête dans un petit coin calme. Adossé à sa voiture, Ludo regarde sa cousine se laver, écarter de ses doigts sa chatte trempée pour l’arroser d’une eau rafraichissante. Elle a vraiment son abricot en feu ! Il en bande à nouveau, rongé par l’envie de le croquer, ce fruit juteux !

 

Pendant que Janet fait ce semblant de toilette, Ludo reçoit un appel sur son portable, pour l'avertir que le festival est annulé, suite à l'annonce de violents orages sur la région. Effectivement, le ciel se charge de gros nuages noirs, et commence  à s'assombrir. La nuit va tomber de bonne heure.

« Ben, dit Janet, on pourra se promener dans le bois, en amoureux. »

 

Même si ce n'est pas sa tasse de thé, Ludo trouve l'idée pas si con que ça, et suis sa cousine.

« Ouais... Mais faut faire gaffe, sourit Ludo, il y a des loups qui rodent par ici. »

 

Janet se retourne, se plaque contre son cousin, à lui frôler les lèvres

« Ah oui, dit Janet, et que font-ils aux petites filles. Ils leur mangent la chatte ? Leur donnent un coup  de queue, Dis-moi, ça peut être intéressant... »

 

Janet plonge dans le bermuda de son cousin.

« Whoua !!! Surtout si le loup est bien bité, bien couillu... »

 

Sous la caresse subite, il gonfle d’ »un coup, encore plus excité. Janet le branle doucement dans son fourreau de tissu. Il n’en faut pas plus pour qu’un beau gland rouge et humide ne jaillisse près du nombril. Janet se penche et le lape comme une Chupa chups.                

-Veux-tu qu'on installe la tente pour la nuit ? propose Ludovic, au bord de l’explosion

- C'est toi qui décide mon amo... Heu.. Ludo pardon. »

 

Elle rougit sur ce lapsus si révélateur. Son cousin reprend ses esprits, et ils attrapent prestement le matériel de camping.

 

La petite tente est montée en cinq minutes. Ludo installe le duvet et invite Janet à le rejoindre.

« Mais tu es tout nu, fait Janet, semblant s’offusquer.

- Ben oui, et toi, tu vas dormir habillée? Tu as déjà foutu une culotte en l'air, tu en as d'autres ?

- Il m'en reste deux, répond-elle, mais c'est vrai qu'à cette allure... »

 

Janet se glisse dans le duvet, entièrement nue, et s'enroule littéralement autour de son cousin. Sous le duvet, la nature reprend ses droits, leurs mains, avides de découvertes, partent en reconnaissance, et les premiers râles se font entendre, étouffés par leur sulfureux baiser.

Ludovic rampe sous le duvet. Sa bouche trouve la chatte mouillée de sa cousine, et la langue n'a aucun mal à trouver le clitoris, tendu hors de sa capuche.

 

Janet sent la bite décalottée de Ludovic passer devant son visage. Elle l'a happe du bout des lèvres et l'avale jusqu'aux couilles. Le 69 est lancé, féroce. Ils se dévorent l’un l’autre, sans aucune retenue ni aucune gène. Janet s’aventure même à lécher la rosette brune qu’elle n’a jamais osé toucher chez son mari…  La langue de Ludo est douce et forte, s’insinue partout. Il écarte bien grand ses lèvres intimes, avec ses doigts, pour plonger au plus profond de la grotte de son amante. Elle se tord, mais arrive à pomper à fond la grosse queue qui lui remplit la gorge.

Quand elle sent monter la sève, elle explose aussi. Les deux amants jouissent ensemble, en hurlant à mort. Leurs cris résonnent dans la montagne…

.

anet empêche Ludo de se retirer quand celui-ci se vide copieusement dans sa bouche.

Janet n'est pas rassasiée, elle a une faim… de louve. Elle se positionne pour se faire prendre.

« Vas-y... murmure Janet... Fais-moi aimer la queue maintenant... »

 

Ludovic se place entre ses jambes, passe son gland sur la fente humide, et pénètre la chatte brulante. Janet ne peut retenir un « mhum » de plaisir, et noue ses jambes dans le dos de son amant.

Avec douceur, il la pistonne doucement, puis de plus en plus fort. Les hanches de Janet ondulent au rythme des coups de rein de son cousin.

Presque sans s’en rendre compte, elle atteint une nouvelle fois l'orgasme… Mine de rien, c'est le troisième de la journée.

« Je savais que ce serait bon avec toi, dit-elle, on m'a jamais niquée comme ça...quel mâle ! »

 

C'est sur que si les loups existent dans la région, ils ont du être attirés par les hurlements de plaisir de Janet !

 

Le lendemain, le retour se fait dans la grisaille des Alpes. Le cabriolet s'engouffre dans les lacets, capote fermée. Le couple, encore dans l'euphorie de la nuit, décide de voyager tout nu, tan qu’il seront en zone quasi désertique.

Janet se penche et prend la bite de Ludo en main, celle qui l'a faite crier une partie de la nuit.

« Je vais te faire une gâterie, dit-elle, dommage qu'il n'y est pas de routier aujourd'hui.

- Déconne pas dit-il, on va salir la voiture.

- Quoi ? J'ai pas sali ton duvet cette nuit que je sache, poursuit Janet, je peux tailler une pipe,  et tout avaler, sans en perdre un goutte !!! »

 

Et sans lui laisser le temps de répondre, enfourne le pieu dressé au fond de sa gorge.

Pendant la fellation, Janet n'est pas en reste, elle glisse une main entre ses cuisses, et se fait un doigté, dont elle seule à le secret. Elle avait prévu une serviette pour protéger le siège. Elle fait tant et si bien, que Ludo jute entre ses lèvres serrées. Comme promis, elle avale tout, ne laissant rien filtrer hors de sa bouche. Ludo a du mal à garder le cap de la conduite…

 

Sur le retour, le couple d'amants évoquent la nuit torride passée sous la tente, sachant qu'elle sera sans lendemain. Ludovic ne remarque pas la larme qui coule sur la joue de Janet, quand il la dépose devant chez elle. Ils échangent un dernier baiser torride, qui ravie une flamme impossible à éteindre à cet instant précis… Le mari de Janet doit rentrer d’un instant à l’autre…

 

Trois jours après, Ludovic est au bar avec ses copains, mais le cœur n'y est pas. Soudain, il reçoit un sms.

« Ludo..c'est Jean-Yves... Il faut qu'on parle. Urgent. »

« Oh putain, se dit Ludo, blême, j'espère qu’elle n’a pas balancé ! »

 

Après moultes hésitations, il décide de se rendre à la villa de son cousin. Celui-ci l'accueille sur le  pas de la porte, et l'invite à rentrer. Janet est dans la salle de bains. Ludo respire, son cousin n’a pas l’ai en colère ou contrarié…

 

« Ludo, dit Jean-Yves, je n'irai pas par quatre chemins. Des ouvriers viennent faire des travaux la  semaine prochaine, et je dois m'absenter. Je ne tiens pas à ce que Janet reste seule avec ce genre de lascars. Pourras-tu t'installer ici quelques jours? S'il te plait, j'y tiens. »

 

Ludovic lâche intérieurement un grand « ouf » de soulagement, il s'attendait à tout, sauf à ça.

« Heu... Mais bien sur...pas de problème Jean-Yves... Entre cousins... »

 

Janet, qui a tout entendu, arrive resplendissante, dans une robe rouge au décolleté affriolant.

« Mais chéri, ce ne sont pas des loups. Viens beau gosse, dit-elle à Ludo, je te raccompagne. »

 

Une fois sur la terrasse, Janet prend Ludovic par la nuque, et l'embrasse au bord des lèvres.

« Prend des forces mon chéri, tu vas en avoir besoin, j'aime la queue maintenant...

 Heu... pour ce qui est de ton univers libertin, ce sera pour une autre fois... hum... bisous... que je t'aime toi... »

Dim 18 sep 2011 5 commentaires
Jolie fin, mais j'aurais aimé une partie à trois avec un routier !!! ou plus !
Carlyne - le 18/09/2011 à 21h05

Moi aussi.. j'adore cette configuration !

Sophie de R.
Réveiller la louve qui dort peut réserver, parfois, de très agréables surprises
brunobi - le 19/09/2011 à 10h45

Eh oui.. mais ensuite, il faut savoir assumer !!!

Sophie de R.
Une légère déception sur la suite de cette histoire cependant distrayante. Continue(z) comme ça!
Neal - le 20/09/2011 à 18h30

Qu'aruais-tu souhaité comme suite ? C'est importnat de le savoire, afin de mieux cerner les gouts des uns et des autres !

Sophie de R.
Je trouve au contraire ce fantasme très excitant. il m'arrive souvent avec mon épouse d'emprunter ce genre de route. On y double des routiers, et parlons souvent de ce genre de situation. Et je pense que les routiers ne désespèrent pas d'assister à une telle scène.
Coït - le 22/09/2011 à 08h02

Tu as mille fois raison !!! Et comme vous ne risquez rien, allez-y, foncez !!! et racontez-nous..  ;-)

Sophie de R.
Effectivement la fin est un peu tristounette.
J'aurai bien vu une baise "cavalière", à la "hussarde", sur le perron de la maison, avant le départ du cousin.
Ou alors elle qui l'allume de façon TRES TRES impudique ! Limite vulgaire.
Mais bon , je n'ai pas de qualité de scribe . . .
Christophe soumis - le 01/10/2011 à 15h08

Qui sait, il y aura peut-etre une suite ???

Sophie de R.