Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

 Je la vois une fois par mois, dans son bureau, à l'ANPE.

 

 

Elle se tient droite, et ses cheveux droits, coupés au carré, balancent légèrement sur ses épaules. Ils cachent de petites oreilles, et ses diamants discrets.

Ca fait quelques mois déjà que je retiens mes yeux de chavirer sur le premier bouton de son chemisier, qui est, me semble-t-il, ouvert.

"Sans doute, l'est-il." me dis-je parfois. Et sans bouger les yeux, je tente de me concentrer sur la périphérie basse de mon regard.

Mais alors je me mets à craindre qu'elle ne s'en aperçoive, et je me redresse alors.

Et je regarde alors ses profonds yeux sombres, amandes d'obsidiennes sur sa peau claire.

Elle sourit doucement, parle calmement, pose ses longues mains sur son bureau lentement, et la lueur de ses yeux est nette, limpide.

Tout son corps exprime la finesse, et la délicatesse.

 

 

Dès le premier moment, j'ai senti une sensualité douce et parfumée qui émanait d'Aurélie.

 

 

Pourtant, rien ne la trahit. Sa voix est calme, nette, rien ne tremble.

 

 

Elle a tremblé une première fois, lorsque jl'ai pris sa main dans la mienne.

 

 

Elle a dit " Que faites vous ? "

 

Je n'ai rien répondu, et je l'ai regardé dans les yeux, en caressant ses doigts sous les miens.

 

Elle a rougi, elle a baissé le menton, et levé les yeux avec un air de petite fille.

 

A ce moment, j'ai compris que j'étais dans un rêve érotique, alors j'ai pris le parti d'en profiter pleinement.

J'ai ajouté avec un air répprobateur " Vous n'êtes pas une petite fille. "

 

Son sourire amusé m'a illuminé, et elle m'a trouvé beau, un court instant.

 

J'ai délicatement posé l'index de ma main gauche sous son menton, et je l'ai embrassé. Elle a fermé les yeux.

Ses lèvres fines avait un parfum d'abricot, frais, raffraichissant. Nos langues se sont touchées, observées, enroulées, mélangeant des goûts subtils. 

Je l'ai alors invitée à pivoter sur elle-même, et à avancer vers le mur, sans un autre mot. Les yeux toujours clos, elle a obtempéré gracieusement.

J'ai posé sa main contre le mur, plus haut que son visage. Elle a posé son autre main de la même manière.

J'ai laché sa main pour la poser sur sa ceinture, que j'ai habilement débouclée. Son pantalon a subi le même sort. J'ai fait glisser ensuite mes deux mains sur son corps jusqu'à ses hanches, Et j'ai baissé son pantalon jusqu'à ses chevilles.

Je me suis agenouillé pour lui enlever ses chaussures, puis son pantalon et enfin ses chaussettes.

Elle s'était cambrée lentement, et maintenant ses mains étaient à plat sur le mur, que ses coudes touchaient aussi. 

Je me suis redressé sur mes genoux, et j'ai frolé ses fesses de mes deux mains. Le passage de mes paumes faisait naître les picotements de la chair de poule.

J'ai alors déboutonné son chemisier, en commençant par les boutons du bas, Elle a laissé les bras descendre le long de son corps pour que la chemise tombe.

Les paumes ouvertes, j'ai excité la pointe de ses seins, les frolant, les touchant et  les accrochant parfois au passage entre deux doigts, jusqu'à les sentir durcis.

 

 

J'ai alors pris ses deux seins à pleines mains, les doigts écartés dans toute leur envergure. Et j'ai posé mes lèvres sous sa fesse gauche, embrassant, agaçant de ma langue la naissance de son cul lumineux de blancheur.

 

 

Elle a écarté doucement les cuisses, et j'ai pu faufiler ma langue à la recherche d'une source, d'un trésor. J'ai mélé nos rivières de désir, ma langue sur son sexe pulpeux, gonflé de miel. Je mélais des grognements d'ourson à ses gémissements retenus.

Son visage était maintenant lui aussi collé contre le mur.

J'ai sucé ses lèvres, et la chaude petite stalagmite qui jaillissait.

Elle a eu un long orgasme, sans trembler. Elle s'est redressée un peu sur les coudes, en tendant le menton vers le ciel, puis en le reposant sur son autre épaule. Elle a gémi longuement.

 

 

Je me suis levé.

 

 

Elle a ouvert les yeux en me regardant. Il y avait toutes les couleurs dans ses yeux, et un orage de désir allumait déja des lueurs bleues et orange.

 

 

Elle s'est redressée, et sans se retourner, elle m'a débarassé de ma ceinture, puis de mon pantalon qui est tombé sur mes chevilles, délivrant le loup affamé.

Elle s'est cambrée de nouveau, et j'ai posé ma main droite sur la jointure de sa nuque et de son épaule. Chacun des contacts avec sa peau était le début d'un cocktail de sensations électriques, pour elle comme pour moi. Nous gémissions sans plus nous en rendre compte.

J'ai posé ma main gauche sur sa hanche, et j'ai avancé doucement.

Nos deux sexes se sont touchés, trouvés, attirés, embrassés, embrasés en quelques secondes. Je l'ai pénétré très lentement, revenant très légérement en arrière pour ravancer un peu plus. Les stimulations des nervures de sa fleur délivraient les vagues d'une mer chaude dans son corps, suivi de picotements étrangement agréables.

Elle vint chercher elle aussi le sexe pour sentir dans ses entrailles l'agréable pénétration.

Chaque va et vient etait accompagné de soupirs maintenant. Je serrai plus fort sa hanche, et parfois je la griffai légèrement du bout de mes doigts dans le dos et sur les fesses.

Ses mains et son visage étaient sur le mur, et mes assauts faisait rougir sa peau.

Mon sexe a gonflé et gonflé jusqu'à exploser en elle, bombe de sensations, de vagues, d'orage, de chaleur et de glace répandues dans toutes ses cellules.

Elle a joui si fort que ses jambes se sont dérobées, et elle n'a gardé l'équilibre que par la force de mon désir en elle. J'ai porté nos deux corps tout en jouissant en elle, contre le mur de son bureau.

Nous sommes resté plus d'une minute ainsi, sans bouger. Moi, témoignant encore de mon excitation en elle, et elle, palpitante de désir. Tous deux essouflés. Rougis. Merveilleusement beaux de l'accomplissement de l'amour.

Toujours dos à moi, le visage contre le mur, elle a posé sa main droite sur ma joue et la caressé doucement. J'ai fait de  même avec ma main gauche

 

 

Elle s'est tournée vers moi, et a eu une expression de stupeur, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche.

 

A suivre... par l'auteur qui le souhaite ! Je vous laisse écrire une suite à cette histoire !

 

Signé : Pelmel Sensuel

Jeu 29 sep 2011 6 commentaires
un beau recit
romain57 - le 29/09/2011 à 09h44

Il ne manque que la suite !

Sophie de R.
bonjour, je ne suis pas demandeur d'emploi mais je passerai bien par l'anpe pour m'occuper de cette coquine assez ouverte et qui a pas froid aux yeux mais ailleurs, j'attend la suite
michel592 - le 29/09/2011 à 11h14

Elle ne demande que son auteur... la continue qui veut ! serais-tu volontaire ?

Sophie de R.
Une très sympathique histoire bien fait ;)
Chrisss - le 30/09/2011 à 00h00

Elle n'attend que sa suite...

Sophie de R.
Fantasmes ou réalités? C 'est pour cette raison que j'aime ces histoires coquines.
jeff - le 30/09/2011 à 16h56

Ce serait bien que tu la conitnues..  ;-)

Sophie de R.
j'ai eu à faire à l'ANPE, il y a de nombreuses années. Je pense que si j'avais eu une Aurélie, je serais devenu ''chomiste'' professionnel
brunobi - le 03/10/2011 à 14h11

Et il y aurait eu de quoi !!! dommage que ce soit aussi dur de le faire avec un homme, dans les memes circonstances !

Sophie de R.
Ah oui c'est vrai XD j'avais oublié que la suite était libre... Je sais pas si j'aurai l'inspiration ^^' on verra !
Chrissss - le 07/10/2011 à 22h56

Il ne faut pas hesiter à essayer !!!!

Sophie de R.