Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Samedi soir, vingt-trois heures, rues de Cayenne.

Nous faisons une balade en voiture, avec mon chéri, Fritz, après un diner romantique au restaurant. Nous passons devant quelques bars, et là, je lui dis :

« stoooooooooooop ! »

 

Il stoppe aussitôt et m’interroge du regard.

« Tu n’as pas vu le mec, sur la terrasse ? Il est comme j’aime !

- Non, mais si tu veux, on va prendre un verre…

- Oui, avec plaisir. Tu iras le chercher pour moi ?

- Tout ce que tu veux, ma chérie… »

 

D’un seul coup, la soirée vient de prendre une tournure nouvelle.

Nous nous garons, et nous installons à la terrasse, à deux tables du jeune homme. Décidément, il me plait : un beau black, crane rasé, des bras fermes et musclés comme je les aime. Il est uniquement avec des amis masculins. C’est bon signe, pas de petite amie jalouse pour l’empêcher de venir… A moins qu’il ne soit gay. Ce qui n’arrangerait pas mes affaires ! Mais je vais être vite fixée.

 

Firtz se lève et se dirige vers lui. Je n‘entends pas leur conversation, à cause du bruit de la rue. Mais je la devine aisément. Le jeune homme a l’air tout à fait incrédule, mais me regarde avec un sourire. Un nouveau bon point !

 

Et il avance vers moi :

« Bonsoir Madame, est-ce que votre mari dit vrai ?

- C’est à dire, repondis-je, voulant faire durer le plaisir…

- Ben, il me dit que... enfin, que vous... bon vous voyez ce que je veux dire ?

-Oui… lui souriai-je, amusée de son embarras. Je voudrais bien te connaitre de façon plus intime !

- Ah bon, mais pourquoi ? On ne se connait pas !

- Justement, c’est l’occasion. Je t’ai vu, tu m’as plu, on vient te parler !

- Ok, mais vous attendez quoi de moi ?

- Je voudrai que tu me fasses l’amour devant mon mari. Rassure-toi, il ne te touchera pas !

- ….

- Tu ne dis rien ? »

 

Il est vraiment interloqué, ne sachant si je suis sérieuse, ou si je me moque de lui. Il regarde Fritz, qui approuve :

« Oui, je veux que tu baises ma femme devant moi. Elle adore ça, et moi aussi. Nous sommes très très sérieux. Et si tu es d’accord, on y va dès maintenant.

- En fait, je ne sais pas, je ne suis pas habitué à ça. Vous êtes une belle femme. J’aimerai prendre une blanche…

- Eh bien, allons-y ! Tu n’as rien à perdre !

- Ok, je vous suis, ma voiture est là-bas. Au fait, moi, c’est Driss.

- Enchantée. Moi c’est Sophie et mon mari, Fritz. »

 

Nous finissons nos verres en vitesse, le temps qu’il parle à ses amis. Ils ont l’air aussi stupéfaits que lui quelques minutes avant. Ils lui donnent une grande claque sur le dos comme pour l’encourager. Cela me fait sourire…

 

Nous remontons en voiture, et l’attendons. Il nous fait un appel de phares. Nous démarrons en direction de la plage. L’endroit idéal est près des Salines, même s’il y a souvent des homos qui cherchent l’aventure.

Après quinze minutes de route, où nous discutons des détails de ce qu’il va se passer, nous arrivons enfin.

 

Fritz sort du coffre une grande couverture, et je le vois glisser un paquet de capotes dans sa poche.

Driss s’approche de nous, un peu intimidé :

« Vous savez, on ne m’a jamais fait une telle offre ! Il n’y a pas de piège ?

- Mais non, lui répondis-je, amusée. Je veux juste que tu me fasses l’amour devant mon mari. Il aime me voir jouir, et j’aime voir ses yeux me dévorer de désir quand je suis avec un autre. Tu dois juste faire comme s’il n’était pas là !

-Ok, mais je ne sais pas si… »

 

Je lui cloue le bec avec un baiser. Je l’attrape par la main, et me dirige vers le sable. Fritz étend la couverture sous des palétuviers, un peu à l’abri des éventuels regards. Nous nous laissons tomber dessus, Mon chéri un peu en retrait. Je continue d’embrasser ma proie de ce soir, en ne lâchant pas mon homme des yeux.

 

Il s’enhardit, et commence à me caresser les seins. Je frémis sous sa grande main puissante. Il me malaxe comme si j’étais de la terre glaise. J’adooooooooooore !

Sans perdre de temps, il descend une main vers mon bas-ventre, se glissant dans l’élastique de ma jupe ample.

D’un geste expert, il écarte le coté de mon string, et pousse un petit soupir :

« Mhumm C’est bien humide tout ça… J’en boirais bien un peu…

-Mais vas-y, je ne demande que ça…

-Je vais te boire jusqu’à la dernière goutte. Enfin, si ton homme veut toujours… »

 

Il a un regard encore u peu inquiet vers Fritz.

 

Celui-ci l’encourage :

« T’en fais pas, je monte la garde ! Fais tout ce qu’elle veut ! »

 

Je m’allonge sur la couverture, admirant au passage un ciel superbe, avec une lune qui nous éclaire comme en plein jour…  

 

Driss retrousse ma jupe, et se penche, pour me faire retirer mon string. Il se recule, et m voilà allongée sur le sable, éclairée par cette lune, les jambes écartées, offerte aux regards des deux hommes, visiblement « en forme ». Une belle bosse fort prometteuse déforme le Jean de Driss... Je suis de plus en plus excitée…

 

Enfin, il se couche entre mes cuisses, et pointe une langue ferme sur le coté de mon clito. Je sursaute, tant la décharge électrique qui me parcourt est puissante… il continue sa caresse, commence à passer sa langue dans tous mes recoins intimes..

« Nooooooooooon, je ne veux pas jouir tout de suite », me dis-je, déjà au bord de l’explosion…

 

Dans ce genre de situation, il m’arrive de jouir une première fois très vite, bien trop vite à mon gout !!!

 

Mon chéri s’approche de nous, s’assoit près de moi. Il m’embrasse fougueusement, les yeux rivés sur la bouche qui me fouille. Il encourage le jeune homme :

« Vas-y mon vieux, mange-là partout, ouvre-là pour aller bien profond… »

 

Pour l’aider, il glisse deux doigts dans ma chatte, et écarte les petites lèvres bien grand. Driss en profite pour enfourner sa langue encore plus loin. De son autre main Frit commence à me branler le clito. Il ne m’en faut pas plus pour hurler de plaisir. J’explose en criant… Peu importe s’il y a du monde !!!

 

Driss semble surpris par l’ampleur de mon orgasme…  Fritz lui fait signe de continuer, et le jeune homme fourrage de plus belle dans ma grotte détrempée. Il lape ma mouille comme un chiot son lait. Il ne m’en faut pas plus pour jouir encore. Je sens mes deux hommes stopper net, l’oreille aux aguets. En effet, des bruissements de feuilles se font entendre… Et deux silhouettes masculines se découpent sur le ciel clair.

« Eh ben, on s’ennuie pas ici !!!

- Si vous voulez mater, vous pouvez rester. Sinon dégagez, leur intime Fritz.

-Vrai, on peut mater la cochonne ?

- Un peu de respect, s’il te plait, gronde mon chéri. Vous pouvez rester, mais pas touche, et pas d’insultes !

- Ok, on, on regarde… » murmure l’autre.

 

Ils se reprochent un peu. Je vois un qui déjà masse sa braguette. Décidément, ce soir, c’est ma fête !! Deux hommes pour moi, plus deux voyeurs !!! Je suis comblée !

 

Je m’adresse à Driss :

« Eh, viens-donc un peu par là… je veux voir cette belle bite que tu caches…

- Tout ce que ut veux, ma belle. Tu as envie de me sucer ?

- Ca dépendra de ce que je verrai ! lui repondis-je en riant.

- Voilà… »

 

Le temps de se rapprocher de mon visage, il a sorti son engin de son jean. Une belle queue noire, brillante de son excitation… il bande comme un turc, le gland touchant son nombril.

« Whoua, le mec, quelle bite ! s’exclame un des voyeurs. Dis, tu veux aussi voir la mienne ?

- Vas-y, sors-là, j’aime voir des grosses queues de blacks. »

 

Aussitôt dit, aussitôt fait, je vois jaillir deux pieux massifs, l’un plus court que l’autre, mais plus large. Je me pince les seins tant je suis excitée par cette vue. Mon homme ne veut pas être en reste, et sort la sienne. Me voilà cernée par quatre superbes organes virils, dressés et dur comme l’acier... Quel régal !

 

Les deux voyeurs entament une lente masturbation à un mètre de moi, pendant que je me saisis du pieu massif de Driss. Il doit bien faire dans les vingt-deux ou vingt-trois centimètres. J’en fais à peine le tour avec mes doigts !

 

Je le branle avec douceur, puis de plus en plus fort. Il s’approche plus de moi, et je peux enfin gouter ce gland rose foncé et massif... Ma petite bouche ne peut qu’avaler cette grosse partie. Il est trop gros pour moi !!!

Du coup, je fais aller et venir ma langue le long de la hampe raide, gobant les couilles massives au passage… je tourne ma langue tout autour de ce dard de légende.

 

Les mateurs m’encouragent de la voix, et je vois du coin de l’œil qu’ils s’astiquent de plus en plus vite. Mon homme se glisse entre mes cuisses, et me dévore sauvagement. Je jouis encore, sous sa langue experte, une belle bite dans la bouche, et deux autres tout près de moi…

Ce soir, le paradis existe !

 

Je me laisse aller, pantelante, mais pas encore rassasiée. Il me manque ce bel engin tout au fond de moi…

 

Fritz a compris, et sort de sa poche quelques capotes. Driss s’est retiré doucement, il est assis à coté de moi, jouant avec mes tétions... Cela suffit à m’électriser encore plus. Je le vois saisir le capuchon offert, et l’enfiler prestement. Visiblement, il a m’habitude, le bougre !

 

Les voyeurs s’agitent :

« Baise là en levrette, cette garce, qu’on voit bien son cul !

- Arrêtez de parler comme ça de ma femme, s’insurge mon homme.

- Laisse-les, tu sais que ca m’excite, dis-je doucement à mon chéri.

- Driss, ouvre ton chemin en missionnaire, demandai-je à mon amant du soir. Gros comme tu es, il vaut mieux que tu me dilates en douceur… »

 

Il obéit, et vient se positionner entre me jambes ;  Je les relève pour les accrocher à sa taille. Il avance et me tire vers lui. Je sens son gland massif à l’entrée de mon abricot trempé. Le temps est suspendu, même les mateurs se sont tus, comme avant un assaut généralisé…

 

Et lentement, comme dans un film au ralenti, il pousse, force l’entrée de mon intimé… Je sens ce formidable engin qui prend possession de moi. Sans heurts, avec délicatesse, il s’insinue en moi, me remplit, m’habite totalement. Il continue de pousser, et mon vagin se dilate sans fin pour absorber ce pieu massif.

 

Il bute au fond, enfonçant ma matrice. Ca y est, je suis pleine…

Il me dit en souriant :

« Ca va ma belle ? Tu sais qu’il en reste pas mal dehors ?

- Ah bon ? Pourtant, je  suis bien remplie, là...

- Donne ta main, tu vas voir… »

 

Je redresse un peu mon bute, pour attraper sa bite. En effet, avec quatre doigts, j’entoure le braquemart. Il dit vrai, il reste presque dix centimètres dehors !

Alors, il entame de longs va et viens, lents et forts, pour s’enfoncer davantage dans mes chairs intimes… Rarement, j’ai été aussi dilatée, envahie, par un sexe mâle ! J’ai l’impression d’être fistée…

 

Je souffle de plus en plus fort, j’halète en rythme. Quand vraiment il ne peut aller plus loin, il se retire, et me fait mettre en levrette. Je suis bien comme ça, le cul en l’air, offert, impudique, la chatte hyper dilatée, indécente au possible…. Les deux mecs s’en mettent plein les yeux. Ils ont repris leurs branlettes avec ardeur.

 

Fritz vient se mettre plus près de nous, et commence à caresser mon clito. J’adore ! Il va me caresser pendant la pénétration… !

 

Driss et à genoux derrière moi. A nouveau, son gland est bien posé sur mes lèvres gonflées de désir.. Et il pousse,  plus fort que tout à l’heure, à tel point qu’il manque de me faire tomber an avant. Je me redresse bien sur mes bras, me cambre au maximum.

 

Fritz continue de me caresser mon clito en feu.

Et la « guerre » commence. Driss amorce des allers et retours de plus en plus puissants, de plus en plus loin. Je sens ce mandrin envahir tout mon ventre. Je ne suis plus qu’un sexe, avalant un autre sexe. Il me possède, au sens propre du terme.

 

Driss va de plus en plus vite, ses cuisses claquent contre les miennes, ses énormes couilles frottent contre mon clito, quand mon homme reitre un peu sa main… Je lutte, je bouge mon bassin pour avaler ce pieu hors-normes, pour le faire pénétrer encore plus loin….

 

Un cri déchire la nuit. Un des deux voyeurs s’’exclame :

« Whouaaaaaaaaaa !!! La salope, elle a pris la bite en entier ! »

 

Mon mari se penche ver mon oreille, et me murmure :

« Mon amour, tu es bien, tu la sens, cette grosse bite ? Si tu savais comme tu es belle ainsi…

-Ou… ouiii, je le sens, hoquetai-je entre deux assauts. Il me remplit comme rarement je l’ai été…

-Vas-y ma chérie, fais-toi plaisir, jouis et moi, je te regarde jouir…

- BAISE-MOI ! » criai-je à Driss.

 

Surpris par mon cri, il accentue se mouvements, et me besogne à fond. Je sens cet engin quasiment m’ouvrir en deux.

Les deux voyeurs nous encouragent de la voix. Et l’un deux, se lâche, jouissant en râlant. Je vois le sperme blanc nacré s’étaler mollement sur le sable. Ca m’excite encore plus, je veux voir l’autre cracher son jus.

 

« Giiiiiicle, je veux te voir gicler, lui dis-je en criant.

- Ca va venir, ma belle, tu vas me voir juter ! »

 

Il a à peine fini ses mots qu’il crache un giclée juste à coté de moi. Son foutre est rapidement absorbé par le sable tiède.

 

Du coup, j’accompagne avec encore plus de vigueur les mouvements de mon baiseur. Et je le sens  qui vient, qui approche : l’Orgasme…

 

Une grande vague me secoue, m’agite, me tord, et du plus profond de mes tripes, il arrive, et me dévaste. Je hurle comme une damnée, je ne retiens pas mes cris, mon plaisir immense. Driss semble être surpris et marque un temps d’arrêt. Fritz lui fait signe de continuer. Alors, il reprend, et accélère, me secouant comme une bouteille d’Orangina. Je le sens durcir encore, et les spasmes de sa bite m’indiquent qu’il va jouir aussi sous peu.

 

En effet, il crie lui aussi, à gorge déployée, en même temps que je sens au travers du latex un flux tiède qui gonfle, gonfle... Il se retire vivement, juste assez vite pour que je vois son foutre déborder de la capote…

 

Il tombe assis, visiblement aussi épuisé que moi. Après quelques secondes, il me dit doucement :

« Eh bien, t’es sacrement bonne, toi… on recommence quand tu veux !

- On verra, mais là, c’est tout pour ce soir… »

 

Pendant quelques minutes, nous échangeons des banalités, avant de repartir chacun de notre coté.

En rentrant, mon homme m’a fait l’amour avec une intensité décuplée…

 

Bon sang, que c’est bon d’avoir un mari candauliste !!!

 

 

 

Sam 1 oct 2011 12 commentaires
Encore un superbe récit. Mais quelle frustration de te savoir si loin. Au moins tu as les amants que tu veux.
Continue, j'adore.
Scoerpix - le 01/10/2011 à 09h58

Merci, ce fut un moment extraordinaie.. La complicité ave mon homme était totale, et rendait ce moment encore meilleur...

Sophie de R.
A sa ki tan!!!...le pied
mano - le 01/10/2011 à 22h00

Et tu sais mieux que quiconque de quoi je parle, non ???

Sophie de R.
Très beau récit ! J'aurais vraiment voulu en être ! Tu racontes divinement bien ! Tellement que j'étais tendu a la limite de l'explosion tout au long du récit ! Je vais me coucher avec le palpitant à 200. Merci à toi !
Stopclop - le 01/10/2011 à 23h42

Tu es trop gentil avec moi ! mais j'apprecie ces compliments...

Sophie de R.
Récit chaud bouillant, comme on aimerai en lire plus souvent.
Merci pour cette superbe aventure. Bravo
benjie - le 02/10/2011 à 15h38

Merci Benjie. helas, ca ne ne passe pas comme ça tous les samedis soirs !

Sophie de R.
C'est tout simplement merveilleux, n'est-ce pas? Heureuse que tu connaisses ce plaisir, ma belle!
Olga - le 02/10/2011 à 22h07

Meric ma chere, je sais que tu sais très bien e que c'est...  ;-)

Sophie de R.
Wow j'adore te lire... La Guyane me manque encore plus grace à toi...
Warrik - le 03/10/2011 à 06h58

Je ne voulais pas arriver à cela ! tu vas finir par etre faché ! Où vis-tu en ce moment ?

Sophie de R.
Pour reprendre une de tes phrases : plaisir et excitation.
Histoires vécues, plaisirs ou fantasmes je n'ai même pas envie de savoir! C'est toujours aussi bon de te lire
jeff - le 03/10/2011 à 11h27

Cete histoire est vécue, et bien vecue...  ;-)

Sophie de R.
Ah! Ma gourmande! quelle belle aventure tu as vécu là! Et quel style, comme à ton habitude.
Il ne manque qu'une seule chose, l'image de cette soirée pour régaler les yeux du voyeur que j'aurais aimé être ce soir là
brunobi - le 03/10/2011 à 14h06

Merci, mon cher ami... j'aurais aprpécié de garder ses souvenirs imagés de cette soirée, mais mon sens du secret a pris le dessus !

Sophie de R.
Bonjour,
Comment allez-vous?
Savez-vous que 80% des vos partenaires sexuels sont insatisfaits lors des rapports?
> Une belle queue bien raide et qui dure longtemps est un cadeau qui ne se refuse pas !
Maria
Maria23 - le 05/10/2011 à 09h59

Si c'est vrai c'est bien triste !

Sophie de R.
cc ma belle quel chance d avoir 4 queue et comme tu dit aussi belle, aurai mieux aimé te voir entrai de jouir et te voir sucé cette belle queue j irai bien la prochaine fois a la plage des salines te voir je ne comprend pas j ai une bosse aussi dans mon jeans en lisant ce récit...
Toujours envi de sucé une de ces belle bite devant toi...
Gros bisous sur ton doux clito...
julien - le 05/10/2011 à 17h35

Tu sais, je ne vais pas souvent sur cette plage, car il y a souvent trop de voyeurs "agressifs". nous avons eu de la chance, ce soir-là. Par contre, tu trouveras surement une belle queue à sucer !

Sophie de R.