Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Cette histoire n’est pas réelle mais des éléments du contenu le sont… A vous de faire le tri ! Bonne lecture…
Nous sommes le premier jour de l’été, il est à peine sept heures du matin. Le soleil montre tout juste le bout de son nez. Ah oui ! J’oubliais… je
suis hospitalisé au service de rééducation, donc je viens à peine de me réveiller. J’ouvre les yeux je me mis à bailler, je suis en tee-shirt et pantalon de pyjama rouge, tout doux.
Comme tous les matins, j’ai une belle érection matinale. N’étant pas pressé et en abstinence depuis plusieurs mois, je fais sortir ma bite bien veinée, et je la regarde une fraction de seconde. Puis je pose ma main droite à la base, mon petit doigt sur mes boules ben rondes et grosses avec le temps.
Et me voilà parti pour un bon moment de branlette jouissive…Même pas trois minutes après, quelqu'un frappe sèchement à la porte et ouvre directement ; sans attendre ma réponse.
J’ai juste eu le temps de mettre le drap pour cacher ma bite encore en feu par le travail que je lui faisais faire au réveil. Je me mis à rougir…
« Pourvu qu’elle ne voit rien », me dit je.
C’était l infirmière pour la prise de tension et de température. Elle me regarda avec un grand sourire. Je ne savais pas où me mettre, car il était flagrant que je bandais, et qu’elle la verrait sous le drap. J’essayai de rester de marbre.
Elle se mit à ma droite près de la porte. Moi, paralysé, j’avais complètement oublié d’enlever ma main…
En souriant, l’infirmière me demanda :
« Comment ca va aujourd'hui ? Vous avez l’air d avoir un peu chaud… »
Ca, c’était sens doute à cause de la honte que je risquais de me payer ! Mis ça n’empêche que je ne pensais toujours pas a enlever cette main qui
restait bloquée à la base de ma bite…
« Bonjour mademoiselle, oui ca va très bien et vous ? Et oui effectivement, j’ai très chaud… Il fait chaud dans les chambres, mademoiselle.
- Tendez-moi votre bras, s’il vous plait… »
Je me sentais gêné. MERDE !
Je réalise dans la même seconde que ma main était encore bien enveloppée. Alors timidement, je l’enlève de ma queue encore toute dure.
Elle me prit ma tension, je regardais le tensiomètre en rougissant, car mon engin était encore debout… Remarque avec la créature que j’avais en face de moi, c’était plus que logique !
J’ai oublié de vous la décrire : c’était une belle brune aux yeux clairs, maquillés d-un léger contour au niveau des sourcils. Elle a des lèvres fines sans rouge à lèvres, un chignon qui laissait penser à une belle chevelure très longue, une peau douce légèrement colorée, avec un sourire qui illumine son visage, et une blouse blanche à pressions qui devait sans doute pas être la sienne car elle lui était légèrement trop grande.
Cette blouse l’était assez pour que j’aperçoive, quand elle se pencha pour me mettre le tensiomètre, une belle poitrine qui, avec la force de la pesanteur descendit de tout son long. Elle avait une magnifique poitrine, protégée d’un soutien-gorge en dentelle rouge.
Je lui donnais donc ma main, très gêné, car elle venait directement de ma bite…
« 14 - 7 ! Dites-moi, vous êtes nerveux des le matin ! Donnez-moi la main, je vais prendre votre pouls…. 142 pulsations par
minute !!! (habituellement je suis a 100 110) Effectivement, vous m’avez l’ai bien nerveux ! Je vais arranger ça ! » me dit l’infirmière en souriant sans cesse.
A cet instant, mon cerveau tournait à 360°. Je me disais :
« T’es mort, mec ! »
En me prenant le pouls, elle avait donc ma main dans la sienne et j’ai vu dans son regard comme si elle avait vu l’activité que je venais de
m’offrir…
D’une main douce et d’un mouvement délicat, et en même temps joyeuse, elle enleva le drap qui était sur mon tee-shirt. A la vue de mon sexe sorti de mon pantalon, en érection certes fatigué, mais âs encore battu, elle me jeta un rapide coup d’œil qui m’a rassuré.
Elle s’est passée la langue sur les lèvres, et elle lâcha le drap sur mes chevilles. Elle se baissa un peu, et avec sa mina gauche, elle prit ma bite et commença à me branler doucement, tout en me regardant en souriant.
Rassuré, j’ai enfin pu plaquer mon dos sur l’oreiller, pour me relâcher un peu. J’ai juste relevé la tète pour la voir en action.
Son visage rayonnait de plus en plus, comme si c’était pour elle un fantasme de s’occuper d’un patient de cette manière-là….
« C’était pour ca alors que vous étiez si gêné, pauvre patient... »
Et elle continua ses mouvements de va et viens sur ma bite en me titillant le gland. Moi, à la fois surpris et heureux, je tremblais, je ne savais pas
où mettre mes mains. Dans un mouvement simultané, elle approcha sa bouche de ma bite qui commençait à reprendre des couleurs, et avec sa main gauche, elle prit ma man droite, la posa sur sa
blouse, juste au-dessus des pressions.
Pendant qu’elle découvrait la chaleur de ma bite sous ses lèvres, elle me lança un clin d’œil complice, comme pur me dire :
« Déshabille-moi ! »
J’ai pris la blouse à la hauteur de la première pression, et je l’ai serrée. Elle a sauté, et avec elle, les deux en-dessous. Je voyais enfin la belle poitrine emprisonnée dans un soutien-gorge rouge. Je n’en pouvais plus, et aussi vite que possible, je fis sauter les autres pressions de la blouse…
Pendant ce temps, elle avait avalé plus de la moitié de mon sexe bandé. Et elle remonte, avec un sourire satisfait, comme si elle avait bu un verre bien frais. Sirant mon organe de sa bouche, elle me dit :
« Tu en as mis du temps à comprendre !!! Mais on dirait qu’une fois lancé, rien ne t’arrête !!! Continue, j’adore… »
Eh oui, elle m’avait tutoyé… Elle avait à peine fini sa phrase, qu’elle lécha d’un seul trait toute la longueur de ma bite et la rentra directement de moitié. A partir de ce moment, je savais que la cadence allait s’accélérer.
Alors, je pris un de ses seins dans ma main, que je malaxai comme un patient qui fait de la rééducation avec une boule en mousse pour ses mains. Vu qu’il fallait faire vite, je baissai juste son soutien gorge pour que je puisse les voir enfin en chair et en os, enfin surtout bien fermes ! Et je m’en saisis rapidement et commençai à les caresser. Pendant ce temps, elle était toujours en train de me sucer jusqu'au bout, en me la caressant et en me touchant aussi les boules. Après avoir bien pris la mesure de la chaleur et de la taille de ses seins, je voulus les lui lécher.
Mais au moment de me rapprocher d'elle, l’infirmière coquine me rallongea sur le lit, sortit ma bite de sa bouche un instant, et me dit d’un ton sec :
« Tu en as assez profité, maintenant, laisse-moi faire ! »
Aussitôt, elle s’aida du lit pour se pencher, et comme si c' était sa dernière ligne droite, elle accéléra sa main tout le long de ma bite en y mettant des coups de langue de temps en temps.
Moi qui ne boudais pas mon plaisir, je commençais à gémir en soufflant, tellement j’étais excité, et que j’avais peur d’être surpris. Elle fit si bien que je giclais sur sa main et dans sa bouche. Elle avait posé sa main en soucoupe, pour que rien n’aille sur les draps… A petits coup de langue, elle semblait savourer mon sperme…
Puis elle me tend un garrot, et me dit de me le serrer autour du bras. Je ne comprends pas trop pourquoi, mais j’obéis.
Pendant qu’elle finit de out avaler, je noue le garrot autour de mon bras. Elle termine sa fellation par un long coup de langue tout du long de mon sexe, toujours bandé… Elle a toujours les yeux aussi pétillants, et elle repose ma bite sous le drap, se penche pour me dire au creux de l’oreille :
« C’était super jeune homme ! La prochaine fois, ça va être torride... Prépare-toi… »
Et elle remet sa blouse et arrivée à la dernière pression, une de ses collègues passe la tête dans l’encadrement de la porte :
« Alors, t’as réussi à le piquer ?
- Oui oui, du premier coup, ne t’inquiète pas. »
La collègue repart, et me murmure :
« Ouf il était moins une ! A très vite beau jeune homme… »
Et la demoiselle repartit d une manière très féminine qui me fait rêver de la prochaine fois !
Signé : Steven le marseillais
Et la suite ne le sera pas moins !
souvent jolie, semblant délurée, mais hélas pour nous pauvres hommes, la réalité est pratiquement différente. Quoique il arrive que certaines d'entre elles, si elles sympathisent avec un malade peuvent jouer à quelques petits jeux jouissifs bien que furtifs.
Bien sur.. tout peut arriver !!! mais il faut aussi savoir provoquer sa chance...
Son auteur, novice en matière d'ecriture, sera heureux de ce compliment !
Je suis heureuse de le savoir, et son auteur aussi, sans nul doute !
superbe recit,je vais immediatement lire la suite
C'est en effet un fantasme fréquent, mais toujours aussi excitant...
Dommage, tu aurais peut-etre eu moins mal...
Elle t'a plu aussi ?
Elle m'a aussi beaucoup plu, et je suis rave de voir que les lecteurs aussi, ont aimé...