Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Il est quatre heures du matin quand Marc et Sylvie, sa ravissante épouse, tous deux âgés de vingt cinq ans, rentrent de boite, accompagné par Gérard, un copain d'une trentaine d'années.

Marc est rond comme une queue de pelle, et Sylvie est sérieusement entamée, tandis que Gérard reste le plus lucide. Ils ont toutes les peines du monde pour gravir les escaliers de l'immeuble, vacillants sur chaque marches, tant ils rient aux éclats, se moquant des voisins qui leurs crient de fermer leurs gueules.

C'est en titubant qu'ils parviennent à ôter leurs vestes dans le vestibule, attenant à la cuisine, où ils s’installent.

 

Marc demande à son épouse de sortir trois bières. Puis les deux hommes saisissent

Sylvie chacun par un bras, et essaient de la dévêtir. Celle-ci se défend bec et ongles.

 

En voulant s'asseoir, Marc, en plein naufrage, roule sous la table, déclenchant les fous rires de Sylvie et de Gérard. Sylvie se met à genoux, pour retenir son mari, apparemment groggy. Sans le vouloir, elle offre un vue imprenable de sa croupe.

Gérard enroule la robe autour des hanches,  lui ôte sa petite culotte, et lui caresse les fesses, insérant un doigt entre les cuisses. Sylvie repousse l'assaut d'un revers de main.

« Déconne pas Gérard, je suis mariée, et fidèle ! »

 

Tout en continuant de rire, elle s'assied sur la banquette d'angle, imitée par Gérard.  

Celui-ci décide de repasser à l'offensive. Il envoie une main entre les cuisses de la jeune femme, jusqu'à la chatte parfaitement épilée.

« Tu as envie de me niquer toi, rit-elle, gros vilain... » souffle-t-elle en se laissant faire docilement…

 

L'état semi comateux aidant, Sylvie devient moins farouche, écarte même légèrement les cuisses. Les doigts de Gérard courent sur la fente humide, froissent les lèvres une  contre l'autre, excite le clitoris. Les éclats de rires de la jeune épouse laissent vite la place à des petits râles de plaisir.

De temps à autre, Marc fait une tentative de sortie de dessous la table, il voit son copain caresser la chatte de sa femme. Il est aussitôt refoulé par le couple.

« Laisse-nous jouer, cuve ton alcool ! lui intime Gérard

- Mettons-nous à l'aise, renchérit l’épouse infidèle, foutons-nous à poil ! »

 

Sylvie quitte jupe, chemise, et soutien gorge, et s'assied sur les genoux du copain de son mari, entièrement nue. Sans complexe, elle écarte ses jambes pratiquement à l'équerre, accepte les caresses odieuses de Gérard, en gloussant de plaisir. Elle lance ses bras en arrière, et le prend par la nuque.

« Vas-y...murmure-t-elle. Caresse-moi partout... Bien sur le clito... Dessaoule-moi... prends-moi, là, sur la banquette ! »

 

Gérard  ne se le fait pas dire deux fois. Il fait descendre Sylvie de ses genoux, ôte ses fringues, se lève, et vient se placer devant elle, un genou sur le siège.

Sa bite en érection, entièrement décalottée, à portée de bouche de la jeune femme. Sans la moindre hésitation ni un regard vers son mari, elle happe l’engin est  jusqu'aux couilles... Fini la rigolade. Jamais elel ne serait crue capabkle de faire une gorge profonde !

Gérard gémit de plaisir, décuplé par le fait qu’il fait cocu son meilleur pote… Cela faisait si longtemps qu’il avait envie de baiser sa si jolie femme…

 

Pendant qu'il se fait tailler une pipe de légende, sa main reprend ses investigations entre les cuisses de la jeune femme. Les doigts écartent les lèvres intimes, décalottent le clitoris qu'ils doigtent, pénètrent la chatte maintenant pleine de mouille. Puis, sans la forcer, Gérard demande à Sylvie de se mettre à genoux sur la banquette.

« Une petite levrette... ça te dit pas ? demande-t-il.

- Salaud... Tu profites de mon état... Tu abuses de moi là...

- Allez, un coup de queue... Même dans cet état, c'est excitant non ? » poursuit Gérard.

 

Sylvie est de toutes façons déjà bien trop excitée pour refuser quoi que ce soit… Mais elle a envie de plus, de deux belles queue, par exemple, en même temps… Elle se place de façon à pouvoir atteindre son mari, tend une main, lui ouvre le pantalon.

« Chéri... Viens t'amuser avec nous... T'as pas envie de tirer ta petite femme ? Allez... Mon dieu ! Mais ta quéquette est toute petite...toute molle... C'est l'alcool,  à tous les coups ! »

 

Marc ne réagit pas, et elle se cambre au maximum pour mieux recevoir le chibre qu’elle convoite. Un cri de surprise s'élève quand l'énorme hampe pénètre la chatte de Sylvie :

« Putain Marc ! Le calibre ! Si tu voyais la cartouche que je suis en train de me faire mettre ! »

 

Au bout de dix minutes de pistonnage intensif, ils changent de position. Gérard s'installe sur la banquette, en face la table où Marc cuve toujours…. Il prend Sylvie par les hanches, la fait mettre dos à lui, et la fait s'empaler brutalement sur sa bite.  Sylvie est déjà tellement ouverte que le pieu rentre en une seconde, perforant les chairs intimes et gorgées de désir…

 

Marc immerge une seconde fois, et même dans le flou, découvre son épouse en train de se faire niquer par son copain. Il lance un bras pour essayer de gratter la chatte de son épouse, qui se tend à l'encontre des doigts de son cher époux.

 

Mais le dieu de l'alcool en a décidé autrement. Il retombe dans l'inconscience, laissant sa femme en plein délire érotique. La respiration de Sylvie s'accélère, au rythme des coups de queues de Gérard. 

« Salaud... gémit-elle. Comme tu me le mets... Ah, vas-y... fais moi crier... Je jouiiiiiiis...  oui..  oui... baise-moi à fond !!! »

 

L'orgasme est terrible. Les cuisses de Sylvie dégoulinent de cyprine et de mouille. D'un bloc, elle se retire pour prendre la bite en bouche. Gérard n'en demandait pas tant, et  se vide copieusement les couilles dans la gorge de la jeune femme.  

 

Attiré par les bruits, Marc se lève, et se cogne violemment la tête sur le bord de la table.

Malgré le trouble de sa vue, il voit des filets de sperme couler sur le menton de sa femme. 

Sylvie, provocante en diable, se recule et s'assied sur la table, où se trouve vautré son mari, à demi dans le vide.

 

Marc aperçoit les magnifiques jambes de son épouse, et l'entre cuisses légèrement écartés. Malgré son état, Il tend une main, enfonce deux doigts dans la chatte débordante de mouille.

« Hi hi hi, ricane-t-il, je savais que j'y arriverai.. Hi hi... il est tout mouillé le trou... hi..hi..hi.. »

 

Gérard s'avance, et de sa bite tendue, chasse les doigts de son copain pour reprendre sa place.

Marc a maintenant devant ses yeux, un gland turgescent, décalotté, et une belle paire de couilles.

« Tu aurais pu lui laisser le temps de tremper ses doigts, sourit Sylvie, tu veux tout pour toi.. »

 

Gérard effleure les lèvres de Sylvie.

« Tu veux pas que je te le mette ? Bien profond... murmure Gérard. Allez, soulève tes jambes...

- Vas-y enfoiré... accepte Sylvie.. Nique moi... encule moi... lui, il ne peut pas... »

 

Marc voit l'énorme bite de son copain disparaitre dans la chatte de son épouse, et entamer de lents va et viens. Il lance une main, saisit les testicules qu'il fait rouler entre ses doigts, puis plaque les couilles contre le petit trou de Sylvie, comme s'il voulait les rentrer à l'intérieur.

« Aie...aie...grogne Gérard... Doucement con... »

 

Sylvie, appuyée sur ses coudes, tête inclinée en arrière, gémit de plaisir.

« Hou.. .hou... tu me maques salaud... Vas-y... Bourre moi... fais-moi jouir encore... ça y est... je viens !!! »

 

Gérard aussi sent la sève qui monte. Il se retire, et oriente sa queue vers le bas. Marc, à genoux sous la table, ouvre la bouche de surprise et reçoit les jets de foutre en plein visage.

« Ah, l'enfoiré... Il me crache dessus...oh putain... J'en ai avalé, en plus... »

 

Il crache de dégout. Même embrumé par l’alcool, jamais il n’aurait imaginé avoir le sperme d’un mec dans sa bouche !

 

Gérard et Sylvie se penchent sous la table pour constater les dégâts. Effectivement, les joues, les sourcils sont souillés de sperme. On en voit même aux commissures des lèvres. Le trio se regarde, et éclate de rire. Les vapeurs d'alcool semblent s'être légèrement dissipés.

« Alors mon chéri, dit Sylvie, ça va mieux ?

- Ouais... Si on veut... Mais quel mal de crane ! Et vous… vous avez niqué n'est-ce-pas ? Salauds ! Sylvie, tu m’as trompée ! Et toi, Ordure, tu baises ma femme !!!

- Un peu, poursuit Sylvie, semblant ignorer les insultes. Allons au lit tous les trois. Tu as deux coups de queues de retard, il faut  que tu les rattrapes. »

 

Mais dans l'état où il est, Marc  pense qu'il aurait toute les peines du monde pour faire un doublé, et préfère proposer à sa femme, une sieste coquine. Il veut se la réapproprier très vite…

Gérard décline l'invitation, estimant qu'il s'était suffisamment vidé les couilles, et s'excuse d'avoir profité de la situation.

 

Pour toute réponse, Sylvie lui donne un tendre baiser sur les lèvres. Gérard prend congé.

 

Sylvie et Marc en profite pour prendre une bonne douche avant d'aller au lit. Ils se vautrent dans les bras un de l'autre, et s'endorment rapidement.

 

La partie de cul attendra la sieste. 

Jeu 13 oct 2011 2 commentaires
tres belle histoire dommage que le mari en a pas profité car sa femme voulait une double penetration mais je pense qu il vont remettre ça un autre jour
romain57 - le 13/10/2011 à 10h46

Que veux-tu, l'alcool fait faire n'importe quoi, et surtout, rater de bonnes occasions de se faire plaisir !

Sophie de R.
Sympa l'alcool quand il permet à une jolie femme de se débloquer et de bien jouir
brunobi - le 30/10/2011 à 14h45

Oui, si cela reste mesuré.. Sinon, on arrive trop souvent à des extrémités non souhaitées...

Sophie de R.