Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

La nuit avait été très longue. Mouloud, mon adorable pirate, s’était montré à la hauteur des promesses qu’il m’avait faites la veille au téléphone. C’était vraiment un super coup : vigoureux et infatigable. Il m’avait fait découvrir le monde merveilleux de l’érotisme. Un monde que je n’aurais jamais connu sans lui. Jusque là le sexe ne représentait presque rien pour moi. Je ne me rappelais pas avoir eu auparavant de vrais besoins sexuels : de ces besoins qui vous submergeaient complètement et qui s’imposaient à vous à toutes heures du jour et de la nuit. De ces besoins qui ne pouvaient trouver de satisfaction que dans les bras et sous les coups de boutoir d’un homme, un vrai. Pas d’un mari.

 

Et la satisfaction des désirs érotiques qui m’obsédaient et m’envahissaient depuis la nuit dernière, ne pouvait provenir que d’une relation adultère. Peut-être parce que je connaissais trop mon mari, je ne pensais pas que je pouvais avoir autant de jouissance et de plaisir avec lui. Même en admettant qu’il soit aussi bien monté que Mouloud et qu’il ait les même capacités et compétences érotiques que mon amant du moment, ce qui est loin d’être le cas! Je crois que c’était aussi parce que j’étais dans une situation de cocufiage de mon mari, acceptée et assumée par lui, que je me sentais transportée dans ce monde merveilleux que je venais de découvrir. Bien entendu, les compétences en matière de sexe de celui qui venait de m’ouvrir les portes de ce nouveau monde, étaient la raison principale de ma nouvelle passion pour l’érotisme. J’avais une vingtaine d’années de plus que Mouloud, mais en matière d’amour, j’étais une vraie novice, comparée à lui qui, à trente ans à peine, avait le comportement d’un maître. Un maître es-érotisme. Et moi, je me découvrais, au cours de cette première nuit passée à me faire tirer dans toutes les positions et à travers tous mes trous, une âme de chienne soumise à la volonté du maître du moment.


Parce que Mouloud, et plus tard Rachid qui, sans me le dire explicitement, m’avait fait comprendre qu’il apprécierait que j’offre mon corps à d’autres hommes, qu’il n’était pas du genre possessif et exclusif. Il m’avait très vite annoncé qu’il allait me partager avec d’autres hommes, des connaissances à lui qui ne vivaient que pour et par le sexe. Il m’avait expliqué qu’il faisait partie d’un groupe, hommes et femmes, qui ne concevaient l’amour que libre et sans tabous et qui ne vivaient leurs relations amoureuses que dans ce cadre presque libertin. Il m’avait promis de me présenter aux membres du groupe et il était convaincu qu’ils allaient m’accueillir les bras ouverts. J’étais, m’avait-il dit, très douée pour l’érotisme débridé.

Pour en revenir à cette première nuit d’adultère, je dois dire que j’en avais eu pour mon argent.
Sans avoir prémédité quoi que ce soit, j’avais fait cette nuit là – et toute la matinée du lendemain – connaissance avec toutes les facettes de l’érotisme. Je suis totalement incapable de décrire toutes les sensations – parfois douloureuses – que je connus au cours de ces heures passées à me faire tirer par l’immense membre de Mouloud.
Après avoir pris une douche rapide pour me débarrasser de tout le sperme dont mon corps était totalement enduit, avoir changé de tenue (la nouvelle était toute aussi coquine que la première) et préparé un en cas pour nous sustenter, nous allâmes directement dans la chambre à coucher pour poursuivre nos ébats.

 

Mouloud, avait fait preuve d’une vigueur et d’une résistance à vraiment extraordinaires. A ce jour, je n’ai pas encore rencontré –parmi tous les amants qui l’ont suivi– d’hommes aussi résistant que mon pirate. Et je ne parle pas de son immense membre ! Il a tout détruit sur son passage : ma gorge, qui m’a fait mal des journées entières (j’avais du mal à parler, tant il avait pesé sur mes cordes vocales au cours de la fellation passée), ma vulve qu’il avait élargie au-delà de tout ce que je pouvais penser, et surtout, mon anus, qu’il avait inauguré et…dynamité !


C’est, aujourd’hui encore, le souvenir de cette folle nuit qui m’a le plus marqué : ma première sodomisation. Après avoir mangé rapidement dans la cuisine, j’avais préparé en quelques minutes un steak et une salade – nous rejoignîmes la chambre à coucher. Moi devant et lui derrière moi. Je sentais qu’il mâtait mes fesses avec son regard de prédateur. J’avais encore très envie de faire l’amour, malgré que j’avais joui très fort, à peine trois quart d’heure auparavant. J’étais entrain de me découvrir une âme de nymphomane. Je n’étais jamais rassasiée ! J’avais toujours envie de baiser !

 

Et Mouloud, n’attendait que cela. Il bandait en permanence (il était resté presque nu, vêtu de sa seule chemise, totalement déboutonnée, qui ne cachait rien de son intimité. Et son intimité, c’était cet immense glaive, toujours debout et toujours menaçant.
Arrivé au pied du grand lit, notre lit conjugal à Rachid et à moi – Mouloud qui était derrière moi, m’attrapa par la taille pour me coller contre son corps. Il me susurra à l’oreille :
« Je vais maintenant t’enculer ! Je vais te défoncer le cul ! Je vais te faire mal ! Je vais te faire hurler de douleur, et de plaisir ! »


Les mots crus qu’il prononçait me procuraient d’étranges sensations : des picotements au niveau du bas-ventre et sur le bout de mes seins. Je m’étais remise à couler. Je m’étais arrêtée au bord du lit et je m’étais plaquée contre le corps de Mouloud, qui frottait son pubis contre le bas de mon dos. Il était beaucoup plus grand que moi et je sentais son manche, dressé et dur comme du bois, frémir contre le bas de ma colonne vertébrale. Il enleva une de ses mains de ma taille et l’envoya s’emparer de mon sein droit, qu’il se mit à presser et à caresser. Mon excitation, déjà très forte, commençait à devenir insupportable. J’avais mal au bas ventre.

 

Il me fallait une pénétration immédiate pour me calmer. Mais malgré cela, je ne dis rien : j’attendais la suite. Une suite que j’appréhendais, mais que j’attendais avec impatience. L’impatience de découvrir de nouvelles sensations. Je sentais le souffle chaud de mon amant sur mon cou. Et je l’entendais m’annoncer, dans un mélange de kabyle et d’arabe, ce qui m’attendait.
« Akmeqough essdhefir ! En-nikek melour ! Amerzagh akerkour-im ! En-kasserlek gaârek ! Akem felqagh ! En-wedj’aâk ! (Je vais te niquer par derrière ! Je vais te démolir le cul ! Je vais t’éclater! Je vais te faire mal !) »


Il m’annonçait que j’allais passer un mauvais moment et que beaucoup de douleur m’attendait. Mais au lieu d’avoir peur, de me cabrer, de refuser, ce que j’entendais me mettait en émoi ! J’avais hâte que mon pirate me défonce le cul ! J’avais hâte de connaître cette nouvelle sensation d’être dépucelée par derrière et…par un engin monstrueux ! J’étais dans un autre monde : un monde de soumission et d’attente. Soumission à la volonté du maître. Et en attente de la saillie. Comme une jument ! Ou comme une génisse ! Ou, plus justement, comme une chienne ! J’étais une chienne en chaleur, qui attendait impatiemment d’être pénétrée !


Mouloud qui continuait de me susurrer ses mots crus à l’oreille, m’attrapa par la taille pour m’indiquer la position qu’il voulait que je prenne. Il me fit mettre à quatre pattes en travers du lit, les hanches remontées au maximum pour être à la hauteur de son engin. Je tournais la tête pour essayer d’apercevoir ce qu’il était entrain de faire : il était resté debout au bord du lit, le sexe dressé, tel un sabre menaçant. Il voulait me tirer debout ! Je le voyais qui contemplait le spectacle impudique qu’il avait sous les yeux : j’étais là devant lui, le cul en l’air, offert à sa concupiscence. Au bout de quelques secondes, je le vis qui tendit sa main droite vers mes fesses.


Et à partir de là, tout en moi sombra : j’étais tombée dans un autre monde. J’avais enfoncé ma tête profondément dans un oreiller et je m’étais mise à attendre. Attendre, écouter et sentir ce qui allait advenir. Tout mon être était tendu et attendait ! Une attente, en même temps douloureuse et délicieuse !
Je sentis une main calleuse et ferme écarter mes fesses pour dégager la rondelle de mon anus. Une rondelle très serrée, mais que je sentais palpiter (de peur ou de désir, je ne savais pas trop).

Mouloud ne se pressait pas : il admirait le spectacle qu’il avait sous les yeux : il avait une vue imprenable sur les grandes lèvres de ma chatte. Il voyait que je coulais comme une fontaine. Je sentis deux doigts qui écartèrent mes grandes lèvres et qui plongèrent à l’intérieur du vagin. Je me mis à trembler comme une feuille. La sensation que me procurèrent ces doigts à l’intérieur de mon intimité était indescriptible. Je pensais qu’il n’avait pas pu résister à l’envie de me caresser la chatte, et qu’il allait me tirer par là. J’avais tout faux ! Il était seulement entrain de ramasser le plus de cyprine possible pour essayer de lubrifier mon anus.

 

Je sentis, en effet, ses doigts qui enduisaient l’entrée de mon anus avec le liquide qu’ils venaient de ramasser. Ils s’y reprirent à plusieurs fois, jusqu’à ce que je les sentis qui pénétrèrent, difficilement, à l’intérieur du rectum. Ils allaient et venaient dans le boyau et essayaient d’élargir l’anneau pour faciliter la pénétration du monstre qui attendait impatiemment son tour pour occuper la place.


Mouloud se positionna derrière moi, prit son engin dans une main et plaça le gland au centre de l’anneau. Je sentis immédiatement la dureté du gland et son diamètre trop grand pour pouvoir pénétrer facilement à l’intérieur de mon rectum. Je savais qu’il allait me faire atrocement mal.

 

Il agrippa mes hanches avec ses deux mains et je sentis qu’il exerçait une poussée – d’abord légère, puis de plus en plus puissante, face à la résistance qu’opposait l’anneau trop étroit. Le bout du gland finit par pénétrer légèrement. Je le sentis ressortir. Je devinais que Mouloud cherchait à le lubrifier encore plus, pour lui permettre une pénétration plus aisée. Je l’entendis qui crachait dans sa main et je devinai qu’il s’enduisait le manche avec sa salive.

Et effectivement moins d’une seconde après, je sentis la menace revenir sur mon anneau, qui était resté dans la même position d’attente. Mouloud refit une deuxième tentative pour faire pénétrer le gland à l’intérieur. La poussée de ses hanches était plus forte. Le gland pénétra presque totalement. Il avait encore du mal à dépasser le sphincter. Je sentis les énormes paluches de mon maître agripper plus fermement mes hanches et tirer brutalement sur ses bras. La douleur que je ressentis en ce moment était la pire des douleurs que j’avais connues dans ma vie. J’avais ressenti mon anneau s’étirer, s’étirer encore, pour atteindre le maximum de son élasticité. Et puis, il lâcha et se déchira, provoquant cette douleur atroce que je ressentis.
« Aie !!! Bellââqel ! Doucement ! Kessartli gaâri ! » (Tu m’as éclaté le cul ! N’oublie pas que je suis vierge de ce côté )

Mouloud fit celui qui n’avait pas entendu. Il ne prêta aucune attention à mes protestations et continuait de pousser très fort, de manière à aller jusqu’au fond de mon boyau. Ce ne fut que quand son pubis vint cogner contre mes fesses qu’il arrêta de pousser sur ses hanches. Mais même à ce moment-là, il ne s’arrêta pas pour permettre à la douleur de se calmer. Il fit refaire à son engin le chemin inverse jusqu’à l’entrée de mon anus, qu’il ne dépassa pourtant pas. Il entreprit un furieux va-et-vient, qui me fit hurler de douleur. Et malgré cela, malgré le mal atroce qu’il provoquait en moi, je ne voulais pas qu’il s’arrêtât. Je voulais qu’il continue. Je ressentais du plaisir à avoir mal !

 

La sensation était vraiment bizarre: douleur et plaisir en même temps ! Mouloud continuait de pilonner mon cul en poussant des han de bûcheron. Il prenait son pied et me le faisait sentir en accélérant ses coups de boutoir et en soliloquant – de manière presque inaudible – avec des bouts de phrases en kabyle, arabe et français, qui indiquaient tout le plaisir qu’il prenait.
« Ach’hal yel‘ha ou khouzzidhim ! Akhouzzidh ajdhidh ! Ach’ha mlih ! En-hab en-nik en-nsa melour ! En-hab en-kessar ! Dhel djeneth ! Dhel djeneth bou bouchiw ! » (Comme ton cul est délicieux ! Un cul tout neuf ! Comme c’est bon ! J’adore niquer les femmes par derrière ! J’adore démolir ! C’est le paradis ! C’est le paradis pour mon zob !)


Et moi je continuais de crier de douleur à chacun de ses assauts. Mais mes cris devenaient de plus en plus faibles et se transformaient progressivement en gémissements, dans lesquels se mêlaient plaisir et douleur. C’est le moment que choisit ce diable d’homme pour me faire connaître une nouvelle sensation. Il lança sa main droite vers ma chatte et, après quelques secondes de réglage, y fit pénétrer deux doigts pour me masturber en même temps qu’il continuait de m’enculer. Quelle sensation !

 

 Je ne pus m’empêcher de hurler un « Ouiii ! » retentissant, pour faire savoir à mon maître que j’aimais ce qu’il me faisait. Je voulais faire durer cette nouvelle sensation de plaisir le plus longtemps possible. Je voulais même en, accroître l’intensité en bougeant mes hanches de manière à accompagner et les coups de boutoir du zob dans mon cul, et le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Je me mis même à lâcher des bribes de phrases crues, qui en fait n’étaient destinées qu’à accroitre l’intensité du plaisir que j’étais entrain de prendre.
«  Zid ! Ma tahbesch ! Ach’hal mlih ki et-nikni ‘hakdha melour ou et’hekli saouti ! Ach’hal the sneddh atseqouddh ! Ach’hal yelha oubouchikh ! » (Continue ! Ne t’arrête pas ! C’est merveilleux d’être enculée et masturbée en même temps ! Comme tu sais niquer ! Comme ton zob est merveilleux !)


Mouloud était le Diable en personne ! Il était entrain de me faire adorer la sodomisation ! J’étais maintenant sure de ne plus pouvoir m’en passer. Je sentais que j’allais avoir un orgasme vraiment exceptionnel. D’une intensité que je n’avais pas encore atteinte jusque là. Et pourtant, il m’avait semblé que j’avais déjà joui très fort cette nuit. Je sentais aussi que mon homme était sur le point d’éjaculer. Il accélérait encore plus ses va-et-vient dans mon cul et son souffle se faisait de plus en plus haletant. Il cria qu’il n’allait pas tarder à jouir et à m’inonder de sperme. Tout en continuant de soliloquer, Mouloud accélérait les furieux allers-retours de son sabre dans mon boyau et de ses doigts dans mon vagin.


Ce fut lui qui céda le premier. J’entendis un râle d’enfer et je sentis comme une brulure à l’intérieur de mon cul : la brulure d’une première giclée de sperme épais et visqueux. Il continuait de pilonner mon anus pour se vider complètement, en rugissant comme un lion. Je pris la main qui me masturbait et lui fis accélérer le mouvement de manière à ce que l’immense orgasme que je sentais débouler en moi, arrive au moment même où Mouloud aura fini d’éjaculer. Et je tombais en tournoyant
dans un immense puits de jouissance. Je me sentais sortir de mon corps, pourrejoindre le monde merveilleux du plaisir sexuel. Ce que je ressentais dépassait de loin tout ce que j’avais ressenti jusque là. Je hurlais que j’étais entrain de jouir ! (comme si ce n’était pas visible et que cela ne s’entendait pas !) Je criais que je voulais recommencer toute de suite après !
« En-3âwdou en-nikou ! Goul-li ett-3awed et-nik-ni ! ‘hak-dha melour ! Es-dheffir ! Seg khouzzidh ! » (Nous recommencerons de niquer ! Dis-moi que tu recommenceras de me niquer ! Comme cela, par derrière ! Par derrière ! Par le cul !)


Et, vaincue par la fatigue, je m’affalai, fourbue sur le lit, entraînant mon homme avec moi.
Mouloud resta un long moment sur mon dos, son membre toujours en forme, planté dans mon anus. Je sentais qu’il en voulait encore. Plus que moi qui étais vraiment fourbue et qui avait mal partout. Mais je ne voulais pas en rester là : je me disais que le désir de mon homme n’était pas totalement assouvi et que je me devais de rester à sa disposition.

 

D’ailleurs, c’était exactement ce qu’il pensait. Je restais sa chose – sa kelba (sa chienne), me dit-il. En sortant sa queue, toujours en érection, il se remit debout au bord du lit, me retourna pour que je lui fasse face, et m’ordonna de
venir sucer sa queue, pleine de mes sécrétions anales.
« Lahssi-li zebi ! Ghaslih be-foumek ! » (Lèche-moi le zob ! Lave-le avec ta bouche !)


J’eus une hésitation à obéir à un tel ordre. Il ne me demandait rien de moins que de sucer et avaler mon caca. Mais en voyant son regard qui devenait sombre, je compris qu’il ne plaisantait pas et qu’il me fallait en passer par là. Vaincue et soumise, je me mis à nettoyer la superbe queue de Mouloud avec ma langue. J’avalai,avec un peu de dégout au départ, puis de plus en plus consciencieusement- tout ce que ma langue ramassait sur le mât de mon homme, entre le reste de foutre et les produits de mon cul.

 

De temps en temps, je levai la tête et jetait un regard inquiet sur le visage de Mouloud pour voir s’il appréciait. Il souriait aux anges ! Il était heureux ! Il adorait ce que j’étais entrain de lui faire ! J’étais sa chienne obéissante et il adorait ça ! Et moi aussi j’aimais cette situation avilissante pour moi ! J’étais vraiment devenue sa chose ! Il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Je crois – mais je ne lui dis jamais – que s’il m’avait demandé d’aboyer, je l’aurais fait sans hésiter.


Pour lui démontrer que j’étais à l’écoute du moindre de ses désirs, j’ouvris très grand ma bouche et y fis pénétrer la queue pour une nouvelle fellation. D’une part je voulais finir de nettoyer complètement l’engin et je ne trouvais pour cela rien de mieux qu’une pipe, et d’autre part, je voulais qu’il jouisse encore une fois. Mouloud accepta le cadeau que je venais de lui faire – sans qu’il n’ait eu à me le demander – et me laissa mener la fellation à mon rythme et à mon goût.

 

Il ne me fallut pas plus de deux minutes pour l’entendre rugir et pour recevoir une giclée de sperme à l’intérieur de ma bouche. Le jus n’était plus aussi abondant et épais que les autres fois. Cette fois-ci j’avalais le tout. Je sortis l’engin de ma bouche – il avait complètement ramolli – et, fière comme si je venais d’accomplir un exploit, je levai la tête pour regarder mon homme dans les yeux et lui envoyai un sourire éclatant en lui demandant :
« Et hab-ni ? (Tu m’aimes ?)
- Hemlagh-kem ! En-habek ! » (Je t’aime !)

 

A suivre....

Ven 18 nov 2011 2 commentaires
belle suite une femme docile qui a su donner et prendre du plaisir
romain57 - le 19/11/2011 à 11h56

Docile, oui, mais aparce qu'elle en avait très envie, en fin de compte...

Sophie de R.
bonjour , tres belle sodomie mais avec douceur , j'ai deja ete aussi loin mais je ne suis pas aussi lyrique lol
daniel59 - le 21/11/2011 à 08h47

Le principal est que cela t'ait plu ! bisous

Sophie de R.