Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Seize heures, l’heure du goûter, les enfants sont tous alignés le long du mur du réfectoire. La cloche vient de sonner, et la directrice de la colonie de vacances ne va pas tarder à arriver. Un bruit de porte se fit entendre, mais ce fut l’assistante de direction qui fit son entrée, une jolie brunette avec des yeux d’un gris bleu fantastique, un regard et une démarche féline, on dirait une panthère. Elle me regarda et me dit doucement à l’oreille :
« La directrice te demande.
- Que me veut-elle ? répondis-je.
- Je ne sais pas, mais ça va barder : »
Je filai sans plus attendre, et au moment de frapper à la porte, une voix sèche et autoritaire se fit entendre :
« ENTRE ET FERME LA PORTE DERRIERE TOI !!!!!!!!!! »
J’obéis sans discuter.
Je me retrouvai planté devant la plus belle directrice de colonie qu’il m’ait été donné de servir, c’est d’ailleurs la seule raison pour laquelle je reviens ici tous les étés. Elle me criait dessus, mais je n’entendais rien, subjugué pas sa tenue en cuir de ce jour. Une jupette stricte et droite s’arrêtant au-dessus de la mi-cuisse, qui laissait entrevoir le haut de ses bas noirs et brillants.
Elle se retourna pour passer tirer les volets de sa fenêtre et passa devant son bureau. Son visage était rougi par la colère, elle s’assit sur le coin de son bureau et laissa apparaitre son intimité, fraichement rasé. Son bustier cuir et chrome, lui enserrait la taille et faisait ressortir ses doux seins enserrés dans un soutien-gorge blanc.
Son visage parcouru pas la rage, ses sourcils froncés et son regard noir me rappelèrent qu’elle était en train de me crier dessus.
Tout ce que j’entendis, ce fut :
« A POIL DANS LE SAUNA ET MAINTENANT !!! »
Elle me poussa vers le dit lieu et m’ordonna de me déshabiller. Elle me regarda faire et me poussa à l’intérieur. J’étais nu comme un ver, et son regard se fit intéressé, le cuir de sa tenue se mit à perler comme mon corps perlait de sueur.
En plus de la chaleur de la pièce, je sentis monter une chaleur intérieure, à moins que ce ne soit celle de la directrice qui se mit elle aussi dans le plus simple appareil. La colère avait disparu, et laissait place au désir. Ses mains essuyèrent quelques gouttes sur mon torse, je posai mes mains sur ses épaules, et posa un baiser maladroit sur son cou.
Elle me repoussa violemment sur le banc en bois brulant. Elle posa sa jupe sur le banc en face de moi, et s’assit, releva une jambe. Son regard en dit long. Sortant de ma stupeur, je me mis à genoux devant sa cathédrale de saint-plaisir et posai mes lèvres.
Un sexe doux et parfumé, je le parcourus de ma langue, elle était humide et légèrement salée à cause de la chaleur du sauna. Elle s’allongea et me dit
« Vas-y, c’est ta punition, fais moi jouir !! »
Je pris ses fesses à pleines main, plongeai ma langue en elle, puis ressortis sur son clitoris, elle se raidit, j’avais trouvé là son détonateur à jouissance. Je faisais rouler sa petite bille sous ma langue, la titilla de mon nez. A chaque mouvement de ma tête ma directrice gémissait, soufflait, se tortillait. Ma langue allait et venait entre son anus et son clitoris, son souffle se faisait court, mais ce n’était pas dû à la chaleur du sauna. Elle se mit à hurler :
« NON, NON, ARRETE !!!! »
Elle me serra la tête entre ses cuisses, je sens ses ongles se planter dans mon cuir chevelu, puis se relâcha. Elle était « partie », j’avais réussi.
Se remettant de ses émotions, la directrice de colonie se releva, me regarda. J’étais tout excité, la verge tendue vers le plafond, gorgée de sang, prête à servir. Elle me regarda, et me dit d’un ton sadique :
« C’est moi qui commande, tu es viré ! »
Je ne savais pas ce qui m’était reproché, mais je m’en moquais, j’avais enfin pu gouter au fruit défendu de ma directrice préférée, la patronne de mes fantasmes, la déesse de mes envies. Ma muse s’était rhabillée et sortit de la pièce. Son mari qui l’attendait à la porte me fit un sourire complice et lui emboita le pas.
Je ne sentais plus la chaleur, encore sur mon nuage. Relevant les yeux, je vis une paire de jambes fines et gracieuses, des hanches douces et un regard de fauve. L’assistante était là, me fixant avec envie, mon corps offert lui plaisait-il ? Elle poussa la porte derrière elle et commença à défaire les lacets de son corsage.
A ce moment, je me dis que j’étais un veinard d’être puni deux fois dans la même journée, même si je ne sais toujours pas pourquoi...
Maxx
Rêve... ou réalité ???
Ah bon ? Tu aimerais etre ainsi à disposition d'une femme ?
Un peu soumis, mais situation excitante...
Une suite avec l'assistante s'impose. Bravo Max.
Helas, l'auteur n'aime pas écrire de suites....
En effet, et c'est volontaire !