Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Un samedi soir chez Jennifer. Elle, Jessica et moi, nous sommes montés dans sa chambre après un repas à trois. Après une petite discussion de tout et de rien, je leur dis que je dois m’absenter un petit peu. Ok, je sors de la pièce et je ferme la porte. Direction les WC ! Pas de besoin pressant, juste trop chaud de voir ces bombes avec moi toute la soirée ; je pensais à mes deux amies, Jessica, une brunette coquine très mignonne convoitée par tous, un regard et une poitrine de rêves ; Jennifer, la plus sympa des deux, un peu aguicheuse quand même mais sur laquelle je fantasmais à fond ! Beaucoup disaient qu’elle était blonde, en fait châtain avec des reflets ! Miam !

En revenant dans la chambre : surprise ! Les deux étaient en sous-vêtements, agenouillées, en train de s’embrasser. Elles dirent :
« Tu te joins à nous ? »

Restant planté là, elles se levèrent, vinrent vers moi avec un regard de braise et commencèrent à m’embrasser. J’étais trop heureux ! Au bout de quelques secondes, je n’embrassais plus que Jenny, mais je le faisais avec conviction tellement elle me plaisait à tous points de vue. Soudain, je sentis la fermeture de mon jeans craquer et mon caleçon soulevé : Jessica tenait et branlait mon chibre de seize centimètres.

Je lui dis :

« Fais-toi plaisir ! »

Elle me prit en bouche et j’eus un râle de plaisir tout en embrassant Jenny.
Après quelques minutes, sa fellation terminée, je faisais signe que j’aimerai changer. Jessica ne voulait pas m’embrasser plus que ça, alors, elle alla sur le lit, et moi, j’avais Jennifer seule. Elle se mit à la besogne et m’excitait comme jamais avec sa langue. Soudain, je la pris par son chignon, et commençait une gorge profonde : c’était intense ! Mais ni elle ni moi n’allions tenir, alors je lui dis d’arrêter après quelques coups.

Maintenant, je devais retirer la lingerie noire de ces demoiselles… Elles étaient débout près du lit, me souriant avec leur index sur la langue et le regard provocateur, et moi, au milieu de la pièce le chibre en l’air. Je m’approchais d’elles, face à face, et je les touchais et je leur tournais autour. J’avais quatre objets à retirer.

Je commençais avec le soutien-gorge de Jenny : ses seins étaient ronds, pas trop gros, avec de petits mamelons, bref, magnifiques ! Je les touchais et les mordillais, puis je lui proposais :

« On va jouer avec, tu veux ? »

Et c’est parti pour une branlette espagnole ! Ses seins rebondissaient, et je me dis que Jssie était jalouse. Alors j’arrêtai le va-et-vient, mis des bifles à Jenny et fourrai mon chibre dans sa bouche. Sa joue fut déformée. Puis, à l’attaque de Jessie : ses seins étaient un peu plus gros et sa peau mate de nature donnait un effet supplémentaire. Et rebelote ! Sauf, qu’à la fin de la deuxième branlette, j’avais une goutte au bout du membre, qui disparut, lapée par sa grande langue.

Enfin les strings : j’ai retiré les deux d’un coup. Je commençais un cunni sur Jennifer et je doigtais Jessica en même temps : la chatte de Jenny était belle, rosée et rasée, son clito bien dessiné. Elle mouillait pas mal déjà sous mes coups de langue quand j’inversais les bénéficiaires : Jessica l’avait plus étroite, un peu poilue et assez humide quand même. Mais elle ne mouillait pas comme Jenny.

Cependant, elle gémissait bien fort.
Une fois cette partie finie, nous sommes allés dans le salon personnel de Jennifer, sur un canapé. J’avais trop envie d’elle, alors je la pris par le bassin, la mis sur le dos au bord, et c’est parti pour un missionnaire ; mon membre chaud dans sa chatte humide lui donnait beaucoup de petits râles et elle n’ouvrait même pas les yeux.

J’entendais :

« Oui… c’est bon… »

Alors, je lui pris ses deux jambes qui étaient maintenant à la verticale : mon chibre coulissait bien entre ses grandes lèvres. Quand je décidai de passer à Jessica, j’embrassai Jenny sur le canapé, lui glissai un petit mot à l’oreille, puis, elle se leva, marcha et sortit en se doigtant.

A Jessie, je promis avec un sourire carnassier :

« Toi, tu vas voir !

- C’est ça oui, mon ex avait une bite de vingt-deux centimètres et il te bat en cunni ! »

Qu’importe, je la pris par le cul, la mis sur le canapé à son tour, et après quelques secondes d’anulingus, je la fourrai dans sa petite chatte ; un peu motivé, je la défonçais en levrette, si fort, qu’elle criait :

« Vas-y fourre-moi, oui, oui !!! »

La prendre en anal aurait été superflu, et trop pour elle.
A ce moment-là… le meilleur est arrivé : Jennifer est rentrée en collants noirs terminés par de la dentelle, ses lunettes D&G sur le nez et son doigt sur sa langue, comme une soubrette n’attendant plus qu’une chose… J’arrêtai tout avec Jessica, j’avais la langue qui pendait ; elle s’approcha, me suça quelques secondes, puis s’offrit à moi en levrette sur le canapé.

Jessica embrassait Jennifer, moi, je profitais de son cul de rêve avec mes doux va-et-vient, je la caressais aussi… Cette fille est d’une douceur incroyable, elle est belle et je fantasmais sur elle depuis longtemps. C’est super qu’elle ait accepté... Par contre, j’ai failli gicler dans son minou, il a fallu que je me calme. Elle ne mouillait plus autant que tout à l’heure. C’est alors que je leur ai proposé un jeu : faire une pyramide. Pour cela on est revenu à la chambre.

On a commencé avec Jennifer sur le lit, couchée sur le dos, puis Jessica, est venue se mettre à califourchon au-dessus de Jennifer: cela prouvait qu’elles avaient un côté bi, sympa.
Jessica lui faisait un cunni avec gourmandise sous mes yeux émerveillés… Quant à moi, j’étais de retour dans sa chatte humide, c’était aussi bon qu’avant. Jessie m’embrassait aussi, c’était vraiment bon, mais elle était impatiente de changer.

C’est alors qu’elles ont inversé, Jenny et moi, nous nous embrassions langoureusement, et Jessica… je la défonçais ! J’allais de plus en plus fort, envie d’en finir avec elle quand soudain, elle eut un orgasme et moi dans la foulée, je décalai Jennifer, pour gicler sur son visage : Jessie était blanche de crème. Elle était abasourdie, se leva, marcha avec hésitation et sortit, certainement pour aller se nettoyer. J’avais gagné je pense, je devais être plus fort que son ex.

Jennifer était jalouse du traitement de Jessie, et moi, je voulais surtout sauter Jenny. Elle me dit :

« Et moi alors ? »

Elle se baissa, me suça afin de récupérer tout le jus possible. Au bout de quelques minutes, je recommençai à grossir et lui dit :

« Anal plus crème ça te va ?

- Ouiiiii !!!! »

Je la pris sur le lit, elle au-dessus dans le cul : le va et vient lui procurait beaucoup de plaisir, je continuai jusqu’à ce qu’elle dise

« Oui, Ouiiiiiiiiii ! Encore quelques coups ! »

Son anus était trempé de cyprine fraiche et odorante pour une demoiselle pourtant très fraiche et raffinée. Après, elle s’agenouilla et se remit à me sucer jusqu’à ce que je sauce dans sa bouche. Elle tira la langue, avala le jus frais et soupira :

« C’était très bon, j’aime çà, il faudra qu’on recommence à l’occase. »

Voilà la fin de cette soirée hot.

Signé : Un anonyme heureux…