Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Jennifer et Stan Brooks, couple d’anglais Aristocrates de belle lignée, avaient acheté un Manoir en France où ils recevaient bon nombre
de leurs Amis de qualité, auxquels nous avions l’honneur d’appartenir.
La Comtesse et le Comte adoraient les chiens et possédaient huit magnifiques Labradors, quatre noirs aux poils luisants et quatre «
yellow », des animaux puissants, affectueux, aimant à être câlinés et caressés et, ma foi, si bien montés, qu’ils savaient faire office d’Amants de qualité auprès de quelques Dames venant là
visiter nos deux Châtelains et sachant là trouver apaisement à leurs désirs les plus inavouables.
C’est que ces chiens n’avaient jamais couvert de chiennes, ignorant la chair animale et ne connaissaient donc que les intimes chairs
des femmes qu’ils semblaient apprécier tout particulièrement, et c’était là des joutes sans fin, laissant apaisées, mais épuisées les belle visiteuses de ce Manoir particulier. Ces biens secrètes
pratiques et ces rendez-vous –qui avaient lieu une fois par mois- proposaient des accouplements qu’on eût dit « hors nature » ; mais qui n’en étaient pas moins appréciés dans leurs révélations
charnelles par ces quelques belles Oiselles à la recherche de nouvelles sensations !
Toilettés, entretenus, bien nourris, nos huit beaux « monteurs » ô combien puissants et affectueux, contentaient donc ces Dames qui se
faisaient allègrement chevaucher et prendre sans pudeur, en un feutré salon, par ces endurants et ardents canidés.
Dès l’arrivée des invitées, les chiens leur faisaient fête, ce n’était que léchées, aboiements de bonheur, les chiens sentant bien là
de bonnes chairs féminines aux muscs et parfums qui les excitaient au plus haut point. Ainsi, un chien choisissait-il sa « cavalière » et ne la quittait plus, battant de la queue, geignant de
plaisir, implorant ou insistant, une patte posée sur quelque genou, affectueux à l’excès, griffant un bas, bandant déjà de belle manière, prêt à tous les ébats. Ces Dames, toutes troublées, les
joues roses de plaisir caressaient alors la tête de l’animal, flattaient ses flancs, se laissaient embrasser sur la bouche, dans une ronde d’amour et de séduction des plus révélatrice des envies
de chacune…
Une main fine et longue pouvait aussi se risquer à quelque caresse appuyée vers le sexe, le saisissant entre les doigts, le pinçant
joliment, allant même jusqu’à le décalotter finement, épousant de la paume les belle s couilles rondes, chaudes et battantes, une sorte d’appréciation de la virilité… L’on allait même souvent
jusqu’à feller avidement quelque sexe rose et long, bien tendu, appréciant ainsi avant les ébats celui qui serait un parfait chevaucheur. Le chien commençait à haleter, se faisant plus pressant
et c’est alors que l’on passait au Salon pour des choses plus sérieuses que je me propose de vous conter ici…
Les Châtelains eux-mêmes appréciaient et partageaient ces réunions, très actifs dans le déroulement des opérations. Chacune des
visiteuses se mettait en place, ne conservant que bas et porte-jarretelles ou encore jarretières, excitantes à souhait, féminines, délicatement parfumées, bref excitantes ; les chiens alors
devenaient comme fous et allaient de l’une à l’autre, choisissant celles qu’ils voudraient monter…
Car ils avaient leurs habitudes et leurs choix, bien que variés, revenaient souvent à quelque habituée, plus vicieuse qu’une autre,
offrant des postures, douée d’initiative perverse dans la recherche du plaisir avec l’animal, se prostituant à lui, tout en ne délaissant point le sexe de quelque bel homme bien fait qui, entre
deux saillies des canidés venait prendre à son tour son plaisir…
Cela agrémentait de belle manière les échanges, et l’on pouvait ainsi rester quelques deux ou trois heures en un salon clos à
multiplier les accouplements. A l’issue de ces longs égarements charnels, une belle table était servie et les convives pouvaient se restaurer et reprendre des forces après de telles prolongées
joutées.
L’on pouvait retrouver en ce salon, de belles adeptes de ces pratiques : la belle et brune, autant que piquante Nicole d’Engerrey,
Chantal de Cyrignac, une Servante même, la « Lieutenante », la Châtelaine elle-même, fervente zoophile, faisant preuve de belles initiatives en de telles occasions, vicieuse, perverse,
recherchant le plaisir sous toutes ses formes.
Une belle femme un peu sèche, mince, petite poitrine, jolies fesses fermes et nerveuses, mollets aguichants, taille de mannequin en
dépit de ses cinquante ans passés… Toujours bien coiffée, la classe et la distinction émanaient d’elle, une vraie noble. Elle portait souvent de hauts bas noirs ceints de jarretières rouges
finement brodées. Ses joues creusées, les rides harmonieuses de son visage, ses longs doigts caressants, contribuaient à lui donner l’aspect d’une sorte de « Prêtresse » fiévreuse appréciant
autant la femme que l’homme auxquels elle prodiguait les mêmes caresses fébriles avec à la fois un calme ordonné qui en imposait à ses… « Sujets ». Car chacune et chacun de ses adeptes était «
son » Sujet… Une Passionnée ! Mince, élancée, « Prêtresse » absolue. Nue. Femme. Caresseuse. Masculin-féminin unis au vice.
Le Marquis, Stan, son époux, était de bonne lignée, avait une belle prestance, perruque blanche, finement poudrée, habits finement
brodés, dentelles, jabot, grande tenue et maintien, cape. De conversation recherchée, il souriait, séduisait…
Son épouse et lui-même parlaient très bien le français, mais avec une petite pointe d’accent qui ne leur donnait que plus de charme et
d’allure.
Cet après-midi là, nous étions arrivés, la Marquise et moi-même, très impatients de goûter à de tels plaisirs que nous avions déjà
découverts en compagnie de nos bons Amis, Nicole et Albin d’Engerrey, chez eux dans leur propriété en bord de Loire.
Vous souvenez-vous de mon récit « Le Grand Boudoir aux lévriers » et de leur chien
« Uranus » ?
Il ne manquait là que la belle Valérie de Versanges, zoophile confirmée et d’une grande beauté, hautaine, distinguée, très sensuelle,
toujours à la recherche de nouveaux plaisirs et expériences sensuelles autant que sexuelles… Nous avons d’ailleurs plus tard porté un toast à cette belle Amie et déploré son absence lors de
telles agapes et folies partagées. Je dois avouer que j’étais attiré par cette femme (Françoise, ma Mie le savait et aimait à me voir prendre du plaisir à l’aimer et à l’honorer au cours de nos
soirées particulières), mais les autres de nos Dames présentes ne manquaient point de charme, ni de talents cachés toujours susceptibles de nous séduire.
Jennifer Brooks nous fit servir des rafraîchissements et en fort gente compagnie, nous gagnâmes le salon. Etaient présents Albin, époux
de Nicole, Chantal et Marcus de Cyrignac, Jennifer et Stan et l’une de leurs domestiques mince, discrète, attentive, brûlante, aux sens aiguisés et qui, paraît-il, se révélait être très experte
dans les relations femme-chiens… moi-même et bien sûr, nos quatre premiers Labradors intervenants qui montraient déjà de l’impatience… Il y avait donc quatre femmes, quatre hommes et quatre
merveilleux « étalons » canins pour la première partie de ces ébats… Nous prîmes place.
Comme ces femmes étaient belles, dans l’attente de plaisirs inavoués ! Je voyais leur image se refléter en des psychés où tremblaient
des chandelles disposées de manière à ce qu’elles éclairassent les participants dans la demi-obscurité, les ouvertures étant déjà bien calfeutrées en cette fin d’après-midi. Jennifer, grande
prêtresse de ces réunions secrètes, était assistée de sa « lieutenante » Ninon, la servante, toute dévouée à cette belle femme aux mœurs très coquines et dont elle était la complice en des jeux
de Sappho auxquels nous savions qu’elles s’adonnaient toutes deux…
Il faut dire que la Servante était magnifique, des plus désirables, possédant même un port de tête digne de quelque Aristocrate qui
aurait « fauté » avec quelque Marquise ! Jennifer et Ninon distribuèrent les « rôles » : Nicole et Françoise se gouineraient, excitant les chiens par leurs poses alanguies, tandis que Chantal se
ferait ensuite monter par le premier des canidés, Jennifer et Ninon s’adonnant à leurs vices préférés en vue d’exciter les coquins que nous étions…
Nicole et ma femme, tendrement engouinées, se caressaient fiévreusement et à chaque fois je ne pouvais résister au plaisir de les
contempler, cela m’excitait et je commençais à bander. Mais je bandai encore plus, quand j’aperçus Chantal, cuisses ouvertes qui offrait son beau sexe bien fourni à la langue du premier Labrador
qui ne se gênait point pour la lutiner d’une langue longue, divinement rosée qui humectait les poils bruns et frisés de sa chatte…
Albin et Marcus se branlaient en cadence ne quittant pas des yeux Jennifer et sa belle gouine de servante qui l’enchâssait… Stan se
joignit à eux, partageraient-ils à trois les deux femmes ? Chantal caressait le chien qui léchait toujours son sexe, enfouinant sa belle langue au plus profond de la fendine que notre divine
pécheresse s’employait à écarter généreusement. Le chien bandait de plus belle et devint exigeant, voulant à présent la monter sans tarder…
Chantal ouvrit bien les jambes et là, magnifiquement écartelée, dirigea le long sexe vers le centre de son plaisir, ce corail rose
magnifique : le chien la pénétra rageusement, elle poussa un petit cri et fut envitée au plus profond… Le trot se fit, ses hanches s’agitaient, le chien la dominait, museau tendu dans son cou,
langue tirée, il pénétrait cette belle femme avec l’ardeur d’un humain, quel Amant ! Chantal se mit à geindre, écartant plus encore les cuisses, jambes en l’air, offerte, impudique, splendide
vicieuse ne cachant pas ses penchants… Elle maintenait à bras le corps l’animal contre elle, se tendait, s’offrait, remuait des reins, baisée en bouche par l’animal qui allait jouir, cela se
lisait sur son faciès, les babines se dilatant, crocs apparents ; les halètements se faisant plus pressés… IL JOUIT !!
Je me dis que je voudrais prendre Chantal aussitôt après, être dans le bon foutre chaud de l’animal, aller et venir en ce joli con
qu’elle avait si bellement abandonné à son canin d’Amant… Le chien dégonfla, les flancs haletants, sa belle bite sortit de sa cache, mouilla un peu plus les poils et retomba, pendante, mais
encore raide, laissant couler un trop-plein de foutre sur le parquet…
Je m’approchai de Chantal encore essoufflée, pâle, mais comblée dans son vice ; elle me sourit et me tendit les bras… Je m’agenouillai,
pointai mon vitin vers ce sexe baillant, foutré de blanc, excitant, désirable et je pris la place du chien… Je m’enfouinai prestement et glissai délicieusement dans les humeurs canines, pour
gagner le fond du con, à la mottine si généreusement tendue…
Chantal m’attira étroitement contre elle et murmura :
« Baisez-moi à votre tour, mon bon Armand, ce chien m’a épuisée, mais j’en veux encore, ne savez-vous point que je suis gourmande ?!
»
Je la besognai sans compter, elle cria, croisa ses jambes sur mes reins, j’étais à fond en elle, ses bas blancs bellement jarretés,
crissaient au plus fort en va et vient répétés, je défoutai, quelle belle débauchée j’avais là enfilée !
Une Amante de qualité, très vicieuse et cochonne à souhait…
Nicole était fermement montée par un des Labradors, ne lui laissant aucun répit, il jouit par deux fois en elle et puis, ce fut le tour
de Françoise, ma Belle qui fut mise pareillement, mais qui ayant tendu son cul, fut ainsi prise analement aussitôt après et de belle façon par le chien sodomite, se comportant bien en cette
position et sachant se montrer vraiment très endurant et persuasif à la façon qu’il avait de maintenir fermement ses hanches entre ses pattes! Jennifer était enculée par Albin, tandis que Marcus
étendu sous la Servante la prenait à coups répétés, Stan prenant la « Lieutenante » en cul en même temps…
Trois corps au paroxysme de l’excitation… Jennifer, sodomisée, geignait ; l’un des Labradors venait lécher le gros sexe et les couilles
d’Albin qui besognait le petit anus dilaté de la « Maîtresse de Cérémonie » au comble de la jouissance…
Stan ayant déculé de la Servante, je pris sa place, l’on me reçut et le cul à nouveau s’agita au long de cette nouvelle pine qui venait
le fouiller… Quelle ivresse ! Au-dessous, Marcus reprenait de l’élan et sans doute stimulé par le nouveau baiseur de sa partenaire, donnait de superbes coups de boutoir à son con qui allait et
venait sur sa pine gonflée, tandis que je m’enfouignais toujours dans ce cul avec délice… Je ne pus m’empêcher de griffer les bas et jarretelles de cette « gueuse » que je maintenais fermement
par les hanches, leur imprimant le trot de mon vit qui s’accordait parfaitement avec celui de Marcus en dessous.
Nicole et Françoise se laissaient encore monter par les chiens, folles de plaisir ; l’un des Labrador poursuivait son office dans le
petit cul de ma femme qui geignait comme une folle, maintenant les pattes avant de son monteur pour le bien sentir en elle et qu’il ne s’écartât point… De fait, le chien l’enculait-il bel et
bien, comme un humain l’aurait fait ! Je jouis dans le cul de la Servante qui me gratifia d’un immense et ultime coup de séant, ses rondes fesses atteignant mes couilles ; Marcus jouit à son
tour… Nous restâmes ainsi tous les trois agglutinés, haletants, comblés…
Après une toilette en bonne et due forme, Jennifer nous convia à prendre une coupe de champagne en un petit salon attenant. Les mines
étaient épanouies, bien que présentant des cernes révélateurs et les joues pâles de nos jouteurs attestaient de l’intensité et de la fréquence de leurs jouissances.
Ces Dames, en bas et porte-jarretelles, les petits seins conquérants, les croupes rebondies, l’oeil brillant (le champagne ?) attendant
sans doute encore d’autres plaisirs, riant, s’enlaçant, se donnant de petits baisers prometteurs… Les chiens, vedettes tout de même de la soirée, arpentaient le salon, allant des unes aux autres,
la queue battante, la langue lécheuse sur un mollet ou une cuisse à leur portée…
Jennifer annonça une nouvelle « figure » dans nos ébats et nous la décrivit…
« Chères Dames, mes Amours, cette scène nous allons la jouer toutes ensemble, vous mes bons Seigneurs serez spectateurs, mais après, je
vous le promets, vous saurez être récompensés… ». Sur une couche large et confortable, confectionnée par deux Servantes (non participantes) et disposée au centre du grand salon où nous avions
déjà exercé nos talents, ces Dames allaient nous offrir leurs jeux les plus osés, uniquement entre elles et avec les chiens, seul Eros, Sappho et la gent canine en seraient les
exécutants…
A suivre...
Le Marquis de Chair
Vraiment ? tu l'as deja fait ? Tu y as trouvé du plaisir ?
Ne t'en fais pas, de nombreuses personnes pensent comme toi !
Elle viendra d'ici uen semaine, je pense....
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En effet, et les chiens dressés uniquement à cela, quelle idée unique !
Je te rejoins, l'ecriture de ce Marquis est une pure merveille !
Entre temps, elle est arrivée et mille excuses pour le retard dans mes reponses !
Il faut que tu te rapproches des "bonnes "personnes" ! si tu veux, il y a un groupe secret sur facebook, dedié aux amateurs comme toi...
que la suite arrive vite qu'à nouveau je bande en la lisant !!!
J'ose esperer que la suite t'avait autant plu !