Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Ce soir, au bureau, a lieu le pot de départ d'un cadre qui prend sa retraite. Laurent et Marie-Claire, sa ravissante épouse, et une
vingtaine de collaborateurs sont invités. Il y a également Frank, le directeur de la société, la cinquantaine, très séduisant, à qui on attribue de nombreuses conquêtes féminines.
Marie-Claire ne connait personne. Laurent fait les présentations, et remarque que
Frank garde un peu plus qu'il ne faut la main de sa femme au creux de la sienne.
Même le regard ne trompe pas, il dénonce presque une profonde attirance.
« Madame, dit Frank, Laurent n'a jamais dit qu'il avait une épouse aussi ravissante. »
Marie-Claire se sent rougir.
« Je vous remercie Monsieur.
- Oh là, sourit Laurent, il va falloir que je surveille tout ça ... »
Laurent, malgré tout reste en confiance, s'éclipse pour rejoindre d'autres collègues de travail.
Marie-Claire se confie à Frank, parle de ses activités, ses séances d'aquagym, tous les vendredis, avec ses copines, sa solitude quand
son mari s'absente trop longtemps, ses manques de contacts. Elle avoue même qu'elle est sure que son mari la trompe.
« Voulez-vous travaillez pour moi... chez vous ? propose Frank. Rien de bien méchant.
Réfléchissez, tiens, je vais m'inscrire à l'aquagym. On en reparle vendredi, d'accord ?
- Pourquoi pas ? » répond Marie-Claire, avec un petit sourire enjôleur.
Sur le chemin du retour, Laurent mitraille sa femme de questions, sur sa discussion avec Frank. Celle-ci reste évasive, ne donne pas de
détails, sauf sur la proposition de travail. C'est donc par hasard qu'il apprend que son patron s'est inscrit à l'aquagym.
Pire, il apprend que le repas de fin de saison de l’association sportive tombe le dernier vendredi de juin, jour où le couple avait
prévu de passer le week-end aux Saintes Marie de la Mer. Il espère quand même que son épouse va le suivre. Le couperet tombe en début de semaine.
« Oh mon chéri, j'avais complètement zappé le repas de l'association, c'est vendredi !
Ça ne te dérange pas si je ne t'accompagne pas aux Saintes ?
- Je pense que tu as déjà pris ta décision, répond Laurent. Et il y aura qui?
- Ben... ceux qui sont inscrits... essentiellement mes copines...
- Et Frank bien sur, reprend Laurent.
- Je pense, oui, poursuit Marie-Claire, mais il y a d'autres hommes aussi. »
Le vendredi vingt quatre juin, Laurent est prêt à partir, quand Marie-Claire rentre de la piscine pour se changer.
« J'y vais vite mon chéri, Monique m'attend...Tu rentres dimanche? Embrasse tout la famille pour moi. Allez... Bisous...
»
Laurent a un mauvais pressentiment, il regarde tristement son épouse passer la porte.
Il sait que quelque chose se trame pour avoir vu à plusieurs reprises son directeur chez lui en rentrant du bureau, pour soit disant
porter des dossiers. Ils étaient souvent assis au salon en train de prendre l'apéritif, riant aux éclats. Et femme qui rit...
Déçu, il prend son sac et quitte la villa.
Sans se douter des interrogations de son mari, Marie-Claire se rend à sa soirée, toute heureuse de la passer en compagnie de ce
séduisant patron… Son repas se termine vers vingt deux heures, et le groupe décide d'aller prendre un dernier verre en boite. Après une série de danses ou il est très difficile de draguer sa
partenaire, je DJ se décide enfin à passer un slow. Frank en profite pour inviter Marie-Claire. Elle accepte immédiatement, heureuse de se retrouver dans se sbras…
De suite, leurs corps ne font qu'un. Pendant que Frank la prend par la taille et la plaque contre lui, Marie-Claire passe ses bras
autour du cou de son cavalier. Par maladresse, ou pas, leurs lèvres sont à deux doigts de se toucher.
La danse terminée, ses copines, qui ont vu le manège, l'attendent au bord de la piste.
« Il est minuit, dit Monique, on rentre, tu viens ?
- Non, pas encore, mais ne vous inquiétez pas, Frank me ramènera.
- J'espère que tu sais ce que tu fais, poursuit sa copine. Je te rappelle que tu es mari à un homme charmant et amoureux de
toi…
- Oui oui, je sais, ne t’en fais pas pour moi, je sais ce que je fais... »
Toute la bande se retire, laissant seul le couple accoudé au bar. Soudain, Frank saisit
Marie-Claire par l'épaule, lui fait faire un demi-tour, et l'appuie contre un pilier. Là, il se colle à elle, et lui prend les lèvres.
A demi-surprise, Marie-Claire passe ses bras autour de son cou, et répond fougueusement au baiser.
« Tu veux qu'on aille chez moi ? lui murmure-t-il à l'oreille.
- Est-ce bien raisonnable ? répond-elle. Et puis... pourquoi pas ? »
Elle fait taire la petite voix qui lui dit qu’elle a tort, qu’elle va faire une grave erreur.
Arrivée à la villa de Frank, Marie-Claire refuse le verre qu'il lui offre, car elle veut rester lucide. Il invite à s'asseoir sur le
canapé, et la prend dans ses bras. Pendant qu'il l'embrasse, ses mains parcourent le corps de Marie-Claire, une va même se loger entre les cuisses, qui s'ouvrent sous la pression. La caresse se
précise. Un doigt, plus curieux que les autres, écarte la petite culotte, et court sur la fente. Marie-Claire lâche son premier gémissement.
« Allons au lit », propose-t-il, pressé de conclure avec sa conquête du soir.
A peine arrivé dans la chambre, le couple se déshabille. Marie-Claire s'allonge sans hésiter sur le dos, entièrement nue. Frank pose un
genou sur le lit, et commence à caresser les seins, puis, lentement descend vers la source d'amour. Les doigts pénètrent la chatte humide, mène ce corps splendide par le bout du clitoris.
Marie-Claire s'agite sur le lit.
« Arrête... Tu vas me faire jouir ! Prends-moi s'il te plait.
- Calme-toi ma chérie, on a toute la nuit.
- Mais j'ai envie...donne-moi ton nœud au moins que je le suce. »
Frank se recule. Sa bite se tend comme un ressort, quand elle passe l'élastique du caleçon.
« Ben dis donc, s'écrie Marie-Claire, tu voulais me cacher ça ! Vite, fais-moi gouter ! »
Pendant que la jeune femme engloutit le sexe au plus profond de sa bouche, les doigts de Frank reprennent leur travail de sape dans la
chatte maintenant pleine de mouille.
Il pousse un râle de plaisir quand Marie-Claire entame sa fellation.
« Houa...attend... je vais te boire moi aussi. »
Et il plonge sa tête entre les cuisses de sa conquête. Celle-ci se cambre sous les coups de langue experts de son amant. Le cuni est
féroce.
« Hum...hum...parvient à dire Marie-Claire la bouche pleine... tu me maques salaud ! Hou, que c'est bon ! »
Visiblement, elle a oublié tout de sa vie de famille, et de femme mariée…
Avec un plaisir non dissimulé, elle sent la bite de Frank se tendre dans sa bouche, sent qu'il va cracher son venin. Elle le ceinture
pour l'empêcher de se retirer, et sentir le sperme gicler au fond de sa gorge, au moment ou, elle aussi a un terrible orgasme.
« Oh mon dieu... gémit-elle. On a joui ensemble ! Mhum... Nique-moi maintenant, vite... »
Frank se met sur le dos, et demande à Marie-Claire de se mettre sur lui. Ils s'embrassent, puis elle glisse une main entre leur cops,
saisit la hampe en érection, et la fait coulisser dans sa chatte. Elle se redresse orgueilleuse, poitrine tendu en avant, empalée sur l'énorme bite, se caresse les seins. La bouche ouverte et les
yeux fermés, elle donne de violents coups de reins.
« Que c'est bon d'être une femme... de bien se le faire mettre... Vas-y... tu me défonceras le cul après... Il y si longtemps
que...hou...hou... Je vais jouir encore... oui... Oui...
- Déjà, dit Frank surpris, mais tu viens à peine de... Toi ; tu es en manque de coups de bite ! Je vais combler ce vide. »
Pendant toute la nuit, tous les trous de Marie-Claire vont être honorés. C'est sous la douche matinale que Marie-Claire va se faire
saillir une dernière fois. Comme elle l'avait demandé, Frank va l'enculer bien profond.
Dans la matinée, Frank ramène Marie-Claire. Ils s'embrassent, mais elle ne promet pas de le revoir, jugeant cette relation sans
lendemain.
Le dimanche soir, Laurent débarque à la villa. Marie-Claire est sagement assise devant la télé.
« Alors mon chéri, dit-elle en l'embrassant innocemment, ton week-end s'est bien passé ?
- Impec, répond-il, et toi, ta soirée au restau... tu t'es bien amusée ?
- Bof.. .rien de spécial, on est rentré vers minuit. »
Il veut la croire mais son instinct lui souffle qu’elle ment…
En fait, c'est quelques jours plus tard que Laurent va en savoir d'avantage. D'abord par Monique, qui involontairement, dit être bien
rentrée vers minuit, mais que Marie-Claire, est resté avec Frank.
Mieux, c'est un copain du club de foot, n'étant au courant de rien, va confirmer ses dires.
« Putain, je t'ai vu coincer ta femme contre le pilier en boite, c'était chaud ! »
Dans la lumière tamisée de la boite, son copain l'a confondu avec Frank. Laurent a bien l'intention d'emmener sa femme à lui avouer la
vérité. Le dimanche d'après, Laurent est réveillé par une agréable sensation au bout de sa queue.
C'est tout simplement Marie-Claire, qui est en train de lui tailler une pipe.
« Hum...mon épouse aurai-t-elle des envies ? demande-t-il
- Et toi, t'as pas envie...viens ici... »
Il n'a pas le temps de répondre que s'abat sur lui une vrai tornade. Il a l'impression qu'un ouragan traverse le lit, et ne souvient
pas avoir vécu une telle relation. Au bout d'une heure, le couple git sur le lit, épuisé.
« Je vais préparer le petit déjeuner », dit Laurent.
Dix minutes plus tard, Marie-Claire le rejoint après être passé par la salle de bains. Elle lui donne un tendre baiser sur les
lèvres.
« Tu as aimé mon chéri ? demande-t-elle.
-Oh putain...vraiment super...mais j'ai le sentiment bizarre que tu as quelque chose à me dire, de faire pardonner d'un truc...je
ne sais pas... »
Un long silence s'installe, puis Marie-Claire craque, et passe à table.
« Tu as raison, dit-elle d'un air triste, je t'ai trompé avec Frank. J'avoue m'être laissée séduire. Mais toi même, ne m'as-tu
jamais trompée ?
- Si, je l’admets, mais ce n'est pas que tu me trompes que je te reproche, mais c'est avec qui. Tu sais que ce sont des hommes
qui ne m’aiment pas, et réciproquement. C'est la deuxième fois que tu me fais le coup, tu te souviens, il y a bientôt trente ans ? J'ai besoin de réfléchir à notre avenir…. »
Oui, tu as raison, mais une seule nuit peut ruiner un couple !
Oui, et cette histoire a mis largement leur couple en péril !
J'en suis ravie !
Oui, mais ce fut dur, et tu as raison, elle est vraie...
Laurent, n'attend pas trop longtemps, les rides n'attendent pas.
Il l'a fait, et tente de sortir leur couple de cet épisode facheux...
Tu sais, il ya des avantages à toutes les situations... et des inconvenients !