Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Rêves et désirs
Il est deux heures du matin et tu m’obsèdes, j’ai peur de m’endormir au risque de t’oublier. Tu es offerte à moi sans retenue. Tu m’as offert ton corps souple et gracieux. Je me suis vu en toi,
imaginé allongé sur toi.
Chaque souffle, chaque gémissement était pour moi. Je t’ai imaginée criant mon nom entre deux respirations. Tu serrais mes hanches entre tes cuisses. Tes ongles lacérant mon dos tant ton plaisir
était fort. Je me sentais fort et puissant, te dominant tout en étant à la disposition de ton plaisir. J’ai imaginé tes parfums et senteurs m'excitant plus encore. Mon nez contre ton clitoris et
ma langue en toi te faisant te cambrer de jouissance… Ton corps gigotant dans tous les sens comme pour se libérer d’un raz de marée de sensations fortes.
J’étais cet ogre dévorant ton corps avec délectation, ce démon tentant de te damner et de te posséder. Je te voyais assise sur moi me chevauchant comme au rodéo faisant des ruades d’avant en
arrière pour maintenir le plaisir en toi. Je sentais la chaleur de ton corps sur toute la longueur de mon sexe, tu m’enserrais la tête contre tes seins pour m’empêcher de m’en aller, tu te
secouais sur moi de plus en plus fort comme si tu dansais sur une musique endiablée pour que je te pénètre plus profondément, plus loin encore, tes hanches se balançaient de gauche à droite pour
aller chercher les moindre centimètre carré de jouissance pour que l’orgasme soit complet.
Je t’ai sentie vibrer comme une corde à piano puis te contracter de l’intérieur. Je sentis ton vagin vibrer et battre au rythme de ton cœur. Foudroyée par un orgasme cataclysmique, tu es restée
immobile comme suspendue dans le temps, les yeux clos et la respiration coupée, les bras serrés autour de mon cou, et je sentis ton jus de jouissance couler sur mes cuisses.
Tu entrouvris les yeux, tu me souris et repris un lent mouvement. Ton vagin serré me fit autant d’effet qu’a toi, cette nouvelle sensation provoqua une seconde vague orgasmique que je ne pus que
suivre alors que ton mouvement se faisait de plus en plus puissant et appuyé et je me répandis en toi, comme un geyser. Nous sommes ensuite restés là l’un en l’autre, blottis pour suspendre
l’envol du temps, essoufflés de tant de plaisirs.
Signé : Fritz the Minou
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!! Souvenirs !!
Hep ! Patrice mon bel ami
Te rappelles-tu ce jour
Où tu me l'as mis ?
J'étais chaud comme un four.
Dans cette boîte de nuit
C'est une danse de l'amour
Qu'autour de moi tu fis,
Avec beaucoup d'humour.
J'y étais venu draguer les nanas.
Et c'est moi, un mec, qui le fus.
Tu usas de ton charme sympa
Pour louer et vanter mon cul.
Que voulais-tu que je fasse ?
La bosse de ton pantalon
Était joli mot de passe
Pour faire de mon cul un con.
Notre nuit fut un grand feu.
En moi longtemps et souvent
Ton beau et si gros nœud
Fit de toi mon meilleur amant…
Signé : Bruno le libertin
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Click
"Click" est le dernier son que j'ai entendu avant de te voir pour la première fois. Une fenêtre s'est ouverte dans le coin de mon moniteur, et quand je t'ai vue, j'ai su à ce moment là que ma vie
avait changé.
Toi au teint clair et au sourire envoutant, toi que je vois mais qui ne me regarde pas encore.
C’est légèrement vêtu que tu t'offres à ma vue, toute parée de transparence, la magie a posée un voile sur tes épaules. Tu es belle comme un jour de printemps, douce comme un soleil d'automne,
belle comme la neige en hiver et chaude comme une nuit d'été.
Je caresse ton visage à travers mon moniteur et tu me regardes. Aurais-tu senti mon doigt sur ta joue ? Oui, par delà les mers, tu me vois, tu me souris.
La musique se fait entendre et toi tu danses sur ta chaise, tes seins lourds se balancent en rythme. Tu es belle.
Tu te lèves et me fait découvrir ton corps à travers ta nuisette, tu es magique !
Tu enlèves doucement tes bretelles et laisse tomber cette armure de tissus et te voilà nue, tu es magnifique.
Une chaleur m'envahit, je n’entends plus la musique, je ne vois que toi évoluant comme un nuage dans mon écran. À chaque fois que je ferme les yeux, tu es déjà un fantôme dans ma mémoire. Tu es
entrée dans mon placard à fantasmes.
Que ne suis-je devenu libertin plus tôt pour te connaitre ?
Que ne suis-je plus près de toi pour te toucher, te parler, faire ta connaissance ?
Quel est cet homme nu qui danse avec toi ?
Peu m'importe nous sommes libertins, seul notre plaisir compte.
Libertin je suis aujourd'hui, libertin je mourrais, mais pas sans t'avoir connu.
Signé : Fritz the Minou
Ils seront surement sensibles à vos compliments !
Comme quoi, l'erotisme peut aussi etre tendre !
merci messieurs!
Je les adore moi aussi !
Ravie de t'accueillir "chez moi" ! bisous