Les Mémoires Libertines de Sophie de R.

Louis :
 
« Bien volontiers. J'ai une chambre ici-même si vous désirez...
— Hum oui, allons-y. »
 
Tu traverses le Palmiste et entreprends de monter les escaliers. Je t'emboîte le pas, Fred derrière moi. Je passe ma langue sur mes lèvres en me régalant discrètement du goût de vous deux, le sperme âcre de Fred et ta cyprine qui m'a si délicieusement inondé la bouche. J'observe ta jupe envolée par les ventilateurs et je me mets à rêver à ton cul, dessous, au petit trou qui attire ma jeune langue gourmande. Je bande doucement en montant les marches, et lorsque nous arrivons dans le couloir, je bande tout à fait.
 
Je reconnais alors l'hôtesse de l'air sortir de la chambre voisine à la mienne. Je me rappelle immédiatement son gros cul harmonieux, ce qui accentue ma bandaison jusqu'à la rendre plus qu’apparente. L'hôtesse de l'air me regarde d'un air amusé, après vous avoir dévisagé. Je peine à faire tourner la clef dans la serrure pour entrer.
 
L’hôtesse s’avance et s’adresse à Fred et toi :
« Bonsoir. Connaissez-vous ce garnement ? »

Tu réponds en lui souriant :
« A peine, nous venons de le rencontrer.
— Je vous préviens alors, fait l’hôtesse d’un air malicieux, ce jeune homme est un cochon. Il n’a pas arrêté de mater mon cul pendant le trajet.
— Nous avons remarqué, réponds-tu alors en posant ta main sur la bosse de mon entrejambe. Imaginez-vous… je l’ai rencontré, il était à genoux et il suçait mon homme.
— Oui… et ce cochon il a une bonne langue. Je lui ai craché ma semence au visage, c’était un régal.... »
 
Gêné, je rougis et me met à balbutier quelque chose, mais ta main serre plus fermement la bosse de ma bite et je me tais. Tu ajoutes, d’un air joueur, à l’hôtesse de l’air qui me regarde avec envie :
« S’il matait votre cul, c’est qu’il le veut… vous voulez rentrer avec nous ? »
 
L’hôtesse sourit de surprise mais accepte avec plaisir. Nous entrons dans la chambre. Tu me tiens perversement par le pantalon… Fred s’installe derrière moi et il retire ma chemise. Tu m’embrasses le torse tout en défaisant habilement mon pantalon, saisissant mon chibre libéré d’une main ferme.
 
Une fois nu, tu m’intimes de me coucher. Je m’exécute immédiatement. L’hôtesse de l’air, Françoise, me regarde avec gourmandise. Tu lui proposes de t’asseoir sur mon visage, et Françoise ravie relève sa jupe pour me monter dessus. Elle s’accroupie au-dessus de mon visage. Elle ne porte rien sous sa jupe. Je distingue admirablement une fente soignée et un anus délicat. Fred nous regarde debout, et toi tu t’assois dans un fauteuil, écartant doucement tes cuisses pour te caresser distraitement. « — Lèche-lui le cul surtout », que tu m’ordonnes.
 
Ma jeune langue, qui était montée aspirer son clitoris et laper sa chatte, passe au petit trou. Je le titille habilement du bout humide de ma langue et je le sens se dilater, sous les gémissements de l’hôtesse. Elle remue son bassin sur moi, pour que ma langue passe plus lentement le long de sa raie.
 
Je m’applique en saisissant ses fesses à enfoncer ma langue dans son cul, et je sens mon sexe raide pris en main. C’est Fred qui se saisit de mon chibre et exerce une pression soutenue sous mon gland bombé suintant de plaisir, tandis que ma langue se régale du cul impeccable de l’hôtesse…
 
 
Sophie :
 
J’étais ravie, je sentais que la soirée allait être chaude. Ce jeune homme semblait très prometteur. Quelle ne fut pas ma surprise d’être abordée par une jolie jeune femme, très avenante. Je compris rapidement qu’ils se connaissaient. A peine eut-elle donné de brèves explications que j’avais décidé de l’inviter. Je sais reconnaitre au premier coup d’œil une chatte en chaleur. Et celle-là promettait aussi !
 
Je m’installai dans le fauteuil et donnais mes ordres. Docile, Louis obéissait à chacun de mes ordres. J’avis sous les yeux ce superbe spectacle de voir un abricot et une rosette dévorés avidement. Il me tardait que ce soit mon tour…
 
D’un coup d’œil entendu, je fis comprendre à Fred de le branler. Il avait un peu ramolli. Mon homme se saisit de la jeune bite, et commença à la branler avec art. Le résultat ne se fait pas attendre, et le pieu se durcit, tendu vers le plafond.
 
Il avança vers l’hôtesse, sans lâcher la bite, et Françoise comprit très vite. Prestement, elle ouvrit le pantalon de Fred, et en tira sa queue encore bien raide. Sans hésiter une seule seconde, elle se pencha pour aspirer le membre qui n’attendait que ça ! Quel beau spectacle ! Mes doigts s’enfonçaient plus profondément dans ma grotte bien trempée.
 
Nous restâmes ainsi, dans cette configuration une bonne dizaine de minutes ; nous en parlions pas… Seuls les souffles courts emplissaient la pièce, les soupirs appuyés, les râles de plaisir de Louis..
Au bord de l’orgasme, je murmurais :
« Stop »
 
Même si j’avais parlé à voix basse, la scène se figea. Tous les trois regardèrent vers moi, l’air interrogatif.
« Nous allons nous organiser autrement... pour tous nous manger en chœur… »
 
Je distribuais les rôles autoritairement. Françoise avait finalement l’air d’être assez obéissante…
« Fred, tu t’allonges sur le lit, là, sur le bord. Je vais venir m’assoir sur ton visage, pour que tu me lèches comme il faut. Louis, tu vas te mettre à genoux entre ses jambes et le sucer bien à fond. Françoise, allonge-toi sur le lit, en biais, pour que tu puisses pomper Louis. Tu viens déjà de te faire copieusement dévorer, à toi d’attendre un peu… »
 
Chacun acquiesça sans un mot, et tous se mirent en place… Immédiatement, Louis enfourna la queue dur de mon homme, et il ne fallu que quelques secondes à Françoise pour avaler la bite fine de Louis. De sa main restée libre, elle entreprise de se masser vigoureusement la chatte.
« Celle-là, elle aura droit à un fist », me dis-je en la voyant introduire trois doigts avec une facilité déconcertante.
 
Je me déshabillai à mon tour, pour m’installer à genoux, sur le visage de mon chéri. Habitué de la chose, il trouva naturellement l’entrée de mes lèvres intimes avec sa langue. Je commençais à onduler des hanches, hyper excitée de voir Louis aspirer la queue de mon Fred, comme si sa vie en dépendait. Françoise pompait aussi fébrilement le bâton qui lui limait la gorge sans ménagement.
 
A tel point que Louis cracha sa semence le premier. Françoise avala le tout sans broncher.
« Bonne petite », souriais-je intérieurement.
 
Moi-même, emportée par la vue de mon homme si bien sucé, je jouis comme une fontaine dans sa bouche, me tordant de plaisir. Je basculais sur lit avant de l’étouffer…
Louis accentua sa fellation, et j’ordonnais à l’hôtesse de l’air :
« Ma belle, va l’aider ! »
 
Elle ne se fit pas prier, et se mit aussitôt à genoux pour aider Louis dans son œuvre. Fred me jeta un coup d’œil fort reconnaissant. Je ne résistais pas à ce cul offert. Je passais derrière elle, et écartait ses globes arrondis. La rosette s’épanouit sous mes yeux, puis la fente rouge d’excitation.
 
Je l’écartais à deux mains, pour ouvrir sa chatte déjà bien dilatée… J’enfonçais mes quatre doigts tout aussi facilement qu’elle. Elle sursauta, mais accentua ses mouvements de hanches, en grognant doucement. Je pris cela pour un accord.
Alors, j’entrepris d’enfoncer mon pouce à coté de mon index. Elle s’immobilisa, comme pour refuser, puis je la sentis se détendre. J’insistais, et finis par passer ma dernière articulation ? Ca y était, la partie la plus large de ma in était en train de passer…
Je sentais l’humidité de cette grotte en feu. C’était chaud, doux, trempé… J’agitais mes doigts, et elle cria, en me serrant comme un étau. Elle jouit en se tordant encore plus sur ma main. Ce qui eut pour effet de l’introduire en entier. Ca y était, je la fistais !
 
En entendant son cri, Louis s’était arrêté de sucer a la bite de Fred, qui se souleva pour voir ce qu’il se passait. Interloqués, ils me regardèrent, la main enfoncée jusqu’au poignet dans le ventre de Françoise. Elle soufflait fort, et avait lâché la bite de mon homme.
 
Je continuais de bouger ma main dans son vagin hyper dilaté. Elle jouit à nouveau en criant grâce.
« Tu es une vraie garce, tu sais ça ? Allez, je te laisse reprendre tes esprits... Mais nous n’en n’avons pas fini…
- Oui, tout ce que tu veux, chuchota-t-elle, visiblement exténuée.
- Ok, repose-toi un peu. Louis, tu vas venir me prendre, pendant que Fred va te sodomiser. Tu n’es pas contre, j’espère ?
- Euh, souffla-t-il, l’air un peu inquiet. C’est que je n’ai jamais…
- -Pfffft, il faut un début à tout ! On a des capotes. Laisse-toi faire !
- Bien Maitresse. »
 
Tiens, il avait enfin compris.
 
 

A suivre !

Jeu 23 fév 2012 6 commentaires
J'ai bien aimé la suite =] ce texte est d'une avidité faramineux.
Jordan - le 25/02/2012 à 13h08

Je suis toujours heureuse que l'on prenne le temps de me le dire !

Sophie de R.
tres belle suite j aurai aimer etre de la partie
romain57 - le 25/02/2012 à 15h08

Dans quel rôle, mon cher Romain ?

Sophie de R.
Sophie chérie je confirme ce que je t'ai dit dans le premier épisode, cette histoire me fait bander. Et j'aimerais encore m'appeler Louis
brunobi - le 26/02/2012 à 17h21

Mais tu n'en n'as pas besoin.. tu es très bien toi-même....

Sophie de R.
Un vrai plaisir très excitant.. je me decouvre de nouvelles tendances très coquines !
Jasmine - le 01/03/2012 à 15h07

Eh bien, au moins, le blog a des résultats positifs !

Sophie de R.
J'aime beaucoup ce récit à deux mains!
Olga - le 10/03/2012 à 13h55

Moi aussi, et il n'est qu'on pâle reflet de la réalité...

Sophie de R.
Ô Sophie, belle Marquise, vos compliments me font bander
brunobi - le 11/03/2012 à 11h11

Tout comme penser à vous en tain de vous faire sucer et sodomiser en meme temps m'excite à mort...

Sophie de R.