Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
En effet, mon mari arriva dans le quart d'heure qui suivit. Nous sommes allés dans la piscine, et nous avons fait l'amour, non comme des fous, mais avec douceur et tendresse... Il était en position assise dans l'eau, et je me suis empalée sur lui. Le fait d'être dans l’eau me permet de ne quasiment plus ressentir de douleur, et ainsi nous avons pu faire l'amour avec beaucoup de plaisir pour mon homme. J'en ressentais un peu moins, car dans l'eau, il me faut d'habitude un peu plus de vigueur. Là ce n'était pas possible... Mais j'avais au moins la satisfaction d'avoir fait jouir mon mari, chose qui devient trop rare depuis quelques semaines...
Le soir même, nous avons mis au point notre plan pour la venue de la kiné deux, jours après. Il cacherait sa voiture pour faire croire qu'il n'était pas là, et resterait en silence à l'étage, le temps qu'elle arrive. Il voulait absolument nous voir ensemble, nous câliner, et éventuellement participer un petit peu…
Vendredi est arrivé, et j’avais bien pris soin de me doucher, et de m'enduire le corps de crème satinée et sentant très bon la vanille... J'hésitai à porter un string, et finalement, je me dis que cela ajouterait un peu à l'érotisme ambiant...
Elle arriva à quatorze heures, ponctuelle, comme à chaque fois. Je l'accueillis comme d'habitude, d'une poignée de main, mais je voyais que son regard n'était pas le même que les autres jours. Sans doute avait-elle été très troublée par ce qu'il s'était passé deux jours auparavant…. Comme d'habitude, elle inclina le dossier du canapé pour que je puisse m'allonger et qu'elle procède aux étirements de mon cou. Elle se saisit de ma tête, et agit comme les autres fois. Je me rendis compte cependant que les étirements ont duré un peu moins longtemps que les autres jours...
Elle me fît m’allonger sur le côté droit, et je sentis que le moment allait arriver... Elle enduit mon épaule de crème et commença son massage, mais au bout de quelques secondes, sans aucune hésitation, elle attrapa mon sein en le triturant fermement. Je me laissais faire un petit moment en soupirant d'aise... Progressivement, je bougeai et m'allongeai, afin de me retrouver sur le dos. Elle se recula un petit peu, de façon à faciliter ma manœuvre.
Là, si j'avais eu un doute, je savais maintenant qu'elle était pleinement consentante. Dans le reflet du miroir sur le mur, je vis que mon mari avait descendu deux marches afin de commencer à nous regarder. Cela fit instantanément monter mon taux d'excitation.
J'étais maintenant allongée sur le dos, le paréo largement ouvert sur mes cuisses. avec son autre main, elle caressa mon ventre en et entama une descente vers ma lingerie. Curieusement, elle ne me regardait pas du tout... Peut-être avait-elle un peur... peut-être était-ce une nouveauté pour elle ? Je ne voulais pas poser de questions et rompre la magie de cet instant.
Elle se pencha un peu plus vers moi, et saisit entre ses lèvres mon téton dressé. Cela faisait très longtemps qu’une femme ne m'avait pas touchée ainsi... J'y ai trouvé une douceur inhabituelle, et j'avoue que j'appréciai ce contact... Je posai ma main sur sa tête afin de l'inciter à m'aspirer un peu plus fort. Elle obéit aussitôt, et accentua sa succion. Dans le même temps, sa main avait atteint mon mont de Vénus, et elle le palpait au travers de la dentelle de mon string. Je bougeai légèrement le bassin pour lui faire comprendre mon assentiment.
D'un doigt sûr, elle écarta l'élastique et je sentis son majeur s'insinuer vers mes chairs intimes. Je mouillai de plus en plus fort, en et elle s'en rendit compte, car je la vis sourire de satisfaction.
Elle murmura :
« Eh bien Madame, on dirait que vous appréciez mon nouveau style de massage...
- Oui, c’est très bon, et j'en demande plus, murmurai-je doucement.
- Vraiment ? Vous en voulez plus ? Alors, je ne peux que vous donnez satisfaction... »
Sa bouche délaissa mon sein pour descendras vers mon pubis dans une série de petits baisers légers. Un craquement se fit entendre et elle releva brusquement la tête. Je la rassurais en lui disant que ce genre de vieilles maisons en bois craquait souvent...
En réalité, mon mari était descendu un peu plus bas afin de mieux nous voir. Elle, elle n'avait toujours pas remarqué sa présence, et c'était très bien ainsi. Je le voyais assis sur la marche de l'escalier, le bout de son sexe émergeant entre ses jambes. Le salaud bandé comme un fou.
Amélie, c'était son prénom, se déplaca vers mes jambes, sans doute pour avoir un meilleur accès à mon intimité. De fait, elle entreprit de me retirer ma lingerie avec douceur. Une fois que je fus nue, elle soupira : :
« Humm, quel joli minou tout épilé ! On en mangerait !
- Mais c'est ce vous en prie fait tout ce que vous voulez... »
Elle se positionna entre mes jambes et décalotta délicatement mon clito. Celui-ci n'attendait que ça pour se dresser fièrement hors de son étui. Du bout de la langue, elle ne titillait, tournant autour, sa langue étant à la fois ferme et douce. Elle s'aventurait parfois vers l'entrée de ma grotte.
Avec un doigt, elle pénétra mon intimité, et atteint directement mon point G... Visiblement, la gourgandine avait de l'expérience. Elle était bien trop sûre dans ses gestes pour être une débutante. Dans le miroir, je vis que Fritz était encore descendu de quelques marches, et comme elle lui tournait le dos, elle ne voyait toujours pas qu'il était là. Il se branlait avec énergie et je voyais ses yeux brillants d'excitation... Le spectacle lui plaisait, et il me le montrait de façon très visible...
Amélie continuait ses caresses, s'aventurant au plus profond de mon abricot ouvert, gonflé de désir et d'excitation. Je retrouvai un plaisir intense être ainsi terminé par une femme... Peut-être allais-je changer d'orientation ? Je lui soufflai :
« Faites doucement, vous savez que l'orgasme me fait très mal. Il ne faut pas aller trop fort…
- Ne vous en faites pas, je sais que vous avez mal... Je vais faire attention et vous caresser très doucement.
- Vous savez, je ne vous en ferai pas autant ! Je n'en ai aucune envie !
- Ce n'est pas grave, peut-être une autre fois... »
Je la laissais lécher, me mordiller me caresser un long moment, faisant tout pour retarder la venue de l'orgasme. Je vis Fritz descendre les dernières marches doucement et s'approcher de nous.
Amélie cette ne s'était toujours rendue compte de rien. Je pris l'initiative de l'informer de la présence de mon mari.
« Jeune fille, nous ne sommes pas seulse...
- Ah bon ? dit-elle, surprise.
- Oui, mon mari me regarde depuis un moment. Est-ce que cela vous gêne ?
- Euh oui... Enfin… non... Oui... Je ne sais pas... bégaya-t-elle.
- Cela vous ennuie qu’il s'approche un peu ?
- je ne sais pas trop, ça ne m’est jamais arrivé. Mais bon, je pense que je ne peux pas dire non. Mais je ne veux pas qu'il me touche !
- Pas de problème, il ne vous touchera pas. »
Je m'adresse ensuite à mon homme :
« Viens mon chéri, viens que je t'aide un peu... »
Fritz approcha, et prit la place qu'avait Pascal deux jours auparavant. C'est-à-dire qu'il attrapa le petit banc de bois, le posa au bout du canapé, de façon à être à genoux dessus, pour être à la bonne hauteur afin que je puisse le sucer. Je gobai avec délice sa bite que j’aime tant, et lui se pencha pour me caresser les seins. Il pinçait mes tétons avec ardeur, et je voyais qu'il regardait, les yeux exorbités, la langue et les doigts d'Amélie qui s'agitaient dans ma chatte.
La jeune femme avait pourtant dit qu'elle ne voulait pas qu'il la touche mais elle pivota sur elle-même pour se mettre dans une sorte de 69 de côté, offrant sa croupe aux yeux de mon mari. Il comprit très vite le message, et d'une main, baissa le short qu'elle portait. Surprise, elle n'avait rien sous ce joli short !
Il enfourna sa main entre ses cuisses et sourit :
« Mais dis donc tu es très excitée, petite garce !
- Oui Monsieur, ça m’excite trop cette situation... »
Moi, je n'en pouvais plus, mais je retardai tant que je pouvais le moment de jouir, car j'avais peur de la douleur que je pourrais ressentir... L'excitation était telle que j'avais peur d'avoir vraiment très très mal.
Je me concentrai sur ma fellation, mais comme je voyais à hauteur de mes yeux la main de mon mari fourrageant la chatte béante d'Amélie, je n'arrivais pas à faire retomber un peu ma pression. Par bonheur, Fritz jouit et déchargea dans ma bouche son foutre blanc que j'aime tant.. Il vint m'embrasser tendrement et aussitôt, il pointa sa langue sur la chatte d'Amélie. Il écartait bien ses fesses afin d'avoir un meilleur accès à son abricot tout aussi excité que le mien.
En voyant cela, je n'en pouvais plus et je me lâchais...
Je jouis en criant très fort, à la fois de plaisir d'une douleur. J’avais eu un peu moins mal que ce que je ne craignais, mais la douleur fut bien intense... Elle n’arrêta pas pour autant, et continua d'enfoncer sa main dans mon intérieur. Elle y avait déjà glissé quatre doigts sans presque que je m'en rende compte. ..
Elle dit à mon mari :
« Allez, venez prendre votre place. »
Fritz ne se fit pas prier et vint se mettre de l'autre côté, laissant la chatte dégoulinante de la jeune fille. Il vint se mettre à genoux entre mes cuisses, mais Amélie attrapa sa queue pour l’enfourner dans sa bouche avec une habileté non dissimulée. Elle voulait finir de le durcir.
J'adore voir une femme sucer mon homme… Cela me fait tellement plaisir de les voir engloutir sa belle grosse queue noire… J'en frémissais à nouveau d'excitation…
Quand il fut bien raide, il me souleva les fesses afin de faciliter la pénétration. Amélie glissa dessous un oreiller, et ainsi elle avait une vue plongeante sur la pénétration qu’il entama en moi…
Il me lima doucement, tendrement pendant qu'elle s'était reculée, et assise sur le fauteuil, les deux jambes posées sur l'accoudoir, elle se caressait furieusement l'entrejambe, enfonçant avec vigueur quatre doigts dans sa rose chatte.
Quel plaisir de me faire ainsi baiser par mon homme, et regarder cette jeune femme se masturber avec intensité !
Ils jouirent presque en même temps, elle dans un soupir relativement discret, et lui dans un cri inhabituel. Il retomba à côté de moi, et nous nous embrassames avec passion.
Amélie alla dans la salle de bains et revint quelques minutes après, elle prit alors la parole :
« Je ne pense pas que je reviendrai, j'ai un peu honte de ce que j'ai fait... Ça va contre toute la déontologie de mon métier.
- Mais tu sais tu peux revenir quand tu veux même en dehors de tes heures de travail, lui dis-je en souriant ;
- Si vraiment vous y tenez, on pourra peut-être en reparler... Je n'ai jamais trompé mon mari et la c'est la première fois que j'ai des relations avec une personne sans le lui dire.
- Mais il faut lui raconter, et revenir avec lui. Nous pourrions bien nous amuser tous les quatre...
- Je vais y penser... Je vous le dirai. Mais là, je dois continuer à travailler.
- Bonne journée à toi et merci de cet intermède si agréable...
- Oui j'ai beaucoup aimé, renchérit fritz.
- Alors, peut-être à bientôt... »
Nous avons continué un gros câlin tous les deux, nous remémorant les détails de cette superbe scène... Finalement, je vais peut-être revenir sur ma position, et avoir plus souvent des relations avec une femme...
* je vous demande votre indulgence pour les fautes et les mots qui peuvent vous sembler incoherents,
mais ne pouvant toujours pas écrire au clavier, je rédige mes récits à l'aide d'un logiciel vocal, "Dragon", et parfois, il ecrit des choses bizarres, que je ne remarque pas de suite
!
Bien sur que je le ferai.. mais je ne me sens pas encore prete à "rendre la pareille" à une femme... qu'elle me touche comme Amélie ne me derange pas, mais j'ai du mal à imaginer de la caresser à mon tour...
Il parait... (-; tout comme voir deux hommes ensemble !
Comme toujours, je demande des PREUVES !!! lol quand m'enverras-tu un photo de toi en pleine action ?
En effet, c'etait très agréable, mais je reconnais n'aovir eu aucune envie de lui rendre la politesse !
As-tu au moins essayé ??? qui ne tente rien, n'a rien...
Merci de tes voeux, je dois malgré tout me menager... ces galipettes ont eu des consequences un peu diloureuses..
Tant pis.
Tu es invié sur ce banc quand tu veux, tu le sais bien...
Tu aurais du venir me montrer cela en personne...
Je le fais avec plaisir, et en plus, cela m'excite très souvent...
Tu le sais très bien !!!!
J'avoue avoir rêvé d'être pour le moins, dans l'escalier comme ton mari lors de cette séquence " découverte ".
Bisous Sophie, et belle suite avec ta kiné
Helas, elle n'est plus revenue, et s'est faite remplacer.. Sa collègue est bien moins "caline" et il semble hors de question d'envisager tout rapprochement de ce genre.
Plus de nouvelles du toiut de cette jeune coquine... :-(
Tu nous raconteras tes nouvelles aventures, n'est-ce pas?
Mais en attendant soigne-toi bien, belle gourmande