Les Mémoires Libertines de Sophie de R.


Voici l'histoire vraie d'Edouard....

 

J'ai commencé à faire de l'équitation sur la tard, alors que j'étais au lycée. C'est un sport réputé plutôt féminin et, si j'avais exprimé le désir d'en faire lorsque j'étais enfant, je n'y avais plus pensé depuis lors. Jusqu'au jour où une amie m'invita à l'accompagner afin d'assister à une reprise.

J'ai donc assisté durant une heure au spectacle des chevaux trottant et galopant dans le manège. La vue de leurs muscles puissants, jouant sous leurs robes satinées, associée à l'odeur animale forte mais séduisante qui se dégageait de leur croupe fumante, fit monter en moins une excitation de plus en plus forte. A la fin de la reprise, mon sexe était raide et trempée de mouille. Et c'est en tentant tant bien que mal de cacher mon érection que je rejoignis mon amie à la fin du cours. Je voulais la remercier de m'avoir poussé à redécouvrir ce sport, et aussi lui annoncer que j'allais m'inscrire. Je me gardais bien évidemment de lui expliquer en détail mes raisons.

C'est ainsi que dès la samedi suivant, je commençais les cours. Deux heures par semaine : une demi-heure de préparation du cheval, puis une heure de reprise, et enfin une heure de pansage bien mérité après l'effort. Durant ces séances, j'apprenais à connaitre les différents chevaux du club. J’appréciais tout particulièrement les séances de préparation et de pansage, qui me permettaient de caresser leur corps chaud et de les enlacer. Chaque séance alimentait un peu plus mes fantasmes. Le roulement de leur corps sous mon entrejambe au pas, et surtout la magnifique vision de ces vulves de juments marchants devant moi. Ces vulves, si animales et pourtant si étonnement humaines en apparence, en particulier chez les juments claires dont la vulve rose ressort plus que tout.

Mais malgré ça, je n'osais aller plus loin. Jeune puceau que j'étais, je n'osais pas plus toucher un cheval que je n'aurais osé toucher une fille sans son consentement. Tout juste si parfois j'osais une caresse déplacée, à l'aine pour les males, ou à l'intérieur de la fesse pour les juments. En effet, la vue des énormes verges chevalines m'excitait tout autant que celle du sexe des juments. Et c'est d'ailleurs avec un mâle que j'osais pour la première fois franchir le pas.

 

Alors que je le pansais, celui-ci déplia une queue énorme, noire parsemée de taches roses, pour uriner. Une fois son affaire terminée, voyant qu'il ne rentrait pas son sexe, croyant à peine ce que j'étais en train de faire, je mis ma main sur son énorme gourdin et commençai à le lui caresser lentement. C'était si chaud et doux, j'étais aux anges. Malheureusement, le cheval semblait indifférent à mes caresses et fini par rétracter sa bite dans son fourreau. C'était un échec, mais j'avais passé un cap. Je n'avais plus peur de toucher les chevaux. Mais les mâles du club étant des hongres (castrés), il était clair que je devais me tourner vers les juments.

Et c'est ainsi que, reprise après reprise, je caressais le sexe des juments que je montais, afin de tester leurs réactions. Jusqu’au jour où, enfin, alors que je caressais délicatement les lèvres extérieures d'une jeune jument que je connaissais et appréciais particulièrement, je sentis un tressaillement inhabituel. Elle ne cherchait pas à se soustraire à mes caresses, bien au contraire ! Je ne pouvais évidemment aller plus loin, un samedi matin, en plein jour et au maximum de la fréquentation du club ! Un peu frustré mais conscient que me faire prendre en train de doigter une jument n'allait pas jouer en ma faveur, je me résolu à quitter les lieux, bien décidé à revenir à la tombée de la nuit.

J'habitais en effet à une distance très courte du club, il m'était facile de m'y rendre à pieds. Fébrile, tremblant à la fois d'excitation mais aussi de la peur de me faire prendre, je partis le soir même à la rencontre de cette jument si sensible à mes caresses. Arrivé sur place, je m'enfermais immédiatement dans son box. Personne ne m'avait vu, ouf.

 

Elle vint vers moi, pour me renifler d'abord puis demander quelques caresses. J'ai senti son souffle chaud sur mes bras, et comme dans un rêve, j'ai commencé à la caresser, lentement, son museau d'abord, son encolure chaude et rassurante ensuite, puis son corps musclé et élancé. Peu à peu, je me suis approché de sa croupe rebondie pour arriver à la peau presque rase et pourtant si douce autour de sa vulve. la caressant lentement, ne voulant gâcher ni mon plaisir ni le sien, j'ai laissé mes doigts parcourir la surface autour de ses lèvres et je ressentis à nouveau ce tressaillement que j'avais provoqué p lus tôt dans la journée. J'ai alors glissé un doigt à l'intérieur de sa chatte, suivi par un deuxième, un troisième et un quatrième doigt. J’étais en train de lui masser l'intérieur de sa grotte, d'une couleur étonnamment rose vif, si chaude et humide, c'était si bon !

 

La jument s'était carrément mise en position, les pattes arrières écartées et la queue relevée, elle me laissait le champ libre pour aller explorer toute son intimité. J'ai ainsi passé plusieurs minutes à la caresser, la doigter, la masser. Après un tel traitement, ma jument se retrouva complètement dilatée, la moule dégoulinante de mouille. Sans pouvoir résister plus longtemps à l'appel de cette vulve géante et magnifique, j'ai enfoncé mon avant bras au fond avec une facilité déconcertante. J'étais en train de fister une jument !

 

Quelle sensation incroyable que de sentir son bras enveloppé dans la chaleur et la douceur rassurante de ce sexe béant ! Je décidais alors de lui donner avec mon bras le plaisir qu'elle aurait pu avoir avec un étalon. Ces pauvres juments de club n'ont presque jamais la chance de se faire prendre ! J'ai commencé de lents mouvements de va-et-vient avant d'accélérer plus brutalement, tentant de reproduire le mouvement d'un étalon en action. La jument mouillait de plus en plus, et je ne retirais mon bras qu'après avoir ressenti une grande vibration la traverser…

 

J’ai alors assisté à un spectacle de toute beauté, sa chatte encore dilatée clignotant, son clitoris complètement sorti. N'en pouvant plus, je suis allé chercher un tabouret pour me mettre à hauteur, et je l'ai pénétrée. Mon sexe nageait dans ce sexe trop grand, mais j'étais tellement excité qu'il ne m'a pas fallu longtemps pour jouir en elle !

Une fois l'excitation passée, je me suis évidemment posé beaucoup de question sur ce que je venais de faire. Mais après tout, nous étions deux à prendre notre pied et je n'ai jamais réussi à voir quel mal cela pouvait faire... Et j'ai donc recommencé de temps à autre, lorsque par chance, je sentais une jument réceptive à mes caresses. L'attente peut être parfois frustrante, mais l'excitation n'en est que plus grande ensuite !

Un jour, face à une jument particulièrement réceptive qui s'était mise en position dès mes premières caresses, je n'ai pu résister, et je lui ai bouffé sa chatte dégoulinante en plein pansage. Un souvenir incroyable, mais trop risqué pour recommencer.

Lun 6 mai 2013 10 commentaires

Trés exitant ce récit , j'adore !!

chignole - le 07/05/2013 à 11h50

Le principal est de vous faie plaisir !

Sophie de R.

Ravie de retrouver un reicit si chaud et "trash" ! merci, ma Sophie...

Allan - le 07/05/2013 à 18h25

Je t'en pris, je n'en suis pas l'auteur...

Sophie de R.

Pffff.. j'ai eu chaud !!! genial !

Allan - le 07/05/2013 à 18h26

Encore un amateur... qu'est ce qui vius attire dans les juments ???

Sophie de R.

Ouaou, très chaud, super

cachotier - le 07/05/2013 à 23h09

Special, mais je vois qu'il ya des amateurs....

Sophie de R.
tres excitant jaimerais aussi fister une jument, j'ai deja doigter une chienne et c'est génial une jument serais un reve
marc973 - le 09/05/2013 à 18h06

Essaie, il y a des clubs hippiques ici...  ;-)

Sophie de R.

Merci Sophie

Edouard - le 18/05/2013 à 22h08

C'est avec plaisir, tu le sais bien ! j'aime beaucop tes histoiers...

Sophie de R.

vraiment c'est formidable , je voudrais essayer cette expérience

charlotte - le 29/05/2013 à 19h48

Pas simple, mais réalisable... il y a ici plus de chevaux que tu ne l'imagines !

Sophie de R.

merci je voudrais tant tenetr cette expérience , il ne mereste que cette action ,

charlotte - le 02/06/2013 à 16h06

Qui sait, un jour, tu y arriveras peut-etre.. mais il ne faut pas oublier que cela reste dangereux... la masse d'un cheval contre celle d'une femme prédispose à un risque certain.

Sophie de R.

Ma femme baisée par un Cheval

Bonjour ou bonsoir,

 

Je m’appelle Karim (lailatvx sur le net), je suis travesti marié et cocu volontaire. Je laisse ma femme Nadia vous raconter l’une de ses innombrables aventures extraconjugales :

 

« Mon amie Jamila et moi-même avons décidé d’aller visiter une ferme équestre, non loin de Rabat (capitale du Maroc). Celle de ma région où il y a plein de beaux étalons. Il en est un qui m’a fait craquer au premier coup d’oeil : il s’appelle « Flamme d’amour », un magnifique étalon noir grand et sublime.
Arrivées sur place, mon regard va droit à ce qui m’intéresse pour remarquer que le bel étalon avait …une incroyable érection ! À croire qu’à notre vue, il a eu une subite inspiration…. Mon amie reste un peu sur la réserve tandis que moi, je craque un peu. Trop tentant, cette histoire . . . Un zob monstrueux…
Moi, mes plans sexe, ils sont clairement orientés « Bites bien grosses au fond de ma chatte », mais alors là,
Mes agneaux… coté grosse bite..; je vous dis pas !

Que faire? Allez, même toi là, tu serais tenté…

Si tu comptes sur moi pour avoir des complexes et de la gêne, tu te trompes complètement.
Alors évidemment que je me suis rapprochée, bien sûr que je le lui ai touché, son gros zob, et alors ?
Je m’attendais à un truc tout flasque, vu la longueur, mais … non ! C’était vachement ferme, en fait.

A vous raconter tout ça, ça me fait mouiller comme pas possible.

Je reviens dans un moment, j’en peux plus…

Bon, ça va un peu mieux maintenant !

Ah ouais, alors je vous disais …en fait j’ai commencé a lui caresser le sexe de l’extérieur, c’était doux et dur a la fois, marrant, hein ? Et petit à petit, je lui ai tenu le manche fermement en enserrant mes doigts. C’était la première fois que je branlais un cheval, c’était génial. Ça devait lui plaire, parce qu’il tapait du sabot droit.
Plus je le branlais, et plus il devenait encore plus dur…

Ma copine commença à me dire d’arrêter ce jeu, je voyais bien qu’elle était vachement gênée, et ça m’excitait davantage.
Ça n’est qu’au bout d’un long moment que je réalisais que mon autre main s’était abandonnée sous ma jupe et que je me passais le bout des doigts à plat sur mon « tabboune » (vagin, en dialecte marocain).

Je fermais les yeux, la bite du cheval dans la main droite en train de le branler, mon autre main frottant ma chatte en mouvement circulaire, oubliant tout, tout autour de moi.
Je commençais à avoir très chaud, et n’y tenant plus, je me relevai pour enlever ma culotte, et c’est là en fait que je me rendis compte qu’elle était toute mouillée. Ça commence à me mettre dans un état incroyable, cette histoire.
Je passai ma main sur ma vulve, j’étais toute dilatée et franchement trempée. Bon c’est vrai qu’en général je mouille beaucoup, mais là, c’était la folie.
Ça devenait trop fort, et n’y tenant plus, j’approchai ma bouche de l’extrémité de son sexe, et commençai du bout de la langue à la passer doucement, pour voir l’effet que ça faisait;
Moi qui suis une suceuse d’enfer, avoir un zob pareil juste sous la bouche, là comme ça, c’était le bonheur, et je lui mis franchement la bite dans ma bouche.
Putain, c’était gros ! Alors, des deux mains, je lui ai tenu le sexe et j’ai sucé comme une folle… Un manche pareil dans ma bouche c’était super.
Au bout d’un moment, mon corps devenait très demandeur de quelque chose qui commençait à me dépasser quand même un peu. Ça faisait maintenant un moment que je me doigtais, d’abord doucement, mais il devenait clair que la circulation de mes deux doigts ne suffisait plus en moi.
J’avais le vagin complètement ouvert, accroupie au sol, cuisses bien écartées avec ce sexe énorme dans la main.
Après tout…“si quelqu’un vient”. Peut être que je ne voulais que cela, qui sait ? Un homme en tous cas.
En fait, c’est quand j’ai enlevé mon haut en libérant ma poitrine que ma copine a été prise de panique, elle est carrément partie ou plutôt elle s’est enfuie ! Ce n’est pas grave, elle n’était pas prête pour ça ! Ça ne me dérangeait pas au contraire.
J’ai donc continué ma fellation a ce bel étalon en me doigtant maintenant avec trois doigts et avec la chatte trempée comme jamais.
Je sentis l’éjaculation de l’a****l arriver, ce fut comme une espèce de flot dans la bouche, il y en avait tellement que ça coulait de ma bouche comme une fontaine.
Il ne débandait pas ! C’est à ce moment là que je sentis que j’avais une décision a prendre. J’en avais trop envie. Une chance comme celle là, on ne devait pas la rater.
Je décidai donc de rentrer cette énorme bite dans ma chatte. Mais c’était plus difficile que je ne croyais, en fait la position était difficile.
C’est au moins après 20 mn que je trouvai la bonne position en lui présentant mon cul relevé, un peu sur le coté. Ça rentrait pas, tout d’abord, mais je me caressais avec, et plus je me caressais, plus je mouillais encore et plus je me dilatais. Comme c’était bien visqueux, je pus la rentrer d’un coup !
J’arrivai à me rentrer plus de 20 centimètres tout d’abord, et au fur et a mesure des va et vient, c’est a mon avis au moins 30 cm de bite de cheval que je suis arrivée a faire circuler dans mon vagin. Bon sang que c’était bon. 30 cm qui circule comme ça en soi, c’était gros et dur, comme j’aime… j’arrivai comme cela a une sorte d’orgasme très spécial, a la fois puissant et violent, je faillis m’écrouler !
C’est ce moment que choisit le Gérant du centre pour débarquer ! Le spectacle de moi penchée en avant, les seins nus bougeant encore avec le sexe de son étalon dans le mien, les yeux complètement révulsés sous l’effet du plaisir et toute échevelée le fit réagir curieusement. Il s’avança et commença a me tenir les seins dans les mains, il les prit d’abord fermement, puis ensuite caressa le bout de mes mamelons au début doucement, et ensuite en les serrant du bout des doigts. J’avais l’impression de ne plus rien contrôler de mon corps et je repris lentement les mouvements de va et vient de mon cul avec la bite du cheval toujours dure dans ma chatte.
J’avais trouvé la bonne position, je la tenais a peine, et Flamme d’amour ne bougeait pas son corps, mais parfois il tapait du pied droit alternant avec le gauche, jetais certaine qu’il prenait aussi son pied, ce salopard.
Alors je tirai a moi une sorte de tabouret que je plaçais sous mon ventre juste un peu plus bas que ma poitrine, et d’une main, j’entrepris d’ouvrir la braguette du gérant qui

lailatvx - le 08/08/2013 à 08h33

Là encore, je n'ai pas tout... les commentaires ne peuvent pas depasser uen certaine longueur... Donc, tout ce que vous écrivez ne passe pas en publicaiton. et c'est bien dommage !

Sophie de R.

merci je suis vraiement interessé par cette expérience et tu as du passé un bon moment ,j'aurais bien aimer etre à ta place et vivre ses instants de plaisir , quel courage tu as eu mais le risque vaut le coup , pense à minformer des suites de tes aventures , merci charlotte bisous à vous deux

charlotte - le 11/08/2013 à 17h05

il faudrait que ce soit l'auteur qui te réponde...

Sophie de R.