Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
Chaude après-midi de vacances... un coin tranquille au bord d'un lac dans une région désertée par les touristes...
Coralyne décide de tâter l'eau sans se douter que deux pêcheurs l'observent.
« Dis-donc t'as vu la bonne femme là... elle ne sait pas que c'est un coin de pêche ici et pas une plage ou quoi...
- Ouais... note que moi, je dois dire que comme poisson, je la ferais bien passer à la casserole ha ha ha... Vise un peu les nibards ! Puis vu le décolleté, elle doit pas être contre de les
mettre à l'air de temps en temps !
- T'as raison... puis regarde sa main... Elle va bientôt se caresser la chatte c'te salope. Je peux l'aider si elle veut, la cuisse à l'air bonne et elle aussi...
J'crois qu'elle nous a remarqués ! On lui offre une mousse ?
- Ouais... moi, c'est aussi autre chose que je lui offrirais bien ! héhéhé ! »
Et tandis que Coralyne remet son petit sac et sa veste sur ses épaules pour rejoindre l'hôtel, les deux mecs se manifestent bruyamment !
« Eh oh la p'tite dame... ce n’est pas que vous soyez désagréable à regarder, mais le poisson là on risque de l'attendre ! »
Toute désolée et toute timide, elle s'approche des deux types pour s'excuser, mais le plus jeune des deux mecs l'interrompt bien vite : « Bon... Vous frappez
pas ! Asseyez-vous plutôt avec nous pour prendre un verre.
- Oui, ça nous fera patienter puisque nos lignes risquent pas de bouger... enfin nos lignes... je voix ce que je veux dire, » ajoute avec malice le plus vieux.
Et c'est ainsi qu'elle s'assied sur une grosse pierre à côté du plus âgé des types. L'autre se lève, va vers le bord de l'eau et en ressort un panier avec quelques bières bien fraiches. Il en
décapsule une qu'il passe à Coralyne avant de s'asseoir à côté d'elle lui aussi.
« C'est vrai que c'est pas gentil ça d'effrayer notre poisson, continue le vieux.
- Oui, et pourtant nous, on est sympa, regarde, on t'offre une bière, et même on te la tient »,ajoute le jeune en approchant la bouteille de la bouche de Coralyne comme pour lui faire
têter.
La garce se prête au jeu et boit à la bouteille que lui tient le mec. Elle est assise, cuisses écartées en plein soleil et un peu de bière lui mouille le décolleté
et le tee-shirt.
Voyant qu'elle n'a pas l'air farouche, le vieux se lève pour lui toucher les nichons qui pointent sous la fraicheur du liquide.
« Mmmm... ça fait tee-shirt mouillé... ça vous va bien ! Y'a de quoi faire...."
Comme elle se laisse faire, l'autre , pendant ce temps, avance sa main vers ses cuisses qu'il remonte en collant sa grosse main sur sa chatte à travers le fin tissu de son short.
Coralyne s'abandonne maintenant tout à fait. Le vieux lui pétrit ses grosses mamelles tandis qu'elle écarte encore plus les cuisses pour que le jeune puisse passer sa main par la jambe du
short.
Le vieux lui a maintenant carrément sorti les seins du décolleté. Il lui tord les tétons et écrase ses grosses loches de ses deux mains. Et le jeune s'y met aussi, malaxant des seins comme il
n'en a sans doute jamais touché avant.
La salope mouille de plus en plus. Très vite elle est quasiment complètement à poil en pleine nature, ses grosses mamelles à l'air, à se faire tripoter par les deux types.
Elle est assise, la tête relevée, avec un mec qui l'embrasse goulument et lui bouffe la langue en malaxant ses seins, et l'autre qui lui a enlevé son short et lui a déjà fourré trois doigts dans
la chatte trempée.
Elle est à la merci de ces deux vicelards et ils le savent. Ils l'emmènent un peu plus loin, à l'abri de gros rochers. Le vieux la tient par la taille tandis que son copain tripote ses gros seins
qui se balancent.
Arrivés dans un coin retiré, ils la mettent à genoux devant eux. Le jeune se lève et baisse son froc pour en sortir une queue longue et bien raide. Coralyne s'empresse d'engloutir cette belle
bite pendant que le vieux lui parle comme à une grosse pute.
« Vise moi ça la grosse salope !!! Ah ! T’aime ça, hein salope, avoir deux bonnes queues pour toi toute seule ! T'as envie de te faire défoncer comme une chienne en pleine nature hein !
Ben tu vas en avoir pour ton argent ma grosse cochonne. On va te ramoner la gueule et la chatte à tour de rôle. »
Pendant ce temps, le jeune passe la main droite dans le dos de Coralyne, glisse jusqu'à son cul et s'accroche à sa chatte comme à une poignée pour la faire se mettre à quatre pattes. Elle est là, comme une chienne en chaleur, le cul en l’air et offert, qui n'attend qu'une chose. Le vieux s'approche de sa figure en continuant à lui parler crûment :
« Tu la vois ma bite ? Tu vas la bouffer ma belle salope !!! »
Et il lui enfonce violemment son sexe dans la bouche pendant que son acolyte s'accroche à ses hanches pour commencer des allers-retours dans sa chatte
détrempée.
A chaque coup de bite, ses grosses mamelles se secouent dans le vide, et elle gémit autant qu'elle peut avec cette bite poilue en bouche. En se faisant sucer, le vieux saisit un sein et puis
l'autre, les presse et les malaxe en tirant sur ses tétons. Elle adore ça et mouille de plus en plus.
« On change, je veux tâter de sa chatte à cette grosse pute », commande alors le vieux.
Il s'assied et guide Coralyne qui se plante sur sa bite pour monter et descendre, tout en aspirant toute la queue du jeune. Ses seins se balancent et le vieux n'en
manque pas une pour les pétrir.
Une fois rassasié de ce traitement, il fait coucher la garce sur le dos, lui relève et lui écarte ses cuisses de ses bras puissants et l'enfile d'un coup sec, tandis que le jeune mec termine de
se branler entre ses gros seins. Le vieux la tringle maintenant en pétrissant ses cuisses rougies par le feu du plaisir. Il aime tâter de la cuisse comme du nichon, et là, il est servi.
Lorsqu'ils sentent tous deux qu'ils sont prêts à cracher tout leur jus, la grosse salope, rassasiée de sexe et la chatte en feu, se remet à genou et leur présente ses deux gros seins en attente
pour qu'ils l'inondent de leur foutre, qu'elle étale ensuite soigneusement sur ses nichons.
Les deux mecs lui roulent alors chacun une pelle en malaxant une dernière fois ses seins et son cul. Le vieux lui donne une grande claque sur les fesses.
En souvenir, elle leur laissera son soutif…
Coralyne : http://coralyne.over-blog.com/
Michel.
Mets-toi à la peche, on y a souvent de belles surprises !
A ce point ???