Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
J'ai prêté mon garage à un collègue, pour qu'il retape une voiture. Quand je
suis rentrée pour le déjeuner, il y était avec un copain, que je ne connaissais pas.
Un rapide salut, et je suis allée dans la piscine, nue comme d'habitude. J’ai bien vu que deux
ou trois fois, le copain, Steeve, tendait son cou pour me voir. Ca m'a fait sourire, d'autant qu'il n'était pas trop mal.
Quand je suis sortie de la piscine, il m'a interpellée, sous le prétexte de se laver les mains.
Souriant intérieurement, je l'ai fait rentrer. Il a lavé ses mains, son regard était éloquent. Mais en présence de mon collègue, je préfère m'abstenir de quoi que ce soit. Je dois garder mon
image de femme « sérieuse » limite coincée que je me suis forgée.
Il est donc ressorti, me disant à voix basse qu'il voulait revenir. J’ai acquiescé, et suis
allée vers la salle de bains.
Et là, patatras, j'ai glissé sur le sol humide. Je me suis étalée en beauté, en criant, car ma
cheville a franchement tourné dans un sens pas très normal.
Hugues, mon collègue a demandé ce qu'il se passait, et Steeve est revenu dans la maison. J’ai
tenté de cacher ma nudité comme je pouvais dans ma serviette.
Ils m'ont aidée tous les deux à me relever, mais la douleur était vive. Sur mes indications,
Steeve a trouvé une pommade pour que je me masse. Mais ce dernier a demandé à le faire. Je ne pouvais pas refuser une telle offre !
Mon collègue a du retourner dans le garage, car il était déjà en retard sur son
travail.
Je me suis bien calée sur le canapé, ma cheville posée sur la cuisse de Steeve. Il a commencé à
me masser, avec beaucoup de douceur. De toute façon, je sautais en l'air à chaque passage, tant j'avais mal.
Petit à petit, la douleur s'est un peu estompée, et nous parlions de tout et de rien.
Soudain, sans transition avec le sujet précèdent sur la cherté de la vie ici (9.50 euros les 4
petits pots de danette), il me lance :
« Tu étais sacrement belle, nue dans l'eau. Tu m'as vraiment excité ! »
Ces seules paroles m'ont donné très chaud...
Comme je ne savais pas quoi répondre, je restai silencieuse. Je mouillais déjà, mais mon
collègue était proche de nous…
Steeve a vite compris ce qui me tracassait :
« Tu sais, je suis marié, et si Hugues le sait, il risque d'en parler à ma femme. Je ne veux
pas courir de risques. »
Ce genre de discours m'arrange, car je sais qu'il se taira.
Je lui ai donc dit qu'il pouvait être assuré de ma discrétion, tout comme je comptais sur la
sienne. Il a alors commencé à remonter sa main de ma cheville vers mon genou, et ma cuisse.
Il était toujours très doux, presque tendre. Sans hésiter, il a atteint ma petite fleur toute
humide. Il n'a eu aucune peine à écarter les chaires excitées...
J'ai basculé mon genou, pour lui offrir une vue plongeante sur mon
intimité.
Je sentais bien moins la douleur de ma cheville !!!
Il a franchement écarté mes cuisses, pour enfoncer avec délicatesse son majeur dans ma chatte.
Ainsi, il a très vite atteint mon point G, le massant fermement. De son pouce, il titillait mon clito bien bandé. J’étais de plus en plus excitée, mais nous devions faire attention à ce qu’Hugues
ne vienne pas s’enquérir de ma blessure…
Après un rapide coup d’œil dehors, Steeve s’est penché vers moi, a retiré son majeur de mon
vagin, pour écarter franchement la vulve. Ainsi ouverte, offerte, impudique, j’étais au bord de l’extase. Il a maintenu ses mains écartées, et a littéralement plongé sa langue dans ma grotte
béante.
Sous la poussée chaude, j’ai retenu un cri de plaisir. Avec une grande maitrise, il m’a
copieusement dévoré les petites et grandes lèvres, fourrageant aussi dans ma chatte, n’oubliant pas de s’aventurer vers ma petite rosette tout frémissante. Il ne lui fallut que –trop- peu de
temps pour ma faire jouir. Moi, l’habituée des grands cris, je dus mordre le coussin pour me retenir de hurler, et il m’écrasa la bouche d’un profond baiser.
Il était tout sourire :
« Ca va mieux, tu as moins mal ?
- Euh, oui, ca va, mais je sais que j‘aurai mal plus tard !
- Alors, tu n’auras qu’à me rappeler. J’adore jouer au docteur !
- Mais, ta femme ?
- Ne t’inquiètes pas, elle ne lit jamais mes sms. Mais reste soft dans ce que tu
dis.
- Pas de soucis, je resterai neutre. Mais toi, je dois m’occuper de toi…
- Non, la blessée, c’est toi. Une autre fois, tu t’occuperas de moi. »
Sur ces paroles, il m’a encore embrassée, et est ressorti comme si de rien
n’était.
Visiblement, Hugues ne s’est aperçu de rien, et est venu me saluer cordialement avant de
partir. Comme je grimaçais en tentant de poser le pied à terre, il dit à Steeve :
« Mon pote, ton massage n’a pas été efficace, elle a encore mal ! »
Nous avons souri tous les deux, sachant très bien de quoi il en retournait
!
Et oui, que veux-tu, on ne se refait pas !
Ce sera pour une autre fois... Là, j'avais quand meme mal, et on avait trop peu de temps...
Oui, j'adore.. Et tu sais bien ce que j'aimerai...
Eternel jeu dont vous avez le secret, vous Mesdames et grâce à quoi on vous adore.
J'espère que tu raconteras la seconde visite de "ton docteur", elle risque d'être .
Mille câlins à toi Belle Marquise
En fait, on voit peu la piscine depuis le garage. Mon "sauveur" devait vraiment se todre le cou pour me voir. Et ensuite, je ne vais quand emme pas metre un amillot pour me baigner dans MA piscine, ! Surtout que je n'en n'ai pas, de maillot de bain.. ;-)
Mais c'est vrai qu'au bulot, je garde une image très rigide, quasi frigide !
Oui, tu as mille fois raison !
Bises
Capucinement Vôtre
Oui, bien sur..tout comme j'adore profiter d'eux !!!
Tu as raison, meme s'il est parfois bien difficile de nous comprendre....
Il faut bien se consoler comme on peut !
Ta proposition n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde, c'est promis, je t'appelle si j'ai besoin de toi !