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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

J'ai prêté mon garage à un collègue, pour qu'il retape une voiture. Quand je suis rentrée pour le déjeuner, il y était avec un copain, que je ne connaissais pas.  
Un rapide salut, et je suis allée dans la piscine, nue comme d'habitude. J’ai bien vu que deux ou trois fois, le copain, Steeve, tendait son cou pour me voir. Ca m'a fait sourire, d'autant qu'il n'était pas trop mal.
 
Quand je suis sortie de la piscine, il m'a interpellée, sous le prétexte de se laver les mains. Souriant intérieurement, je l'ai fait rentrer. Il a lavé ses mains, son regard était éloquent. Mais en présence de mon collègue, je préfère m'abstenir de quoi que ce soit. Je dois garder mon image de femme « sérieuse » limite coincée que je me suis forgée.
 
Il est donc ressorti, me disant à voix basse qu'il voulait revenir. J’ai acquiescé, et suis allée vers la salle de bains.  
Et là, patatras, j'ai glissé sur le sol humide. Je me suis étalée en beauté, en criant, car ma cheville a franchement tourné dans un sens pas très normal.
 
Hugues, mon collègue a demandé ce qu'il se passait, et Steeve est revenu dans la maison. J’ai tenté de cacher ma nudité comme je pouvais dans ma serviette.
 
Ils m'ont aidée tous les deux à me relever, mais la douleur était vive. Sur mes indications, Steeve a trouvé une pommade pour que je me masse. Mais ce dernier a demandé à le faire. Je ne pouvais pas refuser une telle offre !
Mon collègue a du retourner dans le garage, car il était déjà en retard sur son travail.
 
Je me suis bien calée sur le canapé, ma cheville posée sur la cuisse de Steeve. Il a commencé à me masser, avec beaucoup de douceur. De toute façon, je sautais en l'air à chaque passage, tant j'avais mal.
Petit à petit, la douleur s'est un peu estompée, et nous parlions de tout et de rien.  
 
Soudain, sans transition avec le sujet précèdent sur la cherté de la vie ici (9.50 euros les 4 petits pots de danette), il me lance :  
« Tu étais sacrement belle, nue dans l'eau. Tu m'as vraiment excité ! »  
 
Ces seules paroles m'ont donné très chaud...
Comme je ne savais pas quoi répondre, je restai silencieuse. Je mouillais déjà, mais mon collègue était proche de nous…
Steeve a vite compris ce qui me tracassait :
« Tu sais, je suis marié, et si Hugues le sait, il risque d'en parler à ma femme. Je ne veux pas courir de risques. »
 
Ce genre de discours m'arrange, car je sais qu'il se taira.
Je lui ai donc dit qu'il pouvait être assuré de ma discrétion, tout comme je comptais sur la sienne. Il a alors commencé à remonter sa main de ma cheville vers mon genou, et ma cuisse.
 
Il était toujours très doux, presque tendre. Sans hésiter, il a atteint ma petite fleur toute humide. Il n'a eu aucune peine à écarter les chaires excitées...
J'ai basculé mon genou, pour lui offrir une vue plongeante sur mon intimité.
Je sentais bien moins la douleur de ma cheville !!!
 
Il a franchement écarté mes cuisses, pour enfoncer avec délicatesse son majeur dans ma chatte. Ainsi, il a très vite atteint mon point G, le massant fermement. De son pouce, il titillait mon clito bien bandé. J’étais de plus en plus excitée, mais nous devions faire attention à ce qu’Hugues ne vienne pas s’enquérir de ma blessure…
Après un rapide coup d’œil dehors, Steeve s’est penché vers moi, a retiré son majeur de mon vagin, pour écarter franchement la vulve. Ainsi ouverte, offerte, impudique, j’étais au bord de l’extase. Il a maintenu ses mains écartées, et a littéralement plongé sa langue dans ma grotte béante.  
 
Sous la poussée chaude, j’ai retenu un cri de plaisir. Avec une grande maitrise, il m’a copieusement dévoré les petites et grandes lèvres, fourrageant aussi dans ma chatte, n’oubliant pas de s’aventurer vers ma petite rosette tout frémissante. Il ne lui fallut que –trop- peu de temps pour ma faire jouir. Moi, l’habituée des grands cris, je dus mordre le coussin pour me retenir de hurler, et il m’écrasa la bouche d’un profond baiser.  
 
Il était tout sourire :
« Ca va mieux, tu as moins mal ?
- Euh, oui, ca va, mais je sais que j‘aurai mal plus tard !
- Alors, tu n’auras qu’à me rappeler. J’adore jouer au docteur !
- Mais, ta femme ?  
- Ne t’inquiètes pas, elle ne lit jamais mes sms. Mais reste soft dans ce que tu dis.
- Pas de soucis, je resterai neutre. Mais toi, je dois m’occuper de toi…
- Non, la blessée, c’est toi. Une autre fois, tu t’occuperas de moi. »
 
Sur ces paroles, il m’a encore embrassée, et est ressorti comme si de rien n’était.
 
Visiblement, Hugues ne s’est aperçu de rien, et est venu me saluer cordialement avant de partir. Comme je grimaçais en tentant de poser le pied à terre, il dit à Steeve :  
« Mon pote, ton massage n’a pas été efficace, elle a encore mal ! »
 
Nous avons souri tous les deux, sachant très bien de quoi il en retournait !

 

Par Sophie de R. - Publié dans : Mes expériences vécues - Communauté : Le Cercle des libertines
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