Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Les étranges relations d'André.

Monique arrive dans le café presque vide. Irène vient vers elle, l'embrasse et lui demande ce qui se passe. En effet, elle aurait du venir plus tôt ce matin.


Elle lui dit qu'elle était souffrante. Sa mine fatiguée fait que l'autre la croit. Monique remarque que son haleine pue l'alcool. C'est vrai qu'elle boit de plus en plus. Cela se voit sur son visage de plus en plus bouffi et sur son corps qui s'arrondit de plus en plus.
Irène et Monique ont été très intimes à un moment, elles le sont beaucoup moins maintenant mais sont toujours proches l'une de l'autre.

L'établissement fonctionne surtout grâce à la présence de Monique. Celle-ci pense depuis un moment à se faire aider, mais jusqu'ici elle butait au sujet de la personne à embaucher. C'est vrai qu'il n'est pas évident de mettre une annonce disant recherche femme ayant très bonne présentation, libre, sachant rire avec le client, ne craignant pas les attouchements et plus si celui ci paye.

 

Pas évident dans une région où la mentalité est plutôt arriérée à ce sujet.
Depuis ce matin, elle pense avoir trouvé la solution, ou plutôt André son fils, lui a apporté la solution sur un plateau.
Lucie, qu'elle connaît depuis longtemps, bien sur puisqu'elle est sa voisine, mais surtout par sa réputation de belle salope qu'elle traîne derrière elle et qui semble amplement justifiée depuis qu'elle a entendu le récit de son fils, devrait faire l'affaire. Il baise régulièrement avec elle.


Oui, il faut qu'elle en parle à Irène. Celle-ci est en train de se servir un verre d'alcool.
Monique a essayé de la freiner il y a quelque temps mais Irène se laisse aller. Après tout c'est son problème se dit-elle.
Depuis qu'ils travaillent ensemble, Monique a acquis des parts dans l'affaire. Les deux femmes sont associées dans l'affaire.


Monique explique ce qu'elle pense au sujet d'une aide, lui laissant entendre qu'elle, Irène pourrait se reposer plus. Irène, un peu fatiguée de cette vie, voit le bon côté de la chose, elle pourra tranquillement cuver son alcool, accepte avec joie la proposition.


Rassurée, Monique se met à la tache et s'occupe des clients à son accoutumée, réfléchissant à la façon d'aborder Lucie.


André a eu un arrêt de travail de cinq jours. Le docteur n'a pas fait de difficulté, bien qu'il se soit douté que c'était plus de la dissimulation. Mais il y a plusieurs docteurs ici et la concurrence est rude.

« Autant contenter le client plutôt qu'il aille chez un confrère, » s'est dit le praticien.

Vers seize heures, il va frapper à la porte de ses amis.


Lucie vient lui ouvrir, l'embrasse sur le coin de la bouche, met un doigt sur ses lèvres, lui rappelant la présence de son père.
Il entre, va saluer le père qui est en train de bricoler dans la cour. Lucie invite André à boire une bière dans le salon.


André propose à Lucie de venir chez lui, puisque Sonia et Jacques, sa sœur et son beau-frère,  sont partis. Elle accepte de le suivre, avertissant son père qu'elle serait de retour vers vingt heures pour le repas.
C'est la première fois qu'ils se trouvent ensemble seuls. Il l'amène directement dans sa chambre et se déshabillent sans perdre de temps.

André bande depuis longtemps, il s'est retenu pour ne pas se branler, mais a très envie de se vider les couilles.
Ils se jettent sur le lit et s'enlacent aussitôt. Ils se caressent furieusement tous les deux.

 

Lucie a autant envie que lui de jouir. Très vite elle se retrouve sous lui et il l'embroche d'un grand coup de reins puissant. Elle crie un grand coup.
« Ah ! Ah oui ! Vas-y fort, j'ai trop envie ! Ah oui continue ! »


Elle rentre tout de suite dans un délire érotique. Sa tête roule de droite à gauche sur l'oreiller tandis qu'elle lui répète de la baiser.
Très vite elle a un premier orgasme.
« Oui ! Oui ! Ah oui ! Je jouis ! Ahhhh ! »


André continue à la baiser avec autant de vigueur tout le temps de la jouissance. Ses cris s'apaisent un peu, elle rouvre ses yeux fous de désir, respirant à grand peine.
«  Ah quel pied ! Ah que c'était bon ! Ah j'y ai pensé toute la journée à ta queue ! »

 
André continue ses va et vient dans un véritable marécage de mouille. Il se dit qu'il aurait bien fait de mettre quelque chose sous les fesses de Lucie mais il est trop tard. Il pense à sa mère quand elle va faire le lit demain matin….


Lucie se remet à crier de plus en plus fort. Lui aussi sent qu'il ne va plus pouvoir tenir longtemps. Il commence à gémir de satisfaction.
« Tu vas bientôt jouir ! Je le sens ! Ah oui ! Ta bite grossit encore ! Ah mon dieu quelle est bonne ! Quelle est bonne ! Oui ! Oui ! Ahhhhh !


Et elle jouit de nouveau au moment où André lui arrose l'intérieur de son sperme dont elle ressent nettement les giclées.
«  Tiens ! Tiens prends ! Encore ! Encore ! Ahhhh !
- Ah oui ! Ah oui, remplis-moi la chatte ! Ah qu'est ce que c'est bon ! Ahhhh ! »


Et ils s'arrêtent enfin, leur plaisir assouvi. André donne de petits baisers sur la figure ravagée de la fille qui a les yeux fermés, les narines pincées, essayant de reprendre sa respiration après cette double jouissance.


Il en profite pour l'admirer. Sa belle poitrine tient très bien. Les tétons, très foncés sont auréolés de petits poils tout autour des gros bouts bandés. C'est vrai que Lucie est très poilue, enfin d'après ses critères à lui. Sonia et sa mère le sont beaucoup moins. Peut-être parce qu'elles sont blondes ?


Continuant son « inspection », il descend vers le pubis. Là encore les poils noirs ressortent sur la peau un peu mate. La toison monte très haut, tout en diminuant d'intensité vers le nombril.
Il imagine la raie envahie par les poils, et il a hâte de revoir ce spectacle quand elle s'est mise à quatre pattes devant lui, avant de se faire enculer.

Doucement, la fille s'étire, un sourire fatigué mais heureux sur le visage apparaît tandis qu'elle le regarde de façon émerveillée.
Surgissant de la douce torpeur d'après l'amour -et de l'amour bien fait-, elle étire ses bras à fond sur les cotés puis le ceinture en l'attirant vers elle, l'embrassant sur les lèvres. Un long baiser les tient soudés puis, l'écartant d'elle, elle lui dit :
«  C'est la plus belle jouissance que j'ai jamais ressentie, je te le jure ! »


André est plutôt flatté par cet aveu. Ils se bisoutent gentiment pendant un moment puis il lui demande :
«  Je voudrai te demander quelque chose.
- Bien-sur ! Tout ce que tu veux mon chéri !
- Et bien, heu.., je voudrai voir ton cul. »


Elle éclate d'un rire nerveux. Lucie adore s'exhiber, elle ne demande pas mieux, au contraire, ça lui donne une excuse pour satisfaire un de ses vices. De nouveau elle l'embrasse, plus longtemps, plus passionnément. Quand leurs lèvres se dessoudent, il aperçoit dans ses yeux toute la lubricité du monde. Il se retire du con dans lequel il était toujours fiché et s'écarte.
Lucie se retourne, se met à quatre pattes devant lui, écarte bien ses jambes et allonge son buste sur le lit.


La vue sur le cul de la belle salope est fabuleuse. Les deux beaux hémisphères sont largement séparés par la superbe raie culière remplie de poils abondants qui débordent sur les fesses et remontent jusqu'au bas des reins. La grosse figue éclatée montre ses deux beaux bourrelets gonflés.

 

L'anus violet est bien en évidence à travers la toison qui, à cet endroit a laissé un peu de peau libre, sans doute pour le mettre plus en valeur.
André est soufflé par le spectacle. L'autre jour il avait entre-aperçu le décor, à présent il le découvre dans toute sa splendeur.


Il s'assoit et ne dit plus rien. C'est trop beau. Trop irréel pour lui. Lucie attend, le laisse se repaître de la vue. Elle écarte encore un peu plus les jambes, ramenant ses bras derrière elle, elle écarte le plus qu'elle peut sa raie.


André ne dit toujours rien. Doucement, presque timidement, il avance une main, puis la deuxième et se met à caresser doucement les deux beaux globes bien rebondis.
Comme dans un songe, il entend à peine le soupir de satisfaction de Lucie. Ses doigts explorent, faisant des ronds sur les belles fesses, ses pouces se touchant presque en remontant le long de la raie culière.


André glisse ses jambes allongées entre celles de Lucie et viennent se caler sous le corps de celle ci. Elle se lève un peu, pour l'aider puis se rallonge sur elles. Il sent les gros nichons sur ses mollets. La tête de la fille se pose sur ses pieds.
André a la figure tout près du cul de la belle salope. Un parfum envoutant se dégage de l'endroit. Un parfum de pisse, de sperme et d'autre chose encore et qui le grise.
Les mains toujours sur les fesses, il vient poser ses lèvres sur l'anus qu'il voit palpiter depuis un moment et qui l'hypnotise.


Lucie réagit instantanément. Un cri de délivrance s'échappe de ses lèvres et retentit dans la pièce.
« Ahhhhh ! Oui ! Oui salaud ! Bouffe-moi le cul ! Fous ta langue dedans ! Enfonce là ! Plus fort ! Plus profond ! Ahhh ! Ah oui ! Oui ! »


Sa tête remue dans tous les sens. Elle lâche les jambes d'André qu'elle étreignait pour les passer derrière elle. Empoignant ses grosses fesses, elle tire dessus, ouvrant son trou merdeux à la langue qui la pénètre mais pas assez loin pour elle.
La langue d'André se glisse dans le doux fourreau. Sa bouche collée sur le cul, il essaye d'aller le plus loin possible. Les cris de la belle salope continuent de retentir dans la pièce.
«  Oui ! Oui branle moi le cul avec ta langue salaud ! Plus vite, plus vite ! Ah oui ! Ah comme c'est bon ! Ahhh ! »


Elle pleure presque de plaisir. On ne lui a jamais fouillé le cul aussi profond avec une langue, du moins elle n'en a pas le souvenir. André continue, il sent une douleur dans la gorge tellement il essaye d'aller loin.

Aux cris de Lucie, il pense qu'elle ne va pas tarder à jouir et il accélère ses mouvements de langue.
Les hurlements s'amplifient encore.
«  Ah oui continue ! Plus fort ! Encule-moi avec ta langue salaud ! Ah oui ! Oui ! Ah oui ! Ouiiii ! Ahhhh ! »
Et cette fois, elle jouit pour de bon. De ses poings fermés elle frappe le lit de toutes ses forces. Elle a mis sa tête dans les couvertures, ce qui atténue l'intensité des cris. André qui n'en peut plus se force quand même à continuer, voulant satisfaire Lucie le mieux qu'il peut.


Elle s'arrête après un long moment d'intense jouissance. Elle ne bouge plus, on n'entend plus que sa respiration saccadée. André se détache, libérant l'anus qui reste un peu ouvert, montrant un intérieur rouge foncé. Il le regarde se fermer doucement, comme des pétales autour d'une fleur.


Lorsque le petit trou a repris une apparence normale, il vient poser un baiser dessus, le caressant doucement avec une langue molle. Lucie a un nouveau sursaut mais ne dit rien.
Il allonge les bras sous le corps de la belle vicieuse et ses doigts viennent étreindre les deux nichons aux gros bouts bandés. Il les malaxe gentiment, attendant qu'elle réagisse enfin.


Après de longues minutes, elle remonte son buste, s'appuyant sur ses avant bras, tourne la tête vers lui. Il aperçoit un visage gonflé, bouffi par le plaisir ressenti, des larmes perlent même autour de ses yeux. D'une petite voix elle dit :
« Cette fois tu m'as tuée pour de bon, cochon ! »


Il lui sourit tendrement puis lui dit :
« Dommage, il va falloir que je me branle alors ? »


Elle pivote sur elle même, lui demande :
« Comment veux-tu jouir ? Tu veux que je te suce ? »


André avait pensé à autre chose. Voyant qu'il avait une autre idée en tête elle dit :
« On ne m'a jamais fait jouir autant de cette façon. Demande-moi tout ce que tu veux. »

Et elle l'embrasse, retrouvant sur ses lèvres un petit peu de son intimité secrète.
Quand ils se désunissent, il lui dit :
« Il y a une chose que je n'ai jamais faite avec une femme. »

Elle comprend tout de suite. Elle lui murmure tout près des lèvres :
« Tu veux m'enculer, c'est ça que tu veux ? »

Il acquiesce.
« D'accord, mais je veux te voir m'enculer. Et puis je veux pouvoir te freiner. Jamais je n'ai pris une telle bite dans le cul, j'ai peur que tu me fasses mal. Allonge-toi sur le dos. »


Il s'exécute. La bite magnifiquement tendue plaquée sur son ventre, le dard somptueux cachant le nombril.
Doucement elle se met à genoux et vient s'asseoir sur ses cuisses. Elle se rapproche, pose sa bouche sur le gros vit, crache dessus pour bien le lubrifier. Elle pose un pied, se relève à moitié. Prenant le gros chibre d'une main, elle le redresse, le présente en tâtonnant devant son anus et se rassoit doucement.


André suit la scène avec des yeux exorbités.


Il sent une forte résistance, puis son gland s'introduit doucement dans le petit hublot. Lucie se mord les lèvres, les yeux mi-clos. Comme dans un rêve, il voit sa bite disparaître peu à peu dans le conduit merdeux.
Lucie se mord la lèvre inférieure mais continue de s'empaler sur la grosse colonne de chair.
Puis elle s'arrête, une grande partie de son braquemard est encore visible mais il sent qu'il a touché le fond du rectum. Lucie pousse un grand soupir et vient s'affaler sur le corps d'André. Celui-ci l'étreint, la serre contre lui.

Doucement il lui demande :
«  Tu as mal ?
- Oui, mais ça va passer, enfin j'espère. Attends un peu. »


Elle respire fort. Il est vrai qu'elle a l'air d'avoir mal. Elle se redresse à demi, prenant appui sur ses avant bras.
«  Caresse-moi les nichons, ça va me soulager de la douleur. »


André lui caresse les seins. Des petits soupirs s'échappent de la gorge de Lucie. Tout en le regardant, elle se relève un peu puis se rassoit. Elle répète le mouvement. Il sent sa bite coulisser, d'abord difficilement puis de mieux en mieux dans le conduit serré. Les mouvements se font plus amples maintenant. Des soupirs sortent toujours de la gorge de la fille mais ce ne sont plus des soupirs de douleur.


Peu à peu, il voit son visage se transformer. André en profite pour pincer un peu les bouts bandés. Des soupirs de satisfaction fusent à présent. Elle descend de plus en plus vite sur la bite monstrueuse. André n'ose pas bouger, de peur de lui faire mal.
La douleur est complètement oubliée à présent.
«  Oh oui ! Mon dieu ! Jamais je n'aurai cru que je pourrai l'avaler ! Ahhh ! »

 
André donne de petits coups de reins quand les fesses redescendent sur sa bite, la fille gémit de plaisir.
« Oui ! Oui, encule-moi ! Ah quelle bite ! Quelle bite ! Ahhh ! »


André sent que son sexe, serré comme jamais il ne l'a été, ne va pas tarder à cracher. Lui aussi pousse à présent des gémissements de plaisir. Lucie le perçoit, de même qu'elle perçoit le gonflement de la queue qui s'apprête à se libérer.
«  Oui ! Oui je sens que tu vas jouir ! Je la sens qui grossit ! Oh mon dieu qu'elle est bonne ! Ah oui ! Oui oui je viens ! Je jouis ! Ouiii ! Ahhhh ! »


Et elle s'écroule sur André qui a son tour ressent une formidable jouissance. Il donne des furieux coups de reins sans se soucier si Lucie a mal ou pas. Mais apparemment elle apprécie.
«  Oui ! Oui ! Vide-toi ! Vide-toi dans mon cul salaud ! Ahhhh ! »


Haletante elle ne bouge plus. Il sent les battements effrénés de son cœur contre sa poitrine. Doucement il lui caresse le dos, les fesses, vient caresser le tour de son anus dilaté comme jamais il ne l'a été.
La récupération est plus longue que d'habitude. André sent son membre diminuer de volume.


Enfin elle relève la tête, souriante, heureuse d'avoir bien joui et d'avoir satisfait son partenaire. Elle se remet à genoux, regarde en direction de son entre jambes et doucement libère le petit monstre qui l'a enculée. Poussant le vice à l'extrême, il lui demande :
«  Attends fais-moi voir ton petit trou. »

 

Il vient se placer derrière elle. Le petit trou se referme doucement. Il lui applique un baiser, sa langue douce vient apaiser la brûlure de la sodomisation.
Lucie apprécie le geste et le remercie ensuite d'un baiser profond.

Ils se rendent dans la cuisine-cabinet de toilette, remplissent un bassin et elle se lave, caressant longtemps son oignon brûlant avec le savon.
Elle le lave ensuite et ils rhabillent car il près de vingt heures. André raccompagne Lucie jusqu'à la porte de sa maison. Un long baiser les unit et ils se quittent en se promettant de se revoir demain. Mais elle prévient :
«  Pas de sodomisation ! Du moins avant quelque temps ! »


André retourne chez lui, heureux comme un pape comme on dit ici.
Il fait réchauffer le repas que lui a préparé sa mère, mange rapidement et va au lit, se demandant à quelle heure elle allait rentrer.
Elle peut aussi bien être de retour avant minuit ou à quatre heures du matin. Le client est roi.


« Et puis peu importe, » se dit-il, il est de repos toute la semaine. Pour être sur qu'elle n'ait pas de scrupules à le réveiller, il lui a mis un mot avec son arrêt maladie sur la table.
Étrangement, André n'est pas jaloux. Après tout, elle n’est que sa mère, pas sa femme.

 

Au contraire, il est excité à l'idée qu'elle se fasse sauter par des pigeons. Et puis lui, s'il avait le choix, il préfèrerait se payer des clients plutôt que de faire un travail ingrat comme il fait en ce moment. C'est elle qui a raison, et tant pis pour les mal-disant.
Il s'endort doucement en pensant à elle, l'esprit en paix et les couilles vides.

André est en plein rêve érotique. Il se voit allongé, nu et une bouche goulue avale son sexe. Il se sent bien, sur un nuage. L'impression est fabuleuse. La bouche qui monte et descend, avalant son chibre est douce, légère, aérienne. L'impression est tellement forte qu'il la ressent vraiment.


Des soupirs sortent de sa poitrine. Il sent une main douce qui lui caresse les couilles gonflées de sperme. Il sent qu'il ne va pas tarder à jouir. Il est au paradis.
Puis l'impression devient trop forte, il porte la main sur la tête qui monte et descend.
Ses doigts s'agrippent aux cheveux. Il porte son ventre à la rencontre de la bouche bienfaitrice.

 

Sa respiration s'accélère encore, c'est trop bon, il se sent partir. Il jouit, les doigts crispés sur la chevelure épaisse. Il exprime, il crie son plaisir tout le temps que son sperme s'écoule. Il lui semble entendre la femme qui s'étrangle avec son jus, il continue de se vider, pousse un soupir de satisfaction et se détend.

Il retombe dans une douce torpeur lorsqu'il sent des lèvres se poser sur les siennes. Des lèvres qui ont un gout bizarre, comme, oui comme un gout de sperme. Il passe son bras autour du cou de la bonne fée qui l'embrasse toujours.
Il sent une main se poser sur un téton, le caresser doucement.

La bouche se décolle de la sienne. Il bouge la tête et il se cogne. Il se réveille, vaseux. La petite lumière qui fait office de veilleuse est allumée.
Il ouvre les yeux, voit sa mère qui le regarde avec amour. Réveillé tout à fait, il l'étreint, l'embrasse, redécouvre le gout de sperme sur les lèvres.
« C'était donc toi !
- Moi quoi ? »


Il lui raconte son rêve, rêve qui n'en était pas un.
«  Tu dormais si bien, je n'osais pas te réveiller. Mais je ne voulais pas aller me coucher sans te faire un petit câlin. »


Ils rient tous les deux. Elle confirme qu'elle a bien vu son petit papier, puis se levant, elle se déshabille lentement.
Ses gestes sont lents, volontairement lents. Il admire les courbes de son corps grâce à la lumière qui se trouve derrière elle.
« Tu veux bien me faire une place dans ton lit ?
Il sourit, lui tend les bras. En même temps il regarde l'heure, il quatre heures du matin. Il se dit que pour revenir à cette heure elle avait une bonne raison. Elle a vu son coup d'œil vers le réveil.


Elle s'agenouille à coté du lit, l'embrasse à nouveau longuement, comme pour lui faire pardonner son retard. Leurs lèvres se séparent à nouveau.
« Je veux te tendre le plaisir que tu m'as donné. Choisis la position. »

 
Un nouveau et tendre baiser et elle se relève. Elle monte sur le lit, vient s'accroupir sur sa bouche. Elle ne s'est pas lavée, sa chatte sent fort et cela le rend fou. Sa langue, devenue experte virevolte sur le con offert. Il ne tarde pas à recevoir dans sa bouche le gout du merveilleux liquide.


Monique gémit de plaisir sous la caresse. Ses propres doigts caressent le clitoris et les gémissements augmentent encore. Elle se met à parler tout haut, à crier son plaisir.
« Ah comme tu me suces bien mon chéri ! Ah ouiiii ! Ah que ta langue est bonne ! Ahhhh »


André est fou de désir à nouveau. A chaque fois qu'il bouffe une chatte, un cul, son désir est décuplé. Sa bite vibre sur son ventre. Elle crie de plus en plus fort à présent.
« Oui ! Oui ! Oui je viens ! Je viens ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Ah ouiiii ! Ahhhh ! »


Et elle déverse un flot de mouille, mouille qui coule dans la bouche, sur la figure de celui qui la suce si bien. Sa jouissance terminée, elle vient recueillir sur les lèvres de son jeune amant l'odeur de ses sécrétions. Elle se régale, prend bien garde de tout récupérer, de nettoyer la figure d'André.
Sans étonnement, elle constate qu'il est bien raide.
« Baise-moi ! J'en ai une folle envie, et toi aussi. »


Elle veut s'allonger mais il lui demande de se mettre en levrette. Elle se met à genoux devant lui.
Prenant fermement sa queue tendue dans une main, il la pénètre lentement. Monique pousse des râles de satisfaction. La prenant aux hanches il la baise de plus en plus fort. Très vite elle crie sous les coups de boutoir.
« Ah comme tu me baises fort ! Ah oui ! Oui j'aime ! Ah que c'est bon. »


Monique donne des grands coups en arrière, en cadence. André mouille ses doigts avec sa salive et se met à caresser l'anus de sa mère. Après quelques rapides circonvolutions, il rentre son pouce et lui branle le cul. Monique crie encore plus fort.
« Ah oui mon chéri branle moi le cul ! Ah j'adore ! »


André a déjà introduit son deuxième pouce. Il les fait tourner dans le petit conduit, qui n'est pas si petit que ça d'ailleurs. Sa mère gueule littéralement sous la double caresse.
«  Oui ! Oui ! Ah le salaud ! Ah que c'est bon ! C'est bon ! Ahhhh ! »


Et elle se met à jouir comme une folle tandis qu'il la pistonne toujours avec sa queue et ses pouces réunis. Monique est toujours à genoux mais le torse collé sur le lit. André ne peut plus y résister, il se retire brusquement et, enlevant ses doigts il sort de la chatte et l'encule aussitôt. Aussitôt elle se met crier sous la douleur. André s'arrête. Seul son gland est entré pour l'instant. Il ne bouge plus, attendant sa réaction. Elle gémit à présent mais ne crie plus. Doucement il pousse, sa bite bien enduite de mouille s'introduit lentement dans le canal étroit.


Il est au fond à présent, sa bite ne veut pas aller plus loin. Il reste une dizaine de centimètres dehors. Monique halète, André ne bouge plus, lui caresse doucement les fesses, le bas des reins. N'observant toujours pas de réaction il demande doucement :
« Tu as mal ? Si tu veux je me retire. J'en avais tellement envie, je n'ai pas pu résister.
- Oui ! Oui ça fait un peu mal. Attends un peu, laisse-moi m'habituer. »


Bien qu'il soit persuadé qu'elle a déjà été sodomisée, il lui demande.
«  Oui, mais jamais par un tel engin.
- Et…, heu tu aimes d'habitude ? Avec une plus petite bite je veux dire ? »


Elle hésite puis :
«  Oui j'aime. »


En même temps elle commence à bouger lentement, sortant presque la bite, puis vient s'empaler à nouveau. André l'accompagne, allant à son rythme. Peu à peu elle va plus vite. Elle a passé une de ses mains sous son corps et se caresse. Il lui demande ce qu'elle fait.
Avec des soupirs dans la voix, elle articule péniblement.
«  Je me caresse mon chéri. Je me caresse le bouton.
- Tu aimes te caresser le bouton ? Réponds-moi, j'aime bien savoir ce que tu fais.
- Oui, j'adore. J'adore aussi me branler en me mettant deux doigts dans la chatte. »


Cette conversation rend André fou de luxure. Il sent qu'il va se vider bientôt, il lui dit.
« Oui ! Oui je sens que ta bite grossit encore ! Ah qu'elle est grosse ! Elle est trop grosse pour mon petit cul ! Attends moi je veux jouir avec toi. »


Et il voit qu'elle accélère ses mouvements. En fait il réalise qu'elle se branle avec ses deux mains. Il en peut plus, il se vide, il explose.
« Ah oui ! Oui tiens ! Tiens j'en peux plus ! Prends Ahhhh ! »


Elle vient au même moment et se met à hurler sa joie. André encule sa mère à grands coups de reins puissants.
« Ah oui ! Ah comme tu me baises bien ! Ahhhh ! Ahhhh ! »

Il s'arrête enfin, il s'écroule sur elle qui s'aplatit sur le lit.
Toujours enfoncé en elle, il lui murmure des mots doux à l'oreille, lui demandant pardon de lui avoir fait mal.
Peu à peu elle reprend ses esprits. La queue toujours fichée en elle diminue de volume. Elle souffle un grand coup, tourne la tête ver lui et l'embrasse profondément.
Il se retire enfin, il regarde l'anus se refermer doucement.


Il l'aide à se relever, vont faire une toilette rapide. Il veut retourner dans sa chambre mais elle lui demande de venir passer la nuit dans son lit.
«  Il est beaucoup plus confortable et j'ai envie de dormir avec mon homme. Il y a longtemps que ça ne m'est pas arrivé. »


Pour André c'est une première et il en est très fier. Même si leur relation est totalement contre nature…
Ils se couchent, lovés l'un contre l'autre et ne tardent pas à s'endormir.

La lumière qui perce à travers les persiennes réveille doucement Monique. Entendant la respiration calme d'André, elle se garde bien de bouger. Il est presque dix heures au réveil. Heureusement, elle avait prévu le coup et avait prévenu Irène qu'elle ne viendrait pas de bonne heure cette semaine.


L'idée de se dépenser moins dans un futur proche évoqué par Monique l'avait calmée et elle en avait accepté l'idée.
Monique se dit que vraiment sa copine devrait raccrocher. Sa mise négligée et son penchant pour l'alcool aurait fait fuir tous les clients si elle, Monique n'était pas là pour remonter la situation.
Malgré tout, elle lui pardonnait parce que c'est grâce à elle qu'elle s'en était sortie.

En tous cas, maintenant il va falloir décider Lucie à accepter le boulot. Monique n'est pas vraiment inquiète, elle pense la persuader sans problème.
Cette fille a tout pour réussir. Elle est belle, plus que ça, attirante avec son air coquin.

 

Depuis que son fils lui a raconté leurs turpitudes, elle sait qu'elle a le vice dans la peau. Elle est divorcée, plus ou moins à la charge de son vieux père qui n'est pas loin de la retraite, si elle n'accepte pas l'opportunité qu'elle va lui offrir, il y a de quoi désespérer.

Elle attend qu'André se réveille pour lui en parler. Depuis quelques jours, son fils qu'elle considérait comme coincé, sans intérêt, a pris une dimension nouvelle.

Elle repense à leur situation. Jamais elle n'aurait imaginé, il y même une semaine ce qui se passe actuellement. Elle a toujours été une fille chaude, c'est de naissance, dans les gènes elle n'y peut rien, c'est comme ça. Dans sa jeunesse, il était difficile de coucher comme maintenant. En plus on se mariait, ou plutôt on se retrouvait mariée sans vraiment avoir le choix.

Sa vie avec son mari n'avait pas été très heureuse, elle trouvait tout naturel de se rattraper maintenant. C'est pour ça qu'elle se fichait pas mal des gens qui parlaient dans son dos.
Elle avait un rêve : quitter cette région et aller en ville, à Lille par exemple. Là au moins on peut vivre, s'amuser sans s'occuper des autres.


La situation actuelle n'est pas normale, mais en ville, nul ne saurait qu'André est son fils.
Il ne va pas tarder à se réveiller, car elle le sent bouger de plus en plus. Elle le regarde. Elle ne l'a pas vu grandir et pourtant il est un homme maintenant. Et même un sacré homme.


Il est sur le dos et son regard se porte vers son sexe. Le sexe incroyable se dessine de façon claire à travers la fine couverture. Il doit encore bander comme un âne se dit-elle en souriant.


Elle savait que certains hommes étaient très bien montés mais à ce point ! Elle n'y tient plus, sa main vient se poser sur son sexe nu. Doucement, elle écarte les jambes. Elle mouille ses doigts en les rentrant dans sa chatte, les pose sur la petite tige durcie. Elle commence un lent mouvement circulaire autour de la petite tige. Ses yeux se voilent tout en restant fixés sur la protubérance de son fils. Le désir monte très vite. N'y tenant plus, elle s'arrête.

 

Elle a envie de voir, de contempler cette queue qui la rend dingue depuis quelques jours. Doucement, elle tire les draps vers le bas. Le ventre musclé apparaît d'abord, avec des abdominaux en relief sous la lumière rasante qui traverse les lamelles des volets, puis, enfin, la queue dressée dont le méat cache le nombril. Elle se rallonge et, les yeux rivés sur la hampe majestueuse, elle reprend sa masturbation.
Imaginant cette bite dans sa chatte, le plaisir arrive très vite. Se mordant les lèvres, elle halète de plus en plus fort.

Malgré cela, ses gémissements se font de plus en plus forts.
Le plaisir approche, délicieux. Puis enfin vient la délivrance, le plaisir, la jouissance suprême.
Elle réussit à jouir sans le réveiller et reprend doucement et difficilement une respiration normale.


Enfin, il ouvre les yeux, découvre sa mère. Ses souvenirs reviennent et il l'embrasse.
S'excusant, il se lève, un besoin pressant. Il sort dans la cour. Monique se lève elle aussi, ouvre la fenêtre et ensuite les volets. Il fait une belle journée. A ce moment elle voit sortir André, nu comme un ver qui se met à pisser dans la cour. L'apercevant, il lui sourit, se rapproche tout en se vidant la vessie. La pisse fait une parabole avant de retomber par terre. Les yeux brillants, elle regarde en souriant. Il se dirige dans sa direction, se laisse complaisamment regarder, conscient à présent de son pouvoir, de son chibre exceptionnel.
La miction dure longtemps. La bite ne fléchit même pas. Il lui demande :
« T'as pas envie de pisser toi ? »


Elle sourit vicieusement et sort elle aussi. Arrivée devant lui, elle écarte largement les jambes tout en restant debout et se met à pisser dans cette position. André n'en revient pas. Jamais il n'aurait imaginé ça. La scène est pour lui d'un érotisme rare.

La pisse coule verticalement, légèrement en avant. Il en reste bouche bée sous les yeux rieurs de Monique. Pour elle également on a l'impression que le jet ne va jamais s'arrêter. Enfin elle termine. D'autorité, elle le prend par la main et ils retournent dans la chambre. Il la suit sans poser de questions, sur qu'elle lui prépare quelque chose. Elle lui demande de s'allonger sur les dos.

 

A peine est-il installé, qu'elle vient se mettre sur lui en position de soixante neuf. Elle happe sa bite toujours tendue et se met à le sucer. André, les mains posées sur les fesses de sa mère, attire le con sentant la pisse et la mouille qu'elle a libérée lors de sa branlette.
On n'entend plus que des grognements de plaisir durant un long moment.

C'est André qui cède le premier. Lâchant le con baveux, il crie son plaisir au moment où il se déverse dans la bouche de sa belle salope de mère.
Ayant repris sa respiration, il pose à nouveau sa bouche sur la chatte qui ne tarde pas à répandre son jus dans la bouche.

Ils restent ainsi, chacun admirant le sexe de l'autre, puis Monique se tourne, vient embrasser son fils sur la bouche, tendrement.
Elle se relève, va préparer le petit déjeuner. André se lève aussi et ils prennent leur premier repas de la journée.

A peine terminé, Monique lui dit qu'il a quelque chose à lui dire.
Longtemps, elle lui explique ce qu'elle va proposer à Lucie. Elle lui explique bien tous les avantages qu'elle pourra en récolter, de même les avantages que lui, André et Monique pourront en retirer si tout va bien, s'ils réussissent à aller habiter dans une grande ville

André ne voit aucun problème, est enchanté au contraire. De toute façon il laisse carte blanche à sa mère pour la convaincre.
« Je lui dirais tout à l'heure qu'elle aille te voir au bar et tu t'arranges avec elle.
- Au fait, elle sait que je suis au courant pour vous deux ?
- Bien-sur, je lui dis que tu étais au courant, que je t'avais prévenue. »

 
Monique est enchantée.
Il est presque midi, Monique se prépare et ne tarde pas à s'en aller. Elle l'embrasse.
«  Tu lui dis qu'elle vienne vers quinze heures, si elle est d'accord bien entendu.
- Ne t'en fais pas, elle sera d'accord. »

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