Sophie, marquise de
R.
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Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
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Bises libertines,
Sophie
En croisière coquine – Justin
Le bateau, je le connais. Un catamaran de douze mètres pouvant accueillir jusqu’à huit personnes pour une journée de balade le long des côtes, sous le vent de la Martinique Nous sommes à quai et les moteurs ronronnent au ralenti. Le programme, modifiable à la demande des clients, je le connais aussi et pour cause, c’est moi qui l’ai mis au point : sortie au moteur, navigation à la voile, mouillage dans une anse discrète, baignade, déjeuner, baignade et retour. Quatre à cinq heures à promener des touristes en espérant un beau pourboire… Il fait un temps idéal ciel bleu et juste assez de vent pour ne pas mourir de chaleur. Les clients, eux, je ne les connais pas. Mais en voyant un couple d’un certain âge s’avancer sur le ponton, je me doute que je vais bientôt faire connaissance avec les premiers.
« Bonjour, vous êtes Justin ?
- Tout à fait, bienvenue à bord. »
J’aide la dame à enjamber les filières. Il s’agit d’un couple d’une bonne cinquantaine d’années. Lui est largement dégarni, un peu bedonnant, un look qui me rappelle les photos que j’ai vu de Frédéric Dard, l’auteur de San Antonio : une allure d’industriel cossu faisant attention à sa ligne. Je suis sûr qu’il joue au golf et au tennis. La dame, elle, est assez grande, assez pulpeuse également. Tous deux sont en shorts, et elle exhibe une peau bronzée qui me semble très lisse. Son visage encadré de boucles blondes, est souriant et très légèrement maquillé. Son tee-shirt dissimule mal une volumineuse poitrine. En revanche, ses hanches sont assez minces. Elle a dû être une très jolie femme et elle a de beaux restes.
Je leur présente le bateau et les installe dans le cockpit.
« Voulez-vous quelque chose à boire : jus de fruits, café, ti ’punch ou planteur bien qu’il soit un peu tôt, n’est-ce pas ? »
Ils se consultent du regard puis elle décide :
« Allons-y pour deux planteurs. Ils ne sont pas trop forts ? »
Je ramène leurs boissons qui étaient déjà prêtes dans le réfrigérateur du bateau.
« Ne vous inquiétez pas, ils sont légers. Il ne faudrait pas que vous soyez trop gais avant l’arrivée des autres clients…
L’homme réagit :
« D’autres clients ? Mais nous ne sommes que deux. Nous avons loué le bateau pour nous. L’agence ne vous a pas prévenu ? »
La femme intervient :
« Nous fêtons nos trente ans de mariage, alors on se fait une petite folie…
- Eh bien, bon anniversaire et puisque vous n’attendez personne, en route ! »
J’embraye les moteurs et largue les amarres tandis qu’ils sirotent leurs punchs. En moi-même, je me dis qu’ils ont quelques moyens pour se permettre ce genre de plaisir. Mais j’ai cru discerner un léger accent chez elle. Ce sont probablement des suisses. Je vais les soigner et ils soigneront mon pourboire…
Leurs boissons terminées, ils s’engouffrent dans le bateau et ne tardent pas à ressortir en maillot de bain. Effectivement, elle n’est pas mal du tout pour son âge. Pas ou peu de ventre, des fesses un peu molles probablement mais appétissantes, et une poitrine généreuse que son soutien-gorge peine à contenir.
Elle se dirige vers l’avant du pont tandis que lui s’approche de moi.
« Dites-moi, jeune homme, nous sommes naturistes, cela ne vous choque pas ?
- Rien de me choque, monsieur, et sur les bateaux, on vit souvent nus. Par contre, attention : le soleil tape dur et ses rayons aiment les fesses blanches. N’oubliez pas votre crème solaire et usez-en abondamment ! La réflexion sur l’eau pourrait vous brûler très rapidement. Il serait dommage de ne plus pouvoir vous assoir…
- Merci du conseil. Peut-on s’installer sur le trampoline à l’avant ?
- Pas de soucis la mer est calme. Mais vous ne serez pas à l’abri de quelques embruns.
- Bah, l’eau est chaude, nous prenons le risque… Je vais chercher la crème solaire. »
Nous sommes déjà hors du chenal. Tandis que le mari cherche sa protection solaire, j’enclenche le pilote automatique et vais en pied de mât hisser la grand-voile. La dame est étendue à plat ventre dans le trampoline. Elle n’a pas attendu mon autorisation pour se mettre nue. Elle est vraiment appétissante… Je ramasse son maillot qui git au pied du mât.
« Je range votre maillot à l’intérieur pour éviter qu’il ne finisse à l’eau, lui dis-je.
- Merci, vous êtes adorable. »
De retour dans le cockpit, j’explique brièvement le programme au mari qui, nu, s’enduit copieusement de crème. En bon mâle vaniteux, je constate que question taille, je n’ai pas avoir honte…
L’homme s’inquiète :
« La baie où nous déjeunerons ne sera pas trop fréquentée ?
- À cette saison, il y a des chances que nous y soyons seuls.
- Tant mieux, ma femme et moi tenons à profiter pleinement de cette journée. Pour vivre heureux vivons cachés, n’est-ce pas ? »
Puis il s’en va dans le trampoline rejoindre sa femme. J’ai coupé les moteurs, le bateau avance tranquillement sur l’eau transparente. J’hésite à envoyer le génois, la voile d’avant, car cela risquerait de faire de l’ombre à mes clients. Je décide de les laisser bronzer. Je vais à l’intérieur du bateau où, à la radio, je préviens mon compère Joseph de mon horaire probable d’arrivée à l’anse où il réside. De la table à carte, j’ai une vue plongeante sur le cockpit et je vois l’homme qui, consciencieusement, enduit sa femme de crème solaire. Consciencieusement, car je trouve qu’il insiste beaucoup sur les fesses et l’intérieur des cuisses. Elle glousse et se retourne. Elle a une grosse poitrine, naturelle qui pend un peu et, bingo, c’est une vraie blonde. Sa toison pubienne est taillée au cordeau. L’homme continue ses caresses sur le haut des cuisses, tandis que d’un geste naturel, elle s’empare du sexe de son mari qu’elle commence à caresser. Un grésillement dans la radio me rappelle à mes obligations.
C’est Joseph, mon compère qui a en charge d’amener le sublime colombo de poulet que sa femme cuisine et que je sers aux clients :
« Hey Justin, tu m’entends ?
- Oui Joseph. »
Je parle bas dans le micro.
« J’étais perturbé par un charmant spectacle. »
De fait, sur le trampoline, l’homme bande ferme et sa femme vient de se pencher sur son sexe. Ça y est, elle l’a mis dans sa bouche et entame une fellation experte.
« Tu verrais ça vieux frère. Bon oublie le colombo pour midi, je n’ai que deux clients et ils ont loué tout le bateau. Amène des langoustes…
- Ti male, elle doit être pas mal ta cliente
- Elle déchire ! »
J’éteins la radio. Le couple est maintenant allongé sur le côté, lui, derrière elle et à ses mouvements de bassin je comprends que la vie est belle pour eux….
Je regagne l’arrière du bateau et me remets à la barre. Et en parlant de barre, j’en ai une sacrée dans mon short. Le fait de les entendre glousser n’arrange rien. Après un long moment, c’est le silence… L’homme a dû arriver à bon port… En tous cas ils me sont sympathiques avec leur sans gêne et leur totale impudeur.
Un claquement de vague dans une étrave, et des hurlements joyeux. Ils viennent de se faire doucher. Effectivement je ne tarde pas à les voir revenir trempés. Lorsqu’elle marche ses seins libres de toutes entraves ballotent tellement qu’elle en amortit les mouvements de son bras replié. Ils s’installent en riant dans le cockpit.
« Vous aviez raison pour les embruns… Dites-moi, vous reste-t-il de ce planteur ? »
L’homme a la voix joyeuse du mâle après l’amour. Et ce sont de joyeux drilles.
« Bien sûr ! »
Je leur ramène deux punchs glacés. La dame a pris ses aises. Elle est assise sur une banquette, tête en arrière, yeux fermés, les jambes tendues devant elle, pieds posés sur un siège et les cuisses légèrement ouvertes. Sa lourde poitrine est attirante, mais surtout, lorsque je passe devant elle, j’ai une vue plongeante sur son intimité. Au moment où je vais regagner le poste de pilotage, l’homme m’arrête.
« Vous en trinquerez bien avec nous ? »
Je repars vers le carré et repasse devant la dame, puis revient un verre de punch à la main, et fatalement devant elle. À chaque fois, je ne peux m’empêcher de regarder ce sexe semi-ouvert, quasi offert. Mon état ne doit pas passer inaperçu car l’homme interpelle sa femme :
« J’ai l’impression que tu ne laisses pas notre skipper indifférent, mon amour… »
Elle ouvre les yeux et son regard se fixe sur mon short, tandis que je suis affreusement gêné.
« Allons, je pourrais être sa mère... »
Toujours est-il qu’elle tend la main et effleure la bosse que fait mon sexe en érection
dans mon short.
« C’est vrai qu’il bande… Vous nous avez vus dans le trampoline, c’est ça ?
- J’ai vu sans le vouloir, madame, difficile de faire autrement…
- Je vous l’avais dit, très chère, que vous vous comportiez comme une chatte en chaleur. Regardez ce pauvre garçon maintenant. Vous ne pouvez pas le laisser comme cela…
- Mais il ne voudra pas d’une vielle femme, mon ami...
- Vous êtes très belle madame !
- Flatteur ! »
Elle a glissé sa main dans ma ceinture et m’attire vers elle. D’une seule main, experte, elle a dégrafé ma ceinture et mon short tombe à terre. Je ne porte pas de slip et mon sexe tendu semble pointer vers son visage. Elle soupire :
« Ce serait dommage de laisser perdre cela ! »
Elle finit son verre d’un trait et se penche sur mon problème. La sensation de sa bouche rafraichie par la boisson sur mon sexe brulant est à crier de bonheur.
Son mari regarde la scène, confortablement installé en sirotant sa boisson. Je n’ose rien dire, rien faire pour ne pas casser la magie du moment. La tête blonde monte et descend sur mon membre, aspirant, chatouillant, léchant. Le silence est intense, seulement interrompu pas le clapotis de la mer sur les coques et les bruits de succion de ma cliente. C’est une experte en pipe et elle atteint son objectif : je sens le plaisir monter de mes reins et je me déverse avec force et délectation dans la bouche accueillante. Elle a resserré ses lèvres autour de ma hampe et semble téter pour aspirer les dernières gouttes de mon plaisir. Elle avale tout, la belle salope !
Quand, enfin, elle me libère, je pars sans un mot à l’intérieur et ramène d’autorité trois autres boissons. La dame a repris sa position légèrement obscène. Je pose un verre près d’elle et je m’assois à côté de son mari dans l’axe de ses jambes entre-ouvertes…
« Elle suce comme une reine, n’est-ce pas ? »
L’homme semble très fier des capacités de sa femme… Je ne peux que la complimenter :
« Je n’avais jamais connu cela. Vous êtes une experte madame !
- Merci jeune homme. Votre avis m’intéresse car mon mari n’est pas objectif. Il est
amoureux…
- Pas du tout très chère, vous avez une bouche divine, un cul de reine et votre sexe est d’une douceur sans égale ; Et je suis objectif…
- Allons mon bon, vous allez encore perturber notre jeune skipper… »
De fait, de les entendre discuter ainsi, sans pudeur, tout en ayant sous les yeux sa
toison blonde qui souligne plutôt qu’elle cache son sexe, je sens ma bite reprendre quelque vigueur. L’homme s’enquiert :
« Dans combien de temps arrivons nous ?
- Encore une petite heure de navigation.
- Et bien ma chère, vous avez le temps de nous montrer vos talents de garce, et ainsi ce jeune homme pourra juger que je suis objectif.
- Mais c’est au jeune homme qu’il faut demander !
-Alors là, je suis entièrement d’accord avec votre mari, madame. Entièrement
d’accord.
- Bon, mais n’attendez rien d’exceptionnel. C’est plutôt moi qui ai la chance d’avoir deux belles queues sous la main ! Allongez-vous sur le
dos ! »
J’obtempère immédiatement. Elle se pose à mon côté et saisit ma verge semi-érigée dans sa main. Quelques mouvements de poignet, en douceur, et me voici en érection, la bite bin raide et dure.
« N’avais-je pas raison jubile son mari, elle réveillerait un mort ! »
Je ne peux qu’acquiescer, et de toutes façons, je ne peux plus articuler un mot. Elle se lève et m’enjambe. J’ai au passage une merveilleuse vision de sa chatte
luisante. Puis elle s’accroupit au-dessus de ma queue, et j’ai maintenant une superbe vue sur son cul frémissant. Elle s’empare de ma queue, la place à l’entrée de son sexe, et dans un mouvement
lent mais déterminé, elle s’empale sur mon membre en poussant un soupir d’aise…
Je vois son derrière un peu flasque monter et descendre lentement sur mon sexe. Elle se tient très droite et regarde son mari dans les yeux. Son mouvement est
régulier et elle monte jusqu’à la limite, puis se laisse retomber en profitant de toute ma longueur. Lorsque ses fesses touchent mon bas-ventre, elle a de petits mouvements de bassin comme pour
gagner encore quelques millimètres.
« Alors jeune homme, me demande son mari, le verdict ?
- Divin.
- Et toi chérie ?
- Il est long, c’est agréable… J’adore cette belle barre vigoureuse et dure… »
Elle a une voix un peu lente, comme si elle était concentrée sur mon mouvement, sur son
plaisir, sur notre plaisir. L’homme se lève. Il a repris de la vigueur et se place devant sa femme.
« Allons chérie, vous savez faire plusieurs choses à la fois… Sucez-moi ! »
Il place son sexe devant les lèvres de sa femme, et docilement, elle commence à le sucer. Elle le pompe avec application, en rythme avec ses allers et retours sur mon mandrin toujours aussi raide. Notre trio s’active ainsi un bon moment, puis l’homme sort sa queue de la bouche de sa femme, la fait se relever et pivoter sur elle-même. Maintenant, c’est sur sa poitrine que je fixe mon regard tandis qu’elle s’empale de nouveau. Je malaxe plus que je ne caresse ses grosses mamelles. L’homme pousse sur son dos la forçant à poser ses seins sur mon torse puis il farfouille derrière elle. Je sens un moment sa queue sur la mienne et je m’immobilise. Il trouve enfin ce qu’il cherchait : l’entrée des reins de sa femme. Je sens qu’elle se cambre. Puis elle pousse un cri. Son mari s’est introduit dans son anus, sans préparation préalable. Elle doit avoir l’habitude ! Je me remets à bouger en essayant de calquer mon rythme sur celui de son époux. Elle pousse de longs gémissements de plus en plus rauques et de plus en plus forts. Enfin, son corps se tend comme un arc, prise d’un intense orgasme. Elle crie comme une démente, dans le ciel des Caraïbes. Son plaisir déclenche le mien, et je jouis en déchargeant au fond de sa grotte en feu. Et celui de son mari. Nous nous déversons avec force dans les deux orifices investis en grognant de bonheur.
Après un instant son mari se releva en mettant une claque ferme sur les fesses de son épouse.
« Un cul de reine, je vous l’avais dit… »
Nous étions devant l’anse où je comptais m’arrêter. Impeccable, personne… Le temps d’y
entrer et d’ancrer le bateau, et ils sont tous les deux à batifoler dans l’eau comme des enfants.
J’ai remis mon short en prévision de la venue de Joseph, et je mets la table pour les clients. Trois couverts, car l’usage est que le skipper mange avec ses
clients. Compte-tenu de ce qu’ils m’avaient fait vivre, j’étais content d’avoir du champagne au frais et je disposai des coupes. Il y aura, en dessert, une salade de fruits et des fruits frais du
pays. Des avocats en entrée, et des langoustes. Le temps de préparer un plat de riz et le tour est joué. Un déjeuner sympa par lequel j’espère montrer ma reconnaissance pour le plaisir
reçu.
Le bruit du moteur de la barque de Joseph me surprend au moment où je finis de dresser la table. De mon âge, Joseph est un jeune pécheur local, excellent plongeur et joyeux compagnon qui ne refuse jamais un ti ‘punch, au grand dam de sa femme. C’est plutôt un beau mec avec un corps musclé mais élancé.
« Alors ils sont où tes clients ? demande-t-il en déposant sur la table du carré un plat de langoustes grillées.
- Ils sont partis se baigner dans l’anse… »
Il jette un œil dehors, et me dit d’un air goguenard :
- Ok je les vois sur la plage. Mais ils sont à poil !
- Ouais, des naturistes. Et des libertins. Je te raconterai. Mais pas maintenant, ça va
me faire bander.
- À ce point… J’espère qu’on ne te paye pas pour ce job-là », dit-il éclatant d’un rire joyeux.
Je lui sers un verre afin de détourner la conversation, et lui demande des nouvelles de sa femme. Nous bavardons un moment puis il prend congé et regagne sa
barque au moment où mes clients se hissent sur la jupe arrière du bateau.
« Bonsoir monsieur, bonsoir madame, » dit Joseph, les yeux rivés sur la poitrine de la dame.
Je le présente aux clients :
« Joseph, un ami qui vient d’apporter des langoustes pour notre déjeuner.
- Des langoustes ! Comme c’est gentil, s’écrie la cliente. Venez prendre l’apéritif avec nous ! »
Joseph ne se fait pas prier et remonte à bord. Je crois que pas un instant, il n’a quitté des yeux les seins plantureux qui s’exhibent sous son nez. Et ma cliente l’a sûrement remarqué !
Mes clients s’installent à table en me félicitant pour la décoration, tandis que Joseph s’assoit sur un des postes de barre. Je débouche le champagne sous le regard ravi du mari et de la femme et je porte un toast :
« À vos trente ans de mariage ! »
Ils se lèvent tous les deux et s’embrassent langoureusement. Nous trinquons. L’ambiance est festive. Le rhum déjà ingurgité et nos exercices physiques n’y sont pas pour rien. Joseph nous regarde, un peu intrigué par cette bonne humeur. Je le mets à l’honneur :
« Venez voir ce que Jo a rapporté ! »
Ils se lèvent et me suivent à l’intérieur. Leur nudité est totalement naturelle. Cris de joie devant le plat de « bêtes à cornes » !
« Oh, c’est magnifique ! »
La dame ressort, va vers Joseph et l’embrasse sur les deux joues :
« Merci beaucoup, c’est superbe… Comme vous ! »
Je vois Joseph embarrassé, une femme, âgée certes mais attirante, nue dans ses bras et une coupe de champagne à la main. J’imagine qu’il doit commencer à être assez excité...
Le mari intervient et m’interpelle :
« Écoutez, il y en a trop pour trois. Verriez-vous un inconvénient à ce que votre ami déjeune avec nous ? »
La femme est toujours dans les bras de Joseph :
« Oh oui Joseph, restez avec nous !
- Bien sûr, je n’y voir pas d’inconvénients et Joseph non plus ! »
Le déjeuner est animé, agréable et Joseph raconte des tas d’histoires sur son île, les traditions, sa vie de pécheur. Certes son regard est très souvent rivé aux seins de ma cliente mais son mari n’est pas jaloux et elle-même semble prendre plaisir à s’exhiber. J’ouvre une deuxième bouteille alors que nous dévorons les langoustes, et c’est repu que tout le mondes se vautre sur les banquettes tandis que je débarrasse la table.
J’annonce le programme :
« Allez, on va se baigner une dernière fois et on met les voiles.
- Super, ça va nous faire digérer ! »
La femme est déjà debout. Elle prend Joseph par le bras et le tire vers les jupes
arrières du bateau.
« Allez Joseph, à l’eau avec nous ! »
Joseph est un peu ivre. Le rhum, il connait, le champagne moins. Il hésite un instant puis se débarrasse de son short et plonge à l’eau, aussitôt suivi par le couple de clients. J’en profite pour faire la vaisselle et ranger les couverts pour éviter la casse. J’entends les cris joyeux, puis l’homme remonte et s’essuie.
« Votre ami Joseph est très agréable. Et il fait honneur à son pays !
- Comment cela ?
- Eh bien, vous ne l’avez pas vu ? »
Il éclate de rire
« Mon cher, il a une queue d’âne… Ma femme va être folle. Ça m’étonnerait qu’elle
résiste ! »
La femme surgit de l’eau, accrochée à l’échelle de bain, suivit par Joseph qui, du coup, doit avoir une vue intéressante sur sa vulve et son cul. Effectivement,
quand il surgit de l’eau, je vois que l’homme n’a pas menti, Joseph est monté comme un âne, et en plus il est en semi érection. De quoi nous donner des complexes ! Il s’empare prestement
d’une serviette et commence à s’enrouler dedans, dissimulant son membre à nos regards. La femme ne peut s’empêcher de réagir. Elle bloque son bras, attrape la serviette et lui retire d’un coup
sec.
« Ah non, ne cachez pas un engin pareil, au contraire… » susurre-t-elle, l’œil brillant de désir.
Joseph roule des yeux éberlués, tandis qu’elle s’approche de lui et pose sans aucune gêne sa main sur sa bite.
« Je n’en ai jamais vu une si grosse ! »
Elle soupèse le membre qui roule et durcit dans sa main.
« Je n’ai jamais vu de sexe noir, vous vous rendez compte ? Elles sont toutes de cette taille ? »
Joseph s’étrangle à moitié, et c’est d’une voix de petit garçon qu’il répond :
« Non madame, ma femme dit qu’elle a de la chance…
- Je la comprends. Vous permettez ? »
Elle s’agenouille devant, et prenant ses seins dans ses mains, elle entoure la queue
dans une douce prison et fait coulisser l’engin entre ses mamelles. Je connais la femme de Joseph qui a un corps de gamine et de tous petits seins. Sûr qu’un traitement pareil est une première
pour lui. Le mari s’est assis et regarde la scène avec intérêt, une flute de champagne à la main.
Sa femme branle doucement le membre d’ébène avec ses seins, et profite que le gland émerge de sa poitrine pour le lécher langoureusement. Finalement, elle
l’enfonce par le mettre dans sa bouche ave u plaisir non dissimulé. Je sens mon excitation monter, à la voir ainsi pomper mon ami… Joseph a les yeux exorbités, le souffle rauque et il a un
soubresaut violent et râle la bouche grande ouverte. Il se vide dans la bouche qui l’emprisonne, tandis que la dame continue ses va-et-vient. Du sperme dégouline le long de la queue et coule sur
son menton.
« Eh bien, vous êtes rapide, vous aviez une grosse envie…. C’est flatteur pour moi », minaude sa suceuse.
Ce salaud ne débande même pas. Il reste raide comme la justice, avec des yeux déments, il repousse la femme passe derrière elle, la fait mettre assez brutalement à quatre pattes. Elle se laisse, faire, accompagnant même le geste de domination de Jo. Ce dernier se rue entre ses cuisses, les écarte, et avec élan, il s’enfonce de toute sa longueur, d’un mouvement brutal qui arrache malgré tout un petit cri à la dame. Mais elle semble apprécier, car ses hanches semblent vouloir encore plus de la bite épaisse.
Effaré par la tournure des évènements, je me laisse tomber assis à côté du mari. Nous avons sa femme face à nous, haletant la bouche ouverte, du sperme sur les lèvres et le menton, sa lourde poitrine ballotant entre ses bras dans une houle puissante imposée par les coups de rein frénétiques de Joseph. I est derrière elle, les yeux fermés, et la tient fermement par les hanches en lui imposant de véritables coups de boutoir. Il rentre et fait sortir toute la longueur de son membre disproportionné.
C’est un coït primitif, bestial, mais très excitant, puisque le mari bande maintenant et se branle vigoureusement. Il finit par pousser un cri rauque et se levant précipitamment, tenant son sexe à la main il s’approche de sa femme. Pliant les genoux, il éjacule à long traits sur son visage. Elle continue à haleter la bouche ouverte, le sperme de son mari se mêlant à celui de Joseph. Son mari introduit son sexe quasi flaque dans la bouche béante, finissant de se vider, extirpant de son corps les dernières gouttes de jouissance sans que celle-ci ne réagisse. Elle se laisse besogner comme une femelle en rut.
Le spectacle est grandiose, et j’ai moi-même sorti ma bite et me branle également avec énergie. Je suis hypnotisé par cette bestialité à l’état pur et l’odeur de sperme envahit mon cerveau.
Joseph ne faiblit pas et la femme pousse maintenant des râles ininterrompus. Je me branle de plus ne plus frénétiquement, et j’ai très envie de jouir comme le mari. Puisqu’il s’est rassis et reprend son souffle, je me précipite sur sa femme et lâche ma semence sur son visage, sur ses cheveux, et dans sa bouche grande ouverte en poussant des grognements de bête. Je ne pensais avoir de telles réserves de foutre en moi ! La femme, maintenant, hurle sa jouissance à plein poumon tandis que fauché par le plaisir, je m’effondre à côté du mari, n’ayant pas la force de ranger ma bite qui pend hors de mon short.
Soudain, Joseph pousse un couinement qui, en d’autres circonstances, aurait été
ridicule. Il donne un dernier coup de rein, écrasant les fesses un peu flasques de la cliente, et se vide dans les entrailles de la femme qu’il lâche. Elle se laisse aller à plat ventre, la
croupe un peu surélevée et reste immobile, silencieuse, haletante, le cul offert, dans une pose grotesque. Le membre de Joseph perd de sa vigueur, et il semble émerger d’un rêve. Il nous voit, le
mari et moi, qui le regardons. Ses yeux se baissent sur la femme qui git à ses genoux. Il voit son visage de profil, inondé de sperme, ses cheveux bonds dégoulinant où notre semence s’est mêlée à
l’eau de mer.
Soudain, il se relève rapidement, saisit son short, et sans prendre le temps de l’enfiler, saute dans sa barque, lance le moteur et s’enfuit avant que nous
n’ayons pu dire un mot.
Le mari le regarde s’éloigner, me regarde stupéfait et nous éclatons de rire :
« On aurait dit qu’il avait le feu aux fesses !
- C’est plutôt ma femme qui a le feu au cul…
- Alors il avait vu le diable !
- Ce n’était pas le diable, mais son gros zob poilu », chantonne le mari entre
deux hoquets.
Nous sommes tous deux en proie à un fou rire, et nos hurlements finirent par faire sortir la femme de sa torpeur :
« La vache, qu’est-ce qu’il m’a mis !
- Chérie je crois que ton maquillage coule ! »
Elle passe la main sur son visage et la contemple, recouverte de sperme. Nous continuons notre fou-rire et après quelques instants, elle nous rejoint dans notre hilarité nerveuse.
Le temps était passé plus rapidement que prévu et nous nous jetons à l’eau pour essayer de reprendre des forces et pour la cliente, procéder à une toilette nécessaire. À peine remonté à bord, je vais hisser les voiles, relever le mouillage. Nous prenons rapidement la route du retour, sous grand-voile et génois. Mes clients sont installés dans le cockpit et finissent la bouteille de champagne. Elle est très bavarde.
« Il est incroyable Joseph. J’avais l’impression d’être dans la guerre du feu. Prise en levrette par un monstre qui me pilonnait sans arrêt… Bestial. Mais quel pied, quel pied… On recommence quand, mon amour ? »
Elle caresse distraitement le sexe de son mari qui ne réagit plus :
« Pour nous aussi, c’était impressionnant à voir, lui explique-t-il. Notre jeune skipper et moi on s’est masturbés et on a pris notre plaisir sur ton visage sans que tu réagisses.
- Vous avez fait cela ? Ah les cochons minaude-t-elle en simulant une fâcherie, en tous cas j’avais une peur : qu’il essaie de prendre mes reins. Je n’aurais pas survécu… »
Je remets le pilote et vais ouvrir une troisième bouteille, la dernière de mon stock. Je porte un toast à tout ce que nous avons vécu aujourd’hui.
« Si tous les clients étaient comme vous, ma vie serait un rêve… »
Flattés, ils trinquent avec moi. Nous nous sommes rhabillés à l’entrée du chenal et c’est fatigués mais heureux que nous avons pris nos amarres. Les adieux sur le quai sont émouvants, car après avoir vécu une telle intimité, les relations sont différentes. D’ailleurs, ils m’invitent à dîner pour le lendemain à leur hôtel. Avec mon copain Jo s’il est libre… Et le pourboire que l’homme me glisse discrètement témoigne que leur anniversaire de mariage leur a laissé un souvenir inoubliable !
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