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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Lors de mon adolescence, à priori rien ne laissait penser que je vivrais une vie de libertin. Il a fallu pourtant que j’arrive à plus de 40 ans pour découvrir les joies du libertinage avec celle que je qualifierai de ma première maîtresse.

Je dois préciser que je suis désormais un vieux barbon, libertin convaincu dont l’âge a calmé les ardeurs mais qui, de temps à autre, aime bien contempler les corps plus ou moins dénudés des femmes plus ou moins jeunes, notamment lorsque je vais pratiquer le naturisme.

J’apprécie la belle lingerie qui met en valeur les atouts de ces jolies demoiselles ou femmes un peu matures dont j’aime les rondeurs. Je l’apprécie, parce que la belle lingerie est pour moi, l’écrin qui met en valeurs les atouts féminins.

 

 

Ces trois récits relatent mes premières expériences sexuelles…

 

La toute première fois...

 

Ma première fois remonte à l’été 1960. Je n’en souviens comme si c’était hier ! D’ailleurs chaque fois que je croise encore cette femme, je suis ému à la pensée des moments que nous avons vécus dans les bras l’un de l’autre.

 

A 18 ans (il faut se replacer dans le contexte de l’époque), je n’avais connu que des flirts avec des camarades du lycée, dont une métisse indochinoise dont j’étais raide dingue mais qui était très farouche. Oh çà n’allait jamais bien loin ! Quelques baisers plus ou moins torrides échangés dans l’obscurité d’une salle de cinéma ou dans un coin sombre à l’abri des regards, quelques caresses plus ou moins furtives. Peu de nos camarades franchissaient le pas d’une relation sexuelle. Mais je n’ignorais rien des pratiques sexuelles que j’avais découvert dans des revues qu’entre lycéens, nous nous passions discrètement les derniers exemplaires publiés.

 

 

Ce jour-là, nous faisions partie des convives d’une grande fête de famille comme il y en avait pour les mariages où le ban et l’arrière ban de la parentèle était convié. A part un petit groupe d’adolescents, nous étions une demi douzaine de jeunes entre 18 et 25 ans, filles et garçons qui s’amusaient comme des fous, faisant des farces aux autres convives au cours de ce repas de fête.

La journée était déjà bien avancée (en fait, il ne devait pas être loin de minuit…) quand cette parente éloignée m’a demandé si je voulais bien l’accompagner jusqu’à chez elle car elle voulait troquer sa robe longue de demoiselle d’honneur pour une tenue plus adaptée pour finir la soirée. Elle se sentait fatiguée (un peu pompette, à vrai dire…) et voulait quelqu’un avec elle pour faire les quelques kilomètres de trajet en voiture jusqu’à son studio.

 

A 25 ans, elle était indépendante et plus tard, j’ai appris qu’elle avait la réputation de ne pas être très farouche, multipliant les aventures d’un soir ou plus.

 

Bref, lorsque nous sommes arrivés dans ce studio que je ne connaissais pas, elle ne s’est pas gênée pour se déshabiller entièrement devant moi, ne conservant sur elle que son soutien gorge et sa culotte de dentelle blanche. Bien sûr, j’avais déjà vu des filles en maillot à la piscine ou sur la plage…

J’en avais même vu plus après une intervention chirurgicale où il était prescrit aux opérés de fraiche date de prendre des bains de soleil en s’exposant au maximum aux rayons pour favoriser la cicatrisation (nous étions en Allemagne où le naturisme s’est développé). Mais là, devant cette belle femme qui se dévoilait sans pudeur, je me suis mis à rougir comme un puceau que j’étais et j’ai senti mon sexe se dresser dans mon slip !

 

Elle m’a chambré gentiment en me demandant d’approcher pour en voir plus…

Caroline était à l’époque une jeune femme assez grande, avec des belles rondeurs, une poitrine assez opulente et des fesses bien galbées. Est-ce cela qui a fait que j’ai toujours préféré des femmes aux formes prononcées aux filles maigrelettes dont les seins sont à peine marqués.

 

En disant cela, elle a fait sauter l’agrafe de son soutif et laissé glisser sa culotte jusqu’à ses pieds. Puis voyant que je ne bougeais pas, elle s’est avancée et, prenant ma main droite, elle l’a posée sur son sein gauche en me demandant d’en sentir la chaleur…

 

Je n’en pouvais plus. Mon sexe était dressé, douloureusement bandé dans mon slip et je devinais une belle bosse sur le devant de mon pantalon. Je disais en moi-même que cette nuit j’allais me masturber dans mon lit en repensant au spectacle que m’offrait Caroline. Elle a lâché ma main et descendant à ma taille elle a caressé mon membre par-dessus le tissu en appréciant sa taille

 

Puis elle a dégrafé ma ceinture et fait descendre d’un même mouvement pantalon et slip. Ma bite s’est détendue comme un ressort, dressée entre nous deux (mais je dois l’avouer, j’ai toujours quelque peu complexé à ce sujet… En effet, mon membre n’est pas très long mais assez trapu).

Caroline m’a guidé jusqu’à son lit sur lequel nous nous sommes affalés plus qu’allongés. Quelques caresses plus tard pour bien m’exciter, elle m’a enfilé une capote et m’a guidé en elle ! Je n’étais plus puceau ! Elle a guidé mes mouvements dans sa chatte, me faisant ralentir lorsque je m’excitais trop, si bien que nous avons joui presque en même temps…

A suivre....

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Récits Erotiques X
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