Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Bourgeoises en gangbang : la suite et... la fin !

C’est à nouveau Clara.

 

L’hiver était arrivé sans crier gare, et il faisait très froid. J’avais hésité entre mettre une jupe ou un pantalon, mais craignant la réaction de Souleymane, j’avais opté pour une robe en laine sur des bas opaques. Je portais des bottines à hauts talons. J’avais pris rendez-vous chez Mme le proviseur bien décidée à lui raconter l’ignoble chantage dont ma mère et moi nous faisions l’objet de la part de Souleymane et ses complices. Ils finiraient tous leurs jours en prison !
Je croisais dans le couloir, le gardien du lycée. Un homme que je détestais l’ayant surpris plusieurs fois en train de mater les jeunes filles. Ce devait être un drôle de pervers celui-là encore ! Marié à une grosse femme, je me demandais si elle était au courant de ses vices.
J’arrivais devant la porte du bureau de la directrice et je toquais.
« Entrez ! »


J’ouvre la porte. Simone, le proviseur du lycée est une femme grande et élancée ce qui mérite d’être soulignée vu son âge. Elle vient d’avoir cinquante-cinq ans et sera à la retraite dans quelques mois. Son strict chignon ne parvient pas à l’enlaidir, elle a encore des traits fins et ses jolies yeux bleus font encore effet. Elle se leva pour me serrer la main. Elle est vêtue d’un tailleur noir avec des bas noirs. Ses talons aiguilles allongent encore ses jambes. Je m’assois en face d’elle et je commence à lui raconter mon histoire.


Abasourdie, effrayée par mon récit, Simone décroche immédiatement son téléphone et appelle le commissariat. Elle a rapidement un inspecteur au bout du fil et lui explique la situation. Le capitaine de police lui enjoint de ne pas tarder et de venir sans délais porter plainte afin de procéder à une interpellation. Simone se lève et me lance :

« Allons-y ! »


Je suis un peu inquiète car mon mari étant policier à la BAC, il risque d’être au courant ce que j’aurais voulu éviter. Mais voulant en finir avec ce cauchemar, je me lève et suis le proviseur.
La porte du bureau s’ouvrit soudain nous stoppant net.
Souleymane se tient devant nous un sourire ironique aux lèvres. Derrière lui, Claude, le gardien ! Ils rentrent tous les deux et referment la porte.
Outrée, Simone leur ordonne de ressortir. Elle menace Souleymane.
« Nous allons aller porter plainte, espèce de voyou ! C’est fini de terroriser votre professeur ! »


Claude se pencha vers Souleymane.
« Tu m’avais demandé de la surveiller, lui dit-il en me désignant du menton, j’ai pensé qu’il fallait que tu saches qu’elle avait rendez-vous avec le proviseur.
- Tu as bien fait Gégé lui répondit Souleymane avec un rictus mauvais aux lèvres. »


Il s’approcha de Simone et l’attrapant par son chignon la repoussa violemment contre son bureau !
Simone poussa un cri et tenta de repousser Souleymane. Mais celui-ci était deux fois plus grand et deux fois plus fort qu’elle. Il la retourna et aidé de Claude, ils lui ouvrirent la veste du tailleur dévoilant une poitrine pleine dans un soutien-gorge en dentelle.
Simone rue et donne des coups de pieds.
« Calme-toi ! Tu veux aller porter plainte, très bien vas-y ! Tu leur parleras du bizutage de l’année dernière ça les intéressera sûrement ! »


Un silence de plomb suivit cette déclaration. Je me souvenais de cette affaire dont peu de personnes était au courant. Bien que cela soit interdit par la loi, un bizutage clandestin avait eu lieu dans l’enceinte du lycée sous couvert d’une journée d’intégration. Le proviseur avait entendu des bruits de couloirs mais elle avait préféré fermer les yeux. Mais comme souvent lors de bizutage, cela avait dérapé. Des filles s’étaient retrouvées habillées de sacs poubelles et elles avaient dû sucer des bananes et mimer des relations sexuelles y compris entre filles. Lécher de la crème chantilly badigeonnée sur les torses des garçons ou sur leurs caleçons. On avait même parlé de tournantes. Certaines d’entres elles, traumatisées, avaient voulu porter plainte mais l’affaire avait été étouffée par Simone. Le rectorat n’en avait même pas entendu parler.

Les yeux exorbités, le proviseur regarde Souleymane avec crainte maintenant, elle a compris qu’elle va devoir lui obéir si elle ne veut pas être virée de l’éducation nationale. A quelques mois de la retraite, ce serait moche.


Claude s’approcha de moi et me souleva ma robe dévoilant mes jambes.

« Y parait que t’es une belle salope, d’après Souleymane ! »


Je ne répondis pas. A quoi bon ?
Le concierge me masse l’entrejambe, s’attardant sur ma chatte.
Souleymane a sortit son portable et, horrifiée, je l’entends appeler plusieurs personnes leurs demandant de venir dans le bureau du proviseur.
Simone protesta et tenta de fuir, rattrapée par Souleymane...
« Ne bouge pas toi ! Reste ici ! Retrousse ta jupe, salope ! »


Simone, les yeux larmoyant, retrousse la jupe de son tailleur, découvrant le string de dentelle encadré par des jarretelles qui retiennent des bas nylons.
« Un vrai attirail de pute ! ricana-t-il.
Il écarte l’étoffe et plonge deux doigts dans la fente de Simone qui sursaute…
- Enlève tes bas et ton string ! »


Morte de honte, rougissante, Simone obéit et se livre à ce strip-tease imposé devant ce jeune pervers.
Souleymane lui attache les mains avec les bas et enfonce le string roulé en boule dans la bouche du proviseur qui gémit sourdement.
Claude observe la scène et appuyant sur mes épaules, il me force à m’accroupir devant lui. Je dus lui sortir sa queue qu’il avait longue et épaisse. Je l’embouchais et commençais à lui titiller le gland avec la langue, quand la porte s’ouvrit.
Rachid, Brahim et Moussa entrèrent suivis de Jessica et Fatima !
Celles-ci s’exclamèrent en voyant Simone livrée pieds et poings liés.
« Ce n’est pas vrai ! La vieille ! »


Elles se précipitèrent sur Simone. Ils lui malaxèrent les seins, tirant sur ses pointes la faisant couiner derrière son bâillon. Simone tenta de se dégager, mais ils la tenaient fermement. Ils la courbèrent sur le bureau, jupe retroussée. Les claques tombèrent sur les fesses du proviseur qui gémit dans le tissu qui lui obturait la bouche.

Rachid et Brahim se sont joints à Claude, et je leur suce la bite à tous les trois, alternant entre eux. Souleymane prend des photos. Notamment de Simone, dont le cul rougit sous les coups de Fatima et Jessica. Il la traite de salope, de pute. Jessica introduit ses doigts dans la chatte et Simone hurle de plus belle dans son bâillon. Elle fait coulisser ses doigts, une lueur folle dans le regard.


Quant à moi, je pompe à fond les bites qui se présentent devant moi. On me force la bouche, on appuie sur ma tête pour bien que je prenne le sexe jusqu’aux couilles, m’étouffant avec. On a dégagé mes seins de ma robe et on me les triture sans ménagement. Une fois de plus, honteuse, je me rends compte que je suis très excitée. Je mouille comme une folle. Une vraie fontaine !

On exigea de Simone qu’elle se masturbe devant ses élèves ! Le regard implorant, elle découvrit sa chatte de ses doigts tremblants. Elle y plongea ses doigts en poussant un couinement désespéré. Les larmes aux yeux dues à l’humiliation, elle s’astique le bouton. Ses doigts s’agitent rapidement dans sa chatte. Elle ne tarde pas à mouiller abondamment. On aperçoit distinctement la mouille qui humidifie ses doigts. Elle ondule du bassin. Elle se raidit soudain, son visage aristocratique crispé par le plaisir, et faillit tomber. Elle venait de jouir devant nous !


Moussa annonça qu’il voulait enculer le proviseur ! Celle-ci sortit des sons indistincts, mais tout le monde devina bien qu’elle n’était pas d’accord du tout. Pour la préparer, Jessica eut une idée : Simone du faire le tour du bureau à quatre pattes plusieurs fois, le talon aiguille de son escarpin planté dans l’anus.


Moussa, sa grosse bite d’ébène fièrement dressée, s’approcha de Simone et écarta Jessica. Elle ouvrit d’elle-même les fesses du proviseur, dégageant l’ouverture des reins. Quand elle sentit le gland peser sur l’étroit orifice, Simone grogna, s’agita mais elle était tenue fermement par Fatima qui se régalait de voir le proviseur humilié. Elle allait être enculée par Moussa, traitée comme une putain !

Moussa poussa et la bite s’engouffra dans les reins de Simone qui de nouveau poussa un hurlement étouffé. Bien emmanché, il commence à bouger, faisant coulisser son membre dans le cul de Simone.

Rachid et Brahim m’aspergèrent le visage les premiers de leurs foutres poisseux. Claude m’agrippant les cheveux, se servait de ma bouche comme d’un vagin, faisant coulisser rapidement son membre entre mes lèvres. Il lâcha des giclés de sperme qui s’écoulèrent dans le fond de ma gorge.


Moussa s’activait sur Simone, lui pilonnant le cul comme un fou. Son ventre vient claquer contre les fesses du proviseur. Il se vida en elle en poussant un cri et se retira, s’essuyant la bite dans la jupe du tailleur de Simone.

Tirée par les cheveux, Simone dut se relever et, débarrassée de son bâillon, elle dut sucer tour à tour la chatte de Jessica et Fatima. Elle se débrouillait bien car elle les fit jouir très vite…

Souleymane demanda alors qu’elle lui pompe la bite et, soumise, elle lui suça la verge, la mâchoire déformée par l’épaisseur de la bite. Souleymane éjacula aspergeant son visage distingué de sperme.

Claude demanda s’il pouvait disposer de Simone, et Souleymane, grand seigneur, accepta.
Je dus rejoindre ma classe comme si de rien n’était, avant la reprise des cours.

Le soir venu, Jessica et Fatima vinrent me chercher. Étonnée, je me rendis compte qu’on se dirigeait vers la loge du gardien. A peine entrée, j’entends des gémissements, des grognements, des cris étouffés et des exclamations.

Nous entrons dans la cuisine où se trouve Claude et sa grosse et hideuse épouse Germaine, qui me regarde avec un air lubrique. Et je découvre l’horrible spectacle :
Simone, uniquement vêtue de ses bas et de ses talons aiguilles est allongée sur la table de la cuisine. Ses poignets sont attachés aux pieds de la table. Elle est bâillonnée par une paire de collant roulée en boule enfoncée dans sa bouche. Ses jambes sont relevées à la verticale, de manière à bien dégager sa fente et ses chevilles sont ligotées grâce à une longue corde liée également aux pieds de la table. Des pinces à linges lui font rougir les tétons. Germaine est occupée à enfoncer, malgré les sauts de carpe de Simone dans ses liens, une carotte dans son anus ! Je vois distinctement la carotte s’enfoncer dans le rectum de la pauvre femme qui pousse des gémissements plaintifs. Claude se masturbe et attend que l’opération soit terminée.
«  Dépêche-toi ma chérie, j’ai hâte de la défoncer cette salope !
- C’est bon, vas-y, fais la gueuler cette truie ! »


Le gardien s’enfonça dans la fente du proviseur et commença à la limer avec brutalité pendant que sa femme jouait avec ses seins.

Je ressors précipitamment, abandonnant honteusement Simone aux mains du concierge et son épouse perverse.


Le lendemain matin, à la reprise des cours, certains élèves et plus encore les professeurs furent très étonnés voire choqués de croiser Madame le proviseur dans les couloirs du lycée vêtue d’une jupe en cuir ultra courte d’où émergeaient des jambes gainées de bas résilles allongées par des talons aiguilles rouges ! Ses gros seins débordaient littéralement du haut moulant qu’elle portait.

Ils furent encore plus surpris quand ils se rendirent compte qu’elle suivait docilement, tête baissée, le gardien vers sa loge.

 

J’avais donné rendez-vous à ma mère dans un café afin que nous discutions toutes les deux de la décision de porter plainte contre Souleymane et ses complices. J’ai choisi un bar tranquille en dehors du centre ville, pas vraiment la grande classe mais au moins discret. Je lui racontais comment j’avais assisté à l’horrible humiliation du proviseur. Elle me raconta de son côté comment elle était devenue l’esclave de son stagiaire à la banque, qui ne perdait pas une occasion de la sauter soit dans son bureau soit dans les toilettes. Maman est habillée d’un tailleur gris sur un chemisier rose fuchsia et je porte une jupe rouge avec un chemisier blanc avec des talons aiguilles crème. Nous sommes assises à une table et je remarque plusieurs regards de consommateurs masculins qui lorgnent sur nos jambes croisées très haut.

 

La porte s’ouvrit et j’eus l’impression que mon cœur s’arrêtait de battre ! Cela dut se voir sur mon visage car ma mère se retourna et elle blêmit à son tour. Moussa venait d’entrer dans la café !

Comment a-t-il pu savoir ? Ce n’est pas possible ! Je comprends soudain que c’est sans doute Simone, le proviseur du lycée, qui a dû vendre la mèche. Maintenant qu’elle est devenue la nouvelle proie de Souleymane et surtout de Claude, le gardien et de son horrible femme ! Je maudis ma naïveté d’avoir cru qu’elle garderait le secret, elle doit être totalement sous l’emprise de ce couple pervers.

Moussa s’approche de nous et s’assoie à notre table. Il nous lance un regard noir.
« Alors, espèce de chiennes ! Vous vouliez nous baiser ? Et bien c’est vous qui allez vous faire baiser encore une fois et cette fois votre punition va être à la hauteur de votre trahison ! »


Maman et moi nous n’osons pas protester. Moussa avance sa main sous la table et me caresse mes cuisses faisant crisser le nylon de mes bas. Il regarde maman et lui demande de retrousser sa jupe !
« Mais... Mais, ce n’est pas possible, les clients vont…
- S’en apercevoir ? Mais justement ma chérie, tu vas les exciter un peu ! »


Rouge de honte, maman s’exécute soulevant un peu sa jupe en plein café dévoilant généreusement ses cuises gainées de bas noirs, elle s’arrête juste à la lisière du bas. Mortifiée par cette exhibition forcée.
Moussa se retourne et ricane. En effet, plusieurs clients du café en oublient de boire leurs verres, la bouche ouverte, ils matent les jambes de maman. Moussa se lève et va voir le patron du café, un homme bedonnant. J’observe le conciliabule, inquiète. Que nous réserve Moussa ?


Je compte rapidement les clients du bar, ils sont quatre. Il y a deux jeunes, un vieillard d’au moins 70 ans et un homme genre routier.
Le patron nous lance un regard égrillard. Ce qui ne me rassure pas vraiment. 
Moussa revient vers nous et nous empoignent par le bras. Il nous pousse vers l’arrière salle du café qui fait aussi restaurant. Il nous demande d’attendre. Apeurées, maman et moi nous nous regardons.


Des pas nous font frissonner. C’est le vieillard ! Il s’approche de Moussa et sans un mot, lui donne une somme d’argent. Le vieil homme s’approche de nous et nous demande d’ouvrir nos vestes et nos chemisiers. Dociles et sous le regard autoritaire de Moussa, nous obéissons. Il salive littéralement devant nos seins. Il posa ses mains sur les miens, les malaxant sans douceur. Il baissa les balconnets du soutien-gorge et se pencha gobant la pointe de mes seins. J’eus un sursaut de dégoût en voyant ce visage ridé se pencher vers moi. Des éclats de voix retentirent de nouveau. Les autres clients étaient venus voir suivis du patron.
«  J’ai carrément fermé pour être tranquille », lança-t-il à la cantonade.


Tous payèrent Moussa. Le routier s’approcha de maman et lui souleva sa jupe. Elle tenta de se débattre.
« Fais voir salope ! Tout à l’heure, tu nous montrais bien plus. T’as un porte-jarretelles, putain ! »


Les trois hommes entourent maman et commencent à la toucher partout, les mains deviennent baladeuses. Elles s’insinuent partout. Maman se retrouve vite la jupe de son tailleur tire-bouchonnée autour de la taille, le chemisier ouvert, les seins à l’air malaxés par des mains avides. On lui fouille la chatte.


Le vieux me suce les tétons en salivant dessus, il me mord la pointe par moment et je pousse un petit cri. Il me repoussa soudain et sortit un sexe de bonne taille vu son âge canonique. M’agrippant violement par les cheveux, il me contraignit à m’agenouiller devant lui et il m’enfonça sa queue dans ma bouche. Il posa sa main sur ma tête et il donna des petits coups de reins pour mieux s’enfoncer entre mes lèvres.

Maman suce aussi des bites. Elle a la mâchoire déformée par les deux queues des deux plus jeunes, qui veulent absolument qu’elle les suce ensemble. Campée sur ses talons aiguilles, elle est penchée en avant, et derrière elle le routier et le patron lui enfoncent leurs doigts dans sa chatte et son cul, la branlant sans ménagement. Nos gémissements se mêlent aux halètements de nos clients.

« La salope ! Qu’est ce qu’elle mouille, une vraie fontaine.
- Elle suce comme une pro, la petite. »


Le vieillard me poussa vers une table où je dus m’allonger, il me souleva les jambes et sa langue s’engouffra dans mon intimité. Il me lape à grand coups, léchant mes petites lèvres intimes. Il sait y faire le salaud et je ne tarde pas à mouiller comme une folle, poussant de petits jappements. Il me mordilla le clitoris et je fis un saut de carpe sur la table, arquant mon corps.


Un cri me fait tourner la tête. Maman courbée sur une table, les seins écrasés, se fait besogner par le routier. Sa queue rentre et sort du vagin, les fesses de maman tressautent sous les coups de boutoir de l’homme. Il la pilonne avec brutalité.
Cela donna des idées au vieux qui me pénétra. J’eus un petit sursaut. Me tenant les jambes, il me donne de violents coups de reins, s’enfonçant dans ma chatte, je gémis.

On alterne les clients. Maman est maintenant prise en main par le patron qui la tenant aux hanches, la défonce comme un sauvage en l’insultant. Le routier a enfoncé sa bite entre les lèvres de Christiane qui le pompe avec frénésie. Le vieux me bourre sauvagement et se retire laissant la place aux deux jeunes. Ils manipulent mon corps me forçant à me lever. Un des jeunes s’allonge sur la table, la bite victorieusement dressée et je dois m’empaler dessus en grimaçant. Il commença à bouger tout en me suçant les seins. Derrière moi, l’autre jeune s’enfonce dans mon anus et je pousse un cri. Bien rempli par ces deux bites, j’halète. Il commence tous deux à bouger, alternant les coups de queues.

On entendit alors Moussa qui criait :
«  Eh les gars, on s’active, j’ai encore du travail pour ces deux salopes ! »


Maman et moi nous fûmes agenouillées au milieu de la salle. Les quatre types regroupés autour de nous se masturbant comme des fous. Les premiers jets giclèrent allant s’écraser sur nos seins. Puis le vieux voulut se branler dans la bouche de maman et il éjacula l’étouffant avec son sperme. J’en reçus dans les cheveux et sur mon visage.
Moussa nous releva et nous entraina dehors.

Nous nous retrouvons sur le trottoir à peine rhabillées, du sperme souillant nos visages et coulant sur nos seins. Une camionnette blanche est garée devant le café. La porte latérale s’ouvrit et nous sommes poussées à l’intérieur. Je gémis. Oh non, par Pitié. Rachid, Souleymane, Brahim, Diouf et Brice nous regardent, la bite à l’air, déjà en érection.

« On vous emmène faire un tour, les bourgeoises, mais durant le trajet il va falloir s‘occuper de nous. »


La porte latérale claqua comme un coup de tonnerre en se refermant !

 

La camionnette s’ébranla et décolla du trottoir. Brahim et Rachid forcent maman à se mettre à quatre pattes sur le plancher. A genoux derrière elle, Rachid lui enfourne sa bite dans sa fente et Brahim lui pince le nez pour qu’elle ouvre la bouche. Maman aspira une goulée d’air et il enfonça sa queue entre ses lèvres. Je suis à genoux et je suce le gros Brice. Sa bite fait des aller et retour dans ma bouche. Diouf s’approche, la bite à la main, et m’ordonne de le sucer aussi. Servilement, j’obéis. Je donne de petits coups de langue sur leurs glands. Moussa filme la scène. Maman halète sous les coups de pine de Rachid.
Le trajet ne dure pas trop longtemps et Souleymane signale que nous sommes arrivés à destination.
Rachid pilonna maman de plus belle la faisant couiner, étouffée par la matraque de chair qu’elle suce. Rachid explosa en elle en poussant un grognement bref. Brahim gicla dans sa bouche et l’obligea à avaler son foutre. Brice et Diouf éjaculèrent en même temps sur mon visage m’arrosant de leurs semences.

Maman et moi nous descendons de la camionnette. Nous nous sommes rajustées tant bien que mal et nous ressemblons de nouveau à deux bourgeoises respectables. Je vis maman porter sa main à sa bouche étouffant un cri qui se mua en gémissement. Visiblement horrifiée. Ne comprenant pas sa réaction, je levais les yeux découvrant un panneau accroché à une palissade. Abasourdie, je découvre le nom de mon père sur le panneau ! Nous sommes devant un de ses chantiers !


Brahim, Rachid, Brice et Diouf prennent congés et nous abandonnent aux mains de Moussa et Souleymane. Laissant la camionnette garée en double file.
Souleymane nous poussa et nous pénétrons dans le chantier. Il s’agit de constructions de logements sociaux. Nous passons devant des ouvriers qui nous regardent passer stupéfaits de voir deux belles bourgeoises élégamment vêtues dans un endroit pareil ! Nos talons aiguilles s’enfoncent dans le sable et la boue. Il a plu cette nuit rendant le sol spongieux.
Nous nous approchons d’une baraque de chantier. Un homme se tient devant, les bras croisés sur sa poitrine. Il porte un casque et il est habillé de bleu. Il a un regard ironique en nous découvrant.
« Ce sont elles ? demande-t-il avidement à Souleymane.
- La femme et la fille de ton patron, oui. Ce sont bien les deux salopes que tu as vues sur le site internet. T’as le pognon ? »


Échange d’argent, poignée de main. Notre sort vient d’être scellé.

Le chef de chantier appelle ses gars et ils approchent en ricanant et en se faisant des clins d’œil.

A part le chef, ils sont visiblement tous d’origines étrangères.
« Ils ont tous cotisé pour s’offrir deux belles salopes comme vous, lança le chef, ils n’en revenaient pas quand je leur ai dit que vous étiez la mère et la fille et en plus la femme et la fille de leur grand patron. Malheureusement pour vous, ils sont un peu remontés contre lui, car il ne leur a pas versé leurs salaires le mois dernier. Comme ils ne sont pas déclarés pour la plupart, ils ne peuvent rien dire n’est ce pas ! A mon avis, ils vont se venger sur vous, d’autant que la plupart n’ont pas touché une femme depuis des mois… »


Maman et moi nous tentons de nous enfuir ! Paniquées, nous faisons demi-tour, échappant à Souleymane et Moussa et nous nous mettons à courir maladroitement sur nos talons aiguilles. Les six ouvriers se lancent à notre poursuite et nous rattrapent très vite nous poussant sur un tas de gravats !
Nous poussons des cris d’épouvante. Autour de nous, les ouvriers nous lancent des commentaires dans leurs langues respectives. On soulève la jupe de maman et elle se retrouve en porte-jarretelles. Une brute avec une moustache épaisse m’oblige à l’embrasser sur la bouche. Nous sommes écrasées par le poids de ses hommes. On nous tient les bras et les jambes, nous empêchant de bouger. Maman est retournée et plaquée sur le tas de gravats, le cul à l’air. Un des ouvriers la pénètre lui donnant de violents coups de reins. Un autre fait le tour et enfonce sa queue dans la bouche de maman qui tente de protester en vain.

On me tire par les cheveux et on m’entraine un peu plus loin. On me pousse vers un tas de planches et je dois écarter les jambes. Le type à la moustache qui me fait penser à un Turc ou un Irakien me fesse le cul en rigolant. A côté de moi, un homme à la peau mate se branle. Je suis horrifiée par le calibre impressionnant de son sexe. Le Turc envahit ma chatte d’une brutale poussée me faisant crier. Il me bourre en haletant. Me tenant par les hanches, il me pilonne vigoureusement.

J’entends ma mère crier sous les coups de bite de son agresseur. Je tourne la tête et la vois empalée sur un gros pieu de chair, bougeant son corps, montant et descendant sur cette bite épaisse qui la transperce. La bouche ouverte, elle gémit, ses gros seins ballotant.
Un ouvrier s’approche d’elle et lui enfonce son membre dans la bouche.

Celui qui me baisait sortit précipitamment et se libera sur mon cul. Je sens le liquide poisseux couler sur mes fesses. Je n’ai pas le temps de souffler, l’autre à côté, se positionna derrière moi et pointa son gland contre l’ouverture de mes reins.

« Non ! Non ! S’il vous plait »


Il força mon anus et je poussais un cri déchirant. Il a un sexe monstrueux, terrifiant et je le sens qui palpite dans mon fondement. La sueur au front, j’halète, les larmes aux yeux. Une dernière poussée et il s’engouffra dans mon trou du cul. Le salaud n’a aucune pitié et il me déchire le cul à grand coups de reins. Prenant un plaisir sadique à sortir et rentrer m’arrachant un cri à chaque fois. Heureusement pour moi, il jouit rapidement dans mon cul. Je sens sa semence qui s’écoule de l’étroit boyau.

Je retrouve maman recouverte de sperme. Les trois ouvriers ont éjaculé sur ses seins et son visage ! Elle est méconnaissable. Elle en a sur les cheveux et les yeux...Le sperme coule sur son menton. M’agrippant par les cheveux, on me contraint à lui lécher la figure pour la nettoyer. Nous devons même nous embrasser sur la bouche. Manquant vomir de dégout, nous nous exécutons devant l’assemblée hilare.

Moussa et Souleymane font des photos et filment depuis le début bien sûr !
Le chef de chantier arrive alors et suggère que nous nous gouinions.
Malgré nos cris et nos supplications, nous sommes, à grands renforts de claques sur le cul, allongées tête-bêche. Je suis sous maman et elle est sur moi.  Je sors timidement ma langue sous les encouragements du public et lèche la chatte de maman. Je sens ma mère qui fait la même chose avec moi. Sa langue et ses doigts fouillent ma fente. Je ne tarde pas à sentir la cyprine qui coule.


Maman poussa soudain un hurlement ! Le chef de chantier, la tenant aux hanches, l’encule violemment. Il la baise sauvagement la faisant beugler. Il retire sa bite de son anus et me la donne à sucer, la replongeant aussitôt dans le cul de maman.
« Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ici !
- Nom de Dieu, t’as vu ca, Serge ? »


Tout le monde sursaute. Les ouvriers prennent la fuite en courant ! Deux policiers en uniforme viennent d’arriver. Ils ont été intrigués par la camionnette en double file et les cris qui provenaient du chantier.
Moussa et Souleymane ainsi que le chef de chantier se retrouvent menottés. Maman et moi nous nous relevons péniblement. Pudiquement, nous redescendons nos jupes et refermons nos chemisiers. Nos bas sont en lambeaux et des bouts de nylons pendent lamentablement sur nos jambes.
Un des flics m’observe semblant songeur puis son visage s’éclaira et il s’exclama en donnant un coup de coude à son collègue :
« Putain ! Je ne le crois pas, Mathieu, c’est la femme de JP, notre collègue de la BAC !
- Le prétentieux qui se la raconte ?
- Lui-même ! »


Le dénommé Serge se pencha vers moi, une drôle de lueur dans le regard.
« Et votre mari sait que vous vous faites baiser dans les chantiers, chère madame ? »
Au regard qu’il avait, je compris que nos problèmes étaient loin d’être terminés.

 

Les deux policiers désirant tirer l’affaire au clair, nous sommes tous embarqués et conduits au commissariat. Nous traversons le hall suivis des yeux par les quelques flics qui sont là. Nous longeons un couloir et arrivons dans une grande pièce. Nous passons devant la cellule des gardés à vue. A l’intérieur, deux putes l’air très vulgaire nous regardent passer ainsi qu’un SDF et un homme à la peau sombre, visiblement un étranger. Nous sommes auditionnées, maman et moi, par Serge. Nous avons demandé à parler à un gradé mais Serge a rétorqué qu’on ne dérangeait pas un officier de police judiciaire pour si peu. A un autre bureau, Souleymane et Moussa sont entendus par le second flic.


Serge n’arrête pas de mater nos jambes. Nous lui expliquons, maman et moi, l’ignoble piège dans lequel nous sommes tombées depuis le jour où, désirant aller faire les soldes, nous étions rentrées accidentellement dans un sex-shop. Je vois le flic sourire légèrement en écoutant notre récit. Nous lui parlons du site et il s’empresse d’aller voir. Je constate qu’à l’autre bureau, le flic fait la même chose et que Souleymane lui parle tout bas. Il n’arrête pas de nous regarder. Je commence à ne pas être rassurée du tout.
Serge revient accompagné de Mathieu.
« C’est ennuyeux, commence Serge, il va falloir faire un procès verbal, au minimum, une main courante, nous ne pouvons pas passer sous silence que vous et votre mère vous vous prostituez.
Outrées, maman et moi nous protestons !
- Mais pas du tout ! Nous sommes des femmes honnêtes ! Je viens de vous expliquer que nous étions forcées d’obéir. »


Il se tourne vers Souleymane et Moussa et leur dit que leur garde à vue est levée et qu’ils peuvent partir. Ils se précipitent dehors trop contents d’échapper à la prison.
« Ma mère et moi nous sommes révoltées et nous crions..
Serge eut un sourire carnassier.
- C’est que. Les images sur le site parlent d’elles-mêmes. Il s’agit d’une preuve et puis nous vous avons prises en flagrant délit sur le chantier.
- Et vu les cris que vous poussiez, ce n’étaient pas des appels au secours. »


Maman baisse la tête et je ne réponds pas. On me saisit soudain les seins par derrière et je pousse un cri !
Maman est levée de son siège par un flic et trainée jusqu'à la cellule. Elle manque tomber, déséquilibrée par ses talons aiguilles. Elle crie à nouveau.
A l’intérieur de la cellule, les hommes se lèvent voyant arriver vers eux cette superbe bourgeoise. Imaginant déjà ce qu’ils vont pouvoir en faire.
Le flic lui passe les menottes sur un de ses poignets et attache l’autre au barreau de la cellule. Il appelle le SDF qui sort sa bite et la passe à travers les barreaux. Mathieu s’approche et appuie sur les épaules de maman pour qu’elle s’accroupisse devant la cellule.
« Avale salope, bouffe-lui la bite ! »


Il appuie sur la nuque et maman, les larmes aux yeux, gobe la bite du SDF. L’odeur est insoutenable et elle fait une grimace de dégoût et a un haut le cœur.

Derrière moi, les mains continuent de me torturer les seins qui sont maintenant dégagés de mon chemisier. Serge fait le tour et m’empoignant par les cheveux me force à me lever me faisant couiner. Je me retrouve à genoux devant lui. Sa queue forçant ma bouche. Il prend visiblement un plaisir immense à se dire que la femme de son collègue va lui faire une pipe.

J’avale sa queue et lui tète le gland. Ma main le masturbe tout en le pompant. Je lui lèche les couilles, je salive dessus. Serge me traite de tous les noms.
« Vas-y chienne, avale ma queue, ton mari sait que t’es la dernière des salopes, une trainée. »


Je sens la cyprine qui coule de ma fente. Je m’active sur le sexe de Serge qui grossit à vue d’œil prenant des proportions plus que raisonnables.
Il donne des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans ma bouche, il appuie sur ma tête me contraignant à le prendre entièrement en bouche me faisant hoqueter.

Maman suce la bite du SDF trop content de l’aubaine. Quand on vit dans la rue, on ne doit pas avoir souvent l’occasion de se faire sucer par une bourgeoise. .Mathieu en profite aussi et par moment contraint ma mère à lui sucer la bite. A l’intérieur de la cellule, c’est du délire, les deux putes insultent Christiane la traitant de salope. Et le type a sorti sa bite qui est énorme et se masturbe comme un fou.

Maman s’empare de la queue de Mathieu et le branle rapidement faisant coulisser ses doigts espérant sans doute le faire jouir rapidement. Peine perdue, Mathieu la repousse et la lève. Courbée en avant, la main toujours menottée, il s’introduit dans la fente de maman qui pousse un cri.
«  Continue de le sucer ! Et toi, viens te faire pomper par cette salope. »


Il s’adresse à l’autre gardé à vue qui s’approche et passe lui aussi sa queue à travers les barreaux.
Maman se retrouve avec deux queues dans la bouche, la mâchoire déformée, pilonnée par Mathieu qui lui donne des coups de reins si violents que par moment la tête de maman vient se cogner contre les barreaux.

Serge m’a couchée sur le sol, en chien de fusil et, une jambe relevée à la verticale, il me prend ainsi. Sa bite coulisse rapidement dans ma chatte dégoulinante. Je gémis. Mes seins ballotent sous ses coups de boutoir. Il me tient la cheville et je l’entends grogner derrière moi.

« Tu mouilles, ma salope, t’es vraiment une pute ! »


J’halète. Sa main me titille le clitoris en même temps me mettant dans un état d’excitation indescriptible.
Il se retire, me lève et me force à m’allonger sur son bureau. Il m’écarte les cuises et plonge sa langue dans ma fente, me suçant le clitoris, jouant avec mes petites lèvres. Je gémis, secouant la tête de droite à gauche. Il me mordille le clito et je donne des coups de reins.
Il me redressa de nouveau et me retournant violement me prit une jambe la mettant sur le bureau. En fragile équilibre sur le talon de mon escarpin, il me pénétra, me tenant par les seins et il commença à me bourrer le con avec violence. .

Mathieu a détaché maman et elle a dû s’empaler sur sa bite. Son corps bouge, montant et descendant, ses seins secoués dans tous les sens. Ses cheveux en bataille. Elle pousse de petits cris. Mathieu la défonce comme un fou. Suçant ses seins quand il parvient à les gober.

« Ca vient, putain ! rugit-il. Ca vient. »


Il éjacula dans la chatte de maman qui poussa un hurlement de possédée. Elle s’effondra sur le torse de Mathieu, haletante, en sueur.

Serge, ses mains serrant mes hanches à les briser, me pilonne faisant tressauter mes fesses. Il entendit ma mère hurler et cela déclencha son orgasme. Il jouit en grognant et je poussais un feulement rauque en sentant son sperme s’écouler de ma chatte.
 

Je me disais que c’était fini et que nous allions pouvoir rentrer chez nous mais les types dans la cellule protestèrent. Effrayées, nous supplions Mathieu et Serge qu’ils ne nous livrent pas à ce SDF et ces deux putes. Rien n’y fait. Nous pleurnichons toutes deux quand on nous entraine vers la cellule. Mathieu ouvrit la porte nous jetant dedans.

« Amusez-vous ! »


Maman est aussitôt attrapée par le SDF qui la met à quatre pattes sur le banc. Il engouffre ses doigts dans la chatte de maman qui pousse un cri de dégoût. Il prend sa bite à pleine main et pénètre maman. Les mains sur ses hanches, il lui donne de violents coups de reins. Maman doit poser ses mains sur le mur pour ne pas tomber sous les coups de boutoir du SDF.

Les deux putes se précipitèrent sur moi, m’agrippant les cheveux et me forçant à me mettre à genoux, à leurs pieds, comme une bonne chienne. Je repense à Leila et Jessica et je me dis que, décidément, je suis habituée au viol lesbien. Une des putes soulève sa minijupe. Elle porte des bas-résilles. Elle appuie sur ma tête et me force à lui sucer la chatte. Derrière moi, l’autre pute enfonce ses doigts dans ma fente et me branle. Je lèche la chatte de cette pute et, mes mains posées sur ses cuises, je donne de grands coups de langue, lui mordillant le clitoris, buvant sa cyprine qui dégouline sur ma figure.

« Oh ! T’es bonne ma salope ! »

 
Elle donne des coups de reins pour mieux sentir ma langue.
J’entends derrière moi, l’autre pute crier à l’attention d’un des flics.
« Eh, prêtez-moi votre matraque, je vais la ramoner cette chienne ! »


Je pousse un hurlement étouffé.
Tout de suite après, je sens la matraque qui s’enfonce dans ma chatte comme une gode. La pute la fait coulisser rapidement. très vite j’ondule du bassin. Je sens cette matraque qui me procure du plaisir comme si il s’agissait d’un sexe d’homme.

Maman subit le même sort que moi. Toujours pilonnée par le SDF, l’autre type lui a enfoncé sa bite dans la bouche et elle le pompe avec avidité, lui léchant les couilles, remontant sa langue le long de la hampe...

Le SDF poussa un cri en jouissant, libérant des giclées de sperme sur ses fesses. L’autre type repoussa ma mère et demanda la matraque que la pute lui tendit. Il l’enfonça dans le trou du cul de maman qui poussa un hurlement déchirant. Je tourne la tête et horrifiée, je vois cette matraque noire dépassant du cul de ma pauvre maman. Les larmes aux yeux, maman halète.


Le grand type fit coulisser la matraque puis la retira et enfonça sa bite dans le rectum de maman. La tenant aux hanches, il se mit à la défoncer.
Après avoir goûté à la mère, le SDF voulait goûter à la fille. La pute lui laissa la place et il s’introduisit dans ma fente. Nos gémissements à maman et moi emplissent la cellule. Celui qui pilonnait maman se retira et se mit devant le visage ravagée de ma mère. Il lui aspergea la figure de sperme. Les jets allèrent s’écraser sur sa bouche, son nez, ses yeux. Des filaments coulent sur son menton.
Le SDF, lui, voulut se répandre sur mes seins et je dus le branler en lui faisant une cravate de notaire. Il cria quand son sperme gicla.

Nous somme sorties de la cellule et Mathieu et Serge nous annoncent enfin que notre calvaire est terminé et qu’ils vont nous ramener chez nous. Nous montons à l’arrière d’un fourgon blanc avec l’inscription POLICE sur le côté. Nous nous asseyons sur une banquette. Extenuées. Mais le trajet jusqu'à chez nous fut long. Suffisamment long pour être de nouveau baisées dans la camionnette. Maman se retrouva empalée sur Serge et moi, un pied posé sur la banquette pilonnée par Mathieu, la chatte ravagée par sa bite.


Arrivées chez maman, nous prenons une douche pour nous débarrasser du sperme qui souille nos corps. Nous sommes vraiment devenues des chiennes, des putes que l’on siffle et qui obéissent comme des poupées. Nous subissons ces humiliations avec horreurs mais aussi, reconnaissons-le, avec un sale plaisir. En tout cas, vous savez maintenant comment deux bourgeoises respectables, mère et fille, sont devenues les esclaves sexuelles de plusieurs hommes et femmes…

Mais dans les jours qui suivirent, le mari de Suzanne eut vent de ce qu’il s’était passé. Fou de rage, il porta plainte contre tous les protagonistes, mais nous dûmes déménager dans une autre région, tout comme sa fille. Les représailles auraient été épouvantables. Elles ont cependant réussi à faire fermer le site.

 

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