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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

J’arrive en retard à l’apéritif, organisé par le club, dont Hervé, mon mari, en est le président. C’est la première fois que j’assiste à une troisième mi-temps. Il y pas mal de gens, de tous âges, et j’en connais très peu.

 

Après l’apéro, Hervé m’a promis une soirée en amoureux. Un bon resto, virée en boite. Puis, la promesse de me faire revivre notre nuit de noces. Je sens déjà le désir monter en moi…


Je l’aperçois assis dans un coin de la salle, à discuter avec des copains. A côté, je remarque une chaise libre. Certainement la mienne. Pour le rejoindre, je suis obligée de passer entre la banquette, où les joueurs sont installés avec leurs copines et les vieux dirigeants, et la table où sont servies les boissons. Un vrai périple, car aucun ne me facilite le passage, bien au contraire. Evidemment, je m’excuse auprès de tout le monde.

 

Parmi eux, il y a Sergio, président d’honneur, proche de la soixantaine, très séduisant. Je ne le connais pas, uniquement sa réputation d’homme à femmes. A sa façon de me regarder, je vois bien qu’il voudrait m’épingler à son tableau de chasse. Du reste, il y a quelques mois de cela, il avait fait une promesse à mon mari, prenant tous ses copains pour témoins :

« Un jour, je baiserai ta femme », lui avait-il promis.

 

Evidemment, Hervé n’avait pas prêté attention à cette promesse, me faisant une totale confiance. Justement, arrivée à la hauteur de Sergio, je sens une main se poser sur mes hanches, tandis qu’une autre, remonte entre mes cuisses. Puis les deux mains s’unissent pour toucher ma culotte. Je suis tétanisée, et n’arrive plus à faire un pas.  Pour finir, Sergio m’oblige à m’asseoir sur ses genoux. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, je n’arrive pas à luter, à partir. Hervé ne s’aperçoit de rien, caché qu’il est, par les joueurs. Pour ne pas créer de scandale, je ne dis rien. Andréa, la femme de Sergio, regarde la scène et glisse sa main sous sa robe…. J’hallucine, ou quoi ? Au bout de quelques secondes, je sens un objet dur, très dur contre mes fesses, qui me fait sursauter

« Que vous arrive-t-il, Madame la Présidente ? », me susurre-t-il à l’oreille.

 

Oh putain, le salaud, c’est qu’il bande… puis il a l’air sacrément monté ! Je ne sais plus que penser, et malgré moi, une certaine excitation monte... Cependant, je proteste vigoureusement.

« Lâchez-moi, mon mari m’attend, s’il vous plait ! »

 

Je dis ça, pour la forme, car dans l’état d’excitation où je suis, je ne sais pas si je vais pouvoir résister à l’appel de cette bite en érection, et ce malgré la présence de mon mari. Je lui ai toujours été fidèle, mais le temps passant, les plaisirs du couple s’émoussent. Et là, cette queue dure contre moi me met dans un état proche du délire, et m’ôte tout morale. Et Andréa qui rougit, sa main semblant aller de plus en plus vite sous sa robe….

 

Comme un automate, je glisse une main en arrière, fais glisser la fermeture éclair de son pantalon. J’enfouis ma main dans le slip, en extrait une bite énorme. Ma curiosité m’incite à aller plus loin, jusqu’aux couilles, elles aussi dantesques. Sergio aussi est curieux de savoir jusqu’où je veux aller. D’un geste calme, il insinue ses doigts entre mes cuisses, caresse mes lèvres intimes. Lentement, il me soulève, pour que je m’empale sur sa bite. Je me mets à me parler :

« Qu’elle est belle, vas-y, grosse bite, branle-toi dans ma petite chatte… crache salope, oui, comme ça. Ouah, il avait envie le cochon ! »

 

Dans la seconde qui suit, j’atteins l’orgasme, que j’étouffe dans mon chandail.

« L’enfoiré, comme il m’a baisée… comme il m’a fait jouir… si mon mari apprend ça !!! Je suis finie ! »

 

J’en ai oublié où nous sommes, et quand je vois quelques sourires entendus et vicieux, je me doute qu’on nous a bien observés… j’en suis presque heureuse !

 

Comme si de rien n’était, je m’arrange un peu, et reprends mon parcours du combattant pour rejoindre mon époux. J’éprouve mille difficultés pour me frayer un passage. On dirait que tous les hommes de la salle m’ont vue me faire baiser par Sergio. Chaque fois que j’écarte les jambes pour enjamber un genou, certains n’hésitent pas à me bloquer, glisser une main sous ma jupe, et me mettre un doigt dans la chatte. J’atteins même un mini orgasme, quand un doigt plus vicieux que les autres, excite mon clitoris. Je soupçonne fortement Andréa, la copine de Sergio, d’en être responsable. Le pire est que je me laisse faire. Je suis une salope, et j’aime ça !

 

Dans la dernière ligne droite, je joue les allumeuses, prenant volontairement des poses provocantes. Je prends appuie sur la table, cambre mes reins, pour que chacun puisse gratter mon minou. Les jeunes joueurs, ne semblent pas intéressés, mais trois copains, doyens du club, profitant de la pénombre du fond de la salle, me couchent sur leurs genoux, remontent ma jupe sur mes hanches.

 

Je suis dans la position de la petite fille qui a fait une grosse bêtise, et à qui on va donner la fessée. Sauf que ce sont des mains d’adultes, et que l’un d’eux, à hauteur de mes cuisses, n’hésite pas à glisser une main entre mes fesses, branler ma chatte, et limer mon petit trou. Il sait y faire, l’enfoiré. Celui du milieu est moins bien loti. Il se contente de passer une main sous mon chandail, et me caresser les seins, durcit par le désir. Il arrive aussi à glisser une main entre mes cuisses, et excite mon clitoris. Leurs copains en face n’en perdent pas une miette, et j’en vois certains se branler ! Si on continue ainsi, ce sera une vraie orgie !

 

Le troisième, est le mieux servi. J’ai ma tête contre son sexe. Il ouvre sa braguette, sort sa queue, et l’enfonce dans ma bouche, sans que je proteste le moins du monde. Lentement, je lui pompe le dard avec application, et grand plaisir, jusqu’à ce que ce salaud éjacule dans ma bouche. En cachette, j’avale tout. Je me surprends même à lui nettoyer le gland avec ma langue. Quant à moi, j’atteins l’orgasme quand les doigts du premier accélèrent dans ma chatte en feu. Il me fourre comme un expert !

« Putain, comme elle jouit cette salope, dit-il, mes doigts sont plein de mouille !

- Et moi, quelle pipe… ouah, elle a tout avalé. Elle est bonne la femme du président ! »

 

Après un parcours digne des meilleurs Koh-Lanta, je rejoins enfin mon mari. Il est montré du doigt, et ne remarque pas les rires moqueurs qui lui sont adressée.

« Alors ma chérie, tu as passé une bonne journée ?

- Ben… disons, que… pour te rejoindre, ça n’a pas été simple. Avec tous ces mâles aux mains baladeuses… »

 

Hervé se penche sur moi, me prend la bouche. A l’abri des regards, il glisse une main entre mes cuisses, enfonce un doigt dans ma chatte. Surpris, il me murmure à l’oreille.

« Tiens, je savais que tu avais supprimé le soutien-gorge, mais pas la culotte. En plus, ta chatte est toute mouillée. Tu peux m’expliquer ?

- Bien sur mon amour. J’ai pensé à toi toute la journée, j’ai voulu te faire une surprise pour notre soirée. J’ai tellement envie que tu me baises. Il me tarde d’être à ce soir.

- Justement ma chérie, ce soir, ce ne sera pas possible. Remettons ça à plus tard. »


Je suis déçue, très déçue. D’autant que les préliminaires que j’ai subis par les invités et le coup de queue de Sergio m’ont donné une folle envie de sexe. J’ai quand même joui deux fois pendant la traversée du bar... Mon mari ne doit pas savoir de quoi est capable une femme en chaleur !

 

Il est vingt heures, quand toute l’équipe s’apprête à quitter le bar, qui doit fermer.

Une fois dehors, éclate un violent orage, courant en cette période, qui réduit la visibilité à néant. Ça court dans tous les sens.

« A la voiture », crie mon mari en disparaissant sous l’averse.

 

C’est à ce moment, qu’une voix m’interpelle.

« Véro, viens ici… viens t’abriter. »

 

Je reconnais la voix d’Andréa. Je me précipite vers le véhicule. Je suis trempée comme une soupe. Andréa est une sculpturale italienne, d’une beauté à couper le souffle, la femme de Sergio. Elle aussi a pris l’eau, elle est en culotte et soutien-gorge dans la voiture. Sergio est installé au volant, à moitié nu lui aussi. Malgré l’éclairage du plafonnier, la buée et les vitres sur teintés, empêche de voir ce qui se passe à l’extérieur.

« Merci Andréa, c’est gentil. 

- Alors Véro, sale temps. Ton mari, il est où ?

- Ce salaud, on devait refaire notre nuit de noces, et il m’a laissée tomber.

- Quel goujat, dit Andréa. On va arranger ça. Mets-toi à l’aise, ôte tes vêtements. »

 

Sans attendre de réponse, Andréa fait passer mon chandail par-dessus ma tête, puis retire ma jupe. Elle est surprise de voir que je ne porte rien dessous.

« Hum, mais c’est joli, tout ça, fait-elle en glissant une main entre mes cuisses. Même la petite chatte est toute mouillée, et ça ne vient pas de la pluie… Qui t’a fait ça, dis-moi ?

- Heu…c’est Sergio… Quand il m’a mis un coup de queue… Tu as tout vu, je suis sûre que tu te faisais plaisir sous la table ! Mais arrête de me branler le clito !!!

- Sacré Sergio. Et le doigt sur ton petit bouton, t’as aimé ? Tu as joui petite vilaine.

- C’était toi, salope. Tu le sais que j’ai joui…

- Je voulais t’en mettre un dans le cul, mais tu es partie si vite... J’espère que quelqu’un d’autre te l’a mis. Allez, assez bavardé, on va jouer un peu, d’accord ?

-Oh non, déconnez pas… mon mari doit me chercher avec cette pluie !

- T’inquiète ma chérie, on te ramènera. »

 

Je suis en train de me faire piéger…. Et j’aime ça ! je suis furieuse contre mon mari qui m’a laissée tomber. Sergio et Andréa ont la réputation d’être un couple libertin. Je me souviens de la promesse que Sergio a fait à mon mari.

« Un jour, je baiserai ta femme »

 

J’ai l’impression que ce jour est arrivé. Je revois le regard qu’il m’a lancé, je sens la virilité de sa queue, pense à la cartouche qu’il m’a mis au bar. C’était très agréable.

Sergio prend la place d’Andréa à l’arrière de la voiture. Il m’oblige à m’appuyer sur le siège, le cul en l’air. Dans cette position, je suis vulnérable, ma croupe entièrement offerte. Je sens un doigt effleurer mes lèvres intimes, pénétrer ma chatte en feu.

« Tu aimes qu’on te mette un doigt ? Tu dois avoir l’habitude avec ton mari…

- Hum… non, Hervé ne sait pas faire ça.

- A bon, il ne sait pas faire ça ? Pourtant, ce n’est pas compliqué, ce n’est qu’un doigt. C’est fou comme avec un doigt, on peut faire vibrer une femme. Et Hervé n’est pas capable de faire ça ? C’est si facile. Il suffit de décalotter le petit bouton, et y faire tourner un doigt dessus. Comme ça. Tu sens mon doigt sur ton clito… »

 

Je n’en peux plus, la chaleur dans mon ventre s’intensifie, mon clitoris me fait mal, à force de caresses. Mais c’est tellement bon ! Sergio est vraiment un expert en femmes. Je me cambre de plus en plus, pour mieux m’offrir à ce doigt qui me rend folle.

« Hou… salaud… oh oui, vas-y, fais-moi jouir…

- AH, tu vois que c’est bon, hein ? Tu lui diras à ton mari, que tu aimes bien qu’on branle ton petit bouton, d’accord ? Tu lui expliqueras comment Sergio a fait… ça t’excite hein… tu veux que je te baise maintenant ? »

 

Ce salaud, en plus, il me fait râler de plaisir. Il le sait que j’ai envie qu’il me prenne, là, tout de suite, en levrette. Du reste, la position que j’adopte, ne fait aucun doute. Andréa suit la scène, me demande de me détendre, qu’il va bien me niquer. Ça y est. Je sens l’énorme calibre de Sergio pénétrer ma petite chatte. Il m’envahit en entier, tape au fond. Le doute quant à ses mensurations, est levé. C’est vrai qu’il est sacrément monté ! Il me tient par les hanches, entame de lents va-et-vient. C’est bon de sentir une grosse queue bien raide dans sa petite chatte ! Je ne donnerai ma place pour rien au monde.

« Ton mari te baise comme ça ? demande Andréa.

- Non, dis-je en gémissant, physiquement, il n’en a pas les moyens… Puis, il n’a pas les outils qu’il faut non plus.

- Eh ben tu vois. Comme quoi, l’orage t’aura apporté quelque chose ! »

 

Sergio est un sacré baiseur, un phénomène. Il est en train de me mettre le compte grave. A chaque coup de reins, il m’arrache un râle de plaisir. Il se vautre sur moi, je sens son souffle chaud dans mon cou. Il glisse une main sous mon ventre, caresse mes seins, me murmure des mots à mon oreille.

« Alors, tu te souviens la promesse que j’avais fait à Hervé, qu’un jour, je baiserai sa femme, ben voilà… et toi, t’aimes ça, tu te laisses faire, petite pute… une vraie chienne, hein que tu es une chienne ? dis-le que tu es une chienne… et que tu as envie de te faire enculer.

- Oui, salaud, je suis une chienne… ta chienne… vas-y, encule-là, ta chienne ! »

 

Je ne sais plus ce que je dis, je sens cette queue énorme qui me laboure et me procure un plaisir immense.

D’un coup, la bite passe d'un trou à l'autre, sans préparation. Il me semble que sa queue a doublé de volume. Je ne peux retenir un cri de douleur. Il s’enfonce, me perfore l’anus sans ménagement. Sergio accélère, se raidit. Il va jouir.

« Vas-y salaud, crache, vide tes couilles dans ma chatte !

- Hey, dit Andréa, la voiture est neuve, évite de la salir…

-T’inquiète ma chérie, rassure Sergio, elle va tout avaler, tout nettoyer, comme une grande. »

 

D’un coup, Sergio se retire, me retourne violemment. Sa queue est là, contre mes lèvres. Je la prends en bouche. Le sperme gicle en jets puissant au fond de ma gorge. Je bois tout son jus, jusqu’à la dernière goutte.

Sergio en veut encore. Il veut humilier mon mari jusqu’au bout. Il me fait mettre sur le dos, jambes en l’air, bien écartées, puis me pénètre violemment.

« Je veux te voir quand tu vas jouir, ironise-t-il. Je veux t’entendre crier mon nom.

- Oh oui Sergio, vas-y, baises moi, fais-toi plaisir… »

 

Andréa participe à ma déchéance. Elle a glissé un doigt entre mes jambes, juste sous les couilles de son copain, et me doigte le petit trou. J’ondule de plus en plus, à tel point, que quand Sergio arrête, c’est moi qui envoie des coups de reins sur la bite qui me baise. Je suis hystérique. Je la veux au plus profond de moi, me déchirer le ventre. Je sens les battements de mon cœur, jusqu’au bout de mes seins. Je ne peux m’empêcher de hurler de plaisir. Après s’être copieusement vidé les couilles pour la seconde fois, Sergio ouvre la portière pour aérer l’habitacle. Dehors, la pluie a cessé.

« Ouah, comme tu as gueulé, dit Andréa, ça a dû résonner sur tout le parking ! »

 

Ses mots me font froid dans le dos. Et si c’était vrai, qu’on m’ait entendue crier ? Et que mon mari, à ma recherche, passe à ce moment-là ? Il est quatre heures du matin quand Sergio et Andréa me ramènent chez moi. J’aperçois mon mari derrière le rideau, quand ils m’embrassent sur la bouche. Il doit être fou de rage. Et il va l’être d’avantage quand je vais tout lui avouer…parce que je vais tout lui avouer.

Hervé m’attend sagement dans le salon, un verre de whisky à la main. Un second est posé sur la table basse, certainement pour fêter mon retour. Sans un mot, je m’installe sur le fauteuil en face de lui, croise les jambes.

 

Il me dit qu’il est désolé, qu’il est revenu sur le parking, qu’il m’a cherchée, qu’il a vu une voiture, entendu des cris. Certainement un couple en train de faire l’amour. Puis il me demande avec qui j’étais, et quelle excuse j’ai pour rentrer si tard. Je lui avoue que j’étais dans la voiture sur le parking, en train de me faire gouiner par Andréa, et niquer par Sergio….

 

Je lui fais grâce de la sodomie, et la pipe que je lui ai taillée. Il se dresse d’un coup, me demande pourquoi j’ai fait ça, ivre de rage.

« Tu sais la nuit de noces que tu m’avais promis de revivre ce soir ?

- Et ben, c’est lui qui l’a faite à ta place…puissance dix. Quel amant ! Quel baiseur. Il mérite bien sa réputation. Et puis, tu te souviens, un jour il avait juré qu’il baiserait ta femme. Tu vois, il l’a fait. Lui au moins, il tient ses promesses. Allez, je vais prendre une douche et me coucher… Ah oui, autre chose : il y a une soirée coquine prévue samedi prochain. »

 

Il semble se radoucir, et à ma grande surprise, il me répond, l’air vicieux :

« Pas de problème ma chérie, on ira si tu le souhaites.

- Mais tu n’es pas concerné, mon chéri. J’y vais avec Sergio et Andréa. Inutile de m’attendre, je risque de rentrer tard… si je rentre. Andréa m’a proposée de coucher chez eux… Ciao…

- Ah mais non, ma chérie, tu veux baiser ? Tu vas baiser, mais je serai là pour vérifier que tu as ce que tu mérites, c’est-à-dire, être traitée comme une trainée, une salope. Tu veux du sexe, tu vas en avoir. Et tu finiras par regretter. Maintenant, tu es soumise à MES envies. »

 

Je ne sais comment je dois prendre cette déclaration, et mi-figue, mi-raisin, je vais me doucher, pour me laver de tout ce foutre reçu.

 

Mon mari, cocu mais content, avale d’un trait, le second verre de whisky. Celui qui m’était réservé.

 

Par L'Amoureux - Publié dans : Les belles histoires de L'Amoureux - Communauté : Au royaume des salopes
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