Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
L’an dernier, mon mari a décidé de fêter dignement notre anniversaire de mariage…
Il m’emmena dans un restaurant huppé de la ville. Il avait une idée derrière la tête, mais je ne le savais pas encore. Nous fîmes un très bon diner, très fin, avec juste ce qu’il faut d’alcool pour lever les quelques inhibitions que j’aurais pu avoir…
Près de nous, une tablée de cinq hommes discute joyeusement. Le sujet principal de leur discussion porte bien évidemment sur le sexe. Nous rions de leurs histoires, qui m’excitent vaguement…
A la fin du diner, je me rends aux toilettes, pour me rafraichir un peu.
En sortant, je m'aperçois que cinq des hommes ont quitté la table, ils se sont accoudés au bar de l’arrière salle. Mon mari est de dos, il les a rejoints. Il me dit qu’ils enterrent la vie de garçon de l’un d’entre eux, et qu’ils ont besoin de conseils, d’un couple solide comme le nôtre…
Il leur faut donc quelques conseils féminins avertis pour le futur marié.
Sans attendre ma réponse, l’un deux m'installe sans plus de commentaires, sur sa jambe droite en m’attrapant par la taille.
« Cela ne vous gêne pas j'espère », finit-il par me dire, sans avoir l’air d’attendre une réponse. Il plaisante un peu, me sert à boire, détend l’atmosphère et se présente.
« Moi c’est Marc »
« Moi c’est Marie » dis-je en riant, mais en cherchant des yeux mon cher mari.
Nous commençons à discuter, je suis même la vedette de la soirée et l’on me bombarde de questions. Nous débattons des femmes en général, mais surtout de moi, et
abordons les conseils que je peux apporter au futur marié.
Je m’étends longuement sur la fidélité qui ne doit jamais trahie en me donnant en exemple avec fierté... en sirotant un cocktail. J’ai de plus en plus chaud mais me sens bien. Je me sens même rassurée car mon mari est près de moi.
Je suis bien calée, les deux cuisses de chaque côté du genou de Marc, qui n'arrête pas de bouger, avec la main droite de mon chevalier servant qui a lâché la taille pour la fesse droite. Il la
caresse doucement, afin que je ne glisse pas. Je sens des petits frissons qui remontent le bas du dos et me donnent un sentiment de bien-être.
« Vous avez une poitrine superbe » me dit le plus jeune en face de moi.
Je baisse la tête et me souviens que mon sein droit est sorti du balconnet. Il darde fièrement sa pointe sous l’étoffe transparente de mon body. Je rougis un peu et entreprends de remettre le
téton récalcitrant à sa place.
Mais avant que j’aie pu mettre la main sur ma poitrine pour mener à bien la remise en place, Marc me précède et passe la sienne sous le body.
« Laissez, je vais faire » dit-il.
Je suis de plus en plus gênée et mes joues virent à l’écarlate.
« Euh… ben ». Je bafouille et attrape vainement le bras de Marc, qui a sorti le sein complètement, le soupèse, le caresse délicatement et titille la pointe.
Absolument pas perturbé, il me complimente sur ma poitrine, sort le second sein qui subit le même traitement. J’essaie de mes deux mains de remettre les seins dans
les balconnets mais sans succès.
« Ne soyez pas timide, vous avez des seins magnifiques, laissez les respirer, on voyait déjà presque tout avant, alors un peu plus ! »
Peu convaincue par l’argumentation, je décide de partir et me redresse d’un coup mais ma tête me tourne, et Marc me rattrape in-extremis, m’évitant de m’étaler au
sol. Il me prend la taille à deux mains, et me remet en position stable sur sa jambe.
« Il me semble que vous êtes un peu saoûle » me dit-il.
« Oui », répondis-je, désorientée.
« Pour les seins, cela restera notre petit secret », me murmure-t-il à l’oreille, en y plaçant un petit bisou. Il mordille le lobe de mon oreille, tout en continuant de me peloter par dessus
l’étoffe. Je suis complètement déconcertée, et ne sachant plus vraiment que dire ou faire. Je réponds en bégayant :
« Bon d’ac…d’accord, mais c’est tout » et je reprend mon verre.
Marc me cale de nouveau avec sa main sur la fesse droite et sa main gauche sur mes seins. Sa main me caresse de nouveau la fesse, mais sous ma jupe, il l’a relevée lorsqu’il m’a rattrapée et mon
intimité est carrément à l’air. Les autres hommes regardent mon minou avec insistance. Je ne sais plus quelle réaction avoir. Je sens encore une douce chaleur envahir à nouveau mon
bas-ventre
« N’est-ce pas qu’elle est belle ? », dit-il à ses amis.
« C’est sûr », répondent en cœur ses camarades.
« Je dois y aller maintenant, on doit rentrer chez nous », dis-je en bégayant.
« C’est dommage » ; me dit Marc, on est bien ensemble. »
« Je vais bientôt vous lâcher mais faites nous plaisir, écartez bien vos jambes, ça sera votre petit cadeau d’adieu », ajoute t’il.
« Bon ok. »
Et j’écarte mes jambes bien en grand, dévoilant mon sexe luisant avant de partir. La main gauche de Marc lâche ma poitrine pour se placer sur mon sexe trempé.
Mes yeux se sont fermés et j’écarte encore plus les cuisses, afin de lui faciliter la tache.
Il pétrit longuement ma chatte, puis passe lentement son doigt entre les deux lèvres mouillées en caressant le clitoris.
Je me sens submergée, et me laisse aller sur son le torse de Marc.
Une main vient à nouveau caresser un téton, j’entrouvre les yeux, et voit le plus jeune de la troupe à coté de moi, il relève le body et pétrit ma poitrine à deux
mains.
Ses mains sont douces et il comprime mes seins comme aime le faire mon mari. Marc me tourne la tête et m’embrasse à pleine bouche pendant qu’un autre larron s’agenouille devant.
« Elle est toute épilée cette petite salope, j’adore ça ! » dit-il.
Il place ses mains de chaque côté de ma fente et explore de sa langue la totalité de mon sexe.
Il me broute le minou avec une vigueur non feinte. Marc me malaxe les fesses pendant que la langue joue avec mon clitoris et mon anus.
Mes seins, eux, passent dans toutes les mains. Je lutte entre mon plaisir et ma morale et je tente une nouvelle fois de me lever un peu pour tirer ma jupe sur mes cuisses et stopper cet enchaînement que je ne voulais pas.
En vain. Les mains qui m’enserrent les cuisses, les fesses, les seins ne me laissent aucune chance. Ceci sans présumer de ma capacité à tenir debout seule et ma folle envie de me faire pénétrer. Je regarde dans la direction de mon mari pour chercher de l'aide mais il me regarde d’un air bienveillant : « vas-y ma chérie, c’est mon cadeau… »
Le patron, complice, a baissé le rideau. Nous sommes seuls.
« Non, s'il vous plait laissez-moi ». Ces paroles à peine terminées, le brouteur de minou se retire. Je sens que Marc me soulève, il ajuste son sexe avec une main sur l’entrée du mien, je sens
son gland frotter contre ma vulve et il me relâche.
Il vient de m'enfiler d'un seul coup, je sens son gros membre chaud envahir ce qui n’avait appartenu qu’à mon mari et malgré moi, je lâche un râle de plaisir.
J’écarte les jambes au maximum et me laisse aller, j‘attrape la bouche de Marc pour sentir sa langue contre la mienne.
Les autres enlèvent leur pantalon et s'approchent. On m’attrape par les cheveux et un autre sexe de bon calibre force ma bouche.
Je sens le gland s’enfoncer dans ma cavité buccale et je me mets à le sucer avec vigueur. D’autres verges entourent ma bouche et je suce tout ce que je peux, enfournant parfois deux bites en même
temps. Marc s’applique à me faire des suçons dans le cou et un autre sur la poitrine. Je sens le désir monter de plus en plus et continue à sucer et branler plusieurs verges avec passion pendant
que Marc me lime comme un malade. Les autres me caressent tout le corps. Je me comporte comme une chienne en chaleur et je suce, branle, malaxe tout ce qui me passe à portée de bouche et de
mains. Une pute ne ferait pas mieux. Phil, je crois que c’est son prénom, va et vient lentement, puis accélère et éjacule dans ma bouche.
Je sens la purée gluante envahir ma bouche et j’avale toute la semence avec délectation, lui suçant la dernière goutte jusqu’à la retombée de son sexe.
« T’es vraiment une grosse pute sous tes airs de bourgeoise », me dit Phil, pendant qu’un autre prend sa place.
Je sens à l’explosion de chaleur qui envahit mon ventre et aux soubresauts, que Marc vient de jouir à son tour. J’écarte les cuisses au maximum et lève légèrement les jambes afin de sentir au
mieux l’homme qui est en train de me baiser.
Deux autres lascars m'attrapent, m’enlèvent body et soutien gorge, me mettent sur le ventre, me lubrifient l’anus avec leur salive. Ils commencent à forcer l’entrée avec leurs doigts élargissant mon petit trou pas encore habitué à ce traitement de froce. Un doigt puis deux puis trois. Ma douleur n’a d’égal que mon plaisir, et c’est avec soulagement que je sens les doigts libérer l’entrée de mes intestins.
Bref répit, puisque je sens une verge se présenter et pénétrer mon cul. Je la sens frotter contre mes parois et petit à petit la douleur qui irradie le bas des reins se transforme pour devenir
une nouvelle source de plaisir. Et ils m'enculent joyeusement les uns après les autres, à tour de rôle, me pétrissant le corps, les fesses et les seins
Mon mari ne m’avait jamais sodomisée. Et maintenant, Il n’aura plus jamais la primeur de mon trou du cul. J’écarte de plus en plus jambes et fesses afin que tous
viennent remplir mon petit trou. Je veux être leur vide-couilles, je veux qu’ils me remplissent et qu’ils me couvrent de sperme. On me retourne à nouveau, je me retrouve allongée, le dos sur un
homme qui s’empresse de reprendre mon fion.
Un second se place devant moi et emplit ma fente pendant que les autres emplissent de nouveau ma bouche. Mes trois orifices sont pris en même temps. Et c’est dans cette position que j’explose de plaisir. Je lâche un râle en même temps que mon corps est parcouru de spasmes violent et libérateur.
Mes amants du jour jouissent à leur tour, je suis remplie de sperme et bizarrement je m’imagine comme une dinde farcie… au jus d’homme.
Une fois que tous ont bien profité de moi, on me retourne de nouveau et on m'attache à la table, les fesses en l’air. Je sens que l’on m’introduit un objet plutôt
volumineux dans la chatte. Après plusieurs aller retour, le patron du restaurant arrive et me dit :
« Ecoute poulette, ton mari t’a regardé te faire prendre comme une pute par tous ces hommes. Ila joui en se branlant. Mais maintenant, nous l'avons ramené à chez lui en lui expliquant que nous nous occuperons bien de toi, et que nous te ramènerons à ton cocu de mari, mais tu as encore du temps devant toi. »
Je ne sais plus que dire… Quel drôle de cadeau de mariage !!!
Effarée, je vois le patron s'emparer d'une bouteille de bière, l'ouvrir et me l'enfoncer dans l'anus déjà dilaté. Sous la poussée l’objet enfoncé dans mon vagin est
expulsé. Drôle de sensation que cette bière froide qui envahit mes intestins. Il s’applique à de longs va et vient, j’écarte de nouveau les jambes au maximum, au début pour limiter la
souffrance, ensuite pour qu’il puisse l’enfoncer complètement dans le cul. A chaque aller et retour, la bière gicle, puis il alterne avec mon sexe. Il pose la bouteille, présente sa queue à
l’entrée de mon trou et me sodomise à son tour. Les autres ont récupéré et ils réinvestissent ma bouche et me voila repartie avec un désir fou que je ne peux réprimer.
Bien que toujours saoule, l’effet de l’alcool se dissipe un peu, et je mesure un peu mieux la réalité de la situation. Les hommes me laissent un peu et vont se resservir quelques cocktails. Une bonne demi-heure se passe avant que la joyeuse troupe ne s’intéresse de nouveau à moi. Maintenant, j’ai honte.
On recommence à me caresser délicatement l’entre jambes et les seins. Broute-minou repasse à l’action et me lèche alternativement minou et anus. Et je sens malgré moi le désir monter à nouveau,
mes cuisses s’écartent et mon sexe béant est prêt à accueillir qui veut bien le prendre. Ce qui ne tarde pas… Les cinq hommes, plus le parton du restaurant, me baisent dans tous les sens, se
vident encore de leur foutre partout sur et dans moi.
Les festivités terminées, deux hommes m'attrapent sans ménagement et m'entraînent dehors, nue, à l'exception de mes bas. Ils ouvrent la porte de leur voiture,
et me font monter.
Personne ne parle, je sens mes esprits revenir et me pose tout un tas de question face au plaisir que j’avais eu, ma morale et ma fidélité. Quelques kilomètres plus loin et nous arrivons sur un
parking. Pendant la fin du parcours, celui qui était monté à l’arrière du véhicule avec mo,i a maintenu la pression sexuelle en me caressant sans jamais me faire jouir, et c’est excitée comme une
chienne en chaleur que l’on me sort de la voiture.
Des hommes s’approchent de nous et je suis offerte comme une putain. Moyennant quelques Euros la passe, je me fais reprendre par tous les trous. Petits, grands, gros, maigres, beaux, laids, j'ai
le droit à tout, même un collègue de bureau, vicelard à souhait, qui m’a prise par devant et par derrière avec la satisfaction de me donner un nouvel orgasme. Il me pelotait déjà les fesses dés
qu'il le pouvait au bureau et je suppose qu’il ne s’en privera plus désormais.
Suite à cela et comme promis, les deux hommes me raccompagnent chez moi
Dans notre lit, mon mai est à moitié endormi. Il sourit en me voyant... « Tu as aimé, ma chérie ? »
Avant que j’ai eu le temps de répondre, il se fait déposer gentiment par terre par les deux hommes… Ils investissent notre lit, ils m’attrapent et me baisent à nouveau, m'embrassant à pleine bouche, me pétrissant sexe et seins, me pénétrant encore et encore devant mon homme qui nous regarde en se branlant.
Ils m’obligent à me coucher sur lui, en faisant en même temps une fellation à l’un d’eux, pendant que l’autre prend des photos, Ils m’enculent à tour de rôle… Je crie de jouissance sans
fin.
« Bon Anniversaire de mariage, chérie, me disent ils. T’es une baiseuse de première. »
Ils nous laissent, et je suis enfin libre. Je vais me doucher, j’empeste le foutre de tous mes baiseurs. Je suis vidée, laminée, mais heureuse… Quel anniversaire inoubliable !
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