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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

1.    Un coup vite fait.

 

Cela remonte à une quinzaine d’années. Après des rendez-vous dans Paris, j’avais deux heures à tuer avant de reprendre mon train à la gare de Lyon.

Comme je savais qu’il y avait un sex-shop à proximité, je m’y suis rendu, pensant trouver quelque gadget coquin pour ma maîtresse du moment.

Je passe sur la description des lieux mais je reconnais que tout était bien soigné avec des rayons très diversifiés et clairs. Il fallait bien faire un effort car c’était le seul sex-shop du secteur…

 

Après avoir déambulé un peu et trouvé ce que je cherchais, j’ai remarqué une jeune femme qui se regardait dans les glaces situées près des cabines d’essayage, après avoir enfilé une combinaison de dentelles qui la couvrait de pieds au ras du cou, mais qui dénudait une grande partie de son dos… Chaussée de bottillons à hauts (très hauts) talons, elle avait une allure folle…

D’ailleurs, je lui en avais fait le compliment qu’elle avait accepté avec un grand sourire en me disant avec un léger accent étranger :

« Merci… T’es sympa… J’ai encore quelque chose à essayer, veux tu m’aider ?

- Bien sûr, mais d’abord je paie ce que j’ai acheté et je reviens ! »

 

La caissière, qui avait vu le manège grâce aux caméras de surveillance, m’a dit alors :

« Si tu veux te la faire, tu as tes chances… les jeunes ne l’intéressent pas ! Ajoute 20€ à ton compte et je te donne la clé d’une des love-rooms.

- Ok… ça marche, je verrai bien ! »

 

De retour près des cabines, la vendeuse qui assistait cette jeune femme m’a dit qu’elle m’attendait à l’intérieur de l’une d’elles, dont elle a entrouvert le rideau.

« Je croyais t’avoir fait fuir !

- Non, j’ai du temps… je vais t’aider à faire ton choix.

- Il est déjà fait : regarde ce bustier, il ne va pas mal ? »

 

En fait, il ne s’agissait pas vraiment d’un bustier, mais plutôt un corset souple qui emprisonnait ses formes juste un peu généreuses. La couleur bleu pastel allait très bien avec sa carnation de rousse avec des cheveux mi-longs. Les demi-bonnets présentaient les seins en laissant apparaître plus de la moitié de l’aréole et la taille déjà serrée faisait ressortir le galbe des hanches.

« Tu es bien jolie dans cette tenue, j’aime beaucoup !

- Montre-moi comment tu aimes ! »

 

Joignant le geste à la parole, elle a avancé sa main droite à la bonne hauteur pour se saisir de mon sexe au travers du tissu de mon pantalon.

« Mais c’est moi qui te mets dans cet état ?

- On le serait à moins ! Tu dois être une vraie catin pour porter de tels vêtements !

- Tu ne crois pas si bien dire… Je trouve dans ce magasin ce qu’il me faut pour me satisfaire lors de mes soirées de solitude et c’est mon terrain de chasse quand j’ai envie d’une baise vite fait : je n’ai jamais été déçue !

- OK… Si tu veux je suis partant… j’ai la clé du paradis ! »

 

Deux minutes plus tard nous parvenions, après un court trajet en ascenseur, dans une de ces petites chambres du second étage. Je connaissais déjà quelques unes de ces chambres dans d’autres lieux, mais celle-ci était aménagée comme un boudoir de jeune fille, avec plein de coussins sur un large lit, de multiples miroirs le long des murs et un petit cabinet de toilette…

« Wow… C’est sympa ici ! Je ne savais pas pour les chambres…

- Oui, la caissière me connait… alors elle a choisi la bonne chambre… et on y sera tranquilles !

- Pourquoi ? J’ai effectivement compris qu’elle te connait bien…

- Dans cette chambre, il n’y a pas de glace sans tain, donc on ne pourra pas nous voir ! Et pour répondre à ton autre question : Oui, je viens m’encanailler ici chaque fois que je passe par ici… »

 

Ces cours instants m’ont permis de me déshabiller, ne gardant que mon boxer tendu par mon sexe plus qu’à moitié bandé. J’avais dit à Kirsten (puisqu’elle se prénommait ainsi) de garder son bustier, que j’allais la baiser dedans !

« Oh… Oui… Je vais l’étrenner avec toi. »

 

Dans le même temps, elle s’est mise à genoux devant moi, a fait glisser mon boxer et emboucher mon vit qui n’en pouvait plus… mais je l’ai dissuadée de continuer si elle voulait que je la saute. Vu mon âge, les coups à répétition, çà n’arrive plus très souvent !

Pour calmer un peu mon envie, j’ai allongée Kirsten en travers du lit et je l’ai envoyée en l’air par un cunnilingus dans lequel j’ai mis toute mon application !

Ensuite, je lui ai fait prendre la position de la levrette pour la prendre de cette manière.

« Salaud, vous les français vous ne pensez qu’à cette position… Mais j’adore !

- Sois tranquille… Moi aussi… Tu vas voir ce que tu vas prendre. »

 

J’ai pris un préservatif sur une petite étagère près du lit et je me suis préparé… J’ai déroulé la capote sur mon sexe relativement court mais quelque peu trapu (qui m’interdit les sodomies à l’arrache).

Je voyais le regard de Kirsten dans le miroir au dessus du lit… Elle m’attendait !

Je me suis introduit dans sa chatte qui était humide et chaude…

Chaque fois que j’étais au fond de son vagin, je sentais ses muscles intimes masser mon gland… C’était bon…

Je prenais mon temps et j’ai envoyé Kirsten en l’air une nouvelle fois sans jouir moi-même puis après un temps, j’ai recommencé les vas-et-viens et nous avons joui presque ensemble.

Quand je me suis retiré, la capote était bien pleine !

« Merci Kirsten, je me souviendrai de ton passage dans ce magasin !

- Et moi, je me souviendrai d’un beau quinqua (j’en avais 10 de plus…) qui m’a baisée comme une reine ! »

Nous nous sommes rhabillés, et je me suis précipité vers la gare où je n’ai eu que le temps de monter dans le dernier wagon du train !

 

A suivre ! 

Par Le Matou Libertin - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Fantasmes & plaisirs
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