Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Première soumission

Pour vous parler un peu de moi, je m'appelle Bertrand, j'ai trente ans. Je suis ingénieur d'affaire, marié depuis peu et plutôt ouvert. Physiquement, je fais dans les 1m85, un air svelte, les cheveux châtains, et les yeux bleus. Je suis plutôt quelqu'un de classique, bonne éducation, tenue BCBG, tendance dandy.
Je sais que j'ai un physique qui plait, j'ai travaillé pendant mes années d'étudiant comme model pour des défilés de mode, et j'ai eu beaucoup de succès auprès des femmes, des hommes aussi d'ailleurs…

Cette histoire s’est déroulée alors que j’étais étudiant à Paris. Au cours de la dernière année, j'ai reçu un mail d'un assistant d'un de mes professeurs, me demandant de venir le voir pour je ne sais quel problème concernant un de mes examens.

Je le rejoins donc dans son bureau, on discute, le problème est vite résolu. L’assistant en question, un certain Rodolphe, est en l'occurrence quelqu'un de très jovial et sympathique. On s'est toujours bien entendu. Il doit avoir juste la trentaine, un peu plus petit que moi, le visage souriant, les cheveux bruns, et un corps sportif, musclé et soigné. Un homme que je qualifierai d'attirant. On discute quelques instants, et vers la fin de notre échange, prétextant je ne sais quel raison, il me demande mon numéro de téléphone. Mais sans arrière pensée aucune. Du moins c'est ce qu'il me semblait.

La semaine passe. Le samedi, dans la soirée, je me retrouve chez moi, et je reçois un coup de téléphone d'un appelant inconnu. Une certaine Yseult, qui d'une voix chaude et charmante me demande si je suis libre le soir même. Elle m'a, me dit-elle, remarqué dans les couloirs de l'université et serait ravie de me connaître plus. Flatté, je lui réponds que je suis disponible, lui demande si je la connais

« Tu ne me connais pas, mais je crois être suffisamment sexy pour te convenir. »

 

Telle fut sa réponse, qui me cloua sur place. Elle avait pris une voix plus sensuelle et en même temps plus autoritaire.. Et j'aimais ça. Cette conversation m'excitait. On se fixait donc rendez vous vers  vingt-trois heures, dans un café place de l'Odéon. Avant de raccrocher, je lui demandais comment je la reconnaîtrai. Elle me dit : « Habille-toi avec un pantalon clair, souple, la chemise bleue qui te va si bien, un pull léger beige, et attends-moi à une table isolée, quand tu y seras je te rappellerai. »

 

Et elle raccroche. Excité par ces derniers mots, j'attendis impatiemment vingt-deux heures, m'habillait comme demandé et me rendit tranquillement au café en question.
Là j'attendis une bonne demi-heure assis à une table à la fenêtre, à regarder les passantes, à espérer, à détailler chaque femme qui entrait dans la pièce. Plus le temps passait, plus je m’impatientais et plus je la désirais aussi. Vers 23 heures 30, mon téléphone sonna, toujours ce numéro inconnu. C’était elle :

« Alors Bertrand, tu attends ? Tu m'attends impatiemment... Tu t'excites, tu as chaud, et tu t'énerves ?
- Euh non… J’attends, c'est tout.
- Tu ne me tutoies pas, tu ne me connais même pas, à partir de maintenant tu m'appelleras maîtresse. Tu m'as bien compris ?
- Euh oui... Je
- Oui maîtresse.
- Oui maitresse. »

La situation devenait de plus en plus excitante. Moi qui était plus habitué à être l'homme, le macho, le dragueur, le tombeur de femmes, je me retrouvais à obéir à une femme à la voix sensuelle, et que je n'avais encore jamais vu.
« Maintenant tu vas terminer tranquillement ton verre, remonter la rue et te rendre 12 boulevard Saint Michel… Tu vas y aller à pied, et lentement. Au coin de l'immeuble, il y a une cabine téléphonique, tu y attendras mon appel. Tu m'as compris ?
- Oui... Euh, oui maîtresse.
- C'est bien, et ce soir, tu feras tout ce que je te dirais tu m'entends ?

La conversation m'excitait de plus en plus, l'idée d'être l'objet d'une femme m'excitait au plus haut point et je sentais déjà l'effet à mon sexe qui se tendait dans mon pantalon de toile.
- Oui maîtresse.
- Dis-moi Bertrand, comment veux tu que je sois habillée pour toi ce soir : noir, rouge ou blanc ?
- Rouge maîtresse.
- Bien, je vois que tu as du goût. je sens que tu vas me plaire. eh bien dépêche toi si tu ne veux pas rater ta soirée. »

Je terminais mon verre, en me forçant de ne pas le boire à toute vitesse, il me fallait prendre mon temps avait-elle dit. Je sorti du café et me rendis à l'adresse donnée, à quelques dix minutes à pied.
De temps en temps, je me retournais, essayait de voir si l'on me suivait, si quelqu'un m'observait mais rien.
Arrivé à la cabine téléphonique j'attendis.. les minutes passèrent, une demi heure, et au bout de trois quarts d'heure le téléphone sonna. Je décrochais mais n'entendait rien, seulement une respiration forte, saccadée, chaude. Quelqu’un au bout du fil se masturbait ou s'excitait. Puis plus rien.


Un quart d'heure passa, et je m'impatientais. Je m'excitais puis le téléphone sonna à nouveau, il devait être près d'une heure du matin. « Alors Bertrand, tu m'attends toujours, es-tu toujours prêt à m'être soumis ce soir ?
- Oui maîtresse.
- Bien c'est comme ça que je t'aime. Je me suis habillée comme tu le voulais. Et j'ai hâte de continuer la nuit. Maintenant tu va bien m'écouter : tu vas aller dans la petite impasse sombre qui est derrière toi, au fond il y a un lampadaire, tu va te tourner face au numéro 10, et là tu vas ouvrir ton pantalon sortir ton sexe et te branler. Doucement, très doucement, et je ne veux pas que tu éjacules, tu m'entends ? Je veux voir ta bite. Tu regarderas ton sexe et nulle part ailleurs. Ensuite, tu reviendras dans cette cabine. Ne me désobéis pas. As-tu bien compris ?
- Oui maîtresse. »

 

Elle avait déjà raccroché.
Je suis sorti de la cabine, un peu stressé de devoir sortir mon sexe en pleine rue, et à l'idée que quelqu'un puisse passer. Mais ma peur fut effacée par l'excitation de ce qui augmentait en moi.

J'ai marché jusqu'au bout de la rue, me suis placé sous l'unique lampadaire, face au numéro 10 comme elle me l'avait demandé. J’ai ouvert mon pantalon, et ait sorti ma queue. Elle est de taille convenable, quelques vingt cm, et un diamètre assez épais. Il est droit et bien taillé, le gland rond et saillant, ce qui procure assez de plaisir lors de la pénétration. Je sortis donc ma bite qui était déjà bien bandée par la situation et commençais à la caresser, je remontais jusqu'au gland brillant de mouille, et redescendait bien à la base pour le monter en entier. J’avais peur que quelqu'un passe dans la rue, j'écoutais attentivement tous les bruit alentours, et essayait du coin de l'œil de regarder les fenêtres des immeubles. Aucune fenêtre n’était allumée. Je restais là cinq bonnes minutes à me masturber doucement puis suis retourné à la cabine.
Là encore, une demi heure d'heure passa, puis elle appela à nouveau.
« C'est bien, ça me plait mon petit Bertrand. Maintenant vient le plus difficile. Si tu me veux, il va te falloir faire tout ce que je te demande. Sans exception. Es-tu prêt ? »

 

Les longues minutes à attendre dehors sans pouvoir l'appeler, sans pouvoir rien faire, cloué par le désir, avaient déjà éteint en moi toute rébellion, et m'avaient doucement amené à cet état de soumission qu'elle semblait attendre de moi.
« Oui maîtresse.
- Je veux t'entendre dire que tu m'es soumis, que tu feras tout ce que je te demande. »


J'étais un peu gêné par la situation, et surtout pas habitué à ce genre de rôle, mais je sentais à l'excitation de mon pieu durci, que j'aimais cela et que j'aimerai encore plus la suite si j'obéissais.
« Oui maîtresse, je vous suis soumis et je ferais tout ce que vous voudrez. Ma voix était hésitante mais je pense assez convaincante pour qu'elle continue.
- Très bien. Maintenant, tu vas attendre qu'il soit deux heures sans regarder une seule fois dans l'impasse. A deux heures précises, tu vas venir devant la porte du numéro 10, tu vas te déshabiller entièrement. Plus un seul vêtement. Et là, tu entreras dans le hall, la porte est ouverte. Tu monteras au deuxième étage, et tu te mettras à genoux devant la porte. Tu frapperas doucement. Tu as compris jusque là ?
- Oui.
- Oui qui ?
- Oui maîtresse. J’ai compris.

La demande était étrange, mais vu l'heure peu risquée.
- Ensuite, vient le plus difficile, mais je veux que tu fasses tout comme je te le dis, sinon tu ne me verras même pas. Tu aura attendu plus de trois heures pour rien. Tu es mon objet maintenant, et tu m'obéis.
- Oui maîtresse.
- Oui quoi ?
- Oui, je suis votre objet.
- Très bien. Quelqu’un ouvrira la porte, c'est un homme. Quand il te verra, tu te lèveras, sans dire un seul mot. Je ne veux pas que tu dises un seul mot, tu m'entends ? Tu fermeras la porte, l'emmèneras sur le lit et le déshabilleras.
- Pardon ? Un homme mais…

- Tais-toi quand je parle. Tu m'obéis, entendu ?
- Oui maîtresse. »

 

L'idée de déshabiller un homme m'était toute nouvelle, je n'avais eu que des relations avec des femmes jusque là. J’avais été souvent dragué par des hommes, certains mignons même, et cela ne m'avait pas gêné, plutôt flatté. Mais je n'étais jamais allé plus loin que le sourire. Là, j'allais être nu en face d'un homme, et je devrais le déshabiller. Tout dépendait de l'homme, mais pourquoi pas ? Je voulais voir où elle voulait en venir.
« très bien. Tu le jetteras sur le lit, et sans un mot, tu lui feras comprendre que tu veux qu'il te suce. Tu seras dominateur, maître de lui. Sans brutalité, mais d’autorité, tu lui mettras ton sexe dans la bouche. Et vous ferez l'amour. Je veux que tu le sodomises, qu'il te suce, je veux que tu le suces aussi, et je veux que tu lui éjacules sur le torse. Tout cela sans un mot tu m'entends ? Si tu dis un seul mot, si tu n'es pas maître de la situation... Il ne se passera rien ensuite. Obéis-moi, et tu verras que la suite te plaira. C’est compris mon petit Bertrand ? Pas un mot !
- Oui maîtresse. »

 

Elle raccrocha de nouveau.
Entendre ces paroles de la bouche d'une femme érotisait tout, donnait un caractère extrêmement excitant, sexuel, et obsédant à la situation. Je n’avais jamais eu le moindre rapport sexuel avec un homme, et là j'allais devoir le dominer, le pénétrer, le sucer et diriger les ébats. Il faut avouer que le sexe d'un homme m'a toujours paru excitant, magnifique. J'adore, lors de fellation, me faire caresser et titiller l'anus, sans vouloir accepter que ca m'excite...

Là, j'avais un peu peur, mais j'étais finalement énormément excité par tout cela... Le stress laissait place à un désir sexuel intense. Mon sexe se tendait dans mon pantalon, et j'avais déjà envie d'y être. Qu’allait-il se passer ensuite ? Qu’allait-elle faire ? Et si l'homme était vieux et laid, pervers ou pire encore ?  Où allais-je ? Je n'étais pas particulièrement libertin, je ne connaissais rien de cette femme, de son monde, de cette rue, de ces gens. J’étais totalement inconscient finalement, mais entièrement obsédé, fasciné, envoûté par cette voix sensuelle et autoritaire, impatient de ce qui allait arriver et mon excitation était très intense. Et plus les minutes passait, plus elle allait en intensité.


À deux heures précises, comme elle me l'avait demandé, je me rendis au fond de l'impasse, après avoir vérifié que la rue était bien vide, je me suis rapidement déshabillé, et suis rentré dans l'immeuble, la porte d'entrée était effectivement entrouverte. Je suis monté au deuxième, et comme demandé, me suis agenouillé, nu devant la porte. La porte d'un appartement que je ne connaissais pas. J’hésitais à frapper. Je me sentais ridicule, nu devant cette porte, en pleine nuit dans un immeuble inconnu, à frapper à la porte d'un parfait étranger, et que je devais baiser avec domination, sans pouvoir donner d'explication… Quelle galère bandante !

Je frappais. Quelques minutes de silence... Je frappais à nouveau. Puis des bruits de pas, un tour de clef, et la porte s'ouvrit.
C’était Rodolphe, l'assistant de l'Université, en caleçon devant la porte !!!
Je le regardais ébahi. Je faillis mourir de honte devant sa porte. Est-ce que c’était un traquenard ? Une mauvaise blague pour me ridiculiser devant le professeur. Je pensais vite, essayait de réfléchir mais ne trouvais aucune solution. Je ne voulais même pas parler.


Il avait l'air aussi étonné que moi finalement, passé la surprise il sourit, d'un sourire entendu. Je compris que ça n'étais pas la mauvaise blague que je croyais.

« Bonjour Bertrand. Euh... longue nuit ? »

Me rappelant les indications de ma maîtresse, je me ressaisis, ne dis rien, pris mon courage à deux mains.. Après tout, il était plutôt bel homme en étant objectif. Je me relevais, entrais dans la chambre et le poussant vers le lit. Il sourit, ne dit rien, je le jetais sur son lit, lui enlevais son caleçon, assez hésitant.... Il me regardait, souriant, et vu son chibre dressé, il semblait apprécier de me voir dans cette situation soumis et dominant. Il avait un beau sexe, plus fin mais plus grand que le mien, et en pleine érection.


Je me sentais bizarre, nu devant un homme que je côtoyais tous les jours, nu lui aussi et avec cette belle queue en érection. Je bandais aussi. Je me suis finalement agenouillé sur le lit, il me caressait la cuisse... C'était étrange, cette main d'homme sur ma cuisse, ce regard vicieux chaud et sympathique, plein d'envie qui me regardais. J’hésitais encore un instant, puis lui pris la tête et l'amenais vers mon sexe.
Directif mais pas brutal. Tels étaient les ordres.


Il comprit tout de suite, et emboucha ma queue jusqu'a la garde. il se mit à me sucer doucement puis de plus en plus fort, en me caressant les bourses d'une main, et l'anus de ses doigts salivés d'une autre... Il était doué, et mais apparemment pas habitué à ce genre de chose. J’aimais ça. beaucoup même. Surtout de voir sa queue tendue, excitée au maximum, qui se frottait contre ma jambe quand il me suçait...

 

Je voyais ses lèvres pleines de salive remonter le long de mon membre, sa langue qui léchait mon gland, et son regard avide qui me scrutait. J’adorais ses doigts qui caressaient mon anus. C’était nouveau, mais très sexuel, très sensuel. Je lui pris la tête et forçais mon gros pieu jusqu'au fond de sa gorge. Au bout de dix minutes d'une fellation inoubliable, je le repoussais sur le lit. Dans un élan bestial que je ne pourrais pas expliquer, je lui pris son chibre, et le léchais doucement. Il souriait encore. Il était assis et gémissait de plaisir en me caressant les fesses. Je devais garder le contrôle, je le repoussais avec force et autorité, le regardais le plus durement possible.

 

Il souriait encore et se laissait faire... Je me remis à lui lécher le gland, en tournant autour avec la langue. C’était nouveau, étrange, agréable. L’idée que je tenais une bite dans ma bouche et donnais du plaisir à un homme m'excitait au maximum. Je le suçais du mieux que je pouvais, en faisant tout ce que j'aimais dans une fellation. Je lui gobais les couilles avidement, lui malaxais ses belles petites fesses avec force, et enfonçais sa bite toujours plus profond. Quitte parfois à avoir des hauts le cœur... Mais je voulais gober en entier, ce si bon sexe.


Il était long, bien droit, magnifique, et je bandais de plaisir. J’accélérais de plus en plus mes mouvements, qu'il rythmait des hanches pour plus d'amplitude. Je lui serrais les fesses, et m'enfonçais jusqu'à la glotte autour de son sexe, de plus en plus vite. Je caressais son anus avec mes doigts pleins de salive. Je mis un doigt dans son cul, puis continuais : deux, trois.

 

À chaque nouvelle étape, il se cabrait de plaisir. et à un moment je sentis qu'il était près d’éjaculer... Je continuais encore un peu, doucement et puis le repoussais. Je savais par expérience combien c'était horrible d'arrêter à ce moment là. Mais combien c'était excitant aussi. Il haletait, mourrait d'envie, ses yeux pétillaient d'excitation. Je sentais l'odeur forte de sa transpiration. Une odeur d'homme, nouvelle pour moi mais si excitante...

Il était sur le dos. Je me relevais, lui écartais les jambes et comme si je l'avais toujours fait, le pénétrais d'un seul mouvement rapide et brutal. Il cira de douleur etl ferma les yeux. Je ne bougeais pas. Je venais de réaliser ce que je faisais !

Je venais de pénétrer un homme, de le sodomiser, je voyais ma bite dans son anus, et ses jambes écartées, le sexe tendu érigé devant moi...

 

Quand il rouvrit les yeux, ils pétillaient encore plus de désir. Je me mis à le laminer, par des va et vient rapides, comme je ne l'avais jamais fait. Je baisais un homme et j'adorais ça ! Je le travaillais le plus vite possible, presque violemment, et mon désir était au maximum.

Me rappelant les ordres de ma maîtresse, je sortis et éclatais littéralement de plaisir. Je lui éjaculais au visage et sur le torse. Il gémissait de plaisir. Il se léchait les mains pleines de mon sperme qu'il venait de récolter sur sa joue et son torse. Je me baissais lui pris le sexe, et me mit à le sucer avidement, avec fureur. Il ne fut pas long. quelques secondes après je reçus un flot de sperme au fond de la bouche.

 

Sans me rendre compte, je l'avalais en entier, et me mis à lécher les restes sur sa queue. A ce moment,  je sus que j'étais vraiment devenu le soumis, l'objet sexuel du désir de cette femme que je ne connaissais pas. J'étais allé pour cette voix inconnue plus loin que je n'étais jamais allé...
Il me regardait, le visage fatigué et raviné, les yeux pleins de remerciement et de désirs et me dit : « C'était la première fois.. »

 

Je voulais lui répondre que moi aussi, mais je me retins au dernier moment.
« Maintenant il faut attendre me dit-il. Elle est capricieuse. »
Bien évidemment ! Donc il savait.


Il se coucha sur le coté et ferma les yeux. Je m'assis sur le bord du lit et attendais.
L’attente fut longue, presque une heure. La porte s'ouvrit enfin.


Une femme entra. Elle était habillée d'un long manteau beige comme celui de Colombo. Elle devait avoir la trentaine aussi, les cheveux brun-noir longs, de grands yeux verts. Elle devait faire dans les 1m75. Elle n’était pas réellement belle, mais d'elle se dégageait une autorité sensuelle qu'avait augmenté mon fantasme. Elle me regarda, fixa Rodolphe allongé nu sur le lit. Aucun de nous ne fit un mouvement. Elle s'avança vers nous et dit : « Alors mes petits esclaves, on a fait des cochonneries ? On est fatigué ? Mais ce n'est que le début. Rodolphe, viens m'enlever mon manteau. Toi, tu ne bouges pas. »

Rodolphe se leva, vint verre elle, voulu lui enlever son manteau, mais elle l'arrêta, le mit à genoux, et lui demanda de le faire avec les dents. En dessous, elle portait de longues basses résilles noires, avec des porte-jarretelles et des dessous rouges, fins et délicats. Elle avait de belles jambes, de belles hanches plutôt larges, et de magnifiques seins. Ils semblaient fermes et ronds. Une nuque très féminine, et de beaux bras dessinés complétaient le tableau.
Une fois son manteau enlevé, elle repoussa Rodolphe du pied, et vint vers moi. Elle m'allongea sur le lit sur le dos, retira son string et vint s'agenouiller au dessus de ma tête. : « Ne bouge pas dit-elle »

 

Elle se caressait à cinq centimètres de mon visage et je voyais son sexe s'humidifier au fur et à mesure des caresses. Une fois la chatte bien humide, et elle se baissa et l'appuya fortement contre mon visage. Elle bougea pour me couvrir de ses sécrétions odorantes, et me dit sèchement : « Lèche petit vicieux. »

 

Elle me prit les mains, les mis sur ces fesses fermes et appuya plus fortement sur ma bouche. Je me mis à la lécher goulûment, à tourner autour de son clitoris tendu et rouge d'excitation. Elle enleva son soutien-gorge et se mit à se caresser les seins.
Rodolphe vint vers elle pour la caresser aussi. Elle lui prit la tête et l'enfonça sur mon sexe qui bandait au maximum : « Toi aussi, suce petit pédé. »


J’étais fou d'excitation. J’allais lécher la chatte d'une femme qui me contrôlait complètement, et me faire sucer par un homme soumis. Je mourrais de bonheur !

Elle coucha ensuite Rodolphe sur le dos et me demanda de le pénétrer à nouveau. Il semblait prendre plaisir à ça, et je le fis sans rechigner. Elle se mit face à moi, les seins devant mon visage et me fis les lécher. Puis elle se leva et me dit de continuer sans me retourner. Au bout de quelques minutes, je sentis sa langue lécher mes couilles gonflées, puis remonter vers mon anus qu'elle léchait avec force de salive. Elle enfonçait sa langue dans le trou, et je gémissais de plaisir.

 

Je n’arrivais même plus à travailler Rodolphe qui ondulait pour profiter de mon sexe dans son cul. Et là ce que je m'attendais arriva. Je sentis un objet tiède et dur me caresser l'anus. D'un seul coup, un long gode, large s'enfonça dans mes entrailles sans que je puisse m'y préparer. Je crus m'évanouir de douleur. Mon cul me parut totalement explosé, dilaté par cet objet large et long. Mais elle n'y prêta aucune attention, elle avait une ceinture gode autour de la taille, et se mit à faire des va et vient dans mon anus avec ce monstrueux gode. Les minutes passèrent et la douleur aussi... C’était chaud, très chaud, et très excitant. Je pénétrais un homme et une femme me sodomisait !


Elle continua de plus en plus vite, Rodolphe se releva et se mit à me sucer en cadence. Je jouis en quelques minutes et lui éjaculais un flot abondant de foutre épais dans la bouche.
Yseult se retira, vint vers Rodolphe et l'embrasse goulûment pour recueillir aussi de mon sperme chaud... Je m'étalais sur le lit, littéralement écartelé, vidé, soumis. Mais de les voir boire ma crème m'excitait encore et mon sexe conservait tout sa force et sa dureté.

 

Allongé sur le dos, Yseult vint s'empaler sur ma bite. Rodolphe, m'écartant les jambes, vint se placer dans mon anus déjà dilaté. Son mandrin glissa aisément dans mon trou dilaté, et c'était fort agréable. Bien plus que le gode. Je sentais son gland vibrer dans mon ventre, et Yseult, s'exciter sur mon sexe.

Elle bougeait vite et se caressait le clitoris en même temps. Puis Rodolphe sortit, et empala Yseult qui ne dit pas un mot. Il la travaillait aussi très rapidement et elle se mit à jouir en se cambrant, les muscles tendus, dans un gémissement aigu.

 

Quelques secondes passèrent en silence. Rodolphe se retira de son anus. Avec son gland, il caressa mon trou et celui d'Yseult. Il revint vers le mien à nouveau. Ses va et vient lents et vicieux nous excitaient. Chacun voulait se faire sodomiser par ce long sexe. Il passait de l'un à l'autre, puis il me prit, d'un coup, et s'agita quelques instant puis sortit. Après, ce fut le tour d'Yseult... Il alternait de l'un à l'autre sans ordre. Parfois deux fois moi, parfois plusieurs fois Yseult. Ce petit jeu nous excitait au plus haut point.

 

Finalement, il m’encula une dernière fois. Il me besognait avec ardeur et force. Yseult se releva, s'agenouilla à nouveau sur ma tête, et me suça avec vigueur. Rodolphe continuait d'aller et venir avec puissance, je léchais Yseult qui me pompait la queue à fond. J'étais au comble de l’extase. Enfin Rodolphe se cabra, gémit et me remplit de sperme par petits jets puissants. Je sentais chaque éjaculation me remplir…  J’éjaculais à mon tour dans la bouche d'Yseult. Elle me couvrit de sa cyprine abondante. J’enfonçais sa chatte sur mon nez et ma bouche. Je ne pouvais pas crier, mais je crus presque m'évanouir de plaisir.

Ce soir-là, j'avais été l'objet sexuel d'une femme, et d'un homme. Ils avaient fait de moi ce qu'il voulait. Ce fut la seule fois que je les rencontrais, et ou je fus pris par un homme et une femme. Je ne l'oublierai jamais. J’espère qu'il y aura une seconde fois. Depuis j'attends son appel….

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