Bob, Victor et moi sommes trois gars dans la trentaine, et nous aimons beaucoup faire des randonnées à moto. L’été dernier, nous avons décidé de faire plusieurs randonnées ensemble. Nous en avons fait une qui a été mémorable. Bob l’avait organisée, et il avait décidé d’inviter une de ses collègues de travail, qui se nomme Justine. Bob ne la connaissait pas depuis longtemps, mais semblait déjà proche d’elle. Il m’avait dit quelques jours avant que Justine possédait sa propre moto, et qu’elle roulerait avec nous.

Nous nous étions donné rendez-vous sur le parking du centre commercial, afin de prendre un petit en-cas avant de partir tous les quatre ensemble. Le temps était superbe. Je savais que la journée allait être exceptionnelle !

Je ne me trompais pas… mais pas comme je l’avais imaginé ! Je suis le premier arrivé sur le parking. Je gare ma moto et je grille une cigarette, pour patienter. Au bout de dix minutes, Bob et Victor arrivent fièrement, chacun sur leurs montures de métal.

Quelques minutes plus tard, Justine arrive enfin, et descend de sa moto. Elle doit faire environ un mètre soixante-dix, être âgée d’une trentaine d’années, avec un look vraiment cool. Elle porte un jeans bien ajusté, avec des trous sur le devant, aux genoux et aux cuisses. Elle porte aussi de très belles bottes de cuir noir. Le denim délavé de ses jeans laisse pendent quelques fibres blanches près des ouvertures. Sous sa veste de cuir entrouverte, elle porte une chemise blanche.

Il semble assez évident qu’elle ne porte rien en dessous, puisque j’aperçois clairement les courbes de sa jolie petite poitrine, qui semble bien ferme. Je peux même mater ses mamelons qui pointent de façon provoquante au travers du coton. Elle porte un joli pendentif représentant un Soleil. Le pendentif est de style artisanal, et est retenu par une petite corde noire. C’est lorsque qu’elle enlève son casque que je m’aperçois qu’elle est vraiment très jolie. Son visage, doux, comporte de très beaux traits et ses cheveux longs et bruns, qu’elle avait repliés dans son casque, tombent maintenant sur sa veste de cuir. Elle s’avance vers nous en souriant. Et même avant qu’elle dise quoi que ce soit, je me sens déjà très attiré par elle. Je suis surtout excité de savoir qu’elle sera avec nous pendant tout le week-end….

Pendant que nous mangeons un morceau tous les quatre, je constate que contrairement à beaucoup de belles filles, elle ne m’intimide pas. J’ai même l’impression de la connaître déjà, et tandis qu’elle parle de tout et de rien, je sens qu’il s’agit d’une fille intelligente et très sociable. Par moment, ses jolis yeux bruns croisent mon regard, et elle me sourit à chaque fois.

Pendant la journée, nous nous arrêtons à quelques reprises, et je sens qu’elle est vraiment à l’aise avec nous trois, et qu’elle semble vraiment apprécier d’être avec nous. Elle assure, sur sa Harley rutilante !

Comme les deux mâles en chaleur qu’ils sont, Bob et Victor ne peuvent s’empêcher de la draguer à tour de rôle. Elle semble aimer cela…. Je me contente de lui sourire, et elle en fait tout autant.

Nous, nous arrêtons sur l’heure du midi pour manger sur une petite terrasse. Il fait un peu chaud et Justine s’installe à table, en face de moi, et enlève son blouson de cuir. Ses épaules sont jolies et semblent si douces. J’ai maintenant tout le loisir de jeter un œil sur les contours de ses jolis petits seins, au travers du coton de sa chemise. Elle me surprend à quelques reprises pendant que j’observe sa poitrine, et elle rougit un peu. Après avoir déjeuner, nous bavardons tous les quatre et j’offre une cigarette à Justine. Pendant que j’allume sa cigarette, sa main touche la mienne, et je sens ma queue qui durcit aussi sec ! Je suis vraiment surpris qu’un geste aussi banal provoque autant de réaction chez moi !

Je n’avais pas réagi si vivement à un simple effelurage comme celui-là depuis mon adolescence. Elle me sourit, nous continuons à parler, et spontanément nos mains se joignent tellement la conversation est agréable. Au bout d’un moment, elle glisse une main en dessous de la table et caresse ma cuisse. Je bande encore et je suis stupéfait quand je m’aperçois qu’elle glisse une autre main sous la table ! Je me penche, et je constate et qu’elle caresse aussi au même moment la cuisse de Victor, juste à côté d’elle.

Un peu plus tard, nous nous relevons pour prendre la route. En me relevant, Justine me regarde en souriant d’une curieuse façon et c’est à mon tour de rougir un peu, quand je prends conscience que mon érection est bien visible, et que ça fait une bosse bien évidente dans mon jeans. En marchant vers les motos, Justine s’approche de moi et me prend par la taille. Je sens des vibrations qui passent entre nous deux. J’ai été touché par ce geste affectueux. J’en bande encore plus ! Comment vais-je rouler dans cet état ?

Nous reprenons la route et je n’arrête pas de penser au moment où Justine caressait nos cuisses sous la table. Je bande à plusieurs reprises en chemin, pendant que je roule derrière elle, et que je vois ses fesses bien enveloppées dans son jeans.

Après une bonne journée de route, nous nous retrouvons dans le chalet du frère de Bob. Il s’agissait d’un petit chalet bien situé sur le bord d’un lac, et le frère de Bob avait bien voulu nous le prêter pendant son absence. Avant de décider ce que nous allions faire pour le repas du soir, nous nous sommes installés dans la cuisine pour partager quelques bonnes bières ensemble.

Nous avions à peine entamé nos bières quand Justine nous a déclaré qu’elle nous trouvait très cool tous les trois, et qu’elle avait adoré sa journée. En disant cela, elle prend sensuellement ma main et celle de Bob. L’atmosphère s’échauffe aussitôt, et Justine multiplie les gestes d’affection, ou plutôt, de séduction, tantôt pour Bob, tantôt pour Victor, tantôt pour moi. Après avoir discuté de la balade avec Victor pendant un moment, elle l’embrasse longuement sur la bouche. Nous sommes sidérés par son « entrain » à nous allumer. Je suis stupéfait qu’elle le fasse sans aucune gêne, devant nous ! Elle cherche vraiment les embrouilles…

Plus tard, elle vient s’asseoir sur mes genoux, en buvant sa bière, et en caressant mes cheveux. Ça m’excite encore plus, si c’est possible ! Nous nous complimentons l’un l’autre, et je ne peux pas m’empêcher de goûter à sa bouche à mon tour. Sa langue est douce, et elle sait visiblement s’en servir. Je sens ma queue qui se gonfle encore plus fort dans sa prison de denim. Sa bouche est bonne, et je me délecte sans retenue. Bob s’approche en souriant, et me dit :

« Laisses-en un peu pour moi, hein ! »

Alors, avec tout le naturel du monde, Justine se tourne et dit qu’elle est chanceuse d’être avec trois gars aussi affectueux, puis elle se lève et embrasse Bob avec passion. Il n’y a vraiment plus aucun doute, c’est une chaude, cette fille, et elle va en avoir pour son argent !

Pendant que Justine embrasse Bob, je caresse et embrasse les épaules de notre merveilleuse compagne. Victor s’approche et se met à caresser les fesses de la jeune femme aux travers de ses jeans. Visiblement satisfaite de la situation, elle se tourne maintenant vers Victor et l’embrasse de nouveau à pleine bouche. Je me mets alors à careser ses seins par-dessus sa camisole et je sens ses mamelons qui pointent au travers du coton. Je titille ses pointes dures, et elle se met à se trémousser de façon très suggestive. Je me place derrière elle pendant que Victor continue à l’embrasser et, au travers de nos vêtements, je frotte ma queue contre ses fesses rebondies. Je glisse mes mains sous sa camisole et je caresse ses seins toujours aussi durs. Les petits seins m’ont toujours excité et les siens sont doux et fermes. Les mamelons sont raides d’excitation, et je les pince doucement. Elle détache sa bouche de celle de Victor et pousse un cri de satisfaction :

« Aaah ouiiii ! »

Victor embrasse maintenant Justine dans le cou, les mains de Bob s’aventurent à leur tour sous la camisole de notre déesse en chaleur. Je lui pince maintenant les fesses au travers de son jeans et Bob remonte sa chemise et lui dénude les seins. Victor lèche goulûment un des seins qui lui est offert, et Bob s’occupe de l’autre. J’en profite pour lécher le cou et les oreilles pendant que je continue à lui masser les fesses. Justine pousse un « Mmmmmm ! » langoureux, aussitôt suivi d’un « Ouiiiiiiiiii ! » qui invite à la luxure la plus totale.

Bob se recule, enlève son t-shirt, ouvre son jeans, regarde la scène, et se met spontanément à se masturber. Je vois sa main coulisser sur sa belle hampe épaisse et longue… Je suis toujours derrière elle et j’en profite pour détacher son jeans et je glisse ma main pour accéder à sa chatte. La cochonne, elle ne porte rien en dessous de ses jeans. Je peux donc facilement rejoindre sa fente toute chaude. Sa chatte est très humide et j’y glisse facilement un doigt. Il glisse tout seul, tant elle mouille… Elle pousse un léger cri de satisfaction, et se frotte les fesses contre moi pendant que mon doigt s’enfonce plus profond dans son tunnel humide et chaud. Justine enlève le t-shirt de Victor pendant qu’il se débarrasse lui-même du reste de ses vêtements. Victor est de loin le plus musclé de nous tous, à la vue de ces muscles saillants, Justine semble bien excitée, et se contorsionne sur mon doigt qui la fouille.

Victor et Bob, sont maintenant complètement nus devant Justine. Les deux sont bien bandés, avec leurs queues qui pointent de façon provoquante vers le corps de la jolie Justine. J’enlève le jeans de Justine, puis le mien. Je garde seulement mon t-shirt sans manche, que je ne prends même pas la peine d’enlever, tellement j’ai hâte de prendre mon pied… elle m’excite à mort, la jolie salope.

Je demande à Justine de s’allonger sur la table de la cuisine et je prends place sur une chaise. Je place ma bouche à la hauteur de la table, en lui montrant que j’ai bien l’intention de la lécher. Elle n’a pas été longue à se faire prier, et se placé sur la table avec ses jambes bien écartées de chaque côté de ma tête. Je frémis de désir devant cette belle chatte ouverte, qui perle de désir… Je me suis mis à lécher goulument l’intérieur de ses cuisses en remontant lentement vers sa vulve qui frémit. Justine avait tourné sa tête sur le côté et elle suçait la queue de Victor avec appétit. Elle le gobait presqu’en entier ! D’une de ses mains, elle tenait la queue de Bob en le masturbant énergiquement. Autant Bob que Victor avaient l’air d’être en extase. Ils lui pelotaient les seins avec vigueur… et elle semblait au bord de l’extase…

L’odeur de la chatte toute mouillée m’excitait au maximum, et je me mis à faire de grandes lèches le long des lèvres humides de son sexe si appétissant. A chaque coup de langue, Justine haletait, et son corps vibrait avec frénésie. Le goût de sa vulve était délicieux. J’ai ouvert les lèvres humides de sa grotte brûlante et j’ai plongé ma langue profondément dans son tunnel de plaisir. Je la fouraillai avec ma langue, tirée au maximum. J’étais comme un fou… J’ai ensuite léché son clito doucement en laissant pleins de salive s’échapper de ma bouche, pour bien le lubrifier.  

Justine se tortillait de plaisir. Bob et Victor avaient échangé leurs places. Bob qui avait maintenant sa queue bien enfoncée dans la bouche de Justine, semblait être au septième ciel. J’ai continué à manger le clito de Justine, qui se gonflait de plaisir. J’ai augmenté le rythme et la pression de ma langue tout en insérant deux doigts dans son tunnel mielleux. Après avoir lubrifier un de mes doigts de cette façon dans sa chatte, je l’ai placé lentement dans son joli petit cul. Justine poussait des cris de jouissances et après quelques minutes, elle bougeait de plus en plus, s’enfonçant elle-même sur mes doigts.

Enfin, son corps marqua un temps d’arrêt, elle se cambra, et poussa un hurlement de bête… elle eut un orgasme fabuleux ! J’étais bandé au max, à la voir jouir ainsi. Alors, je me suis relevé de ma chaise et d’un seul coup de rein, j’ai enfoncé sa belle chatte bien mouillée ma queue raide et dure. Je l’ai mise profondément et avec force, et je l’ai labourée comme elle le méritait…. Pendant ce temps, mes deux compères ne perdaient pas de temps… Victor lâcha toute sa sauce dans la bouche grande ouverte de Justine, Bob en fit tout autant sur les jolis seins de notre belle cochonne, en m’aspergeant d’une belle giclée de sperme.

Justine a avalé toute la crème de Victor sans sourciller, elle lui a même sucé la queue complètement pour tirer tout ce qu’elle pouvait. J’ai pris la liberté d’étendre la semence de Bob sur la poitrine de Justine et de m’en servir comme lubrifiant pour caresser ses mamelons. En me servant du sperme de Bob, je faisais glisser les mamelons de Justine en les pinçant sauvagement. Pendant tout ce temps-là, je ramonais frénétiquement sa chatte. Elle m’a regardé dans les yeux et m’a traité de cochon. Ça m’a excité beaucoup et je lui ai fait un sourire malicieux, mais vorace. Tout en continuant de la besogner bien à fond, j’ai placé ma bouche juste au-dessus de sa chatte, et j’ai laissé un long filet de salive tomber entre mes lèvres jusqu’à son clito. J’ai eu droit encore une fois au même compliment :

« Cochon, aaaaah le gros cochon !!! »

Avec mon pouce, j’ai étalé la salive sur son clito dressé. Une nouvelle fois, elle se cambra, et elle a eu un autre orgasme très intense. J’ai senti son tunnel humide et chaud se contracter autour de ma queue, et pendant qu’elle poussait des cris aigus, j’ai dû me retenir avec beaucoup de difficulté pour ne pas venir tout de suite.

Justine décida de changer de position, et me dit :

« Sors de moi, je veux déguster ta bite… »

Comment résister à une telle offre ? je sortis quand même à regret de sa grotte en feu, pour présenter ma barre à mine devant ses lèvres gourmandes…. La garce, elle savait vraiment se servir de sa bouche ! Elle y allait graduellement et engloutissait ma queue le plus profondément possible dans sa gorge. Par moment, elle me léchait les couilles, puis elle revenait inlassablement à ma queue. Elle avait passé une main entre mes deux cuisses et caressait mon cul avec un doigt. Une véritable artiste, des frissons parcouraient mon corps de la tête au pied.

Mes deux copains bandaient à nouveaux, et se branlaient à fond en nous matant, les yeux hors de la tête… D’autant que notre copine de jeux s’enfonçait quasiment toute la main dans se chatte béante…

Elle retira ma bite de sa bouche, et articula :

« Eh les mecs, baisez-moi, je veux de la queue bin dure ! »

Pendant ce temps, Bob et Victor, qui n’avaient pas eu l’occasion encore de tremper leurs queues dans la chatte chaude de Justine, passèrent un après l’autre entre ses deux jambes, et ils la ramonèrent avec application.

Au bout de quelques minutes, Victor sorti sa bite luisante de la fournaise de Justine, et il éjacula de longs jets de spermes sur le ventre et les seins de la belle jouisseuse. Puis Bob remise sa queue à son tour dans la chatte chaude, pendant que ma suceuse continuait de me bouffer la queue avec passion. Je matais avec grand plaisir mon pote en train de pilonner Justine, quand il lâcha toute sa sauce blanche sur le corps de la jolie cochonne. Je n’en pouvais plus, et je me mis à pousser des cris puissants pendant que ma queue lâchait toute la crème sur le visage et dans la bouche de la fille. J’ai eu un orgasme formidable, comme rarement aupravant. Elle avala tout ce qu’elle put et lécha ma queue jusqu’à la dernière goutte. Justine était couverte de sperme, son corps luisait, c’était très beau et très excitant à voir.

Justine eu encore envie de changer de position, et elle alla se mettre à quatre pattes sur le tapis du salon. Cette femme est insatiable ! Bob, qui l’avait suivie en se masturbant une bite toujours aussi raide, se plaça à genoux devant elle. Victor lui, est allé fourrer sa queue encore une fois dans la belle fente humide, et il prit Justine en levrette énergiquement. Victor se déhanchait frénétiquement, et à chaque coup de queue, Justine poussait un halètement de joie.

Observer ce trio démoniaque me fit à nouveau bander comme un âne… Alors, pendant que mes copains fourraient leurs queues joyeusement dans la chair chaude, je me suis étendu sur le dos en plaçant ma tête sous Justine et j’ai sucé ses seins en caressant son clito avec un doigt. Je voyais les deux queues de mes potes besogner, qui la bouche, qui la vulve de la belle affamée… Victor et Bob n’ont pas été longs à venir et à jouir encore à grosses gouttes blanches…

Quand ils on eut fini, Justine est venue s’asseoir sur moi et elle s’est empalée sur ma hampe dressée. Elle bougeait comme une démone en montant et en descendant autour de mon sexe. Encore là, une véritable artiste ! Elle trouvait même le moyen par moment de sucer mes copains qui attendaient leurs tours. J’ai eu un orgasme très intense au bout de quelques minutes seulement, et elle fit le même traitement a Victor et Bob…

La soirée dura longtemps ainsi. Nous avons bien cru ne pouvoir jamais satisfaire cette femme en rut !

Nous nous sommes enfin endormis au petit matin, avant de reprendre la route. Et bien sûr, arrivés en ville, Justine nous invita chez elle pour un dernier adieu… chaud bouillant !