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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Bourgeoises en gangbang - la suite

Partie 2

 

Nous sommes désormais sous la coupe d’une bande de jeunes voyous. Souleyman et ses complices ont fait de nous leurs putes qu’ils peuvent baisées quand ils veulent et où ils veulent.
J’étais chez moi dans mon appartement à faire le ménage. Mon mari était de permanence. Nous étions dimanche. Un coup de sonnette m’interrompit. J’allais ouvrir et je fus étonnée de découvrir ma mère en manteau de fourrure. Je blêmis en découvrant qu’elle était accompagnée de Souleyman ainsi que d’un grand black que je ne connaissais pas.

Il me dévisagea avec un regard pervers. Je suis habillée d’un caleçon et d’un tee-shirt.
Ils entrèrent dans mon appartement, poussant ma mère. Le grand black, que l’on me présente comme étant Moussa, s’approche de moi et me pousse vers le canapé du salon. Il me positionne à quatre pattes dessus et baisse mon caleçon. Je ne porte rien dessous et ma fente apparait. Il me claque les fesses.
« Quelle salope, comme sa mère. Tu sais, on l’a sautée, ta mère et par tous les trous et elle en redemandait. »


Il enfonce ses doigts dans ma chatte et instinctivement je me cambre.
J’entends la voix de Souleyman :
«  Dépêche-toi, les clients attendent et on a de la route à faire. »


Je frémis. Que nous réservent-ils encore ???
Moussa me pénétra d’un brutal coup de reins. Je poussais un cri rauque en sentant cette queue hors norme qui me déchirait. Les mains crispées sur mes hanches, il me pilonne sauvagement. Mon corps est projeté en avant sous la violence de ses coups de reins. J’halète en sentant cette bite qui me défonce. J’entends ma mère raconter à Souleyman d’une voix tremblante comment elle est devenue une pute à blacks depuis que Moussa et ses sbires l’ont baisée toute une journée.
Moussa accélère ses va-et-vient et il lâche des torrents de sperme en grognant sur mes fesses.

J’ai été contrainte de m’habiller devant Moussa et Souleyman. Ils ont bien insisté sur le fait que je devais m’habiller très classe. Très bcbg. Très bourgeoise. Les clients l’ont expressément demandé. Ma mère, sous son manteau de fourrure, est habillée d’une veste blanche très chic. Ses longues jambes gainées de bas blancs émergent d’une jupe noire cintrée, moulant son cul. Elle porte des talons aiguilles noir et blanc.

Pendant que maman, à genoux devant Souleyman lui suce la bite, Moussa choisit ce que je vais porter. Après avoir enfilé un porte-jarretelles retenant des bas gris, je mets une jupe grise ainsi qu’une veste rouge sans rien dessous. Il choisit avec soin mes chaussures et je me retrouve affublée d’une paire d’escarpins « ouvert » à hauts talons que l’on met généralement en été mais avec les bas cela me rend encore plus sexy.

 

Au moment où je suis prête, Souleyman éjacule, aspergeant le palais de maman de sperme.

Le trajet dura plusieurs heures. Nous nous rendons en province, à quelques kilomètres de la ville où maman et moi nous habitons. En rigolant, Souleyman nous a annoncé que nous allions passer un dimanche à la campagne. Nous arrivons devant une ferme, totalement isolée. A l’écart, une grange avec des vaches à l’intérieur. Ca sent le fumier et le crottin. Il y a de la boue dans la cour. Un gros berger allemand aboie en nous voyant arriver. Dans un enclos, un âne.

Nous descendons de la voiture. Maman et moi nous nous regardons, pas vraiment rassurées. Quelles avanies allons-nous encore subir ?

Un vieil homme, la soixantaine bien tassée, que je qualifierais de paysan, sort de la ferme. Il porte un vieux pantalon et un pull. Son ventre de buveur de bière gigote quand il avance vers nous. Souleyman lui serre la main et il discute tarif devant nous. L’affaire se conclue très vite et l’argent change de main.

Nous sommes emmenées dans la ferme. Assis à une table un jeune homme. Le vieux nous présente son fils qui se prénomme Antoine. Avec nos tenues de bourgeoises nous détonnons complètement dans ce décor rustique.


Les deux hommes nous observent les yeux remplis de convoitise, comme un enfant devant le sapin de noël qui n’ose pas ouvrir ses cadeaux. Souleyman intervient :
«  Allez les salopes ! Déballez la marchandise ! »


Rouges de honte, maman et moi nous retroussons nos jupes dévoilant nos porte-jarretelles.
Moussa filme avec sa caméra numérique bien sûr. Souleyman ouvre nos vestes afin que les deux hommes puissent mater nos seins. Ils semblent impressionnés par ceux de ma mère qui sont plus imposants que les miens.
Le père et le fils se décident et font un pas vers nous. Ils s’emparent de nos seins en soufflant comme des porcs. Le vieux, Robert, m’a choisie pendant que son fils a jeté son dévolu sur maman. Il lui malaxe les seins, les soupèse, les laisse retomber, lui mordille les tétons.
Le vieil homme me force à l’embrasser, je manque vomir de dégoût.il ne doit pas se laver les dents tous les jours.
Sa main s’est faufilée dans ma chatte et il y introduit ses gros doigts.

Maman est agenouillée et elle a un haut le cœur quand elle sent l’odeur nauséabonde de la bite qui cogne contre sa bouche fermée. Souleyman doit lui fesser le cul pour qu’elle surmonte son dégoût et engloutisse le membre. Antoine lui agrippe la chevelure et la guide donnant des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans sa bouche. Puis il sortit son sexe permettant à maman de reprendre sa respiration et il mit son gland entre les seins de ma mère :

« Allez la bourgeoise, fais-moi une bonne cravate de notaire ! Avec tes grosses loches, ça doit être le pied. »


Rougissante et sous l’œil de la caméra, maman s’exécute. S’emparant de ses seins, elle commença à branler la bite du paysan.

Je fus retournée et cambrée sur la table. Robert me pénétra, enfonçant son gros membre dans ma chatte. Me tenant par les seins, son gros sexe me labourait. Sa main pelotait ma poitrine. Il me martelait comme un fou, ahanant. La table grinçait.

- Bouge ton cul salope, vas-y, putain quel pied.
Il sortit précipitamment et son sperme se répandit sur mes fesses.

Antoine a contraint maman à retirer son élégant manteau de fourrure et l’étendre par terre. Il la prend ainsi, à quatre pattes, sa bite enfoncée dans sa chatte. Comme sur une peau de bête. Maman gémit sous la violence des coups de reins du jeune Antoine. Il se redresse brusquement, fait le tour et asperge les seins de maman de sa semence.

Nous pensions en avoir terminé mais l’horreur ne faisait que commencer.

Nous sortons de la ferme et nous sommes entrainées vers l’enclos où se trouve l’âne. Antoine va chercher le chien. Il commence à pleuvoir un fin crachin et nos escarpins sont vite recouverts de boue ainsi que nos jambes. Nous sommes trempées en arrivant devant l’âne. Souleyman et Robert nous mettent à quatre pattes dans l’herbe, salissant nos bas, jupe retroussée, cul à l’air. Je comprends soudain quand Antoine va chercher l’âne. Je pousse un hurlement !

« Non !!! Pitié, non, pas ça, je vous en supplie !!! »


Je tente de me relever mais impitoyable Souleyman me maintient au sol. Maman aussi a compris et se débat sans succès.
On positionne l’âne au-dessus de moi.
« Suce-le salope, suce la bite de mon âne, tu vas voir c’est autre chose. Branle-le d’abord. »


Écœurée, au bord de la crise de nerfs, je saisis de ma main la bite de l’âne et je le branle doucement. L’âne bouge un peu mais reste tranquille. Très vite sa bite devient énorme entre mes doigts.
Maman, malgré ses supplications et ses pleurs doit se faire lécher la chatte par le berger allemand, Celui-ci lui fouille son intimité de sa langue râpeuse.

On me tire par les cheveux et je suis forcée d’avaler la bite de l’âne. Ma bouche est déformée par l’épaisseur de la queue. On me maintient fermement la tête pour que je ne recrache pas la bite. Le sexe de l’âne commence à gonfler dans ma bouche. Il déchargea soudain, m’étouffant en de longues giclées de sperme.

Bizarrement, j’eus envie de sentir cet énorme membre qui me révulsait au plus profond de ma chatte. Mais je n’ai rien osé dire.

Maman secoue la tête en gémissant sous les coups de langue du chien. Médor lui lèche la vulve, donnant de grands coups de langue. A ma grande surprise, elle se mit à gémir sous la caresse. En fin de compte, elle ne devait pas trouver cela si désagréable... J’eus même la nette impression qu’elle jouissait discrètement. On releva soudain ma mère, et elle dut se mettre à quatre pattes. Elle cria quand elle comprit qu’on la livrait au chien pour une saillie contre nature !!!

Le chien renifla le cul de ma mère et monta sur son dos. Il la pénétra et commença à s’activer sur elle ! Folle de terreur, ma mère pousse un hurlement déchirant. Le chien rythmant sa pénétration entrait et sortait de la fente de ma mère. Il ne tarda pas à jouir et il se répandit dans les entrailles de maman, morte de honte..

Nous sommes relevées, maman et moi, et reconduites vers la voiture de Souleyman. Nous sommes recouvertes de boue. Nos cheveux dégoulinent d’eau. Le rimmel a coulé, souillant nos visages d’élégantes bourgeoises. Mais surtout, nous venons d’être humiliées comme jamais, livrées à des animaux ! Abattues, effondrées, maman et moi ne disons pas un mot sur le chemin du retour.

 

Le lendemain, je dois reprendre le chemin du lycée comme si de rien n’était.

 

Les cours viennent de se terminer et je me dirige vers la sortie du lycée. J’ai voulu rester pour corriger des copies et il n’y a plus âmes qui vivent dans l’établissement. Mes talons claquent sur le dallage. Je suis habillée d’une jupe longue descendant à mi-mollet et d’une veste beige sur un chemisier.
Je suis étonnée. La journée c’est écoulée sans que je n’ai aucunes nouvelles de mes élèves. Rachid, Souleymane et Brahim ne sont pas venus en classe aujourd’hui et je n’ai donc pas eu à supporter de nouvelles humiliations. Après l’épisode de la veille, dans la ferme où ma maman et moi nous avions été livrées sans pitié à un âne et un chien, je me demandais avec anxiété ce qui nous attendait encore !

Je tourne au coin du couloir et tombe nez à nez avec deux filles du lycée. Fatima et Jessica. Je les connais bien. J’ai souvent des problèmes de discipline avec elles. Je suis surprise de les voir encore trainer dans l’enceinte du lycée. Pas vraiment le genre à rester pour terminer un devoir !

Je leur adresse un sourire :
« Qu’est ce vous faites encore là ?
Fatima s’approche de moi.
- On voulait vous parler Madame.
Un peu étonnée, je demande :
- Euh… Oui, je t’écoute.
Mimique de Fatima.
- On ne pourrait pas trouver un endroit plus tranquille ?
- Pas de problème. »


Sans aucune méfiance, je suis mes deux élèves dans les couloirs. Pensant qu’elles veulent m’emmener dans une classe ou dans la cour.
Soudain, Fatima et Jessica m’agrippent chacune un bras et m’entrainent dans les toilettes de l’établissement ! Elles me poussent violement et je manque tomber par terre en glissant sur mes talons.
Fatima se rue sur moi et me tord le bras, me faisant crier de douleur.
« Mais, qu’est ce qui vous prend ! Arrêtez !
- Ta gueule salope, on a vu ton site ! Souleymane, c’est mon mec figure toi !!
Je blêmis sous mon maquillage. Oh Mon Dieu, non !!!
- Ta mère et toi vous êtes deux belles putes ! J’ai demandé l’autorisation à mon mec. On va bien s’amuser avec toi. Mais t’inquiète pas, on t’a pas oubliée ! T’auras pas de bites mais on va te faire jouir quand même, ma salope ! »


Elle me pousse vers la porte des toilettes et déboutonne ma veste. Elle s’empare de mes seins à travers le chemisier et les malaxe. Je me débats en vain. Jessica s’agenouille à mes pieds et soulève ma jupe dévoilant mes jambes emprisonnées dans le collant couleur chair.
Fatima m’arracha le chemisier, faisant tomber les boutons à terre et je poussais un cri. Fébrilement, elle abaissa les balconnets de mon soutien-gorge. Elle se pencha et suça les pointes de mes seins. Jessica baissa mon collant et poussa un rugissement :
« Putain ! Fatima, elle a mis un string cette salope !
Fatima me donna aussitôt une gifle sur un de mes seins !
- Souleymane t’avait interdit pourtant !
- Faut la punir !!
Je fus tirée par les cheveux et emmenée dans les WC. Jessica et Fatima me forcèrent m’agenouiller devant la cuvette.
- Nettoie les chiottes, elles sont dégueulasses ! »


Je proteste violement et tente de me relever, mais Jessica et Fatima me maintiennent fermement au sol. Elles appuient sur ma tête et ma bouche se retrouve vite en contact avec l’email de la cuvette. Je réprime une nausée, je manque vomir de dégoût mais je sors timidement ma langue et la passe sur le blanc douteux de la cuvette des WC.
« Allez, balai à chiottes, nettoie bien !!! »


Elles éclatent de rire. J’entends un appareil photo.

Je fus relevée et amenée au centre des toilettes et je dus enlever mon collant et mon string. Fatima le roula en boule et me le fourra dans la bouche puis elle se servit du collant pour me bâillonner.
La mâchoire distendue par le string, je pousse des plaintes étouffées. Fatima passa sa main sur ma vulve. Doucement, en me regardant dans les yeux. Derrière moi, Jessica me caresse les seins, me tordant les pointes. Je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre. Honteuse, je réalise que je commence à apprécier ses caresses. Fatima enfonce ses doigts dans ma fente.
« Elle mouille, cette salope ! Souleymane avait raison, une vraie chiennasse ! »


Elle agite ses doigts de plus en plus vite. Je sens la cyprine qui coule. Je donne un petit coup de reins pour mieux sentir ses doigts. Je pousse un gémissement à travers mon bâillon improvisé.
On me poussa vers le lavabo et je fus cassée en deux dessus. Les mains posées sur l’émail. Une volée de claques s’abattit sur mes fesses, me faisant grogner dans mon bâillon. Fatima et Jessica alternent leurs fessées sur mon cul qui devient vite rouge.
Leïla enfonça son index dans mon anus et je sursautais. Elle fit coulisser son doigt rapidement puis elle enfonça trois doigts me distendant le trou du cul !


Je tente de me relever mais Jessica m’appuie sur la nuque m’obligeant à rester courbée en avant.
« Quelle salope, elle est trempée », lâcha Fatima en passant une main sur ma vulve dégoulinante.

Je fus redressée et allongée par terre. On m’oblige à écarter les jambes au maximum dévoilant ma fente. Fatima me tient les poignets. Jessica se pencha et me lécha la fente, me donnant de petits coups de langue avec précision. Je ne tardais pas à mouiller comme une folle. Je secouais la tête de droite à gauche en gémissant à travers mon bâillon. Jessica introduisit ses doigts dans ma fente. Deux puis trois et quatre. Presque toute la main est entrée et je donne des coups de reins pour tenter de m’en débarrasser. Mais aussi, parce que je sens un certain plaisir monter…

Jessica agite sa main dans ma chatte, elle la fait tourner. Je sens mon excitation monter encore d’un cran. Ma poitrine se soulève de plus en plus vite. Je gémis. Jessica bouge sa main qui est entièrement rentrée maintenant !
« T’aime ça salope, dis pas le contraire, t’es trempée. Comme ça, là. Ça t’excite que je te branle avec ma main ? Attends ! On va essayer autre chose ! »


Elle retira sa main et je fus retournée et mise à quatre pattes.
J’eus un violent sursaut et je sentis la sueur couler le long de mon dos quand je compris ce qu’elle voulait m’imposer !
Ses doigts forcèrent mon anus de nouveau et elle réussit très vite, malgré mes cris de protestations, à introduire sa main dans mon anus. Sa main entière est entrée ! Elle fit coulisser sa main, la tourna. Je sens sa main qui bouge dans mon trou du cul. J’ondule de la croupe pour accompagner son geste. Je sens l’orgasme monter, je pousse un long gémissement et je m’écroule, ravagée par le plaisir.

Ce fus ensuite à mon tour de donner du plaisir à mes deux « violeuses ». On me retira mon bâillon et Fatima s’allongea à terre. Je fus contrainte de lui lécher la chatte, la tête fermement tenue par Jessica, sous les insultes :

«  Bouffe-lui la chatte, salope ! »


Ma langue lui fouille son intimité et Fatima gémit sans discontinuer. Je lui mordille le clitoris et elle donne des coups de reins violents. Elle appuya sur ma tête en ayant un orgasme me barbouillant la figure de sa cyprine.
Ensuite, je dus satisfaire Jessica. Après lui avoir lécher le trou du cul, je dus lui laper la chatte. J’enfonce mes doigts dans la fente de Jessica. Je fus même contrainte de l’embrasser. Nos langues se mélangèrent. C’est la première fois de ma vie que j’embrasse une fille. Ce lesbianisme forcé m’excite pourtant au plus au point.

Je me relève, hagarde, et sors des toilettes après m’être rajustée. Je suis cul nu. Fatima et Jessica ont emmené mon string comme trophée pour le montrer à Souleymane. Je monte dans ma voiture, restant prostrée au volant. Ca ne peut plus continuer ainsi ! Je dois réagir ! Je décide d’en parler à la directrice demain et d’aller porter plainte !

 


 

C’est de nouveau Suzanne, la mère de Clara. Je suis toujours contrainte par Souleymane de vous raconter ma dernière humiliation sexuelle. Ce petit salaud a été contacté par un de ses cousins qui voulait obtenir un prêt pour construire une maison. Comme tout le monde dans la cité, ou presque, sait maintenant que Souleymane contraint une bourgeoise, directrice de banque, à lui obéir aux doigts et à l’œil, certains se disent que ce serait con de ne pas en profiter.


Je reçois donc un coup de fil de mon tourmenteur sur mon portable un matin juste avant de partir au travail. Il me précise qu’un client va débarquer et qu’il faudra lui accorder le prêt sans poser de questions. Je tente d’argumenter que cela risque de ne pas être évident, je ne suis pas toute seule à décider. Mais Souleymane m’interrompt, et me dit que ce n’est pas son problème. Avant de raccrocher, il ajoute avec un rire gras, qu’il ne faut pas que je mette de sous-vêtements, ce n’est pas la peine. .

J’entre dans la banque, saluant les employés au passage d’un signe de tête. Je suis habillée d’une jupe crème avec des bas marrons. Les talons aiguilles de mes luxueux escarpins en daim résonnent dans le hall. .Je monte rapidement les escaliers conduisant à l’étage de la direction et j’entre dans mon bureau. Très vite, le téléphone sonne et l’hôtesse d’accueil m’annonce, un peu surprise, que mon rendez-vous est arrivé. Je bafouille que c’était prévu et lui demande de le faire monter.


Paniquée, le cœur battant la chamade, j’attends derrière mon bureau. On frappe à ma porte et je crie d’entrer. Un homme, d’une quarantaine d’années, d’aspect négligé, rentre, accompagné par l’hôtesse que je remercie. Elle me lance un regard intrigué. La directrice ne reçoit pas pour une demande de prêt habituellement, il y a des employés pour ça. L’homme se retourne matant sans gêne les longues jambes de l’hôtesse quand elle sortit de mon bureau.
Il se retourna et me dévisagea.
«  Je m’appelle Moussa, je suis le cousin de Souleymane. Il m’a assuré que vous pourriez m’obtenir un prêt sans difficultés.
- Bien, bafouillais-je. Finissons-en vite. »


Je remplis le formulaire de demande de prêt. Il me fournit les pièces justificatives, un minimum, ce sera à moi de me débrouiller. Il demande une somme importante. Ces formalités administratives terminées, je lui dis que je le contacterais pour lui donner la réponse.
Je me lève signifiant la fin de l’entretien mais il reste assis.
Il prend une voix dangereusement douce pour me demander :
«  C’est tout ? Souleymane m’a dit que j’aurais droit à un cadeau.
Je blêmis et titube sur mes talons.
- Co... comment ça ? croassais-je.
- Lève-toi ! »


L’ordre a claqué comme un coup de fouet ! Je me lève précipitamment. Je dois faire le tour du bureau et me mettre devant lui.
« Soulève ta jupe, salope ! »

 

Rougissante, et excitée malgré moi, j’obéis, relevant doucement ma jupe dévoilant mes jambes jusqu’au porte-jarretelles blancs. Moussa sourit en découvrant ma fente.
« Souleymane m’avait bien dit que tu aurais la chatte à l’air ! Fais voir tes nichons !
Résignée, je dégrafe mon corsage. Mes seins lourds apparaissent.
- Viens me sucer ! »


Il reste assis et je dois me mettre à genoux entre ses jambes. Tremblante, je dégage sa bite de son pantalon. Elle est dure et gonflée. J’hésite et impatiemment, Moussa appuya sur ma tête.
« Allez, putain ! Applique-toi. »

 
Sa bite força mes lèvres pulpeuses. J’eus un hoquet et prenant la base du pénis avec mes mains manucurées, je commence à le branler doucement. Ma langue tourne autour de son gland. Je salive sur sa bite. Il donne des coups de reins pour mieux s’enfoncer dans ma bouche. Ma tête monte et descend avec régularité. Je tremble à l’idée d’être surprise !
Brahim poussa un bramement de plaisir en éjaculant dans ma bouche, éclaboussant mon palais de son liquide poisseux. Je déglutis avec peine et avale sa semence. Je me relève et m’essuie le menton avec la main.
« Putain, je ne le crois pas ! »


L’exclamation me fait sursauter ! Je me retourne, la jupe autour de la taille, la chatte et les seins à l’air.
Oh Mon Dieu, non ! Pas lui ! Non !
Bertrand, mon jeune stagiaire se tient dans l’entrebâillement de la porte.

Bertrand est un jeune homme de vingt ans, taillable et corvéable à merci puisqu’en stage. Je le charge surtout des taches ingrates, comme faire les photocopies ou m’apporter le café. Pas très grand, des lunettes, il a un physique ingrat et je l’ai déjà rabaissé en public plusieurs fois.


Il rentre dans mon bureau et referme la porte avec soin.
Brahim se lève et se rajuste. Ils entament une discussion surréaliste en ma présence mais comme si je n’étais pas là. Brahim lui parle du site et il se précipite sur mon ordinateur pour vérifier. Il mate les photos quelques temps et se relève me regardant autrement. Il s’approche et me pince la pointe d’un sein ! Je couine...
Brahim prend congé et sort du bureau me laissant seul avec Bertrand.
Celui-ci tourne autour de moi comme un fauve devant une nouvelle proie.
« T’es vraiment une belle pute, lâcha-t-il en me regardant dans les yeux. »


Je tente de lui expliquer d’une voix larmoyante que je n’ai pas le choix mais cela ne semble pas du tout l’émouvoir bien au contraire.
Il me désigna mon bureau directorial.
«Monte là-dessus ! A quatre pattes, salope ! Comme une chienne ! »

Réprimant un sanglot, je m’exécutais.
Il farfouilla dans le tiroir de mon bureau et en sortit une règle plate. Il fit le tour et abattit sèchement la règle sur mes fesses me faisant hurler !
« Tais-toi salope ! Tu veux que tous les mecs de la banque viennent ??? »


Je frémis que l’on me découvre dans cette position humiliante, et je me tais. Il me donna encore quelques coups me faisant pousser des cris brefs.
Il posa la règle et sortit sa queue bandée.
« Va falloir me soulager maintenant. »

Je suis debout au milieu de mon bureau juchée sur mes hauts talons, la jupe tirebouchonnée autour de la taille. Bertrand s’est mis derrière moi. Je sens sa bite contre mes fesses. Il me prend les seins à pleines mains et les presse. Il remonte sa main le long de mes jambes et caresse ma vulve.

« Penche-toi en avant. »


Docile, j’obéis. Il plonge ses doigts dans mon vagin et les fait coulisser. Je ne peux m’empêcher de gémir.
Il me donne une claque sur mes fesses ! Il me pénétra debout comme un soudard. Les mains sur mes hanches, il s’enfonça d’un coup de reins puissant m’arrachant un grognement. Il me bourre violemment. Mes seins gigotent. Son bas-ventre vient claquer contre mon cul.
Pendant qu’il me baise, il bafouille, haletant :
« Je te baiserai quand je veux maintenant. Toute la journée si je veux ! »

.
Je me mords les lèvres en entendant ces mots. Je sens sa queue qui me lime furieusement et j’halète d’excitation. Il se dégagea à ma grande surprise me laissant frustrée. Il alla s’asseoir dans mon fauteuil en cuir et m’ordonna d’aller sous le bureau.
Son sexe dressé palpitait à quelques centimètres de mon visage.
« Suce-moi ! »


J’aspirais sa bite et le pompais délicatement. Poussant un soupir d’aise, Bertrand ricana :
« Si on m’avait dit qu’un jour je me ferais tailler une pipe par la patronne sous le bureau ! »

 
Je lui suce la queue avec application, le gobe en creusant les joues. Je lui caresse les couilles.
Soudain, trois coups frappés à ma porte me font sursauter ! Je proteste doucement quand j’entends Bertrand crier d’entrer. Je me tais et arrête ma fellation, mais Bertran discrètement, appuie sur ma nuque, et j’engloutis de nouveau son membre.
Je reconnais la voix de l’hôtesse d’accueil qui demande à Bertrand ce qu’il fait dans le fauteuil de la patronne.
Il répond que je suis d’accord et je frémis quand l’hôtesse, lui ayant demandé où je me trouvais, il répondit de façon énigmatique :
«  Oh, pas très loin. »


Soulagée, j’entends l’hôtesse ressortir.
Cette situation dut exciter Bertrand car il lâcha des jets de sperme qui s’écoulèrent dans le fond de ma gorge..

 

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