Sophie, marquise de
R.
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Sophie
Carnaval rhénan.
L’épisode que je vais vous conter est absolument véridique. Il remonte à bien longtemps (1961) mais il pourrait tout aussi bien se dérouler actuellement tant les festivités du Carnaval en Allemagne, et plus spécialement dans les pays rhénans, donnent lieu à des débordements en tous genres. Les débordements sexuels en font partie.
A cette époque, j’effectuais mon service militaire et j’étais en garnison dans une ville du sud de l’Allemagne, là où chaque année le Carnaval donne lieu à toutes sortes de fantaisies lors des défilés costumés et lors des bals populaires ou de sociétés qui se déroulent pratiquement chaque soir au cours de la décade qui se termine le Mardi Gras.
Le summum de ces bals a lieu lors du « Weiberfastnacht » (journée des femmes) et lors du « Rosenmontag » (lundi des roses) le premier lundi de cette fameuse grande décade. Ces jours-là les femmes font tout ce qu’elles veulent, ce sont elles les reines de la fête et pour certaines c’est l’occasion de baiser avec plusieurs partenaires en même temps ou à la suite en toute liberté.
J’étais avec un très bon copain de régiment originaire de la Guadeloupe, métis à la peau très brune, colosse de près de deux mètres. Ce dernier ne parlait pas très bien l’allemand alors que je le parle couramment. Assez souvent, lorsque nous étions en goguette à la recherche d’une bonne fortune, je me chargeais des premiers contacts, ensuite, c’était à lui de se débrouiller.
Nous déambulions dans les rues déjà envahies par les fêtards de tous poils, costumés ou non, quand nous avons été abordés par deux jeunes femmes d’une trentaine d’année. Elles nous ont demandé si nous voulions faire la fête avec elles. Tout à fait d’accord pour accompagner ces deux blondes à la silhouette agréable, aux courbes harmonieuses et qui visiblement étaient déjà bien chaudes et excitées. Elles portaient le costume traditionnel de la région (sans le grand chapeau à pompons rouges) dont le haut très décolleté a l’avantage de présenter la poitrine comme sur un plateau quand le chemisier et le caraco sont bien ajustés.
Nous sommes entrés tous les quatre dans un restaurant où on dansait. Après avoir payé notre écot nous nous sommes dirigés vers le fond de la salle où il restait quelques tables encore libres. Dès que l’orchestre s’est mis en place, nous sommes allés sur la piste de danse. Mon copain Grégoire était avec Gaby et j’étais à Katharina (je ne me souviens plus des prénoms… je les ai donc changés).
Ce sont elles qui ont choisi le cavalier qui les accompagnerait pour ce début de soirée. C’était le tout début de l’époque du disco et les danseurs se trémoussaient face à face sans se toucher. Mais Katharina semblait ne pas se satisfaire de cela car à la moindre occasion elle venait se frotter à moi, collant sa poitrine rebondie contre mon torse ou, me tournant le dos, elle ondulait du bassin contre mon bas ventre, cherchant la présence de ma bite en érection entre ses fesses. Bref, elle m’allumait sérieusement.
Un peu de calme avec une série de slows me permit de l’enlacer. Elle ne cherchait que cela. Collée contre moi, elle effectuait une danse lubrique en faisant tournoyer son bassin pour masser mon sexe hyper bandé. Parfois Grégoire et Gaby se trouvaient à côté de nous. Il était évident à les voir que cette dernière lui faisait subir le même traitement.
Après avoir dansé jusque vers deux heures du matin, les deux filles qui étaient de plus en plus chaudes et un peu saoules, nous ont demandés de les raccompagner chez elles, dans un village proche. Cette demande recouvrait une invitation à terminer la soirée d’une manière différente. Je savais les allemandes particulièrement chaudes et ces deux là étaient à point.
La dizaine de kilomètres a paru bien courte. Katharina était à côté de moi à l’arrière de la voiture. Dès que nous avons été installés, elle s’est littéralement jetée sur moi, d’une main elle massait mon sexe et de l’autre, passée derrière ma nuque, elle pressait ma tête entre ses seins.
Grégoire et Gaby semblaient plus sages mais je crois qu’elle lui caressait aussi la bite pendant qu’il conduisait leur voiture. Ces deux jolies filles partageaient en fait une petite maison de village, très confortable où régnait une belle chaleur. Dès que nous sommes entrés dans la pièce principale, elles ont fait voler leurs vêtements dans tous les sens.
Devant la tournure des événements, nous avons aussi quitté nos vêtements pour nous retrouver la bite dressée face à nos deux belles qui se sont précipitées à genoux pour les prendre en bouche. Gaby est tombée en arrêt devant le sexe de Grégoire : 25 cm de long au moins et un diamètre équivalent à une canette de bière. Elle n’arrivait même pas à la faire entrer dans sa bouche. Elle se contentait de sucer le gland et lécher la hampe.
Ma bite est de moindres dimensions, et Katharina l’avait avalée d’un seul trait pour une gorge profonde savante et délicieuse. Comme dans un ballet bien réglé, nos deux complices ont soudain changé de partenaire. Je ne sais quel signe elles avaient pu échanger mais ma bite s’est retrouvée au fond de la gorge de Gaby et celle de Grégoire entre les lèvres de Katharina. Après quelques léchouilles bien appliquées, elles se sont mis toutes les deux côte à côte en position de levrette sur le divan. Nous avions la magnifique vision de deux culs ronds et bien fendus qui étaient là comme un appel au viol.
Elles devaient être des habituées des rencontres impromptues car des préservatifs étaient là, nous n’avions qu’à nous servir !
D’une seule et lente poussée, je me suis glissé dans la chatte de Gaby, chaude mais très étroite. Je comprenais pourquoi elle avait changé de partenaire, effrayée peut être par la bite de Grégoire elle avait préféré commencer avec la mienne. Grégoire de son côté pénétrait très lentement la grotte d’amour de Katharina, qui, la bouche ouverte elle semblait manquer d’air.
Heureusement pour elle, Grégoire savait se maîtriser, sinon cela aurait été douloureux. Gaby a commencé les va-et-vient et je l’ai accompagnée jusqu’à une belle jouissance partagée alors que Grégoire, allant plus doucement, amena sa partenaire cinq bonnes minutes après moi.
Après un petit temps de récupération, les deux filles ont à nouveau changé de partenaire. Katharina n’a pas eu beaucoup d’efforts à faire pour redonner sa splendeur à ma bite. L’ambiance et ces deux belles cavales suffisaient à bien m’exciter. Prenant des coussins garnissant le divan, elle m’installa sur le tapis, couché sur le dos, mon sexe dressé comme un mat. Elle prit un nouveau préservatif dont elle couvrit mon gland et le plaçant entre ses lèvres elle le déroula jusqu’au bas de la hampe dans une caresse savante. Puis elle est venue s’empaler d’elle-même sur mon sceptre pour se sodomiser.
J’ai vaguement entendu Gaby dire en français à Grégoire de bien la baiser, qu’elle était prête à avaler sa bite mais je n’ai pas vu quelle position ils avaient prise car le spectacle que me donnait Katharina qui faisait elle-même les mouvements de bas en haut et ses jolis seins qui se balançaient devant moi suffisaient à mon bonheur. Jusqu’au petit matin nous les avons baisées toutes les deux trois fois. Nous ne pouvions malheureusement pas rester avec elles plus longtemps. Il fallait regagner notre caserne.
Hélas ! Trois fois Hélas !
Mais quelques temps plus tard, nous nous sommes retrouvés tous les quatre pour un week-end chaud. Un week-end très très chaud… mais comme elles aimaient le changement, il n’y en a pas eu d’autre…
Je garde un merveilleux souvenir de ce Carnaval où pendant quelques temps, la fête sexuelle semblait déchaînée !
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