Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Les aventures de Melody : explosions anales avec un italien

Melody avait pris goût à ses aventures avec d’autres hommes, que son mari soit là ou non. Mais elle a aussi trois enfants et est journaliste. Son fils a un correspondant italien chez lequel il a passé quelques jours. Comme toujours dans ces échanges, il le reçoit à son tour. Son mari, Greg, ses filles et son fils devant revenir de province le lendemain, Melody va chercher à l'aéroport le jeune homme.

Elle a une photo et elle le reconnaît aussitôt. Il s'appelle Luciano, il a 18 ans et elle ne l'imaginait pas aussi grand eu aussi beau. Elle l'accoste, troublée malgré elle. Ils s'embrassent un peu gênés. Sur le trajet de retour, elle lui explique que toute la famille doit rentrer le lendemain, elle s'en excuse et elle est encore plus troublée lorsqu'il lui dit :
« Ce n'est pas grave ! Ce sera un grand plaisir de rester avec une femme aussi belle que vous ! »

Melody rougit de plaisir.
« Oh Luciano ! N'exagère pas ! Je peux te tutoyer ? »

Luciano sourit.
« Bien sûr, madame ! Et je vous le répète, je vous trouve absolument superbe ! »

Il ajoute, en regardant ses jambes que la robe dévoile à moitié.
-« Vous avez de belles jambes ! Elles ont l'air d’être très douces… »

Melody tremble malgré elle, à ces compliments pourtant osés, venant d’un jeune inconnu de 18 ans !
« Appelle-moi Melody ! J'aimerais aussi que tu me tutoies. Tu ne te moques pas de moi ? Je ne suis plus si jeune. »

Et avec un accent italien qu'elle trouve adorable, il lui dit :
« Je ne dis pas que tu es belle par politesse ! Je te trouve vraiment, vraiment sublime ! J'aime ton visage, j'aime tes jambes ! J'aime. J'aime... »

 

Malgré elle, elle l'encourage :
« Tu aimes quoi ?
- Non Melody ! Je ne peux pas ! Je ne veux pas vous choquer.
- Je t'en prie ! Dis-moi.
- Et bien. Et bien ! Ta robe laisse deviner de jolis seins et de jolies fesses bien rondes ! Tu ne fais pas mentir la réputation des françaises !
- Et quelle est cette réputation ?
- C'est très cochon.
- Je t'en prie ! Dis le moi.
- Il parait que les Françaises sont les meilleures pour la fellation et qu'elles adorent se faire sodomiser. »

Melody ne s'attendait pas à cela. Elle rit nerveusement et, regardant Luciano brièvement, elle voit une bosse énorme qui déforme la braguette du jeune homme. Heureusement, ils arrivent et n'ont plus le temps d'être gênés. Elle lui montre sa chambre, puis ils dînent ensemble. Ils parlent de choses et d'autres, et Luciano est si galant que Melody se sent de plus en plus à l'aise.

Après le repas, ils vont sur le canapé, la chaîne diffuse de la musique, Luciano évoque son pays. Entendant un slow, il demande à son hôtesse si elle veut bien danser. Elle accepte, ils dansent doucement. Un deuxième slow suit et, insensiblement, ils se rapprochent. Elle sent alors contre son ventre la queue dure du jeune homme. Elle sait qu’elle ne devrait pas, mais au lieu de s'écarter tant qu'il en est encore temps, sa tête se niche sur l'épaule de Luciano.

 

Le jeune italien prend cela pour une invite. Il frotte alors sa bite de plus belle et, comme cela n'a pas l'air de déplaire à la jeune femme, il glisse les mains sur ses fesses. Il constate alors qu'elle a une croupe bien remplie. Il ne se prive pas de la malaxer. Il sent contre sa poitrine les tétons durcis par l'excitation que ressent Melody. Luciano lui relève doucement la tête, il l'embrasse et, comme on se jette à l'eau, elle lui dévore subitement la bouche. Ils échangent ainsi un fougueux baiser, torride, qui dure plusieurs minutes et les laisse haletants.

Melody se sent vaguement coupable, elle a rarement trompé son mari, en 20 ans de mariage. Souvent, Greg lui dit qu’il aimerait des parties à trois, avec un autre homme ou une autre femme. Elle a accepté, parfois, comme avec le plombier, après qu’elle ait été surprise avec le peintre.

 

Et à cette minute, ce qu’elle ignore, c’est que Greg a, en fait, tout manigancé. Quand il avait vu des photos de son fils prises chez le jeune italien, il a avait tout de suite su qu’il plairait à sa petite femme, malgré ses réticences. Il avait pris contact avec lui avant son arrivée, et lui avait demandé d’être très entreprenant… Luciano avait hésité, mais Greg l’avait totalement rassuré, en disant que c’était un jeu pour eux, et qu’il pouvait faire avec elle tout ce qu’il voulait.

Melody s'agenouille ensuite doucement. Elle ouvre la braguette, fait descendre le pantalon et libère la queue de Luciano. Elle contemple un instant, d'un regard admiratif, la bite dressée et si tendue. Elle la trouve incroyablement dure, comparée à celle de son mari. Puis, elle s'approche et ses lèvres se referment sur le gland qu'elle lèche et suce longuement. Elle l'avale lentement ensuite et, alors que ses lèvres touchent le pubis de Luciano, il s'exclame :
« Ohhh ! Les françaises ! Vous êtes formidables ! Toute la bite ! Tu m'avales toute la bite ! C'est si bon !!! »

Les commentaires du jeune homme la survoltent encore plus. Elle retire la queue jusqu'au gland, le gardant en bouche, le léchant par en dessous, puis elle avale toute la hampe. Elle inflige ce terrible traitement à Luciano, qui n'arrête pas de gémir de plaisir. Sous les assauts de la langue et à cause de l'onctuosité de la bouche et de la gorge accueillante, la bite paraît grossir encore. Melody a l'impression d'avoir la bouche pleine, elle étouffe à moitié. Il contemple, émerveillé, la jolie tête aller et venir, joues alternativement gonflées et creusées par la succion, le long de sa queue toute luisante de salive.

Il a l'impression que la jolie femme mariée est une femme d'expérience en la matière, qu'elle prend son temps, et il a la certitude qu'il ressortira sa bite de la bouche brûlante aussi flasque qu'un pneu crevé.

Melody le pompe toujours en l'avalant jusqu'à la racine, chose qu'elle n'a jamais faite avec son mari... C'est si bon que cela ne dure pas aussi longtemps que Luciano l'aurait souhaité. Il décharge soudain en poussant des gémissements, sans prévenir. Dès la première giclée, Melody est surprise par la violence du jet, par la chaleur du sperme et par son goût. Elle avale le liquide épais qui fuse sans relâche, les lèvres serrées autour de la hampe, de façon à ne rien laisser perdre. Elle est impressionnée par la quantité de foutre qu'il décharge et, consciencieusement, elle le boit, il a l'impression qu'elle lui pompe des litres de sperme. Sa gorge gargouille, alors qu'elle se remet à sucer la bite toute entière. Elle boit le foutre, tout le foutre. L'engin diminue de volume petit à petit et perd toute sa rigidité. Lorsque Melody se lève, elle se sent excitée comme jamais. C'est la première fois qu'une queue gicle dans sa bouche, qu'elle a bu le liquide épais et salé et, cela ne lui a pas déplu du tout. Ils s'embrassent longuement, mélangeant salive et sperme…

Les yeux brillants, Melody demande au jeune italien :
« Alors ? Que penses-tu des françaises ?
»

Luciano se serre contre elle en répondant :
« Vous êtes incroyables, formidables ! Jamais on ne m'a sucé comme ça ! Jamais une femme n'a avalé mon sperme !
»

Il l'embrasse langoureusement et ajoute :

« Caresse-toi ! Masturbe-toi. Là, dans le canapé.»

 

Melody ignore toujours bien sur les manipulations de son mari. Elle ne sait pas non plus qu’il est revenu ce soir, laissant les enfants rentrer en train le lendemain. Et depuis quelques minutes, il est là, dans le couloir. Il a vu sa femme se transformer à nouveau en belle salope, qui a sucé ce jeunot comme elle ne l’a jamais fait avec lui. Il en ressent une vague jalousie, mais il a bien cherché cette situation. 

Et puis, l’excitation prend le dessus sur sa jalousie. Sa queue commence à se sentir à l’étroit dans son jean. Il observe sa femme qui s’assoie sur le canapé familial, obéir ainsi à l’ordre du jeune éphèbe.

Melody est au-delà de toute retenue, elle s'assoit, ses mains glissent le long de ses jambes en remontant en même temps sa robe sur son ventre. Elle porte une jolie culotte noire et, sans aucune honte, elle frotte sa fente à travers le tissu d'un doigt.

Au bruit que cela fait, Luciano comprend qu'elle mouille abondamment. La jolie femme  se caresse peu à peu avec plus de vigueur, s'exhibant sans aucune gêne tant elle est en confiance, alors qu'elle s'est d'une part rarement masturbée et d'autre part, jamais devant une autre personne, et encore moins son mari.

Elle regarde Luciano qui recommence à bander et elle écarte d'une main sa culotte pour se planter deux doigts à fond dans la chatte. Melody se masturbe ainsi quelques secondes, puis elle ajoute un troisième doigt. Elle regarde fixement la queue de Luciano qui grossit à vue d'œil et elle jouit dans cette position, les cuisses écartées, à 38 ans, devant un jeune homme qui pourrait être son fils. À peine reprend-elle ses esprits qu'il s'assoit à côté d'elle, l'enlace pour l'embrasser, tout en glissant une main sur la culotte. Il constate, à travers le sous-vêtement, que Melody mouille incroyablement.

Il lui murmure, alors qu'elle répond à ses baisers :
« Déshabille-toi. »

Greg n’en peut plus de ce spectacle qu’elle lui a toujours refusé… Pour un peu, il ferait irruption dans la pièce. Il commence à se branler…

Melody, sans aucune hésitation, se lève, glisse ses mains sous sa robe et enlève sa culotte. Luciano déboutonne sa robe et la retire lentement. Il lui reste juste un beau soutien-gorge noir qui moule bien ses deux seins. Melody vient à côté du jeune italien, saisit sa queue d'une main et la branle doucement. Elle sent sa liqueur intime imbiber sa chatte. Elle serre fort la bite tant elle en a envie. Elle s'installe de part et d'autre d'une jambe de Luciano et, tout en l'embrassant à pleine bouche, elle frotte sa vulve sur la cuisse du jeune homme, l'engluant carrément. Elle finit par monter sur lui, elle est tellement échauffée qu'elle veut être baisée à tout prix. Elle tient la queue raide, la frotte sur sa fente. Et, brutalement, elle s'empale en poussant un cri, tant son plaisir est grand. Elle s'est emmanchée à fond et, déjà, elle l'entraîne dans une cavalcade, elle se donne à fond.
Luciano apprécie d'être chevauché par une telle cavalière. Il n'aurait jamais imaginé baiser une telle femme. Il avait été très surpris de la demande de son mari, mais il ne regrettait vraiment pas d’avoir accepté !!!

Il la laisse faire, prenant garde à ne pas jouir, ayant une autre idée en tête. Pendant qu'elle s'empale, il saisit ses fesses, les écarte, les malaxe et chatouille d'un doigt mouillé le petit trou. Il l'enfonce doucement et le fait aller et venir au même rythme que Melody lui impose. Elle gémit soudain plus fort et elle est saisie par un orgasme dévastateur, qui la laisse pantelante quelques secondes. Luciano se lève alors et, debout, il lui présente sa bite toujours raide. Melody l'avale d'un trait, jusqu'à ce que son nez bute sur le pubis du jeune mâle.

Elle le suce comme une friandise. Elle sent son regard vicieux sur elle et cela la brûle, cela la fait mouiller encore plus. Il s'agenouille derrière elle et glisse un doigt dans son petit trou. Il l'enfonce vite à fond, puis il en met un second. Melody a une petite grimace, mais elle le laisse faire et les deux doigts la pénètrent vite à fond. Luciano les retire, guide son gland dans la raie et le glisse sur son anus entrouvert. Il pousse doucement, à petits coups. Le fin anneau cède le passage peu à peu, il s'assouplit bien que Melody soit crispée par l'appréhension. Bien qu’elle ait déjà été sodomisée par ses amants, son mari ne l’encule pas. Elle refuse toujours.

Et à ce moment-là, elle imagine la tête qu'il ferait s'il voyait la queue de ce gamin lui pénétrer son anus. Elle se répète qu'elle est une salope. Mais elle se rend compte qu’elle aime ça de plus en plus !

Greg n’en peut plus, il a les yeux hors de la tête. Sa petite femme lui a toujours refusé cet accès. Et là, ce jeune mâle va l’enculer devant lui, à peine quelques heures après qu’ils aient fait connaissance !

Il se sait plus s’il est excité, jaloux, en colère… Il se branle de plus en plus furieusement, se jurant bien que la prochaine fois, il la défoncerait bien mieux que ce jeunot à peine pubère.

Melody pousse un cri en sentant le gland franchir l'obstacle de son sphincter. Elle grimace, mais serre les dents et ne se dérobe pas. Toujours en petites poussées, Luciano l'emmanche et il l'encule enfin jusqu'aux couilles. Elle a un peu mal, son rectum lui paraît être en feu, elle a la sensation d'une énorme présence dans ses reins.

Le jeune homme commence à la sodomiser, retirant son manche à chaque fois un peu plus. Il est fasciné par la bague distendue qui enserre sa queue, par les fesses qu'il fend en deux. Il saisit la jolie française par les hanches et commence à la limer plus vite. Il voit Melody gémir de douleur et il a la présence d'esprit de glisser une main sur sa chatte. Il lui caresse le bouton, le titille et elle apprécie visiblement cette initiative.

Luciano n'hésite alors plus. Il commence à l'enculer à grands coups de reins. Sa bite prend de plus en plus d'ampleur et il la sort jusqu'au gland, pour l'enfoncer jusqu'aux couilles. C'est Melody qui se masturbe à présent, de deux doigts bien plantés dans sa chatte. Son cul la brûle toujours autant, mais elle éprouve aussi un énorme plaisir à cet acte, dont elle n'aurait jamais cru être capable le matin même. Il la sodomise à toute vitesse, lui bombarde les reins. Son petit trou est à présent bien assoupli et la douleur est moins forte. Melody est moins crispée et, lorsqu’elle sent les couilles buter sur sa chatte, la bite entièrement enfoncée dans son cul, elle a dans la tête l'image qu'elle doit donner et cela lui procure un plaisir sans nom.

Elle se sent chienne, salope, et elle aime encore plus cette image.

Melody s'habitue de mieux en mieux à la grosse présence dans ses reins et, bien qu'il l'encule avec vigueur, elle entreprend de petits mouvements de va-et-vient. Le jeune italien a du mal à croire à sa chance. Il a la sensation que sa queue est aspirée, malaxée, le petit trou est tendu à craquer. La mère de son correspondant, une jolie femme mariée, qui a l'âge d'être sa mère, s'empale pour mieux se faire bourrer l'anus sur sa bite, comme une chienne. Il l'entend gémir sans discontinuer, il la voit grimacer. Elle se sodomise un peu plus vite, la queue ressortant de ses reins presque toute, pour revenir dans son fondement avec un claquement lorsque le pubis de Luciano frappe ses fesses avec violence.

La jolie femelle est secouée de longs frissons. Luciano a l'impression de lui remplir le trou du cul, à le lui faire éclater. Sa bite est incroyablement serrée. Il répond aux coups de croupe avec plus de force encore, faisant gémir de plus belle Melody qui, ayant perdue toute retenue, exprime le plaisir qu'elle ressent par des cris stridents. Le jeune italien est fouetté par ce qu'il entend. Il lui saisit les seins à travers le soutien-gorge et, tout en les malaxant vigoureusement, il se met à pilonner le cul de Melody plus fort encore. Sa bite sort brusquement du petit trou et Luciano, fasciné, reste immobile à la vue de l'anus incroyablement ouvert et qui met quelques longues secondes avant de se refermer. Il est tiré de sa contemplation par les fesses de la belle salope qui se trémoussent, par la croupe qui se tend vers sa bite. Il ne peut résister et il plonge brutalement son engin tout au fond des reins de Melody qui pousse un long cri de plaisir et de douleur mêlé. Déjà, il ressort, fasciné par le trou béant et replonge dedans. Une vingtaine de fois, il recommence ce petit jeu qui arrache à chaque fois le même long cri à son amante.
« Il est beau ton cul Melody ! Ton trou du cul est tout ouvert ! Ecarte tes fesses ! Ouvre-moi ton cul encore plus. »

La jolie femme mariée glisse les mains sur ses fesses et, sans aucune honte, ni pudeur, elle les ouvre à se les décrocher. Elle se retrouve à quatre pattes, la tête dans les coussins, le cul haut levé et complètement offert et, cette vision est tellement fabuleuse, que Luciano s'exclame :
« Les françaises, quelles salopes ! Je n'aurai jamais pensé que vous soyez aussi salopes ! »

Melody est brutalement surexcitée par les propos de son jeune amant et, alors qu'il vient de l'empaler une nouvelle fois, elle rugit :
« Oui salaud ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul ! Plante-moi ta grosse bite dans le cul ! Oui, comme ça ! Plus fort ! Plus loin ! »

A ces mots, Greg jouit dans sa main, il peine à rattraper le flot de sperme qui lui éclate dans la main.il étouffe un râle de plaisir. Sa garce de femme est pire que ce qu’il avait imaginé…

Melody se tord, elle rue afin de mieux sentir la queue au fond de ses intestins. L'italien ne peut plus se retenir, il explose en gémissant. Son sperme n'en finit pas de gicler arrosant les boyaux de la belle quadragénaire. La tête de Melody est sans dessus dessous, elle jouit comme une démente. Jamais cela ne lui était arrivé avec une telle force. Lorsque sa queue faiblit, Luciano la retire toute gluante. Du foutre s'échappe du petit trou de Melody qui palpite, coule le long de ses cuisses. Au bout de quelques minutes, elle se redresse et s'assoit à côté du jeune homme. Ils s'enlacent. Elle lui demande en l'embrassant :
« Alors, tu les trouves comment les françaises ? » 

Avec un merveilleux sourire, il répond :
« Incroyable ! Vous êtes vraiment des cochonnes ! Vous êtes merveilleuses ! »

Ils sont épuisés et Melody l'invite à dormir avec elle dans le lit conjugal.

Si elle savait…

Greg les regarde se glisser dans SON lit, LEUR lit. Il a voulu ça, mais là, elle passe les bornes. Pourtant, il se résigne, et se glisse dans la chambre de son fils sans bruit.

Au matin, Melody est réveillée par une sensation bizarre. Le jeune Italien la tient serrée contre lui et elle sent sa queue dure, insinuée dans la raie de ses fesses. Elle se souvient brusquement de tout. Comment elle l'a sucé la veille, avalant du sperme pour la première, comment ce jeune homme de 18 ans l'a baisé, puis l'a enculé pour finir… Ces souvenirs lui font chaud au ventre, mais elle évite de penser à son mari, encore si loin d’elle…

Pourtant Greg est déjà aux aguets. Il a entendu à travers la cloison, sa femme se réveiller. Il se lève, et s’approche de la porte de la chambre conjugale. Heureusement, elle n’est pas fermée. Il tire un tabouret du placard voisin, et s’assied, pour mieux mater sa femme et son jeune amant.

Il voit Melody pousser ses fesses vers le jeune homme pour que sa bite s'incruste entre ses cuisses. Il gémit, elle tourne la tête, sourit et lui dit bonjour. Pour toute réponse, il l'enlace et lui dévore la bouche en un long baiser, auquel elle répond aussitôt. Melody se retourne alors et monte sur son jeune amant. Tout en s'embrassant, il glisse une main sur sa chatte et glisse vite deux doigts dans un véritable marécage. Puis il lui tâte les fesses à pleines mains, pendant qu'elle frotte sa chatte baveuse sur la queue dure. Il lui enfonce un doigt dans l'anus jusqu'à la dernière phalange. Elle se soulève à peine, pointe le gland sur sa fente et elle s'empale d'un coup en poussant une longue plainte de plaisir. Lui ordonnant de ne pas bouger, Melody se met à s'agiter sur la queue. Elle balance son torse d’avant en arrière, faisant une sorte de danse du ventre sur ce pieu où elle est empalée bien profond. Luciano se laisse faire. Elle se soulève en faisant sortir la bite couverte de mouille et elle retombe de tout son poids en se la renfonçant toute entière. Les pubis se choquent et elle pousse des gémissements de plaisir. Elle se baisse alors, écrase ses seins sur la poitrine de l'Italien et, joue contre joue, elle fait bouger son cul à petits coups très rapides. Sa chatte aspire la queue avec avidité. Dans cette position, elle offre son cul et elle murmure :
« Mets-moi un doigt derrière ! »

Il lui fait lécher un doigt et il le lui introduit dans l'anus. Elle accélère la cadence en gémissant. Elle se met alors à lui sucer la langue, ses trois orifices emplis et elle jouit en émettant des sons rauques. Luciano a eu le plus grand mal à se retenir d'éjaculer. Ils restent ainsi quelques instants. Toujours allongé, Luciano dit à la mère de son ami :
« J'ai envie de t'enculer ! »

Melody s'attendait à cette envie. Elle s'agenouille, se baisse et commence à sucer la bite de son jeune amant. Elle l'imbibe de salive et la lèche sous toutes les coutures. En même temps, elle glisse un doigt dans sa chatte et s'assouplit l'anus avec ensuite. Melody se met à quatre pattes, la tête sur les draps et elle s'écarte les fesses. Son anus s'ouvre et se ferme au rythme de sa respiration, car elle appréhende un peu le moment de l'introduction. Luciano ajuste le gland sur la petite rondelle et pousse. En petits coups, mais inexorablement, il s'enfonce dans ses reins. Pendant toute la pénétration, il la voit grimacer et gémir doucement. Elle s'efforce de mieux s'ouvrir pour l'accueillir, ses deux mains décrochant ses fesses le plus possible. Le jeune italien a l'impression de pénétrer dans une fournaise sans fond, sa queue est comprimée, le sphincter serre spasmodiquement sa hampe avec force. Cela le stimule comme jamais il ne l'a été avec une autre femme. Il se loge vite tout au fond de son cul et ses couilles butent sur la chatte.

Melody se détend peu à peu, elle sent son conduit presser voluptueusement la queue, elle la sent plantée loin dans son corps, lui retourner l'estomac presque. Son amant lui tient les hanches et il commence à la sodomiser doucement, en se sentant divinement à l'étroit. Il aurait aimé demeurer toujours dans son cul, mais il ne peut plus retenir son excitation. Après avoir baisé, avoir été sucé et avoir enculé cette si belle femme qui a l'âge de sa mère, il se déchaîne. Ses va-et-vient s'accélèrent, sa bite coulisse avec facilité au fur et à mesure que le petit trou s'assouplit. Melody remue de la croupe, la douleur n'a pas été trop forte, elle s'attendait à souffrir davantage et elle se dit qu'elle s'habitue bien à cette si agréable pratique...

Le garçon accélère la cadence et dit à une Melody qui gémit de plus belle :
« J'aime t'enculer ! C'est bon, j'aime ça ! »

Elle est comme fouettée par ces paroles teintées d'un délicieux accent italien. Elle se met à s'empaler vers la bite qui lui fait à présent plus de bien que de mal. Il la sodomise de toute la longueur de son pieu, il se déchaîne, il lui pilonne les reins à toute vitesse et de toutes ses forces. Melody sent soudain des jets puissants de sperme fuser dans ses reins. Elle accélère le rythme et donne de violents coups de croupe en arrière. Elle jouit soudain, son orgasme est beaucoup plus fort que lorsqu'il l'a baisée auparavant. En mollissant, la bite est rejetée par son anus. La belle femme mariée a l'impression que son petit trou reste béant et elle ressent une petite brûlure chaque fois qu'elle bouge. En se relevant, elle se tâte le fin anneau d'un doigt et dit à son amant :
« Tu m'as défoncé le cul ! Il ne veut plus se refermer. »

Greg a assisté à toute la scène, il a joui en se branlant. Sa masturbation  a été si forte qu’e sa queue lui brule fort. Il bande pourtant à nouveau. Il va falloir se montrer, il n’en peut plus ! Il veut baiser sa femme, la voir encore prendre du plaisir. Mais surtout, enifin la sodomiser à fond…

Melody se lève, il rentre alors précipitamment dans la chambre de son fils, la bite à la main, du foutre plein les doigts.

Melody prépare le petit déjeuner. Elle porte juste un peignoir. Après avoir déjeuné, ils parlent inévitablement de ce qu'ils viennent de vivre ensemble. La belle dame est très intéressée par ce qu'a ressenti son jeune amant et ce qu'il pense d'elle. Il lui avoue qu'il trouve bien meilleur de sodomiser une femme que de la baiser, et qu'il a adoré aussi qu'elle le suce à fond et qu'elle avale son sperme. Melody se sent de nouveau toute excitée. Jamais il ne lui était arrivé d'avoir autant envie de faire l'amour en un temps aussi rapproché. Melody l'interrompt soudain et lui dit :
« Le soir où tu prendras l'avion, suis-moi aux toilettes de l'aéroport ! Je te sucerai la queue à fond ! Comme cadeau d'adieu, je boirai ton foutre ! »

Elle s'approche langoureusement, pose un baiser sur ses lèvres, lui prend la queue dans une main, la trouvant bien raide et elle ajoute :
« J'ai envie de toi encore ! J'ai envie de ta bite ! Viens me la mettre dans le cul ! Viens m'enculer ! »

Elle sait que son jeune amant préfère ce trou là et elle a envie de venir au devant de ses désirs pour lui laisser un impérissable souvenir. Toujours dans la cuisine, elle enlève le peignoir, apparaît nue devant le jeune homme. Elle se sent salope et cela l'excite énormément. Elle se tourne, pose une jambe sur une chaise et s'écarte les fesses. Il a sous les yeux sa belle croupe et son anus qu'il voit palpiter. Elle glisse un doigt dans son anus en lui disant :
« Tu m'as bien ouvert le cul tout à l'heure ! Il est rempli de ton jus ! Viens me le défoncer encore, j'en ai envie. »

Elle, si timorée d'habitude, se surprend à exprimer haut et fort ses envies, de façon plutôt crue. Luciano vient se coller derrière elle en l'agrippant aux hanches. Sa bite, de nouveau bien raide, bute contre les fesses offertes. Quand il colle son gland contre l'anus de Melody, elle lui dit :
« Dis donc, tu es drôlement vicieux toi pour ton âge ! Tu aimes mon cul ? »

Le jeune Italien taquine quelques secondes le petit trou de la pointe de son pieu, en répondant :
« J'adore ton cul Melody ! Il est tout petit et pourtant il peut avaler de grosses choses ! J'adore aller dedans. »

Aussitôt, il force. Tout de suite, il sent l'orifice s'écarter sous la poussée. Le gland est entré sans aucune résistance et, d'une seule poussée, il s'enfonce jusqu'aux couilles, facilement, tant le conduit est bien graissé. Melody pousse un long cri guttural de douleur et de plaisir mêlés, elle ne sait pas. Il l'a enculée d'un coup et c'est atrocement bon. Il voit son visage grimacer, il craint de lui avoir fait trop mal et il s'immobilise, ne bouge plus, toujours bien ancré au fond de ses reins. Mais, sans attendre, Melody pousse son majestueux fondement vers la queue qui la défonce, ses fesses forçant sur le pubis de son amant. Luciano prend cela pour une invite, il ressort doucement du petit trou et Melody pousse sa croupe sur sa bite. Il se sent comme avaler par l'anus bouillant et terriblement étroit. Cela est à peine croyable comment cela a été facile de la sodomiser, il n'en revient pas. Il ne bouge toujours pas et, fasciné, il regarde la rondelle ouverte à se rompre, aller et venir sur son manche. Elle pousse de drôle de râles chaque fois que la bite s'enlise dans son rectum. Luciano n'en revient pas, un pur délice...


Melody se met à rouler lascivement des hanches en lui lançant des regards excitants par-dessus son épaule où il peut lire son plaisir et sa douleur quand elle grimace. Il commence alors à accompagner la danse obscène de la croupe sur sa bite, avec de lents va-et-vient. Il pourrait ne pas bouger, tant Melody se défonce avec force, en faisant presque ressortir la queue de son cul. Elle halète en poussant de petits cris, son dos se creuse de plus en plus au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Elle a la tête rejetée en arrière et se cambre de plus en plus. Tout d'un coup, elle le regarde, la bouche crispée, les yeux écarquillés. Cela dure une fraction de seconde puis c'est du délire. Elle est prise de spasmes qui la font se tordre dans tous les sens en poussant un feulement continu. Son anus se contracte autour de la queue. Qu'elle était belle, la bouche entrouverte, toute gémissante tandis qu'il va et vient dans le doux fourreau de son cul. Il est incapable d'en supporter davantage et il jouit à longs traits, se répandant en elle en gémissant de bonheur. Melody s'affale par terre, les jambes coupées par le plaisir, soutenue par son amant pour qu'elle ne se fasse pas mal. Il sent le sphincter serrer convulsivement sa queue mollissante jusqu'à ce qu'il l'expulse doucement.

Ils mettent quelques minutes à reprendre leurs esprits sur le carrelage pourtant froid de la cuisine. Ils s'embrassent tendrement, puis se lèvent. Elle le prend par la main et l'emmène dans la salle de bain. Cela les revigore. Ils se savonnent lentement une bonne demi-heure avec beaucoup de tendresse. Leurs langues se cherchent. Ils s'essuient mutuellement et elle constate avec surprise que Luciano bande de nouveau.
«  Mon mari et mes enfants doivent arriver en début d'après-midi ! On ne peut pas recommencer ! »

Malgré ses protestations, Luciano l'entraîne vers le lit conjugal sur lequel il s'allonge. Melody attrape sa queue et la branle doucement. Elle commence à la sucer, sa bouche est pleine et le pieu est déjà bien dur. Elle lèche consciencieusement, en salivant d'abondance sur le gland et toute la hampe. Son jeune amant lui caresse les cuisses et, d'une main, elle se branle la chatte. Melody se sent bien dans les bras de son jeune amant. Elle n'a aucun remord d'avoir trompé son mari, ni aucune honte de ce qu'elle a fait. Elle est très surprise par l'intensité du plaisir qu'elle a éprouvé en se faisant sodomiser. C'est pour elle une véritable révélation. Elle n'imaginait pas qu'une grosse bite, en un endroit aussi étroit, puisse causer autre chose que de la douleur. Elle qui n'était pas attirée par le sexe, a l'impression de voir la vie d'une façon différente. Elle embrasse le jeune homme tendrement, leur baiser dure de longues secondes. Melody se redresse doucement, embrasse le jeune homme une dernière fois et lui dit qu'il faut qu'ils s'habillent, car son mari et ses filles ne vont sans doute pas tarder à arriver. Et, en effet, une heure plus tard, les voilà !

Une fois arrivé à la maison, son fils part rejoindre un ami. Melody entre chez elle. Greg est en train de faire la vaisselle. Elle lui demande si leurs autres enfants sont là. Comme la réponse est négative, et qu’elle a toujours le ventre en ébullition, elle s'approche de lui, se colle contre son dos, le serre et, la tête sur une épaule, lui demande :
« Alors, mon chéri ! Je t'ai beaucoup manqué pendant ces trois jours ? »

Greg est un peu étonné de l'attitude de sa femme, mais il répond, avec les images de baises hard vues depuis la veille : «  Oui ! Tu m'as beaucoup manqué ! »

Il ne sait pas encore s’il doit lui dire qu’il a tout organisé, tout vu…

Elle glisse alors une main vers la braguette et se met à masser la queue à travers le pantalon. Greg n'en croit pas ses yeux. Jamais sa femme n'a pris d'initiative en matière de sexe. Ila bien fait d’organiser la baise de sa femme par le jeune italien !

Melody masse un peu plus encore la queue, puis les couilles. Elle sent l'engin grossir. Elle ouvre la braguette, glisse sa main dans le slip et caresse la queue qui grossit de plus en plus vite. Melody s'agenouille alors et dit à son mari : «  Tourne-toi ! »

Il s'exécute aussitôt et déjà, elle s'affaire, baisse le pantalon et le slip. Elle prend la bite d'une main, la branle doucement et, regardant Greg dans les yeux, elle lui dit :
« Elle est belle ! J'ai envie de te la sucer ! »

Et, sans le laisser répondre, elle embouche l'engin brûlant. Melody en a tellement envie qu'elle le suce avidement, voracement. Elle tète le gland, sa langue l'enrobant de salive. Greg n'en revient pas. Il ne l'a jamais vue aussi active avec lui seul. Il ne s'en plaint pas, bien au contraire. Elle commence alors à avaler la hampe, à chaque fois un peu plus et, très vite, elle parvient à toute l'avaler, son nez touchant le pubis de son mari, au grand plaisir de ce dernier.

Il en gémit de plaisir et prend la tête de Melody dans ses mains pour rythmer la pipe sublime qu'elle lui fait. Ses lèvres reviennent jusqu'au gland et elle l'avale ensuite jusqu'aux couilles. Melody fait endurer ce délicieux supplice à son mari une bonne minute. Elle sent qu'il a du mal à se retenir de jouir. Aussi, elle arrête de le pomper, le branle doucement et se met à lui lécher les couilles l'une après l'autre. Puis elle les gobe chacune leur tour. Enfin, de la langue, elle longe la hampe et gobe le gland qu'elle suçote. Il est gonflé à éclater, jamais elle n'a senti la bite de son mari aussi dure. Elle la lèche à petits coups de langue rapides. Elle sent qu'il est à bout, sa queue frémit.

Greg prévient sa femme qu'il va jouir, comme il le fait chaque fois qu'elle le suce. Mais, au lieu de se retirer, Melody le pompe de plus belle. Il ne résiste plus, d'autant qu'elle l'avale à moitié et l'aspire jusqu'au gland à toute allure. Il gicle soudain, il lui donne son foutre à longs jets. Elle le boit au fur et à mesure. Elle est surprise par le goût du sperme, bien différent de celui de son jeune amant, mais pas désagréable pour autant. Elle l'aspire, le sirote. Le gland est gros, il lui distend les lèvres. Elle le suce avec une telle frénésie qu'il lui échappe une seconde de la bouche. Le temps qu'elle le rattrape, du foutre fuse sur une joue et coule dans son cou. Jusqu'à la dernière goutte, elle le pompe. Il a pourtant fini de gicler, mais elle le suce encore. Elle ne laisse la queue qu'une fois qu'elle a repris sa taille normale.

Melody se relève alors, enlace son mari et l'embrasse goulûment. Il a d'abord un mouvement de recul lorsqu'il goûte à son sperme dans la bouche de sa femme, mais il se donne ensuite totalement à ce baiser. Au bout de longues secondes, ils en ressortent essoufflés. Elle lui demande alors :
« C'était bon mon chéri ? Tu as aimé ? »

Il l'embrasse langoureusement un long moment et répond :
« Je t'aime à la folie ! Je n'aurai jamais cru que tu puisses être aussi géniale ! J'ai cru que tu me faisais mourir de plaisir. »

Elle n'a pas le temps de répliquer. Ils entendent la voiture de leur fils arriver. En souriant à son mari, Melody rajuste la queue et ferme la braguette. Toute la famille dîne. Puis les enfants s'installent devant la télé pour voir un match de foot. Greg fait de nouveau la vaisselle. Il s'essuie les mains quand il entend Melody descendre l'escalier. Elle s'est changée, il la trouve très belle, avec un chemisier blanc, une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisses, les jambes gainées de noir. Alors qu'il s'approche de la cheminée dans le couloir, il lui dit : « Tu es très belle ma chérie ! »

Il met des bûches dans le foyer et, quand il se relève, il voit sa femme adossée contre la rambarde de l'escalier. Elle le regarde d'un air étrange, qu'il lui a seulement vu quand elle se faisait baiser comme une chienne par les ouvriers, ou par Luciano...

Elle lui demande : «  Tu sais ce que je porte sous mes vêtements ? »

Comme il lui répond que non, elle ajoute d'un air coquin : « Est-ce que tu veux voir de plus près ? »

Il fait oui de la tête. Elle relève lentement la jupe et, surpris, il s'aperçoit qu'elle porte des bas et non des collants comme d'habitude, avec un superbe porte-jarretelle. Elle la remonte sur son ventre et il voit la culotte large, froufroutante que ses amis lui ont offerte pour son anniversaire. Elle a un petit sourire en apercevant la bosse qui déforme le pantalon de son mari. Elle laisse sa jupe, défait un bouton de son chemisier, un autre, un troisième. Elle l'écarte et il voit qu'elle porte la guêpière noire qu'elle a eue aussi en cadeau et qui lui relève haut les seins.

Melody fait signe à son mari de la suivre et elle monte les escaliers. Juste derrière elle, il la voit balancer ses hanches avec exagération, en relevant la jupe sur ses fesses. Elle entre dans la chambre et ferme la porte à clé dès que Greg est passé devant elle. En entrant dans la chambre, Greg se souvient des ébats de sa femme le matin-même, ici, dans LEUR chambre. Il en est encore plus excité…

Elle saute aussitôt à son cou et l'embrasse avec passion. Il serre ses fesses et les malaxe. Melody s'agenouille alors devant son mari, baisse pantalon et slip. La queue jaillit devant ses yeux. Elle l'effleure de ses lèvres. Tout le corps de Greg se tend et vibre quelques secondes, comme secoué par une décharge électrique. Elle s'empare de sa queue qui est déjà lourde et dure. Sans plus attendre, elle la gobe doucement, entièrement, dans la chaleur de sa bouche, pour la sentir gonfler lentement, lui remplir la bouche, grandir et durcir, commencer à l'étouffer, déborder de ses lèvres. Elle le suce doucement, sa main est descendue le long de la bite jusqu'aux couilles qu'elle malaxe. Ses hanches ont commencé à onduler par vagues, manifestant l'impatience de son corps, la bite s'est enfoncée jusqu'au fond de la gorge accueillante, réclamant d'être sucée de manière plus rapide.


Melody reprend à pleine main le membre devenu dur comme un cep de vigne, et elle entreprend une lente masturbation, en en faisant glisser la fine peau d'une poigne ferme dans un mouvement de va-et-vient régulier, rythmé par l'ondulation des hanches de son mari et du crescendo de ses soupirs. Dans le même temps, sa bouche humide, dont les lèvres sont de plus en plus actives, embrasse goulûment le gland violacé.

Greg gémit soudain plus fort, crispe ses doigts dans la chevelure de sa femme. Elle comprend qu'il va jouir. Elle sent la hampe grossir et se durcir comme une pierre, la pression monter, les palpitations de la queue s'accélérer. Elle a beau s'y attendre, elle est surprise quand il explose, quand le sperme emplit sa bouche en une violente giclée chaude. Elle la garde bien au fond de sa gorge, attendant la suite du séisme, quatre autres giclées qui par ondes de moins en moins violentes se font l'écho de la jouissance de son mari.

Alors seulement elle reprend très doucement sa tétée et boit avec gourmandise la semence, traquant du bout de sa langue la dernière petite goutte qui aurait pu lui échapper. Elle n'aime pas trop le goût du sperme, mais elle a trop envie d'être salope.

Son repas de foutre terminé, Melody garde la bite au fond de sa bouche pour la sentir se recroqueviller, devenir douce et vulnérable, vaincue. Après un dernier regard à la queue recroquevillée, elle se lève et, dans un long baiser, mêle leurs bouches, leurs langues, leur salive et elle partage le goût du foutre avec Greg. Elle l'aide alors à se déshabiller et lui demande de rester là, nu, debout contre le mur.

Encore haletante, elle s'écarte enfin et, en fixant son mari dans les yeux, elle finit d'ouvrir son chemisier. Elle l'enlève et elle apparaît dans sa guêpière noire, impudique, terriblement provocante. Ses seins sont bien mis en évidence. Jamais il n'a vu sa femme parée d'une tenue aussi érotique. Il a encore du mal à croire que le jeune italien l’ait autant dévergondée !

Melody dégrafe sa jupe et la laisse tomber sur ses talons, par terre. Greg l'observe, appuyé contre la porte. Il sent sa queue réagir déjà. Son épouse se livre sous ses yeux à une exhibition dont il ne l'aurait pas cru capable. Elle soulève ses seins plus haut que ne le fait la guêpière et elle se les caresse, en soutenant les regards de son mari. Après quelques secondes, elle s'assied sur le bord du lit et écarte les jambes. Elle glisse une main entre ses cuisses et se masse la chatte à travers la culotte doucement. Il voit sa femme gémir de plus en plus en se caressant ainsi. Elle écarte soudain l'entrejambe du sous-vêtement d'une main et elle continue de se caresser de l'autre. Ses doigts vont et viennent sur sa fente avec des bruits mouillés très érotiques. Elle glisse un doigt dedans avec un profond soupir. Elle l'enfonce à fond, se masturbe ainsi, puis en enfile un second.

Son épouse se branle sans pudeur devant lui, comme le veille avec Luciano, accomplissant ses fantasmes les plus fous. Melody lui dévoile ainsi ses seins et sa vulve. Elle se relève soudain, retire sa culotte, s'agenouille sur le lit, fait face à son mari et elle commence à se caresser d'une main. Elle remonte ses mains sur ses hanches, passe le long de ses seins, monte sur son cou et relève ses cheveux châtains. Elle ondule le corps et se caresse ainsi un petit moment. Les mamelons de ses seins pointent de manière très visible. De ses deux mains, elle se les caresse en en pinçant légèrement les bouts. Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve. À cette simple caresse, elle soupire fort et remonte sur ses seins qu’elle masse avec plus de force pendant que sa respiration s'accélère. De voir sa femme se donner du plaisir, Greg bande de nouveau aussi dur, bien qu'il ait joui déjà deux fois dans la soirée. Il se branle doucement, pour faire monter à nouveau le désir…

Melody glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose ses doigts de chaque coté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres intimes, et dévoile son clitoris dressé. Il l'entend respirer très fort. Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé, elle pousse un râle de plaisir. Au début elle le caresse lentement, mais après quelque coup de son majeur, elle augmente son rythme. Elle se masturbe maintenant en frottant son clitoris vivement. Les yeux fermés, elle semble y trouver un grand plaisir.

D'une main elle masturbe son clitoris et de l'autre elle malaxe tour à tour ses deux seins. Melody s'étend alors sur le dos au milieu de son lit, écarte largement les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains.

Elle tient ses lèvres ouvertes et  glisse son majeur sur son clitoris. Elle descend jusqu'à sa chatte qu'elle pénètre, puis en ressort et remonte jusqu'à son clitoris.

Elle s'applique ce mouvement de va-et-vient pendant que son mari l'entend respirer de plus en plus fort. Le corps de Melody ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus vite. Puis, d'un coup il la voit qui sursaute, tout son corps se tend et pendant qu'elle pousse un long râle, elle referme les jambes emprisonnant sa main sur son sexe, pendant que de son autre elle se pince les seins. Elle jouit devant son mari, se branlant devant lui pour la première fois, sans aucune honte. Greg ne bouge toujours pas. Il attend que sa femme reprenne ses esprits, ne voulant pas rompre la magie de ces instants, attendant son bon vouloir.

Melody ouvre les yeux, sourit à son mari et se retourne sur le ventre, la tête dans les oreillers, le cul en l'air, les jambes écartées, sa main glisse le long de son ventre, doucement. Ses doigts rejoignent sa fente, en ont écarté les lèvres, ont plongé dans son con trempé de désir, l'ont fouillé profondément pour se couvrir de son jus gluant, sont remontés vers son petit bouton. Greg se branle avec ferveur, mais en prenant garde de ne pas jouir.

Il est fasciné par le dos de sa femme serré par la guêpière noire, reliée aux bas par des jarretelles, par sa croupe qu'elle offre à sa vue avec cette nouvelle impudeur qu'il adore ! Il est encore plus surpris quand elle sort les doigts de sa fente, les remonte jusqu'au bout de la raie de ses fesses, se caresse d'un doigt son petit trou mauve. Elle en enduit l'anneau encore distendu de sa mouille intime, et, du majeur, en a caressé le muscle d'un petit mouvement circulaire, en a lubrifié l'étroit passage secret. Aussitôt, elle s'est enfoncée le plus loin possible dans ses reins pour y joue une sarabande infernale.

Les doigts de sa main gauche fouillent sa chatte en même temps que le majeur de la main droite fouille son cul maintenant dressé vers le ciel de lit. Greg a l'impression de rêver, cette femme qui s'exhibe devant lui, elle qui lui a toujours refusé de mettre seulement un doigt dans son anus. Il la voit se branler vigoureusement en gémissement et se crisper de nouveau en une violente et totale jouissance, en étouffant un long cri dans l'oreiller. Elle joui encore et encore. Elle est devenue une vraie machine à jouir !!!  Elle reste pantelante quelques longues secondes.

Toujours dans la même position offerte, Melody tourne la tête vers son mari, lui sourit. Elle lui prend un doigt et l'approche de son anus tendu et béant. Greg plonge son majeur dans la fente qu'il trouve marécageuse. Il est vite trempé et il tourne alors le doigt autour du petit trou, en y mettant un peu de pression. Il le plonge soudain à fond, observant avec satisfaction la réaction de sa femme, qui ne s'attendait pas à une entrée en matière aussi rapide. Son anneau se contracte fort et elle gémit. Il la voit grimacer brièvement. Melody n'a pas eu vraiment mal, elle avait préalablement préparé le terrain, elle a à peine frémi, elle se laisse faire, elle apprécie même cette intromission brutale.

Greg la voit offrir mieux sa croupe, des deux mains, elle lui écarte ses fesses, signe pour lui d'acceptation de ce qu'il vient de lui faire. Son doigt s'active maintenant dans son cul, curieux et fouineur, il explorait les mystères invisibles de ce conduit obscur, il en caresse doucement les parois fragiles et gluantes, il le fait tournoyer en elle, tout en entrant et sortant d'à peine une demi phalange, arrachant encore et encore soupirs et gémissements à sa femme qui se met à onduler, pour venir au devant de ce doigt qui l'encule. En même temps, il s'aperçoit qu'elle se branle de plusieurs doigts dans la chatte, il les sent coulisser à travers la mince paroi qui sépare ses deux trous et sa belle épouse se crispe, jouit une nouvelle fois, les doigts enfouit à fond dans sa fente et dans son petit trou.

C'est la première fois que Greg voit sa femme avoir une multitude d'orgasmes avec luin et en redemander. Il laisse son majeur complètement enfoncé dans son anus, en attendant qu'elle émerge. Il a l'impression que sa queue grossit encore plus lorsque Melody lui dit : « J'ai envie que tu me sodomises ! Mon petit trou n'est pas assez gros ! Il faut que tu me le prépares pour ta queue ! Dans la table de nuit. J'ai mis ce qu'il faut. »

Greg ouvre le tiroir et y découvre une grosse carotte au bout pointu, mais qui s'évase vite en un fort diamètre et un tube de lubrifiant. Il est surpris, sa femme avait donc tout prémédité…

Toujours dans la même position, à genoux, la tête dans les bras, la croupe haut levée et les cuisses largement écartées, Melody attend. Greg met du lubrifiant sur son majeur, le glisse dans l'anus pour en enduire l'intérieur. Il en met ensuite sur le légume. Elle sent soudain quelque chose de dur, de moins vivant qui s'introduit dans son cul doucement mais inexorablement...

Tout en la pénétrant, il observe avec curiosité les réactions de sa femme sur son visage. Elle gémit et grimace bientôt lorsque la carotte est enfoncée de moitié. Pour qu'elle s'habitue, il la sodomise ainsi sans dépasser cette limite. Puis, il l'enfonce à chaque poussée d'un bon centimètre pour enfin lui enfiler tout l'engin dans les reins. Il l'encule alors de toute la longueur, ne gardant entre ses doigts que quelques centimètres pour bien la tenir et la manœuvrer à sa guise. Melody geint, grimace, mais elle ne se dérobe pas et s'ouvre même les fesses à se les décrocher. Greg n'hésite alors plus. Il entreprend de longs et lents va-et-vient de son gode improvisé, jusqu'au fond des reins de sa femme, l'assouplissant à chaque passage un peu plus. Melody apprécie de plus en plus la carotte, alors qu'elle avait pris ce légume en désespoir de cause, à défaut d'autre chose. Pour la prochaine fois, elle ira acheter avant un bon gode, bien gros, pour bien la remplir à fond !

Elle ne se caresse pas la chatte et pourtant, elle se sent envahie par une étrange chaleur, par un nouveau plaisir que provoque en elle, dans sa tête et dans son corps, sa totale soumission acceptée et cette pénétration contre nature. Il l'encule sans douceur, lui arrachant des gémissements de plaisir et de douleur, comme il peut le constater sur son visage. Il lui laboure les reins. Il se venge des années où il n’a pas pu la baiser comme il voulait, des scènes vues hier et ce matin, quand elle le trompait sans vergogne.

 

Et il la voit jouir, alors qu'elle est seulement prise par le cul, lui confirmant qu'il est possible d'avoir du plaisir en cet endroit. Le temps que Melody se remette, il prend du lubrifiant et en enduit sa queue. Il observe alors la croupe de son épouse, son anus distendu par la carotte toujours fichée à fond. Il retire le légume et admire quelques secondes, le trou béant qui se referme peu à peu.

Tranquillement, il pose son gland entre les fesses offertes et le pointe sur le petit trou. Greg s'enfonce très doucement en faisant pénétrer son membre un centimètre à la fois. Le cul de sa femme s'ouvre sans douleur grâce aux petits coups de reins qu'il donne. Quand elle sent le ventre de son mari sur ses fesses, elle comprend qu'il l'a entièrement enculée. Ils restent soudés comme ça pendant un bon moment, puis il a commencé ses mouvements d'enculage, en savourant l'instant présent, la bite bien serrée dans ce trou étroit, heureux d'enfiler le cul de sa femme qu'elle lui avait toujours refusé.

Greg la fait aller et venir en la tenant fermement par les hanches. Il ne voit pas son visage qui est appuyé dans ses avant-bras. Mais il comprend qu'elle apprécie de se faire sodomiser lorsqu'il la voit donner des coups de bassin pour bouger sur son pieu. Elle le sent au plus profond de ses reins. Il se met à lui triturer les seins. Il pince les mamelons durs et il a le plaisir de la voir se trémousser de plus belle. Melody a l'impression que la queue prend encore de l'ampleur dans son petit trou. Elle a l'impression que le pieu de son mari lui défonce les entrailles tellement elle le sent gros en elle. Elle ne lui connaissait pas cette vigueur. Elle a envie de le sentir encore plus loin et elle s'écarte les fesses du mieux qu'elle le peut. Elle lui tend son cul pour mieux le recevoir. Greg lui malaxe encore les seins. Melody halète de plus en plus fort, et s'effondre soudain quand un orgasme lui broie le ventre et les reins. Mais Greg la saisit par les hanches et il continue à lui ramoner le cul solidement. Chaque coup de boutoir procure une délicieuse jouissance supplémentaire à sa femme, chaque pénétration est un nouvel orgasme.

Il ne peut s retenir de l’insulter : « T’es qu’une salope, Melody, un garage à bites, qui se fait prendre par tous les trous !!! Tu t’en bien fait enculée par ce gamin... Hein, ma salope, t’as aimé ça ??? »

 

Melody est tellement prise dans se orgasmes multiples, qu’elle n’entend pas tout… Elle se met à gémir plus fort de plaisir. Elle ne sait pas combien de temps cela a duré, sa jouissance ne cesse pas. Greg s'est finalement crispé et elle sent son sperme gicler à l'intérieur de son cul torturé. Cet arrosage copieux de foutre lui procure une ultime jouissance. Elle pousse un cri et elle sent ses dernières forces la quitter. Ils mettent un long moment pour reprendre leur souffle. Elle sent la bite perdre sa dureté et s'échapper de son anus. Ils s'allongent côte à côte.
Melody va dans les bras de son mari, pose sa tête sur sa poitrine et caresse doucement la queue molle. Elle en aura appris des choses de l'invité italien...

Quelques jours après, Melody emmène Luciano à l'aéroport accompagnée de son fils.

Depuis le retour de son mari, elle n'a pas eu l'occasion d'être seule avec le jeune Italien et elle le regrette, même son anus, se dit-elle, bien qu'il soit encore sensible et la brûle un peu. Il faut dire qu’avec Greg, ils n’ont jamais autant baisé de leur vie. Il passe sont temps à la sodomiser avec férocité…

 

Pendant le trajet, Melody pense à tout ce qui s'est passé depuis quelques jours, pendant que son fils discute à l'arrière avec son correspondant italien qui est assis côté passager. Ils arrivent enfin à l'aéroport, avec une bonne heure d'avance. Les bagages sont enregistrés et embarqués. Son fils décide d'aller dans un kiosque à journaux, elle sait qu’il ya passera un bon moment à feuilleter les magazines d’informatique.

Melody lui dit qu'elle viendra le chercher le moment venu, ajoutant que pour sa part, elle doit se rendre aux toilettes car elle a mal au ventre. Comme son fils s'éloigne, Melody se tourne vers son amant et lui dit :
« Rejoins-moi vite ! J'ai envie de te bouffer la bite ! Je veux boire ton foutre. »

Le jeune homme bande instantanément devant tant de promesses et de perversité. Luciano attend une petite minute et pénètre dans les toilettes. Il voit un WC fermé et il l’appelle doucement. Il entend le verrou, la porte s'ouvre et il voit la mère de son correspondant assise sur le trône, les jambes largement écartées, la jupe relevée sur son ventre. Elle n'a pas de culotte et elle se caresse doucement. Il a l'impression que sa queue va exploser dans son slip tant il bande dur.

Il entre et tire le verrou. Il ne peut résister plus longtemps à la tentation et il pose une main entre les cuisses de la mère de son amie. Ses doigts glissent dans la fente qui les imbibe de mouille, en faisant un bruit très excitant de clapotis. De l'autre main, il défait les boutons du chemisier, l'écarte et dégage les seins du soutien-gorge. Il les malaxe à tour de rôle. Il enfonce soudain deux doigts dans sa fente, ensemble, profondément. La jolie femme mariée se mord les lèvres de plaisir. Les doigts vont et viennent rapidement. Melody se sent ouverte, onctueuse, sur le point de jouir. Et, lorsqu'il se met à lui branler la chatte à toute allure, elle est secouée par un violent orgasme.

Melody reprend ses esprits au bout de quelques secondes. Elle baisse le pantalon de Luciano, son slip et la queue dure jaillit devant ses lèvres. Elle la prend d'une main et commence un mouvement de va-et-vient. Elle ouvre la bouche et enfonce la queue au plus profond de sa gorge. Elle se retire doucement jusqu'au gland, puis l'avale jusqu'à la racine, son nez butant sur le pubis de son jeune amant. Elle le suce ainsi un long moment, tout en lui malaxant.

Par réflexe, elle tend la langue pour attraper le plus possible de liquide. La giclée suivante fuse dans sa bouche ouverte et les autres sur ses cheveux et sur ses joues. Le foutre coule sur sa gorge et sur ses seins. Elle recueille de ses doigts un maximum de sperme et les lèche. Il guide sa queue qui commence à débander vers sa bouche et attire la tête de la belle femelle. Il l'enfonce entièrement dans sa gorge. Melody se met à téter la queue de plus en plus mollissante. Elle aspire le reste de foutre qui en sort, mâchouille la bite qui devient une petite chose élastique, qu'elle arrive à étirer comme un morceau de caoutchouc en la suçant fortement. Enfin, Luciano se recule et la jolie femme mariée porte une main à son visage, puis sur ses cheveux où elle trouve quelques mèches engluées de foutre. Elle les porte à ses lèvres et les lèche. Elle rajuste son soutien-gorge, puis son chemisier et dit :
« Tu m'en as mis partout ! C'était délicieux ! Je me suis régalée ! »

Elle se lève, baisse sa jupe, sort des WC et va se refaire une beauté devant le lavabo. Elle est légèrement penchée de manière à bien se voir dans la glace et Luciano admire ainsi sa croupe cambrée. On annonce alors que l'embarcation pour le vol de Rome se fait dès maintenant et le fils de Melody arrive en courant pour l'en avertir. Avant de la quitter, il lui murmure à l'oreille pour que son fils n'entende pas, qu'elle est une incroyable salope, qu'il aimerait encore l'enculer quand il voit ses fesses rebondies à travers la jupe, qu'il aime son cul et qu'il ne l'oubliera jamais. Rien qu'avec ces paroles, l'envie de Melody revient brutalement...

Sur le trajet de retour de l'aéroport, Melody reste toute chamboulée par tous les évènements de ces derniers jours. Assise dans le siège du conducteur, elle bouge souvent de position. En effet, ses fesses et son anus en particulier, la chauffent. Se faire sodomiser autant de fois, en un laps de temps aussi court, c'est un exploit et il est difficile d'en sortir indemne.

Quand elle arrive chez elle, son mari l’entraine vers leur chambre. Il la fait asseoir sur le lit et lui dit « : « alors, ma chérie, tu as raccompagné Luciano à l’aéroport ? Il ne va pas trop te manquer ?

Elle le regarde, l’air interrogateur et elle finit par rougir. Elle comprend qu’il sait tout…

« Mais comment peux-tu dire ça ?

-  Ma chérie, je sais que tu m’as trompé avec Luciano. Je vous ai vus baiser, partout dans la maison, y compris sur notre lit.

-  Mon amour, je suis désolée, je ne voulais pas, je t’...

-  Chut,  ne dis rien. C’est moi qui aie tout prévu… Je savais que tu allais aimer. Et  il fallait te décoincer une bonne fois pour toute…

-  Tu sais, je ne voulais pas, mais il m’a si bien séduite. Maintenant, je ne te tromperai plus.

-  Tu n’auras pas besoin. Si tu as envie d’un homme, dis-le-moi, je te regardais faire la chienne avec lui, et ensuite, tu m’appartiendras. »

C’est ainsi que commença la vraie vie sexuelle de Greg et Melody, amoureux fous du sexe…

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