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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Bises libertines,
Sophie

Une baise toute simple.

 

Après ma première fois avec Caroline, le même été, j’ai croisé chez des cousins chez qui elle passait quelques semaines, une jeune italienne d’une vingtaine d’années. Elle était de passage dans la région où elle était venue rendre visite à des oncles et tantes émigrés de leur lointaine Sicile au début des années 50.

 

Ce jour là je l’ai rencontrée quand elle faisait les magasins dans la petite ville où je passais mes vacances en attendant de partir à l’Armée. Elle cherchait un souvenir particulier à rapporter chez elle. Je lui ai offert de la guider vers un magasin où elle trouverait certainement ce qu’elle voulait. L’un et l’autre, nous avons déambulé dans les rues tout en bavardant comme peuvent le faire deux jeunes gens d’une vingtaine d’années.

 

Grande et aux courbes généreuses, Francesca avait une poitrine rebondie que son chemisier léger et son soutif avaient bien du mal à maintenir. Son pantalon de toile claire laissait deviner des hanches larges s’évasant sous une taille assez fine et on distinguait le dessin de sa culotte en transparence. Bref c’était une très belle femme même si avec ses formes généreuses, elle ne répondait pas aux canons de la mode de l’époque.

 

Ses achats terminés, je lui offris de passer prendre un pot dans la maison de mes parents où j’étais seul pour une quinzaine de jours. C’était situé non loin du centre ville, et je la reconduirais plus tard chez sa tante. Elle accepta d’emblée et m’accompagna : je n’avais aucune idée particulière à ce moment-là.

 

Nous bûmes chacun un verre d’eau minérale avec une rondelle de citron pour nous rafraîchir tout en évoquant ses retrouvailles familiales. Il faisait chaud, la présence de cette belle jeune femme près de moi, notre bavardage amical faisaient que je me sentais bien en sa compagnie. Je le lui dis. Elle appréciait aussi ma gentillesse et ma courtoisie.

Elle me demanda à aller aux toilettes. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle en revint son chemisier largement ouvert et ses seins pris dans un soutien gorge de dentelle blanche laissant voir des tétons bistre aux larges aréoles. Waouh quelle poitrine ! Ces deux seins généreux que j’imaginais et sur lesquels je fantasmais depuis que j’avais vue Francesca pour la première fois. J’aurais du mal à en contenir un à deux mains !

 

Elle me dit qu’il faisait vraiment trop chaud et qu’elle supportait mal la chaleur lourde et orageuse qui régnait en cette fin d’après midi du mois d’août. Au lieu de se rasseoir dans le fauteuil, elle vint se mettre sur le divan à côté de moi. Je sentais son odeur un peu poivrée. Tout cela acheva de me mettre dans un état pas possible. Je bandais comme un taureau et pour le dissimuler, je m’agitais à côté d’elle. Elle était la seconde femme à m’approcher ainsi et elle ne me laissait vraiment pas indifférent.

 

Soudain, en se tournant un peu plus vers moi et en posant sa main gauche sur ma cuisse, Francesca me tendit ses lèvres. J’accueillis son baiser avec bonheur et je le lui rendis. Nos langues se mêlèrent dans une succession de baisers profonds qui achevèrent de nous échauffer. Mon T-shirt et mon bermuda vite enlevés, je retirai son chemisier et ôtai le soutien gorge : sa poitrine volumineuse ne plongeait pas trop. Ses seins fermes d’un blanc laiteux n’avaient certainement jamais vu le soleil mais qu’ils étaient beaux ! Je crois que c’est à partir de cette découverte que je suis devenu autant fan des seins féminins…

 

Ma bite était dressée, triomphante, comme aimantée par ces deux globes séparés par une fente profonde où la transpiration laissait perler quelques gouttes. Les tétons légèrement saillants semblaient appeler la morsure de mes lèvres. Francesca fit alors glisser son pantalon et sa culotte. Une toison noire et taillée sommairement en triangle apparut au dessus de sa chatte.

 

Elle tendit les mains vers mon sexe pour masser mes bourses et mon sceptre de chair en se rapprochant du bord du divan pour le prendre en bouche pour quelques va-et-vient. Ensuite, d’elle-même elle mit ma bite entre ses globes pour me branler ainsi. Que c’était bon, doux et chaud. Elle bascula sur le dos en m’entrainant sur elle. Je réalisais ainsi ce qui parfois m’avait fait fantasmer en voyant des photos dans des revues coquines qui s’échangeaient sous le manteau.

 

Ma bite se trouvait maintenant à la hauteur de sa chatte. Je me couvris rapidement d’un préservatif et d’une seule poussée, j’investis sa vulve humide et chaude où je restai immobile. Je savourais cette baise inattendue, la seconde de ma jeune vie…

 

Au bout de quelques allers-retours, Francesca jouit brusquement. Elle se dégagea et ôtant la capote, elle se glissa sous moi pour venir emprisonner à nouveau ma bite entre ses seins, la faisant coulisser entre eux. Je n’en pouvais plus d’autant que lorsque j’étais à portée de sa bouche, elle gobait mon gland pour le sucer. Bientôt je crachai d’abondants jets de foutre qui maculèrent sa gorge et le bas de son visage.

 

Après un temps de repos, Francesca recommença à me tailler un plume et me faire bander à nouveau. Ce ne fut pas difficile : c’était ma première fellation ! En plus, j’avais encore envie de la baiser. Elle plaça un préservatif sur le bout de ma queue bandée et, en suçant ma bite, elle la couvrit elle-même en le déroulant entre ses lèvres : Douée la fille !

 

Quelle caresse ! Elle semblait avoir bien plus d’expérience que moi ! Elle se mit en levrette. J’avais sous les yeux ses hanches larges, sa taille étroite, ses reins creusés au bas de son dos où il y avait deux fossettes.

 

Quel spectacle. D’une poussée lente et continue, j’investis à nouveau sa chatte jusqu’à la garde quand elle me surprit en demandant de la sodomiser, qu’elle en avait très envie et que je serais le premier…

 

Décidément ce jour là, j’aurais aussi découvert qu’on pouvait sodomiser une fille ! Naïvement, je croyais que cette pratique était réservée aux homosexuels !

Tout aussi doucement, je pénétrai son anus qui s’ouvrit facilement, emprisonnant ma bite dans un fourreau chaud qui me massait le bout de la queue.

Je me souviens encore des paroles de Francesca :

« Je ne peux pas demander cela en Italie, je passerais pour une putain ! Avant de venir en France, j’ai préparé mon cul avec divers objets pour l’assouplir ! Tu vas être le premier à en profiter… »

 

Là encore, il ne fallut pas longtemps pour arriver à une explosion finale partagée. Quelle belle séance de baise nous venions d’avoir. En un peu plus d’une heure, nous avions fait l’amour trois fois.

Quel privilège d'être jeune ! Deux jours après, Francesca prenait le train pour l’Italie et je ne l’ai jamais revue.

 

A suivre.... 

 

Par Gérard le Matou - Publié dans : Le Matou Libertin - Communauté : Histoire érotique
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