Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

Présentation

  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil

Derniers Commentaires

Recherche

Recommandez ce blog à vos amis

Propriété intellectuelle

Chers amis libertins, chères coquines,


Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...


J'espère que vous l'appréciez !


Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com


Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

2 hommes + 2 femmes + 2 chiens = 1 max de plaisirs !

Nous sommes un couple unis, mais qui aime beaucoup le libertinage et l’exhib. Nous somme aussi friands de tout ce qui peut nous arriver d’inattendu en matière de sexe.

 

Cet été-là, nous étions en vacances sur la côte basque. Nous évitions les endroits bondés bien qu’ils soient les seuls où il est possible de se baigner, car ils sont surveillés. Nous marchions suffisamment pour arriver sur des plages semi-désertes où nous pouvions, pas trop loin d'un couple ou d'un voyeur que nous avions sélectionné, nous caresser.

Je prenais beaucoup de plaisir à exhiber ma chérie devant des étrangers quand ceux-ci se montraient intéressés. Et il nous arrivait aussi quelques fois d'aller plus loin que l'exhibition… Il faut dire que j’adore voir ma chérie se faire prendre par d’autres devant moi, hommes ou femmes…

 

Un jour où nous n'avions trouvé personne, nous nous étions installés face à la mer, nus au soleil, au pied de la pinède.

J'étais en train de caresser la chatte toute mouillée de ma petite salope qui, bien installée sur le dos, se laissait faire les yeux fermés. Je surveillais les alentours quand soudain, je vis arriver au loin un homme qui promenait son chien. Heureuse surprise !

 

Je décidais de continuer sans rien dire à ma femme. Je surveillais l'inconnu qui s'approchait, son chien, un grand chien noir, style labrador, courait tout autour de lui.
Quand l'homme fut en face de nous, et qu'il se rendit compte de nos occupations, il s'arrêta pour nous regarder faire. Je le regardais dans les yeux en lui souriant, pour lui faire comprendre qu'il pouvait nous mater à loisir.


Voyant qu'il ne nous dérangeait nullement, il s'approcha doucement de nous en sortant sa bite de son maillot de bain. Il commença à se branler, les yeux rivés sur la vulve béante de ma femme.
Vu qu'il ne s'occupait plus trop de son chien, celui-ci s'approcha de nous et, certainement attiré par les effluves de la chatte en chaleur de ma chérie, il approcha sa truffe de son con baveux.


J’avais souvent eu envie de la voir avec un chien… Aujourd’hui, l'occasion était trop belle ! Je le laissais approcher…
Le chien dut trouver l'odeur agréable, car sortant sa longue langue, il vint prélever un peu du nectar qui s'en écoulait abondamment.
Je lui laissais la place en retirant ma main et rassurais ma petite salope en tentant de la convaincre de se laisser. « Ma chérie, laisse-le te lécher avec sa grosse langue. Si tu aimes, tu jouiras beaucoup. Sinon, je retire le chien… Fais-toi plaisir, ma petite chienne en chaleur… »

Elle se détendit, et laissa faire le chien. A mon grand plaisir, elle trouva ca très agréable. Alors pourquoi bouder un plaisir si étrange et si fort ? Elle se détendit encore plus, et écarta les jambes au maximum.
Je l'embrassais en la rassurant, lui disant que je l'aimais, que je voulais qu'elle se laisse aller au plaisir, lui rappelant que j'aimais plus que tout la voir jouir

 

Je fis tourner sa tête dans la direction du propriétaire du molosse, qui s'était approché, avait retiré son maillot, et caressait sa bite. Cette dernière avait atteint une taille hors du commun, longue et bien grosse, avec un gland encore plus large que la hampe pourtant déjà bien large. Il regardait son veinard de chien lécher cette moule qui coulait d'autant plus qu'il la lapait avec ardeur.
On regardait donc tous les deux cette langue envelopper tout l'entrejambe de ma chérie dans un mouvement ascendant, qui partant de son cul se terminait sur son ventre après bien sur avoir fait son effet d'un plaisir dévastateur sur sa chatte.
Voyant qu'elle ne quittait pas son chibre tendu du regard, il s'agenouilla à côté de ma femme pour qu'elle puisse enfin s'en saisir et se mit à lui caresser ses petits seins tout pointus. Il faisait rouler ses pointes entre ses doigts la faisant gémir encore plus fort.
Elle, voulant l'attirer vers sa bouche, se contorsionnait pour ne pas perdre le bénéfice du plaisir que lui procurait le chien avec sa langue. Pourtant, voyant que sa position n'était pas idéale pour cela, je lui dis de se mettre à genoux pour s'occuper du bel engin qu'elle avait trouvé, la petite chienne !


L'animal, la voyant dans cette position de chienne prête à saillir, n'eut qu'à s'avancer pour se retrouver les pattes de devant de part et d'autre de ma femme et avoir sa bite bien placée pour une saillie en règle.
Ma queue me faisait mal tellement elle était dure.  J’étais excité à mort de voir ma femme transformée en chienne prête à se faire monter par cette bête en rut et en plus devant un inconnu. Je dirigeais la queue pointue de la bête dans le con de ma femme et laissais faire l'animal excité.


Dès qu'il sentit sa queue rentrer dans le ventre de ma femme, il se mit à la pistonner à toute vitesse, et je vis, incrédule, la pine d'abord fine, grossir démesurément dans le con accueillant de ma salope de femme pour devenir un gros gourdin rouge avec une boule énorme à sa base. Enfin, je cette boule entrer en entier dans sa chatte dilatée de ma salope.


Toute à son plaisir, elle s'était arrêtée de sucer la queue du type pour se concentrer sur ce qu'elle sentait : un chien était en train de la baiser. En plus, on voyait bien qu’elle aimait sentir cette queue qui me semblait énorme, qui giclait dans son ventre des flots de foutre bestial chaud.
Elle râlait de plaisir et, en serrant les cuisses, maintenait l’animal prisonnier des contractions de son vagin. Elle sentait cette énormité répandre son foutre comme de la lave liquide dans son ventre à n'en plus finir et la remplir de sperme animal.


Quand enfin il se libéra de son emprise, un flot de jus canin sortit de son con de chienne et elle s'effondra sur sa serviette sans lâcher la bite raide du gars, à laquelle elle était accrochée.
Nous étions deux à n'avoir pas encore joui et à être bandés à mort, excités comme des fous par ce à quoi nous venions d'assister, par cet accouplement superbe de la belle et de la bête.


L'animal, bien qu'aillant joui, vint derrière elle pour nettoyer son propre sperme qui sortait de la fente bien ouverte de mon amour de salope, elle, se cambrant au maximum, s'offrait encore à son amant sous nos yeux ébahis.
C'en était trop, nous branlant au dessus d'elle nous nous sommes répandus sur son dos d'une quantité de sperme qui bien qu'abondante paraissait bien ridicule à côté de ce que lui avait administré le chien.

 

Après cette bonne partie de sexe bien hard, nous sommes rentrés à l’hôtel reprendre quelques forces. Je savais que le lendemain allait être bien plus « rude »….

 

Le jour suivant, donc, nous sommes allés sur cette plage déserte, devant un océan toujours d'un bleu limpide. A notre habitude, nous nous étions mis nus pour bronzer et profiter un peu de la tranquillité du lieu pour nous exciter un peu l'un l'autre.

Ce jour-là, après avoir un peu chahuté tous les deux, ma petite femme se trouvait sur moi essayant de m'immobiliser, ses jambes de part et d'autre de mon bassin, elle avait donc sa petite chatte à bonne portée de ma bite. Quand elle la sentit se frotter contre elle, elle me regarda en souriant, me traitant d'incorrigible coquin, mais ne faisant rien pour se soustraire à son contact.


J'attrapais son bassin de mes deux mains et poussais mon gland entre ses lèvres qui commençaient déjà à suinter, favorisant ainsi le glissement, je me faisais téter la queue par sa chatte, bandant comme un forcené, soudain, je vis un homme qui s'était arrêté sur la plage, non loin de nous et nous observait.
Il semblait être là depuis un certain temps, car son sexe était déjà bien raide, le spectacle semblait bien l'exciter.
Il me fit un signe d'admiration en levant le pouce me montrant ainsi s'il en était encore besoin, qu'il appréciait le spectacle et m'encourageait à continuer devant lui.
Nous nous sourions pour sceller notre complicité et je plonge ma bite d'un coup au fond de la chatte de ma femme qui laisse échapper un râle de surprise et de satisfaction mêlées.


L'homme mimant des applaudissements m'encouragea à la besogner plus fortement encore, ce à quoi je ne me fis pas prier, je pistonnais le con gluant de ma salope devant l'homme qui s'était rapproché pour mieux profiter du spectacle, accroupi devant nous, il regardait en gros plan nos sexes luisants coulisser, ma bite sortir brillante de sa mouille de son con dilaté et dont la bave commençait à apparaitre sur les replis de sa vulve, il écoutait le bruit de nos ventre qui claquaient l'un contre l'autre quand je rentrais et les bruits de succion que faisait sa chatte quand je ressortais.


Elle jouit bruyamment en s'écroulant sur mon torse, exposant, sans le savoir, encore plus son cul et son sexe au regard du voyeur dans son dos.
Toujours planté en elle, je la câlinais, la traitant de petite pute des sables, de salope des dunes, lui disant qu'elle était une chienne, de se faire baiser comme ça, en plein air et devant un voyeur ! En disant ça je la tenais fermement et la pistonnais de plus belle. Surprise, elle vit l'homme qui, s'étant redressé se retrouvait à ses côté, la queue juste à la hauteur de son beau visage.


Une fois la surprise passée, je lui demandais de sucer ce beau membre tendu, qu'elle avait si bien excité. Pendant que je lui dis ça, je continuais de la fourrer allègrement pour l'empêcher de réfléchir et entretenir son envie de baise.
L'homme présenta son sexe raide à sa bouche qu'elle ouvrît pour le laisser passer.
Lui, heureux de pouvoir se glisser dans sa bouche que je sais accueillante, savourait son plaisir en fermant les yeux, puis se ravisant, caressa ses cheveux, puis son visage, puis descendit le long de son dos jusqu'à ses fesses sur lesquelles il appuya fermement pour la faire s'empaler plus profondément sur moi. Il accompagnait les mouvements de son bassin.


Une de ses mains la caressait par devant sur le visage, puis sur les seins les pinçant, les étirant, la faisant gémir sous la caresse appuyée. L’autre main, dans son dos, s'attarda sur sa rosette et sur ses lèvres vaginales, étalant partout le liquide visqueux qui s'en échappait. Il s'en servait pour bien lui lubrifier son petit trou du cul, dans lequel il introduisit ses doigts. Je les sentais masser ma bite à travers la mince paroi qui les séparait de moi.

Ses gémissements se firent râles de plaisir, elle se mordit les lèvres, ferma les yeux et se trémoussa sur ma queue, comme pour manifester un plaisir dévastateur qu'elle ne voudrait pas reconnaitre. Lui, il s'égarait parfois jusques sur mes couilles et ma queue bien plantée au fond, rentrant même quelques fois deux doigts en même temps que ma pine qu'il accompagnait. Il la serrait comme pour en apprécier la raideur, me faisant gémir moi aussi, ajoutant ainsi mes cris de plaisir à ceux de ma femme.


Ce contact inhabituel me surprit et m'excita soudain violemment. Je me répandis en jets brulants au fond de son ventre de ma salope, tout en la regardant sucer avec application et plaisir cette bite tendue.
Ma femme n'ayant pas encore jouit, tout comme l'inconnu à la queue toujours raide, il l'aida à se relever. Elle titubait, tant son plaisir la faisait chavirer. Il la caressa sur tout le corps. Ses doigts s'enfoncèrent dans sa chatte baveuse aux lèvres gonflées de plaisir et d'envie de se faire triturer et pénétrer par des doigts inquisiteurs. Il en profita aussi pour glisser sa queue entre ses cuisses et découvrir la chaleur de sa chatte sans la pénétrer. Il était derrière elle, et je pouvais voir sa queue dépasser entre les jambes de ma chérie, comme si elle était à elle.


De la voir ainsi avec une queue là où j'avais l'habitude de voir sa chatte, je me retrouvais tout d'un coup avec une trique terrible. Je m'approchais et regardais de plus près cette bite dure qui coulissait entre les lèvres brillantes de plaisir de ma pute adorée. Son jus coulait sur cette queue qui cherchait son plaisir en se frottant contre elle.
Ne réfléchissant plus à ce que je faisais, de ma main gauche, je plaquais ce membre raide contre la moule gluante de ma chérie, l'aidant à se branler. Je faisais entrer le gland en contact avec son clito rendu sensible pas les caresse de l'instant d'avant.
Lui se rendant compte que le plaisir lui coupait littéralement les jambes, la saisit dans ses bras pour la soutenir.


Je sentais ce gland dans ma main se branler entre les lèvres de ma femme, je le guidais moi-même pour qu'il appuie plus fort et j'en bandais comme un fou !
Puis il s'agenouilla devant elle et lui bouffa la moule avec délectation se rassasiant du cocktail de nos deux plaisirs qui s'écoulait de sa chatte. Il la bouffait littéralement, la buvant. Une de ses mains lui pétrissait les seins, l'autre se glissa entre ses fesses et son majeur s'insinua doucement mais surement dans son petit trou étoilé. Il lui branlait le cul et elle gémissait, il lui dévorait son abricot juteux, elle râlait de plaisir. Je le regardais faire rouler ses tétons, les tordre et les étirer jusqu'à ce qu'un orgasme la fasse exploser dans un cri, un « ouiiiiiiiii » perçant. Elle flageola sur ses jambes, il la maintint en lui mettant un deuxième doigt dans le cul et en pressant plus fort son sein. Je la félicitais et tout en lui roulant une pelle, l'encourageant à se donner à fond à cet inconnu.
Elle ondulait du bassin et lui barbouilla le visage de sa mouille mêlée à mon sperme qui s'écoulait abondamment de son con dilaté. Il serrait fort son visage contre sa chatte, pendant qu'il continuait à lui forer le cul de ses deux doigts.


Je me plaçais derrière elle et empoignais ses seins pour les lui pétrir tendrement, je sentais ses tétons allongés démesurément par les caresses de l'homme qui la léchait.
Ça m'excitait de sentir ses tétons allongés par les manipulations d'un autre que moi.
J'adorais la voir se donner sans retenue à cet inconnu qui faisait ce qu'il voulait d'elle, pour son plus grand plaisir…
Ma queue vint se loger entre ses fesses et glissa dans son sillon profond contre les doigts qui la fouillaient. Il sortit alors ses doigts profondément enfoncés dans son cul et attrapa ma bite pour la présenter à son trou bien dilaté. Elle retint sa respiration pendant que je me plantais en elle d'un coup de reins énergique. Lui, toujours à genoux entrer ses cuisses, lui suçait le clito alors que sa main libre vint sur sa chatte pour la fouiller de ses doigts. Je commençais à la limer en cadence en m'enfonçant jusqu'à la garde à chaque pénétration.


Il se releva alors, présenta sa queue tendue à sa chatte surchauffée. Je sentis sa bite glisser en elle, contre la mienne, et nous la besognions ensemble. Soit en alternant nos coups de boutoirs soit en la défonçant simultanément.
Elle n'était plus que soupirs, râles gémissements, nous soufflions nous aussi, la chaleur étant presque étouffante mais nous tenions un rythme soutenu qui l'emmena encore une fois vers l'extase. Nous nous vidâmes enfin chacun dans un de ses trous. Et la limions encore doucement jusqu'à ce que nous retrouvions nos esprits.
Epuisée, elle s'effondra sur sa serviette pendant que nous allions piquer une tête dans l'océan pour nous rafraîchir les idées. Nous en profitâmes pour faire plus ample connaissance. J’appris qu'il s'appelait Bertrand, qu'il était de la région et qu'il avait des amis échangistes avec qui il me proposa de revenir le lendemain pour s'occuper de ma salope encore mieux.


Tout en discutant de nos fantasmes respectifs, je lui dis que ma petite pute avait déjà eu des rapports avec un chien, et que ça faisait partie de mes fantasmes depuis longtemps, que j'aimerais bien renouveler l'expérience à l'occasion. Il sourit d'un air entendu en me disant que ça pouvait se faire. De retour aux serviettes je lui donnais la crème solaire, pour qu'il la passe sur la poitrine de ma femme, ce qu'il fit, en prenant soin de bien lui imprégner les seins et de la faire gémir à nouveau mais elle semblait vraiment repue même si ses tétons pointaient encore.
Il nous quitta alors en nous disant à demain et nous parlant de ses amis à qui il serait heureux de présenter la superbe petite chienne qu'il venait de rencontrer. Nous nous échangeâmes un clin d'oil complice et nous le regardâmes s'en aller.
Ma femme me demanda ce que je lui ai raconté, et je lui dis de ne pas s'en faire que demain elle serait sûrement de nouveau à la fête.

 

Le lendemain nous nous sommes installés bien à l'abri entre deux dunes perpendiculaires à la côte.
Nous sommes sur nos serviettes face à l'océan. Ma femme a gardé son maillot de bain, un magnifique deux pièces très suggestif, qui donne envie d'en voir plus tellement il en cache peu, mais, ça ne fait rien, ça donne l'impression à ma chérie d'être un peu moins exposée que si elle était nue.
Elle sait très bien ce qui l'attend, en tout cas elle sait qu'elle va retrouver Bertrand, qu'il risque de revenir accompagné d'un couple, libertin lui aussi, et même si elle ne veut pas se l'avouer, l'attente lui paraît interminable. Elle pense que d'avoir un maillot peut cacher l'excitation qui commence à s'écouler doucement entre ses cuisses, mais je me suis bien rendu compte que son bas de maillot minimaliste était anormalement humide entre-jambes.


Je la laisse donc s'installer sur sa serviette, et je me déshabille complètement, la bite en semi-érection, j'essaie de ne pas trop penser à ce qui va arriver quand Bertrand sera là, je ne veux pas bander trop vite pour ne pas bloquer ma petite femme, il me faut la préparer avant qu'ils arrivent.
Je sors donc la crème solaire et commence à l'étaler sur le corps alangui de ma dulcinée. Je masse bien pour faire pénétrer la crème. Mais surtout parce que je sais l'effet que les massages ont sur ma petite femme adorée.
En effet ses cuisses s'ouvrent, sa respiration devient plus profonde, sa bouche s'entrouvre et ses yeux se ferment comme pour cacher le trouble qui l'envahit. Elle sait bien, la coquine, dans quel but je cherche à l'exciter, mais elle préfère faire comme si tout venait de moi, comme si elle n'y était pour rien !


La salope, moi je sais bien que si Bertrand ne devait pas venir, elle serait déçue !
Un peu plus tard, je vois arriver, sur la plage, un petit groupe de personnes, trois ou quatre, je ne distingue pas bien de loin, mais au fur et à mesure qu'ils s'approchent je vois qu'il y a trois personnes, deux hommes et une femme. Et deux grands chiens bruns qui courent autour d'eux.


Je cache l'érection brutale qui me prend quand je vois les deux superbes dogues argentins bien racés qui les accompagnent.
Je sais pourquoi ils sont là, et j'ai soudain hâte de voir la suite, hâte de voir ces deux mâles impressionnants de puissance à l'action.


Ma femme se relève un peu quand elle entend arriver tout ce petit monde, elle sourit à Bertrand qui s'approche d'un pas décidé, me serre la main et s'installe rapidement dans le dos de ma femme pour la caresser et l'embrasser gentiment dans le cou craignant qu'elle ne réagisse défavorablement.
Il fait rapidement les présentations : Jean-Marc, la soixantaine bien tassée, ancien prof de gym aux muscles encore apparents sous une peau fripée, des cheveux argent et un sourire ravageur. Puis Caroline, sa femme, plus jeune, quarante-cinq ans, brune à la peau mate et satinée. On sent qu'elle prend soin de son corps, elle est uniquement vêtue d'une robe rouge à petite mailles qui laisse voir une poitrine lourde mais ferme et un ventre à peine bombé. Elle porte juste un string mais l'un et l'autre sont adeptes du bronzage intégral. D'ailleurs tout le monde se déshabille rapidement, comme pour sceller irrémédiablement un pacte licencieux entre nous tous.


Tout en faisant les présentations, les mains de Bertrand courent sur le corps de ma femme. Il l'embrasse dans le cou, lui caresse les seins, la charme en lui disant que la journée s'annonce bien, avec deux si belles femmes au corps sublime.


Caroline, qui connaît son coté séducteur, sourit et laisse tomber son sac pour s'assoir à coté de ma femme. Jean-Marc tient du coup les deux superbes bêtes qui gémissent et tirent sur la laisse pour rejoindre leur maitresse.
Bertrand encourage ma femme à se dévêtir, lui disant qu'elle est la seule à avoir du tissu sur le corps. Il cherche à défaire les nœuds de son haut. Il commence par celui du dos qui relâche ses seins, toujours cachés par le tissu. Il les caresse alors plus fermement et joue avec les tétons qui se dressent.
Il me sourit avec un clin d'œil. Moi, pendant ce temps, je parle des chiens avec Jean-Marc, tout en regardant d'un œil intéressé mon épouse si bien entourée de Bertrand et Caroline.


Il fait mettre ma femme à genoux alors que Caroline s'accroupit devant elle et lui explique que lorsqu'on a un joli corps, il faut le montrer.
Elle défait le nœud derrière le cou et le tissu tombe. Les seins de ma femme restent dissimulés par les mains qui les ont empaumés.
Les tétons roulent doucement entre les doigts de Bertrand, et Caroline saisit un tube crème bronzante.
« Il faut prendre bien soins de si beaux trésors. »


Et ils enduisent leurs mains de crème et badigeonnent ma femme sur tout le corps en prenant soin de bien la caresser aux endroits sensibles.
Elle ondule sous les caresses et gémit de plus en plus fort.
Les ficelles sur ses hanches sont rapidement défaites et c'est Caroline qui se colle à elle par devant et lui crème les fesses. La queue de Bertrand, toujours derrière elle, est tendue à l'extrême.
Caroline la lui masse en même temps que les fesses de ma femme.
Il glisse alors sa bite entre les cuisses de ma salope, coulissant un moment dans son marécage gluant d'excitation, il commence à lui branler le clito avec son gland.
Elle gémit de plus belle et les deux chiens gémissent en cour.

Ils trépignent, et Jean-Marc me sourit en m'expliquant qu'ils adorent prendre les femmes en chaleur et que Caroline est leur chienne préférée.
Un tel discours a le don de me faire bander encore plus fort si cela était possible. Jean-Marc s'en aperçoit et sourit voyant mon excitation et mes yeux brillants, se disant que je dois être en train d'imaginer ma femelle prise d'assaut par ses deux chiens. Il a d’ailleurs parfaitement raison.


Caroline frotte ses seins contre ceux de ma femme et l'embrasse langoureusement. Elle semble craquer, avec en prime, les caresses des quatre mains qui courent sur son corps.
Les mains de Bertrand s'égarent entre les deux corps pétrissant les quatre mamelles à sa disposition. Elles glissent sur le cul de Caroline pour la plaquer contre ma femme et quand il fait glisser sa queue plus loin entre ses cuisses, c'est comme s'il voulait pénétrer Caroline.


Leurs bouches entrent dans un ballet infernal et leurs trois langues finissent pas se mélanger pendant que les mains de Caroline malaxent le cul de ma femme. Ses doigts se perdent dans la raie et glissent dans son petit trou.
Ma femme n'est plus inactive, elle gémit, ses mains caressent le dos de Caroline, glissent sur ses cuisses, hésitent sur son cul. Sa bouche embrasse toutes les lèvres et les langues qui passent à sa portée.

Les chiens glapissent et gémissent devant le spectacle. Ils sont attirés par les bruits de salive, les soupirs et les odeurs qu'exhalent les deux femelles. Ils tirent sur leurs laisses et Jean-Marc se laisse entrainer doucement vers le dos de Caroline. Les deux chiens s'empressent de le renifler, puis de le laper à grands coups de langue. Je les encourage :
« Oui, mes jolis, elle est chaude et elle a envie de vous. »

On voit le bout rouge de leur bite s'ériger puissamment.
Caroline tend son splendide cul vers leurs museaux et saisissant ses fesses de ses mains, les écarte pour mieux s'offrir à leurs langues. Ce faisant, elle se retrouve le cul en l'air, la tête sur la serviette entre les cuisses de mon amour.
Ma chérie est abasourdie par ce qui se déroule sous ses yeux, mais excitée en même temps, elle regarde ces fesses écartelées se faire laper en profondeur par ces grandes langues agiles.


Bertrand, dans son dos, n'en perd pas une miette lui non plus. En la pelotant de plus belle, il commente à l'oreille de ma femme, lui disant tout le bien que cela lui procurerait si elle était léchée comme ça, la faisant fantasmer sur des pénétrations animales.


Jean-Marc encourage ses chiens : « Oui, mes tous beaux, elle va s'occuper de vous… »
Et Caroline se retourne vers ses amants à poils, elle s'allonge sous eux et entreprend de masturber les deux molosses qui ne bougent plus.

 
Elle les fait durcir chacun dans une main. On voit leur bite enfler entre ses doigts, elle les couvre de caresses et de baisers sur leur fine pine, pointue et tendue.
Ma femme est éberluée de ce qu'elle voit, Jean-Marc me confie que Caroline est une vraie chienne et que même après avoir jouit toute une soirée avec Jean-Marc et Bertrand, elle va encore voir ses chiens pour avoir sa dose de foutre animal.

Mes yeux s'agrandissent devant le spectacle de la femme entre ses deux chiens.

Jean-Marc me touche le coude, et du menton me fait signe de regarder ma femme.
Elle est allongée sur le dos à côté de Caroline, la tête tournée vers elle pour la regarder s'occuper des chiens, la bite de Bertrand glisse entre ses cuisses, fourre le sillon de sa chatte. Je vois son gland écarter, refouler ses lèvres et bousculer son clito. Ses mains courent sur son ventre et ses seins.


Excitée par ce qu'elle voit, elle commence à onduler sous ses caresses et c'est elle qui cherche la queue qui la tourmente. Elle lance son bassin en avant au même rythme que lui, recherchant une pénétration qui la délivrerait.
Enfin, je vois la bite tendue se glisser entre ses lèvres, et au long feulement qu'elle pousse, je comprends qu'elle a eu ce qu'elle désirait. La longue queue bien raide de Bertrand est calée tout au fond de ses entrailles.

Jean-Marc commente, comme pour lui-même, mais je sais que ça m'est aussi adressé, il sait, il voit, que ça m'excite : « Oui mes chéris, elle est belle cette petite chienne, je sais qu'elle vous plaît mais il va falloir l'apprivoiser et elle sera bientôt à vous. »

Elle se glisse un peu plus sous un des mâles et, se saisissant de sa bite, la dirige vers sa bouche, hésitante. Elle a déjà senti un sexe comme celui-là la pénétrer, et elle en garde un souvenir ému, mais elle n'a encore jamais osé le prendre en bouche. Elle tâte de sa langue le bout pointu et suintant, en goutant le jus, le trouve différent du sperme humain, puis, se le met carrément en bouche, aspirant tout ce qui s'en écoule.

Elle se trémousse sous la queue qui la ramone en cadence, s'enfonçant de plus en plus loin. Elle commence à glapir que c'est bon, elle presse les mains qui la caressent sur ses seins.


Caroline n'en peut plus et elle se met à quatre pattes. Aussitôt, le chien qu'elle suçait la monte et la saillit d'un coup. Elle râle de bonheur.
Bill la perfore à grand coups, et elle glapit comme une chienne en chaleur.
Ma femme l'observe et semble l'envier malgré les coups de boutoir que Bertrand envoie dans sa chatte.
Caroline se cambre sous son mâle et l'encourage à la défoncer.
On voit la pine du chien enfler et le nœud pousser pour écarter les lèvres de la chatte de Caroline. Elle pousse un feulement de jouissance quand enfin il passe en force la barrière de son con.


Le chien la bourre avec force et ses seins ballotent divinement, je me mets à genoux à côté d'elle et entreprends de les lui torturer, de les malaxer, de les faire balloter encore plus fort.
La salope a vraiment l'air d'apprécier les traitements conjoints de son amant à poils et de mes mains sur ses mamelles. Son visage est déformé par le plaisir et elle gémit comme une malade.
Pendant ce temps, juste à côté de moi, Bertrand continue de besogner ma petite pute. Je la contemple dans son plaisir, et ajoute ma queue tendue à exploser à celle de Sultan, dans sa bouche.
Sultan voulant certainement passer à autre chose, contourne le couple et s'approche de leurs sexes emboités et se met à les lécher à grands coups de sa langue râpeuse.
Bertrand ferme les yeux sous cette caresse inattendue sur ses couilles et jusque sur son cul.


Jean-Marc me fait signe de m'approcher pour voir le spectacle de ces sexes en action en train de se faire lécher par la bête en rut. Je ne peux m'empêcher de porter ma main dans ce marécage de foutre humain, de cyprine, de salive canine.

Je tâte les lèvres sexuelles de ma salope de femme, je sens la queue tendue qui y glisse, je la serre un moment entre mes doigts, excité de tenir la bite qui donne tant de plaisir à mon amour. Je la sors de la chatte de ma femme, malgré ses protestations, et l'offre à la langue du chien qui, attiré par les effluves de femelle en chaleur qui s'en échappent, se met à la lécher avec force, je la lui tends de manière à ce qu'il en lèche le frein, qui est la partie la plus sensible, je la sens du coup se tendre encore plus dans ma main et, sentant son plaisir arriver, je la replonge rapidement dans le ventre de ma femme pour qu'elle y déverse le torrent de sperme que je sens arriver dans les couilles de Bertrand que je serre de mon autre main.


Je contemple ma femme qui hurle un « Ouiiiiiiiiiii » de satisfaction quand elle sent cette tige se replonger d'un coup au fond d'elle pour y exploser.
Je m'approche de son visage que j'embrasse, je lui caresse le ventre et les seins, tandis que son baiseur la bourre violemment jusqu'à ce qu'il se cale au fond d'elle pour jouir.
Je la regarde dans les yeux et lui dis que je la trouve belle, sublime, quand elle jouit, qu'elle se fait prendre comme une chienne et que je l'aime. Elle plante ses yeux dans les miens et lâche un long feulement de jouissance quand elle sent la queue plantée en elle déverser toute sa semence chaude dans son ventre alliée aux coups de langue râpeuse sur ses lèvres boursoufflées et son clito tendu.


Elle serre son amant contre elle, le maintenant soudé à elle pour prolonger la sensation de son membre dans son con liquéfié, elle sourit, elle est bien, son visage est détendu, je l'aime quand elle est comme ça, mer calme après la tempête.
Je fais glisser ma queue sur son visage vers sa bouche. Elle me lèche en me souriant comme pour me remercier du plaisir que je lui ai permis de prendre.
Elle attrape ma bite, la prend dans sa bouche, le visage de Bertrand est à quelques centimètres de ma verge, il s'est un peu reculé quand je me suis présenté, mais son regard reste rivé aux lèvres de ma chérie. Elle le regarde à son tour, lui sourit, et de son autre main, passe derrière sa nuque et l'attire vers sa bouche déjà occupée. Il hésite un peu, puis se laisse faire, je sens ses lèvres sur ma hampe, c'est un contact étrange, un peu râpeux à cause de la barbe, mais quand elle la sort de sa bouche pour la lui enfoncer dans la sienne, je sens sa langue s'enrouler autour de mon gland, et je trouve ça plutôt agréable, je dois bien le reconnaitre !


Je me demande ce que ça fait de sentir le contact d'une queue sur sa langue, il faudra que je tente l'expérience à l'occasion, après tout ça risque de n'être pas désagréable !
Bertrand, gêné par la tête du chien qui cherche toujours à se faufiler entre les cuisses de ma femme, sort d'elle et s'écarte pour la contempler, écartelée, s'offrir à la langue qui se précipite pour recueillir le nectar qui s'échappe abondamment de sa chatte.


Elle semble entrer dans sa chatte gonflée pour aller le chercher et le laper plus au fond.
Elle s'arque-boute sous le plaisir, et j'en profite pour me glisser sous son bassin, Jean-Marc lui soulève un peu le buste pour m'aider à passer complètement au dessous.
Ma queue, comme un ressort, passe entre ses cuisses et se retrouve entre la langue du chien et la chatte de ma femme qu'elle était en train de déguster.

 

Bertrand me la prend et comme pour me rendre le service que je lui ai rendu tout à l'heure, l'offre à Sultan, après l'avoir vigoureusement frottée au sexe de ma femme pour lui donner du gout ! Je sens donc la langue d'un chien s'employer à me donner du plaisir, sur le frein, c'est délicieux, heureusement que Bertrand ne le laisse pas faire trop longtemps sinon je jouirais tout de suite. Il la prend et la positionne entre les lèvres de ma chérie, c'est un comble, c'est son amant qui prend ma queue pour la lui mettre !!!

 

Que de sensations étranges !

Je sens maintenant la langue du chien sur mes couilles, il doit lécher la chatte et le clito de ma femme et au passage, j'en prends aussi pour moi ! C'est plutôt bon comme sensation de se faire lécher les couilles pendant que je baise.
J'adore fourrer ma queue dans la moule de ma femme quand elle est bien dilatée par un autre, sentir que je nage dans le foutre d'un autre me remplit d'excitation.


Soudain, je sens quelque chose de différent se frotter contre mon sexe, je réalise que c'est Sultan qui cherche lui aussi à fourrer sa pine dans un sexe, et que le fait que j'y sois déjà, n'a pas l'air de beaucoup le déranger !
Je sens son sexe gluant se faufiler contre le mien dans la chatte de mon adorable petite chienne, elle gémit, d'autant que Bertrand, toujours à côté de nous, ne l'a pas lâchée et continue de lui triturer les bouts de seins et le clitoris, la pine du chien commence à prendre des proportions qui rendent la cohabitation difficile (dans cohabitation il y a « bite ») je m'extrais donc de sa connasse bien dilatée, que j'abandonne à Sultan, et je me présente devant son œillet.


Bertrand, toujours serviable, m'empoigne la queue et la guide doucement dans ses entrailles, et une fois que je suis bien rentré au fond de son cul, il se met à me masser les couilles. Je commence à apprécier le contact d'une main masculine sur mon chibre ou mes couilles pendant que je baise ou que j'encule ma chienne. Je le lui manifeste en le disant à ma femelle : « Oh oui j'aime qu'il me tienne la queue et qu'il me tripote les couilles, c'est bon, en plus, je sens bien cette pine qui te prend de l'autre côté, ma salope, tu dois bien la sentir, elle à l'air d'être vraiment grosse. »


Entre deux gémissements elle me répond : « qu'est-ce qu'elle me remplit bien, si tu savais comme elle est bonne, elle est grosse et dure. Oh le noud est à l'intérieur, ça y est, comme c'est bon, c'est énorme, tu le sens ? Maintenant il se met à gicler en moi, il me remplit de son foutre, putain que j'aime ça, quelle salope je deviens ! »
C'est vrai que je n'en reviens pas de voir la salope qu'elle est en train de devenir, mais j'avoue que ça me plaît et que ça m'excite énormément.


Jean-Marc, qui l'a aidée en lui tenant le buste, quand je me suis glissé sous elle, se trouve maintenant avec son sexe contre sa joue. Je vois ses grosses couilles se balancer devant mes yeux.
Je l'invite donc à la lui gober pour le remercier de lui prêter si aimablement son chien, ce qu'elle s'empresse de faire. Je regarde de par en dessous sa langue se promener sur ce gland brillant et lisse, j'attrape les couilles pour l'aider, je les caresse par-dessous. Elles sont lourdes et pleines, elle me sourit, d'un sourire déformé par le chibre qu'elle a dans la bouche. Elle le sort de sa bouche, et après un dernier coup de langue, me le tend, c'est l'occasion de savoir…

 

Je le regarde, il est beau, un gros gland, une tige bien longue et bien raide, un peu recourbée vers le haut. Sans hésiter, je sors la langue et la pose sur le gland, c'est lisse et doux, Jean-Marc me regarde dans les yeux, s'enfonce dans ma bouche avec un gémissement de satisfaction. Ma langue s'emploie à caresser ce gland, elle en fait le tour, se frotte avec insistance sur le frein. En dessous, je sens une goutte qui coule du méat, je l'aspire, c'est bon…  Il semble bien excité, et soudain, il se tend, je sens une giclée au fond de ma bouche. C’est surprenant, je m'attendais à quelque chose de salé et quand je l'avale, j'ai plutôt une impression de sucré. Ma femme, se rendant compte de ce qui se passe, me l'arrache et se l'enfourne dans la gorge pour la seconde giclée. Celle-ci, et les suivantes, sont pour elle. Rien ne se perd, elle déguste tout avec gourmandise et l'avale avec délectation.


N'en pouvant plus, de sentir le sexe de Sultan contre mes couilles et contre le mien dans le ventre de ma chienne et de la voir avaler le jus de la queue de Jean-Marc, je me répands en jets brulants au fond du cul de ma salope en un formidable cri de jouissance.


Je reprends conscience de ce qui se passe autour de nous et j'entends les gémissements de Caroline qui se fait toujours saillir par Bill. Il est calé maintenant au fond de son ventre, bloqué par la grosse boule à la base de son sexe, et lui envoie des flots de foutre animal, pour son plus grand plaisir puisque c'est ce qui la fait gémir de plus belle.
Bertrand qui nous a laissés depuis un instant, la tripote, lui malaxe ses belles mamelles et enfonce sa queue, redevenue dure, dans sa bouche.


Quand soudain la boule qui maintenait le sexe du chien bloqué en elle, sort de sa chatte, la pine s'échappe aussitôt, elle gémit de dépit de l'avoir laissé échapper et se laisse tomber sur le dos. Bertrand pour la consoler lui saisit la moule à pleine mains et la malaxe tandis que du sperme canin s'en écoule comme s'il y en avait des litres…

Il s'approche fasciné par le spectacle de cette fente dilatée, béante et coulante, elle attrape sa tête et se la colle sur sa chatte, le voila le visage plongé dans un flot de foutre animal, la bouche pleine de cette semence, il est surpris par le gout, puis se laisse aller et lui donne le plaisir qu'elle demande, il lui lèche la moule, come le ferait le chien, en promenant sa langue de bas en haut dans un mouvement large et enveloppant.
Elle hurle de bonheur quand dans un trait de génie, il plonge sa main entière dans cette fournaise gluante de foutre qu'il fait jaillir du même coup, l'expulsant de sa chatte en enfonçant sa main.


Il lui aspire le clitoris, puis à nouveau excité, il la saisit et roulant sur le côté se retrouve avec un gros sac de plage sous les reins, position certes un peu inconfortable, mais dont il réalise tout d'un coup l'avantage : il embroche Caroline, se coulant dans son vagin distendu et rempli de sperme canin et, lui écartant les fesses, il appelle Bill qui se précipite et la monte d'un coup.


Sentant la bite déjà bien en place dans la chatte de sa maitresse, il se plante dans son cul que Bertrand lui présentait en lui écartant les fesses.
Elle crie et l'insulte :
« T'es un salaud, tu sais bien que Sultan est trop gros pour mon cul. »
Il rigole et la ramone avec force tandis que le chien prend la cadence et qu'elle se met à ronronner de plaisir.
Jean-Marc sourit.
« C'est une vraie chienne et elle est insatiable. Et vous ma petite dame vous ne voulez pas recommencer avec Bill ? C'est un très bon mâle, très puissant mais très doux.
Ma femme hésite entre céder à la fatigue ou à son envie de baise. Je ne l'ai jamais vue comme ça ! Je la fais mettre à quatre pattes en la caressant tendrement. Jean-Marc dirige le chien qui la monte doucement. Jean-Marc positionne la bite du chien en face de son trou, il entre sans problème et d'une longue poussée dans sa chatte déjà bien spermée.


Décidément ces chiens sont des amants infatigables.
Caroline crie de plus en plus fort, Sultan grogne et la force tant il est serré dans la rosette. Bertrand la bourre à loisir disant qu'il adore défoncer sa chatte de chienne.

Jean-Marc et moi caressons ma femme.
Il s'occupe de ses mamelles et les presse comme s'il voulait la traire. Elle subit les assauts de Bill en couinant de plaisir de plus en plus fort. Il se positionne devant elle et lui enfonce d'autorité sa queue dans la bouche.
Il prend sa tête et c'est lui qui la fait coulisser sur sa tige, elle n'est plus que deux trous à bites. Le chien se vide de nouveau en elle, mais reste encore coincé, Jean-Marc explose au fond de sa gorge, la remplissant une nouvelle fois de sa bonne crème épaisse. Il lui en asperge une partie sur le visage, puis me laisse la place en reprenant ses caresses.

A mon tour je viens me faire sucer alors qu'elle jouit à nouveau. Le chien, en cherchant à se décoincer, lui procure orgasme sur orgasme.
Quelle chienne !!!

Caroline hurle, tandis que Bertrand jouit fortement en elle, Sultan la défonce et explose dans son cul.
Moi, je jouis dans la bouche de ma femme qui s'effondre épuisée quand Bill se détache d'elle, la laissant toute dégoulinante de son foutre chaud, mes mains se joignent à celles de Jean-Marc sur le corps tremblant de ma femme.
Caroline rampe jusqu'à nous et vient lécher ma queue ramollie et le foutre qui s'écoule sur les commissures des lèvres de ma femme puis se positionne entre ses jambes et elle lape ce qui s'écoule de sa chatte le partageant en alternance avec les chiens.

Epuisés, nous nous reposons un peu avant d'aller tous courir dans l'eau pour nous rafraîchir.

Etrangement ma femme n'arrête pas de jouer avec les deux chiens et Caroline….

Je présume que nous avons encore de belles partouzes à vivre tous ensemble, chiens y compris !!!

Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés