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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
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  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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Chers amis libertins, chères coquines,

 

Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...

 

J'espère que vous l'appréciez !

 

Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

Mes récits sont protégés par e-auteur.com

 

Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

A la demande de mon Maitre, je vais poursuivre le récit de ce week-end de plaisirs extrêmes…

 

Je me lève en début d’après-midi encore sous les relents du plaisir de la nuit. Il n’est pas là, je grignote un rien puis je prends un bain de soleil et somnole sur une chaise longue.

« Mets ça, » dit-il froidement, comme à son habitude.

 

Je sursaute, ne l’ayant pas entendu arriver. Par terre, il y a un collier de chien, une laisse, une paire de botte et un foulard. Je m’équipe sans broncher, et il me pose le foulard sur les yeux, je suis aveugle et à sa merci.

« Suis-moi. »

 

II m’entraine avec la laisse, nous marchons sur un chemin caillouteux puis à travers des branches qui frappent mes hanches et ma poitrine. Lorsqu’on s’arrête, il prend mes poignets qu’il attache, et il fait de même avec mes chevilles, je sens que je suis écartelée….  Il passe derrière moi et me détache le bandeau.

 

Nous sommes dans une clairière, et je suis attachée entre deux arbres, chacun de mes membres est reliés à un arbre par une corde.

« Tu vas être à moi sans limite, à moins que tu renonces maintenant au jeu, » dit il.

 

Comme je ne réponds pas, ce qui vaut acceptation de ma part, il se dirige vers un sac posé sur le sol duquel il extrait quelque chose. Il pose un baiser sur mes lèvres.

« Soit courageuse, » souffle-t-il.

 

Une légère inquiétude commence à me tordre le ventre. Il débouche un petit flacon et à l’aide d’un compte-goutte dépose sur chaque téton une perle liquide, puis il extrait un deuxième flacon qu’il approche de mon visage.

« Regarde à l’intérieur, il y a une colonie de fourmis. Je vais en déposer quelques-unes sur un sein. Lorsqu’elles atteindront ton téton droit ou gauche , tu devras dire : « Maître, veuillez chasser ces fourmis » et tendre tes seins vers l’avant. Alors à l’aide de ce ceinturon, je les ferais furi et cela  dix fois.

 

J’accepte ce jeu nouveau pour moi….

A l’aide d’une brindille, il extrait quelque bestioles qu’il dépose sur mon sein. A peine posées, les insectes parcourent ma peau, remontant vers mon téton. D’abord, cela chatouille, mais lorsqu’elles sont sur mon bout de sein, j’ai l’impression que mille aiguilles se plantent dans mes chairs. Au début, c’est excitant et je sens mon téton durcir, mais peu à peu ces piqûres deviennent plus intenses et douloureuses. Je prononce la phrase…

« Maître voulez-vous chasser les….

- Soit, si tu le demandes ! »

 

En prenant tout son temps, il a enroulé autour de son poignet la lanière large de quelques centimètres de son ceinturon.  Les morsures se font plus intenses, et je m’agite pour les chasser, mais rien n’y fait. Le sucre qu’il a déposé sur mes seins les attirent comme un aimant. Comme hypnotisée, jJe suis des yeux la langue de cuir qui brusquement écrase les bestioles.

Je hurle de douleur. Mon Maitre ricane :

« Ha ha, faut savoir ce que tu veux, » dit-il, et sans attendre une réponse, il dépose sur mon autre sein les fourmis.

Je suis de yeux la progression des insectes, et lorsqu’elles grimpent sur mon bout de sein, je lui demande de les chasser ? Mais en même temps, je retiens ma respiration, je sais que le cuir va claquer.

Je ne peux me retenir, et hurle à nouveau de douleur quand le cuir met en bouillie les fourmis.

 

Pourtant, je sens quelque chose de fort monter dans mon ventre, des larmes coulent sur mes joues, mais déjà d’autre bêtes courent sur mon globe, largement marqué de lignes violacées. Leur progression est douloureuse et je mords mes lèvres.

Une troisième langue de feu ravage mes chairs puis une quatrième.

Mes demandes deviennent un réflexe a la présence des fourmis….

A la dixième salve, je crie de douleur, mais la vague qui envahit mon ventre s’amplifie et je m’entends crier malgré moi :

« Oui plus fort .......... Prends-les ....... Ils sont à toi !!! »

 

Brusquement une volée de coups claque sur mes seins déjà blessés, je crie, me débats, je cherche à échapper à la danse de la langue de cuir.  Mais mon corps est coupé en deux le haut qui me fait hurler de douleur et le bas, où mon ventre s’agite sous la jouissance qui l’envahit. Un jet violent de pisse et de jouissance lui montre le plaisir que j’ai, ma jouissance est longue et n’en finit pas… il a soudain stoppé ses coups, et une deuxième vague de jouissance m’emporte dans un tourbillon et je m’écroule dans les cordes.

 

Ce sont des piqûres nouvelles sous les aisselles qui me réveillent. Mon Maitre caresse ma peau endolorie avec une branche d’ortie, elle laisse derrière elle de petites cloques

Je ne peux m’empêcher de protester :

« NON pas ça, j’ai trop mal !

- Ce n’est rien avec ce qui t’attend… »

 

Les feuilles tracent un chemin sur mon ventre et descendent sur mes cuisses. Il lâche cette tige pour prendre un bouquet de feuilles fraîches qu’il approche de ma vulve déjà rouge de désir.

« Tu vas être courageuse ma chérie. Je vais écraser ce bouquet de feuille sur tes lèvres, si tu hurles comme tout à l’heure, je te remets les fourmis sur ton trou du cul et tu verras ce que sera la suite. Mais tu peux décider d’arrêter tout de suite… »

 

Je le regarde bien face. Je veux jouir entre ses doigts être à lui, découvrir toujours plus avec lui.

« Jamais, » articulai-je fièrement.

 

A peine ai-je prononcer ces mots que le bouquet de feuilles vient caresser ma vulve, mais très vite retiré, il ne laisse que quelques traces. Il lit sur mon visage ce que je ressens. Je serre les lèvres et attend la suite, aussi stoïque que possible. Plusieurs fois, le bouquet revient, le temps entre deux caresses est tel que la douleur vient et repart avant que la suivante soit là, ainsi une vague m’envahit avant que la douleur des piqûres ne la chasse. Ce petit jeu dure, et plus le temps passe, plus j’ai mal et plus j’ai envie qu’il continue tant je sens que la vague de plaisir qui étreint mon ventre devient violente… Encore une fois, les feuilles se sont écrasées sur mes lèvres intimes, et je sens que je vais crier de plaisir ou de douleur.

 

Le bouquet s’est retiré et ma jouissance monte dans tout mon corps. Il est est dédié à ce plaisir, je ne fais plus qu’une avec.

Mais tout s’écroule quand une douleur d’une violence extrême déchire mes muqueuses, je crie comme jamais, je hurle ma douleur dans la nature déserte. Il écrase les bouquets sur mes petites lèvres, l’enfonce dans mon sexe, faisant naître dans mon vagin une brûlure indescriptible… Je me balance dans tous les sens pour échapper à cette brûlure, mais au fur et à mesure qu’elle diminue, mon corps s’agite dans tous les sens et un plaisir encore inconnu est en train de prendre possession de moi. Je jouis comme je n’ai encore jamais jouis de ma vie. Je crie, je hurle face à cette chose nouvelle que je ne peux contrôler. Tout à coup, mes seins brûlent, et à travers mes larmes, je vois le bouquet urticant qui les caresse.

 

Ma jouissance ne semble pas vouloir s’arrêter, j’ai l’impression de me regarder jouir, et j’observe ce long filet d’urine de mouille qui coule le long de mes cuisses. Soudain, le trou noir, je m’évanouis une nouvelle fois.

Quand je reprends conscience, il me fait face, il bande dur, sa queue épaisse montre un land énorme et congestionné, ainsi qu’un méat avec une perle de plaisir qui brille.

« Tu as hurlé ma salope, tu vas être corrigée !

- NON !!!!

- Demanderais-tu grâce, ma belle ? »

 

Je ne réponds pas, il passe derrière moi et caresse mes fesses, il les écarte, et je sens tout soudain les piqûres des fourmis

« NON ! je ne veux pas de ces monstres, aïe ! »

 

Déjà je crie, les bestioles ont envahi la raie de mon cul, et remontent lentement le long du périnée.

La première claque s’abat sur mes fesses, il frappe fort, alternant un gauche-droite qui enflamme mon cul. J’aime être fessée et surtout la jouissance qui l’accompagne, mais cette fois, les morsures des fourmis tuent tout plaisir, et je ressens encore plus la douleur…

Je serre les dents car j’ai peur de ce qu’il pourrait encore imaginer… J’ai le cul en feu, la chatte qui me brûle, les seins typer sensibles. Il détache mes poignets et chevilles et m’allonge sur le ventre à même le sol.

 

Je sens ses mains écarter mes fessiers et ses doigts parcourir ma vallée culière. Je perçois une caresse sur les bords de mon anneau froncé, ça pique. Tout à coup, je me rends compte qu’il est en train de me caresser la vallée avec des feuilles d’orties. Mais il est trop tard, je cherche à lui échapper. Il est assis sur mes cuisses, il m’en empêche. Brusquement, je sens son nœud frapper sur ma rondelle. Sous l’effet des brûlures, je me suis refermée, la porte est étroite. Son gland s’est posé sur la bague et pousse pour l’ouvrir. La brûlure présente m’oblige à serrer… Lentement son gland s’enfonce, viole l’étroit passage. J’ai mal, très mal, une douleur lancinante est là. Brusquement, sa tige s’enfonce dans mes entrailles sans ménagement. Je hurle de douleur.

 

Jamais je n’aurai autant crié de ma vie, eu aussi mal….

 

Il va et vient doucement, la brûlure se calme, sa main caresse ma chatte, ses doigts me pénètrent à travers la fine paroi il doit sentir sa tige et ses doigts je suis toute mouillée je n’ai plus mal qu’une envie celle de jouir.

C’est l’instant qu’il choisit pour écraser les seins sur le sol réveillant brusquement les zébrures violacées de mes nichons, je gémis de douleur.

Il en profite pour sortir et replonger son nœud dans mon cul j’ai très mal, mais tout mon ventre est en feu et mon cul remonte à la rencontre de sa bite pour qu’il s’enfonce encore plus violemment.

 

Un jet puissant cogne mes tripes, et une fois de plus, je jouis en hurlant mon plaisir.

 

Il se relève, me caresse la joue, et m’aide à me redresser. Presque tendrement, il me prend le bras, et me ramène dans la maison. Il me fait couler un bain, et m’aide à me glisser dans cette onde apaisante. Je reste un long moment à regarder mes blessures, à les calmer de petits jets d’eau froide. Suis-je folle, d’aimer autant cette douleur qui me fait jouir comme une dingue ???

 

Je sors du bain, et mets un peignoir. Il est là, qui m’attend dans le fauteuil Voltaire. Il me sourit, et nous dinons légèrement, avant de rentrer à Paris.

Il est mon Maitre, et j’attends avec impatience que nous recommencions, selon son bon vouloir….

Par Sophie de R. - Publié dans : Les plaisirs de la domination/soumission - Communauté : Récits Erotiques X
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