Avertissement : ce récit met en scène un homme dominateur et une femme soumise. Il est purement imaginaire, mais dans la réalité, la soumission doit être parfaitement consentie par les 2 participants.

Je viens d’appeler mon amie et coquine soumise Céline pour lui proposer un week-end à la campagne avec le minimum de bagage. Je dois la prendre vendredi à la sortie de son boulot et direction la Normandie où mes grands-parents m’ont laissé occuper leur petite maison avec un bois, le tout entouré d’un grand mur. Je sais que nous sortirons peu !

Il est vingt heures quand nous arrêtons pour manger à moins d’une demi-heure de notre destination. Dîner très détendu et plaisant… Nous nous taquinons sans cesse. Quand nous remontons en voiture, je remonte la jupe de Pauline très haut sur ses cuisses découvrant son minou imberbe. La coquine ne porte pas de culotte, comme je le lui ai ordonné au téléphone ! J’en profite pour lui intimer :

« Ecarte tes lèvres ! »

Docile, elle saisit entre pouce et index chacune de ses lèvres intimes, ouvre sa vulve à mon regard lubrique. J’adore quand elle obéit ainsi !  J’ai débouché un petit flacon et j’humecte plusieurs fois de son contenu le bout de mon index, avec lequel je viens masser ses petites lèvres, l’intérieur de ses grandes lèvres ainsi que son clito.

« Qu’est-ce que c’est ? » me demande-t-elle.

Une odeur de menthe poivrée se répand dans le véhicule.

« Une huile qui pourrait t’apporter beaucoup de plaisir… mais interdiction de te toucher ! »

Une fois de plus, elle obtempère, et j’admire son minou brillant d’huile… Nous reprenons notre route. Pauline a toujours sa robe remontée et je remarque qu’elle serre les cuisses.

J’interviens encore, un peu sec :

« Ecarte, interdiction de serrer !

- Mais j’ai envie, ton huile me donne chaud au creux du ventre…

- J’espères bien que tu as envie de sexe, on verra cela à la maison ! »

Enfin, nous arrivons, j’appuie sur la télécommande et le portail s’ouvre. Dans les phares de la voiture, on découvre un chemin de terre qui s’enfonce dans une abondante végétation, puis la maison est là.

Je me tourne vers elle pour un nouvel ordre :

« Reste ici, mais avant, donne tes mains. »

Je fixe à ses poignets une paire de menottes que j’attache au volant. Elle me regarde, étonnée, mais sans rien oser dire.

J’ajoute, un peu plus doucement :

« Comme cela tu n’auras pas de mauvaise pensée pendant que j’ouvre la maison… »

Quand je reviens au bout d’un quart d’heure, je plonge ma main entre les cuisses de Pauline et d’un doigt j’inspecte une chatte dégoulinante de mouille….

« Tu as joui ma salope c’était interdit...... Nous en reparlerons plus tard, pour l’instant je vais te faire visiter la maison. »

Je défais les menottes et nous pénétrons dans une grande pièce aux murs de pierre, aux poutres apparentes et au fond, il y a une grande cheminée où un feu crépite

« Déshabille-toi ! Jusqu’à ce que nous repartions tu n’auras pas besoin de vêtements En juin ici, il fait très bon dehors dans la journée. »

Elle ne répond pas et s’exécute. Je lui fais visiter la cuisine et lui montre la porte qui donne sur la cave.

« J’espère que tu n’auras pas l’occasion d’y faire un séjour ! »

En revenant dans la grande pièce, je remarque que Pauline regarde les poutres.

« Quelque chose te gène ?

- Oui, c’est quoi tous ces crochets ?

- Ils servaient à pendre le jambon et peut-être autre chose, on verra............ »

Je l’entraîne vers le haut, un couloir dessert trois chambres et une salle de bains.

« Ici c’est notre chambre, le grand lit pour moi, et le lit métallique dans le coin, c’est pour toi. Tu peux user de la salle de bain et après tu viendras t’étendre sur ce lit. »

Comme d’habitude, Pauline obéit, et à mon retour, elle est étendue sur le lit, fraichement douchée.

« Sur le dos, écarte les jambes ! »

A chaque cheville, je pose un bracelet de cuir que je relie par une chaîne au montant du lit.

« Ecarte les bras. »

Et là aussi, je fixe chaque poignée au barreau, puis pour éviter qu’elle ne bouge une bande de tissu la couvre du ventre jusque sous les seins, la plaquant au matelas.

« Tu vas dormir ainsi, mais avant je vais enduire ta chatte de mon huile à plaisir… »

Je masse sa vulve obligeant l’huile à pénétrer profondément dans les tissus humides. Je pose un baiser sur ces lèvres, avant de sortir.

« Tu me laisses seule ? »

Je ne réponds pas et éteint la lumière.

La vieille pendule sonne onze heures, voilà déjà une heure que Pauline est couchée, sans pouvoir bouger.

Avant d’ouvrir la porte j’entends un gémissement, j’ouvre et allume la lumière

« Détache-moi, dit-elle, j’ai envie, mon ventre est en feu !

- Comme tu es attachée, tu ne peux te satisfaire et je n’ai pas envie de te donner du plaisir, tout au moins pour l’instant…

- Mais… » proteste-elle faiblement.

 Je caresse ses seins, étire ses tétons, les roule entre mes doigts. Je peux lire sur son visage le plaisir qu’elle ressent… je masse de nouveau sa vulve avec l’huile, j’évite de m’attarder sur ses petites lèvres car je sens la jouissance très proche.

« A tout à l’heure, » dis-je en éteignant la lumière.

Je reprends mon bouquin au coin de la cheminée, et repense à tout ce que nous avons découvert comme plaisirs les semaines passées. Les douze coups de minuit me tirent de ma réflexion. Je rejoins la chambre, après avoir enfilé une robe de chambre de cachemire.

Pauline est toujours allongée sur le dos, mais elle se contorsionne cherchant le moyen d’arriver à la jouissance….

« Je vais te détacher du lit, mais attention, il t’est interdit de jouir avec tes mains ou en serrant les cuisses ! »

Je m’assoie dans un fauteuil Voltaire et me caresse la verge, la vue de son corps nue, de ses seins dont les pointes érigées se dressent, de sa vulve rose de désir, tout cela m’excite au plus haut point.

« A genoux, viens me sucer ! »

Sa bouche gobe mon gland et sa langue caresse le méat goulument. J’ai emprisonné ses globes épais dans mes mains et les malaxe au rythme de sa succion. Quand je sens son plaisir monter de bien loin, je la repousse. Je détache les menottes :

« Maintenant tu vas te caresser, mais uniquement avec ta main droite et après avoir enfilé ce gant de boxe. »

Je la vois hésiter un instant…

« Tu peux toujours refuser ! »

Elle prend le gant posé sur la table de nuit, l’enfile et pousse la boule cuir à l’intérieur de ses cuisses, puis écrase avec ses grandes lèvres boursouflées de désir. Son ventre se tortille sur cette boule rouge. Progressivement, elle accentue sa pression et écrase ses lèvres intimes à la recherche d’un plaisir introuvable. Je lis sur son visage un mélange de douleur et de plaisir que j’adore, et pousse mon excitation au plus haut.

« A genoux, viens me sucer, ordonnè-je sèchement.

- Je peux continuer à me caresser ?

- Bien sûr et très fort ! »

Lorsqu’elle est à genoux, elle écarte ses lèvres d’une main, et enfonce le gant de boxe à l’intérieur de sa vulve dégoulinante. Sa bouche glisse sur ma colonne tandis que sa langue caresse mon gland, ses lèvres remonte sur le nœud le pressant comme pour en extraire le jus. Tout à coup, je sens ses dents qui étreignent ma queue, tandis qu’elle est agitée de soubresauts. La garce va jouir…

Sa main gantée de cuir disparaît partiellement dans son con distendu. C’est pire qu’un fist !

Elle part dans une longue jouissance, j’ai pris sa tête entre mes mains pour lécher le coin de ses yeux où naissent les larmes, mélange de plaisir et douleur.

Elle se remet à aspirer mon gland tout en continuant de se caresser.

J’ai pris ses cheveux à pleine main et fait aller et venir sa bouche sans répit. Brusquement, je m’enfonce au plus profond de sa gorge, manquant de l’étouffer, et je lâche un violent jet de sperme. Elle aspire et pompe jusqu’à la dernière goutte, comme une bonne petite chienne.

Je la repousse et elle s’allonge sur le dos, cuisses grandes ouverte. Avec le doigt de cuir en crochet, elle fouille sa vulve, la retourne, livre à mon regard ses chairs intimes à la recherche d’une nouvelle jouissance.

Je l’observe un moment, excité par ce corps de femme livré à son propre plaisir. Les jouissances s’enchaînent les unes derrière les autres, une flaque de mouille mélangée avec de l’urine s’étend sur le plancher.

Je m’agenouille entre ses cuisses, remonte ses jambes sur mes épaules, présentant ainsi son sexe baillant à ma vue dépravée. Je caresse de mon nœud son abricot écarlate, bute sur le clitoris, caresse de nouveau l’extérieur de sa vulve, glissant le long de la cuisse avant de caresser le nouveau le clito.

Je me redresse m’éloigne de quelques dizaines de centimètres et d’un violent coup de rein, je m’enfonce en elle. Elle lâche un cri de douleur, tandis que ses jambes se referment autour de mon cou pour me retenir au plus profond d’elle. Je repousse l’étreinte, sorts et replonge à nouveau dans son ventre lui tirant à chaque fois un cri plus violent que le précédent

Puis brusquement, une houle envahit tout son ventre, qui monte et descend au rythme de la pénétration, elle tend son corps comme un arc. Quand sa jouissance jaillit, je profite de cet instant pour l’inonder de mo foutre blanc.

Je m’affale contre elle, et nous nous endormons dans le même lit. J’ai failli à ma règle…

C’est la fraîcheur de l’aube qui surprendra nos corps nus enlacés dans la chambre.

A suivre.