Qui suis-je ?

  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Chers amis libertins, chères coquines,


Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...


J'espère que vous l'appréciez !


Je voudrais vous informer que mes textes sont dorénavant protégés par un copyright, qui garantit la propriété intellectuelle. Toute copie non autorisée des textes de ce blog est donc formellement interdite. Toute infraction constatée sera sanctionnée selon les textes en vigueur.

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Mais je suis tout à fait disposée à vous en autoriser la copie sur votre site, si vous me le demandez au préalable !

Bises libertines,
Sophie

Laurence, devenue hypersexuelle à cause de son mari.

ela fait quelques temps que je visite ce site sur le candaulisme de Phil et d’Olga, par amusement.

Il me parut d’abord très bizarre (quelle idée de se satisfaire d’être trompé par son épouse ?). Mais à la lecture, j’ai compris les ressorts qui animent vos désirs, et je dois dire que les récits m’ont intrigué.


Mon épouse Laurence est une jolie brunette avec tout ce qu’il faut pour rendre un homme heureux, mais il est vrai que nous sommes désormais tombés dans une certaine routine, et nous sommes plutôt tendrement amoureux que toujours à chercher un coin pour la baise !
Elle est de plus très « les pieds sur terre » et je ne me serai pas risqué à lui proposer quoi que ce soit de fantaisiste, comme de lui suggérer un amant !
Pourtant, lors d’une récente relation, un matin, et après que j’eus consulté plusieurs fois votre site, j’ai tenté une expérience…
Elle avait du mal à prendre son plaisir, me semblait peu excitée. Je lui faisais un cunni et, n’ayant plus de salive, j’ai du m’interrompre pour aller boire un verre d’eau.
En revenant, je lui ai dit, en plaisantant : « on est tombé dans la routine, tu devrais te trouver un petit copain, ça nous stimulerait tous les deux… ».
Elle ne répondit : « tu crois que j’ai que ça à faire de tomber amoureuse ! ».
- Il ne s’agit pas de ça, c’est juste pour la bagatelle, avec le livreur de Maximo, par exemple. »


Elle rit, mais je poussais mon avantage : je la prenais dans mes bras et lui soufflais d’un air énamouré :
- Oh, madame K, ils sont splendides, m’autorisez-vous à caresser vos si jolis seins ?
Et je la pelotais avidement, suçant ses tétons qui s’érigeaient soudain. Il faut dire que sa poitrine est lourde et elle devient très ferme sous les caresses, c’est un régal.
« Monsieur K doit bien se régaler, chaque soir ! Fermez les yeux et laissez-vous aller… »

J’ai continué mon manège en l’embrassant dans le cou, puis, j’ai posé ma main sur sa tendre chatte et je l’ai presque retirée sous la surprise : elle était trempée !
Elle, si réservée, semblait formidablement troublée par l’évocation du livreur de l’épicerie…
Inutile de préciser que je me suis empressé de passer à l’acte…
« Vous aviez déjà fait l’amour dans votre cuisine ? poursuivis-je en m’engageant en elle.
Elle ne répondit rien, mais dégusta tranquillement, les yeux fermés, la frénétique copulation que lui prodiguais.

 

C’était il y a une quinzaine de jours. Depuis, les choses ont sacrément évolué…

 

Deux jours plus tard, elle m’expliqua qu’elle avait retrouvé, sur Facebook, une copine d’enfance qui travaille à Paris, et qu’elle souhaitait dîner un soir, avant de rentrer. Je ne fus pas étonné, nous venions tous les deux de découvrir cet outil et de renouer avec d’anciens amis. Dans la journée, j’allais par curiosité me connecter sur Facebook avec son identifiant (c’est moi qui lui avais créé son compte). Je précise qu’avec le recul, je ne suis pas très fier d’avoir commis cette intrusion, encore qu’à ce moment-là, je ne pensais pas que c’en fut une…
Je pus constater qu’un certain Bruno, qu’elle avait apparemment connu à la fac lui avait depuis quelques temps laissé des messages pour le moins ambigüs sur une éventualité de venir dîner dans son quartier. Elle n’avait répondu à aucun, sauf le dernier, la veille, par un « D’accord, je peux demain soir, en tout bien tout honneur. »

Quelques minutes plus tard, la coquine m’envoya un mail pour me rappeler qu’elle rentrerait tard. Je lui répondais que je m’occupais de tout à la maison, et qu’elle n’avait qu’à me téléphoner pour que j’aille la chercher à la gare.


Un comble ! Je n’avais aucune preuve, bien sûr, mais quoi ! J’attendrai tranquillement à la maison, en faisant manger les gosses et en faisant la vaisselle, pendant que mon épouse se ferait sauter, puis j’irai jouer les chauffeurs !
Un zeste de fierté probablement mal placé me titillait, mais aussi, et c’est là que je voulais en venir, une sorte d’excitation à me trouver dans cette situation…
Le soir, elle appela vers 23h30, je pris la voiture et lorsqu’elle monta dedans, je pus constater qu’elle avait fait des efforts vestimentaires… Sa jupe droite très sexy mettait en valeur le galbe de ses jambes et le chemisier était assez échancré sur inspirer des idées lubriques, mais je ne relevais pas ce point.
« Tu as passé une bonne soirée ? lui demandais-je innocemment.
- Excellente, oui, et toi ? » répondit-elle seulement, et je la trouvais un peu mystérieuse. Elle était généralement plus loquace…


Arrivés à la maison, j’attendais que nous soyons sur le point de nous déshabiller pour l’enlacer et l’embrasser dans le cou. Elle tenta de me repousser mais je fis part d’un désir irrépressible.
« Il faut que j’aille me laver, dit-elle
- Tu te laveras après, c’est plus logique, répondis-je, et j’ajoutais : j’en ai pour une seconde ! »
Je ne croyais pas si bien dire...
Je l’allongeais sur le lit et fourrais mon groin sous sa jupe et ce fut délicieux. Toute chaude, sa chatte semblait un peu irritée et ne fit aucune difficulté à s’ouvrir lorsque j’y glissais deux, puis trois doigts.
Là, je dois dire que je me suis un peu comporté en soudard, et j’ai pénétré mon épouse avec une facilité qui en disait long sur son prétendu dîner au restaurant !

Tout en lui faisant l’amour, j’ouvris son chemisier et défis son soutien gorge, et là, j’éjaculais instantanément ! Sa poitrine sentait le foutre à plein nez ! Le sagouin avait du se vider les burnes sur la poitrine de mon épouse !
Je m’excusais pour la piètre qualité de ma prestation, l’embrassais tendrement d’un baiser que Laurence me rendit et je la laissais aller se laver...
J’étais devenu cocu. Et ma réaction montrait à l’évidence que j’en avais joui !
Je ne me connaissais plus, et surtout, je ne reconnaissais plus Laurence !
Elle vint se coucher et nous éteignirent la lumière.
« Bonne nuit ma chérie », susurrais-je.
Elle vint se lover près de moi.
« C’est bizarre, tu sais, je me sens un peu… bizarre, depuis ce week-end… »
Je la laissais venir…
« Depuis tes histoires de livreur, tu sais… (je voyais venir le coup, elle allait tout mettre sur ma responsabilité !), je me sens un peu plus émoustillée par les hommes, j’ai souvent des symptômes bizarres… »
Bizarre, bizarre, oui, comme c’est bizarre.
Je me faisais disert : « Ben écoute, c’est sans doute normal, tu as peut-être découvert là un fantasme que tu refoulais et ça te perturbe… Mais bon, c’est pas dramatique, même si tu devais ressentir une attirance pour quelqu’un, on n’en ferait pas tout un fromage, quoi, il faut vivre ta vie. De toute façon, c’est moi que tu aimes, non ?
- C’est dingue que tu réagisses comme ça ! Alors si j’avais une aventure, tu le supporterais !
- Bien sûr mon amour ! Au contraire ! Regarde, depuis mon livreur, comme tu dis, on a fait l’amour deux fois en trois jours, ce qui est franchement inhabituel… Déculpabilise, vis pleinement ta vie, éclate-toi, je ne veux que ton bonheur, mais ce que je souhaite, c’est avoir toujours la primeur de ton amour. »


C’était beau comme du Marivaux !
Elle s’est lovée plus fort contre moi, a eu un moment d’émotion, une hésitation. J’ai cru qu’elle allait m’avouer quelque chose, mais non, elle m’a fait un petit baiser et m’a dit « je t’aime », puis « bonne nuit », et elle s’est tournée.
J’étais bien sûr complètement dépassé. J’avais, avec mes conneries, allumé une bombe ! Bien sûr, je pouvais me vanter d’avoir révélé ma femme à sa sexualité, mais j’espérais quand même en être le principal bénéficiaire ! Au lieu de cela, les événements dérapaient salement !
Je décidais de reprendre le contrôle de la situation.

 

Réalisant enfin mon fantasme, mon épouse Laurence a désormais un amant. En fouillant dans le compte Facebook de Laurence, je découvrais l’identité du fameux rendez-vous du mardi. Un certain Bruno, donc. Dès le lendemain, j’interceptais ce mec, un barbu avec une écharpe, genre poète à la con, au sortir de son boulot.
« Monsieur, vous êtes bien Bruno Marchepied ?
- A qui ai-je l’honneur ?
- Je suis Thierry K, le mari de Laurence, je peux vous offrir un café ? »
Le gars flippa, mais le fait qu’on se voit dans un lieu public devait le rassurer. Nous nous installâmes au fond d’un café, et j’embrayais direct sur l’affaire.
« Bon je ne suis pas venu vous faire des reproches. J’ai joué avec le feu et maintenant ma femme commence à se lâcher. C’est ma faute. Mais je veux rester maître du jeu, et pour ça, je compte sur vous.
- Sur moi ?
- Je compte sur vous pour l’éduquer en douceur, sans lui faire de mal. Je compte sur vous pour la guider dans la voie vers l’épanouissement. »


Le gars devait se dire que j’étais complètement malade ! Et je dois dire aujourd’hui que c’était effectivement le cas.
« Vous devrez me faire des rapports réguliers des progrès de mon épouse, par mail…
- Sinon ?
- Sinon mon cher ami, c’est pas dur, je vous casse la gueule. »

Là, le gars senti dans ma voix quelque chose de déterminé. Il n’avait pas le choix.
En rentrant à la maison ce soir-là, j’étais content de moi. Au détour d’une conversation, Laurence me dit qu’elle allait revoir ses copines de Facebook, le lendemain soir, et je me félicitais d’avoir désormais un espion de ses agissements. Je me couchais ce soir-là sans penser à câliner Laurence, tout à mon attente du rapport qui tomberait le lendemain…
Pourtant, mon épouse vint se lover contre moi un ou deux fois. Elle était chaude, mais c’était comme si je ne la désirais désormais que par personne interposée.

Le lendemain, je passais donc la soirée seul, attendant qu’elle appelle pour que j’aille la chercher à la gare, mais le rapport de Bruno tomba sur mon mail avant le coup de fil de Laurence.
« Bonsoir. Votre femme vient de partir prendre son RER. Ce soir, elle est arrivée directement chez moi. Quand elle a sonné, j’ai ouvert la porte en me cachant derrière elle. Après qu’elle ait fait trois pas dans l’entrée, sans qu’elle me voie, je lui ai ordonné de se dévêtir, là, dans l’entrée. Ce qu’elle a fait. Puis, je lui ai ordonné d’aller se mettre à quatre pattes sur mon lit, prête à être saillie, ce qu’elle a fait. Je me suis approché d’elle par derrière, lui ai mis un bandeau sur les yeux. Puis, j’ai attendu cinq minutes sans faire un geste.

« Tu es là ? » demandait-elle. « C’est toi ? » Sa croupe offerte était très excitante, mais je me suis retenu. Puis, j’ai laissé traîner mes mains partout sur elle. Elle gémissait de plaisir. « C’est bien toi ? Tu es seul ? Vous êtes combien ? » Cette petite chienne espérait peut-être qu’on soit quinze ! Vous avez vraiment une belle salope dans votre lit, monsieur K. Je lui ai répondu, enfin, que j’étais désormais son maître, et qu’elle devait toujours faire ce que je lui imposerai. Elle m’a répondu, spontanément « oui, maître », et j’ai répondu qu’on commencerait les épreuves le mardi prochain. Que pour ce soir, ça suffisait, qu’elle allait rentrer chez elle et tout raconter à son mari. C’est ce qu’elle a fait, elle n’a pas été prise ce soir, occupez-vous en si ça vous chante. Profitez-en bien car mardi prochain, je pourrai lui interdire de vous satisfaire… »

Voilà le contenu de son mail, de ce grand imbécile ! Il prenait décidément son rôle très à cœur ! Sur ce, le téléphone sonna et je fonçais aller chercher ma belle salope. Lorsqu’elle entra dans la voiture, elle m’invita d’emblée à ne pas redémarrer, et qu’elle avait quelque chose à me dire. Elle me demanda de l’écouter jusqu’au bout sans l’interrompre.


« Depuis l’autre week-end, il s’est produit un changement total en moi, et je crois que je suis en train de devenir complètement folle. Mardi dernier, je ne suis pas allée dîner avec une copine, mais avec un ancien collègue de fac, et j’ai fait l’amour avec lui. Puis, trois jours plus tard, c’est avec le livreur de Picard que j’ai fait l’amour, sur notre lit, avec un de tes préservatifs. Samedi, au taï chi, les deux types qui me draguaient depuis des semaines sans succès m’ont sauté comme une vraie salope, en double pénétration dans le vestiaire. Là, je reviens de chez mon collègue du mardi. Il ne m’a pas fait l’amour. Il m’a juste fait adopter une position de soumise et m’a dit qu’il serait désormais mon maître, et j’ai accepté. Voilà. Je ne me reconnais plus mais je sais deux choses : la première c’est que je t’aime toi seul comme je ne t’avais jamais aimé, et la seconde, c’est que c’est trop génial pour que j’arrête l’aventure maintenant. Voilà, décide de ce que tu fais de moi. »

J’ai redémarré. Nous sommes rentrés à la maison sans un mot. Nous nous sommes couchés, Laurence est venue se blottir contre moi, et j’ai caressé sa douce chevelure. Puis, j’ai décidé de me lancer :
« Je crois que le rôle d’un mari, c’est pas seulement de rester un mari quand tout va bien et fuir les épreuves quand elles se présentent. Je dois être aussi ton meilleur ami, ton repère. Je dois veiller à ton bonheur. Si ton bonheur pour l’instant consiste à explorer cette partie cachée que tu découvres en toi, je ne peux que t’accompagner sur ce chemin… »
Elle m’embrassa avec effusion et me dit « merci ».
Je venais d’entrer dans le club des cocus volontaires, mais je n’étais plus sûr d’en être si heureux que cela.

La vie continuait. Le livreur de Picard ne passe qu’une fois par mois, il y a bien celui de Maxximo mais bon Laurence avait quand même sa dignité, elle n’allait pas sauter sur tout ce qui bouge, tant pis pour Maxximo, il n‘avait qu’à passer une semaine plus tôt…
Le samedi, c’était les vacances scolaires et nos enfants furent confiés à mes beaux-parents, à la campagne, et il n’y avait pas taï chi non plus, donc, pas de baise au gymnase.
Laurence passa donc une semaine bien tranquille auprès de son gentil mari. Le soir, elle lisait et moi je faisais des sodokus. Le pied. C’était à se demander si tout cela n’était pas un mauvais rêve…


Et puis, le mardi suivant arriva.


Je vis l’instant où Laurence allait baisser pavillon, renoncer à ses chimères, mais non, le matin même, elle m’expliqua qu’elle rentrerait tard. La lassitude me prit et je lui répondis que « d’accord, téléphone-moi, je viendrai te chercher à la gare. » Le soir, j’attendis, seul, dans cette grande maison, à la fois inquiet et surexcité.
Une panne de mon fournisseur d’accès à internet m’empêcha de lire mes mails, et je commençais à me morfondre, lorsque le téléphone sonna et que Marie me demanda de venir la chercher, ce qui fut fait en deux minutes. Laurence était visiblement fourbue.

 

Son rimmel était parti en eau de boudin, et elle semblait avoir du mal à marcher…
Alors, il ne fut question de rien, et nous nous endormîmes. Enfin, elle. Moi, je tournais plusieurs heures dans mon lit avant de trouver le sommeil.

Le lendemain, du boulot, j’interrogeais ma boîte perso et tombais sur deux messages de l’autre enfoiré de Bruno. Je lus le second, dernier arrivé, en premier, machinalement :
« Dis donc, connard, tu pourrais répondre lorsque je te pose une question ! ».
J’étais scié ! Comment cet imbécile osait-il me parler ? Curieux, j’ouvrais son premier message, arrivé avant :
« Salut cocu ! commençait-il. Qu’est ce qu’on a pu se vider les couilles avec ta salope, ce soir, moi et mes potes, c’est dingue ! Et elle en redemandait encore ! On était six à se la taper et elle réclamait encore de la bite après nous avoir complètement essorés ! Moi, je vais pas pouvoir m’en occuper plus que ça, hein, c’est vraiment trop de boulot, j’ai pas que ça à foutre non plus, hein, va falloir que je sous-traite !
Quand elle est arrivée chez moi, on avait, moi et mes potes, déjà un peu commencé la soirée à la bière. J’ai dit à ta femme de faire le service, mais complètement à poil, bien sûr. Elle, sublime de perversité, avait enfilé un petit tablier de boniche qu’elle avait trouvé dans la cuisine, qui la rendait encore plus nue que nue ! Les mains baladeuses y allaient de bon cœur. Et puis, j’ai ordonné qu’elle se branle de partout avec un énorme godemiché que j’avais ramené d’un voyage au Japon et après on lui est tous passé dessus, devant, derrière, les deux en même temps, c’était dingue ! Elle couinait comme une chienne, ta meuf.
Mon moment préféré, c’est quand je me suis mis sur le canapé, qu’elle est venue s’empaler rectalement sur moi, en me tournant le dos, et que mes cinq copains sont venus la pratiquer par devant à tour de rôle ! Homérique ! Dantesque ! Après, on lui a refait la façade au jus de pine, t’aurais du voir ça… C’était chouette, mais ça nous a vraiment crevé, tout çà. C’est pas pour râler, mais quand même. Nous, faut nous comprendre, s’amuser un peu, on n’est pas contre, faire jouir ta femme, c’est pas si désagréable que ça, mais on a aussi notre travail, on se lève tôt le matin, alors tu seras gentil, mardi prochain, de lui confier un peu de blé, histoire qu’on ait le sentiment de rentrer un peu dans nos frais, quoi, une participation, moi, je trouverais ça normal, quoi.
D’autant que vendredi prochain, Régis (un copain) a promis de faire venir ses équipiers du club de rugby pour qu’ils puissent se défouler un peu sur ta meuf, ça va me faire des frais de bière. Disons 500 euros et on est quitte. Bon, j’attends ta réponse, mais grouille ! Sinon, ta meuf, faudra que t’aille la faire tirer ailleurs, on n’a pas non plus que ça à foutre ! Salut. »

Là, c’était clair, il fallait arrêter ! Laurence était traitée de la façon la plus ignoble qui soit, c’était insupportable !
Je renvoyais à ce paltoquet un mail sans équivoque :
« Espèce de malotru ! Je vous croyais digne de confiance, mais vous n’êtes qu’un malappris ! Je romps toute relation avec vous et je compte que Laurence ne vous revoit jamais ! ».

Voilà qui était envoyé ! Et je pensais être bien tranquille avec ce connard, désormais…

Je pensais m'être débarrassé de Bruno, l'amant dominateur de Laurence. Erreur !
Le vendredi suivant, je posais ma journée afin de rester auprès de ma tendre épouse, désireux de la soustraire à ces brutes.
Nous fîmes les courses ensemble, une promenade en forêt, un petit repas en tête à tête à midi et une sieste tendre (non crapuleuse) lorsque nous fûmes réveillés par la sonnerie de l’entrée.
J’allais ouvrir et fus balayé par un groupe d’excités d’une vingtaine de gaillards complètement déjantés.
« Non mais dites donc, dis-je, où vous croyez-vous ! »
Le fameux Bruno se détacha du groupe de salopards qui commençaient à fouiller partout et lâcha « Ta gueule, cocu ! Envoie-nous ta meuf ! »


Laurence descendait à l’instant.
« Ici ! lui lança le grand connard, et elle vint se placer près de lui.
- Laurence ! criais-je, il faut lui dire que tout est rompu désormais ! »


Mais mon épouse semblait soumise.
« Enlève ce peignoir, et expose ton cul sur le canapé », ordonna Bruno, et Laurence se retrouva nue, majestueuse, s’avança dignement vers le canapé du salon, y déposa les genoux, puis cambra sa croupe nue et offerte en s’appuyant langoureusement sur le dossier. Ses formes pulpeuses exposées me firent basculer dans une ambiance irréelle. Les orifices de mon épouse semblaient largement dilatés et accueillants. Elle entr’ouvrit aussi ses lèvres, pour accueillir les éventuelles queues de ceux qui passeraient derrière le canapé.


Je fis un geste vers le téléphone avec la ferme intention d’appeler police secours, mais un autre dépravé m’arrêta net et me cria « Tu bouges pas de là, et d’ailleurs tu vas me sucer, bordel, pour que je puisse niquer ta meuf ! ».
Je touchais au fond de l’abîme, du moins le croyais-je…


Vaincu, je dus me mettre à genoux et sucer toutes ces bites les unes après les autres avant qu’elles aillent honorer les méats de ma chérie dont les cris de jouissance me parvenaient à travers mon propre trouble… car ces bites raides que je prenais en bouche me chaviraient un peu, jusqu’à y prendre goût, finalement.
J’entendais les cris et les suppliques de Laurence :
« Oui, allez-y, c’est génial. C’est tellement meilleur devant mon mari ! Tu vois chéri comme elle se fait bien mettre, ta gentille épouse ? Regarde bien comme elle est accueillante ! C’est pour toi, tout ça, c’est pour t’exciter ! Tu vois comme ils me mettent bien de partout ? Tu vois comme ils me font du bien ? Continuez, les gars, n’arrêtez pas ! Enfilez-moi tous ! Il voulait que je me débride, il voulait me dépraver, ça lui fait plaisir alors ne vous gênez pas !»

Ils n’avaient effectivement pas l’air de gens qui se gênent beaucoup…
Pour ma part, je fus dénudé, branlé, sodomisé, et perdit la notion du temps. Cela durant jusqu’à la nuit, lorsque je refis surface, seul dans mon salon, complètement à poil, et que j’entendis la clé fourrager dans la porte d’entrée.
Madame Duchaussoy, la voisine, entra, à petits pas, et, se penchant vers moi, me demanda si ça allait…
« Comme un charme ! crus-je bon de répondre avec peut être un soupçon d’ironie…
- Votre épouse m’a laissé les clefs, dit-elle. Elle s’inquiétait pour vous…
- Merci, merci ma bonne dame. Mais où est-elle ?
- Elle est partie avec une bande de motards, et elle m’a dit de veiller sur vous parce qu’elle ne pense pas rentrer… Ni ce soir ni demain… Enfin, vous me comprenez ? »

Une grande lassitude me vint.
« Ne vous en faites pas pour nous, madame Duchaussoy, on a un peu fait la fête, là, mais tout va rentrer dans l’ordre, rentrez chez vous, tout ira bien… ».
La bonne dame repartit, probablement rassurée.

Le salon était dans un état pas possible. Il y avait des capotes et du foutre partout. A l’étage, la chambre était sans dessus dessous.
Je ne suis mis à ma table de travail, dans mon bureau, et j’ai pris la peine d’écrire ces quelques mots avant de prendre la moindre décision.

Puis, j’ai rangé, et je me suis endormi épuisé, seulement réveillé par les premiers rayons d’un hardant soleil. Je suis allé prendre un bain. Bien sûr, je n’y étais pas depuis trente secondes que j’entendis sonner. J’ai regardé par la fenêtre et j’ai aperçu Laurence, bien proprette, qui rentrait avec les gosses, qu’on avait confié à ses parents. Je me suis précipité et leur ai ouvert.
Heureusement que j’avais rangé.
Nous passâmes un tranquille week-end en famille.
C’est seulement le dimanche soir que Laurence me dit que tout cela était terminé. C’était une parenthèse dans sa vie. C’est moi qu’elle aimait, ses enfants, son travail, et qu’elle ne souhaitait rien de mieux.
« Simplement, rajouta-t-elle quand même, de temps en temps, il faudra m’autoriser une petite folie sans conséquence, tu veux bien ? »
Je redoutais un peu ce que signifiait pour elle une « petite folie », mais il ne faut pas se masquer la vue, dans la même seconde, je sentis le sang affluer vigoureusement dans mes corps caverneux (en clair, je bandais).
« Oui, ma chérie, un mari doit tenir compte des moindres désirs de son épouse. Dis-moi quand tu voudras un peu de… croustillant, et je te promets de t’accompagner dans ta volupté. »


Nous nous sommes tendrement endormis dans les bras l’un de l’autre, avec l’intention de rester fidèle l’un à l’autre.…

 

Ma femme Laurence est pourtant allée très loin dans ses débauches.
Nous sommes partis dix jours en vacances en famille, avec Laurence et les enfants dans une charmante petite île de la Méditerranée.

La première semaine se passa fort tranquillement. Repos, bronzette, promenades sur la plage, je pensais bien avoir tourné la page des turpitudes. La journée, souvent, les enfants allaient au club-ados, et nous avions quelques heures pour nous câliner normalement, tendrement, en fin quoi pas comme des bêtes !


Un matin, nous avions pris rendez-vous avec le photographe de l’hôtel, un grand black, pour qu’il nous fasse des photos-souvenirs sur fond de falaise, c’était cool. J’avais bien vu qu’il regardait Laurence avec intérêt, mais bon, il restait très correct. J’ai bien vu aussi que ça plaisait bien à ma femme de poser pour ce type, dans les quelques clichés qu’il a fait d’elle toute seule, mais bon, les choses en sont restées là…
Et puis, le soir, après le repas, Laurence me fait : « si on mettait les enfants à la soirée karaoké et qu’on fasse un tour à la boîte Disco ? ».

Et elle va se changer, pour réapparaître un quart d’heure plus tard très craquante dans un débardeur à coller le vertige à Gaston Rebuffat !

Nous partons vers la petite boite disco. Devant la porte, Laurence me fait : « ce serait rigolo si on n’entrait pas ensemble, on ferait comme si on ne se connaissait pas ! ».

Je lui disais alors que j’allais me chercher un paquet de cigarettes et que je la rejoignais. Décision d’autant plus méritoire que je ne fume pas, elle le sait très bien…
Je fais, un peu nerveusement, je dois dire, trois fois le tour des magasins de l’hôtel et j’entre dans la boite, encore presque vide, pour découvrir Laurence, accoudée au bar, riant à gorge déployée, aux cotés de qui ? Ben, de cet enfoiré de photographe, bien sûr !
Je prends une table, dans un coin, et je mate à mort, et ça vaut le détour. Le type doit être drôlement spirituel pour la faire marrer comme ça ! Et puis amical, aussi ! Il lui arrive de passer son bras droit derrière elle, délicatement, et de lui prendre la taille. Bien sûr, elle ne voit rien de choquant là-dedans, hein, on est en vacances !
Je décide de mettre un terme à cet échange tout à fait intéressant, me lève, et me dirige vivement vers mon épouse.
Elle doit me sentir arriver car elle se retourne, rayonnante, et m’accueille avec un large sourire :
« Oh, chéri, c’est super, Omar me propose de faire de nouvelles photos de moi ! ».
Qu’est ce que je pouvais répondre à ça ?
- Ah, ouais, bien sûr, super… On voit ça demain, hein, chérie… Là, on va y aller… »

Le type devait s’y connaître en gonzesses, le salaud ! Il fait : « Ok pour demain, mais je vous offre un verre ! »
Il avait d’autant moins de mérite qu’au bar, pour les pensions complètes, le whisky était gratuit…
Aller, Scotch pour tout le monde ! Sauf menthe à l’eau pour Laurence, et le type aussi, lui, prétextant être sportif.


L’ambiance m’a finalement parue de plus en plus sympa, après quelques whisky, et lorsqu’ Omar a proposé de finir la soirée autour d’une bouteille de Champagne dans son bungalow : on a tous trouvé ça génial.
On est arrivé dans son bungalow après avoir monté plusieurs dizaines de marches, j’étais crevé, et je me suis affalé dans un fauteuil aussitôt arrivé.
Le gars nous a présenté son co-turne, un autre black, un type obscène qui travaillait avec lui à l’accueil de l’hôtel. Obscène parce qu’à travers son bermuda, on voyait le renflement monstrueux d’une énorme bite turgescente.
Mais bon, je suivais le mouvement.
Là, ça c’est un peu brouillé. Laurence s’est assise dans un canapé, un black de part et d’autre, et elle riait de plus belle.


Et puis, j’ai dit en sortant mon portable : « je vous prends en photo à mon tour ».
Là, j’eus l’impression d’être dans un porno. J’ai vu Laurence se trémousser entre les deux gars qui avaient sortis leur braquemard d’un coup. Elle a bien sûr commencé par vérifier que c’était des vrais et qu’ils avaient le même goût que ceux des blancs.
Je vis ma femme s’esquinter les lèvres pour gober ces trucs énormes.


Puis, je pense qu’ils m’ont carrément oublié, tous les trois. Laurence a envoyé son débardeur en l’air, a posé son pantalon, et elle s’est agenouillée pour mieux sucer l’un pendant que l’autre la préparait, puis l’enfilait sauvagement. Puis, elle changea de membre et les autres de rôles. Je pris de nombreuses photos, malheureusement de qualité médiocre.
J’eus alors tout le loisir de regarder ma chérie en prendre de partout. Ils l’aimaient à la fois tendrement, mais puissamment.
Une fois, Laurence se tourna vers moi. Elle chevauchait un de ces amants et le second lui préparait l’anus pour s’y engager. Elle me demanda : « Tu aimes ça, hein, chéri ? Me voir comme ça, tu aimes, hein ? »


Elle n’écouta pas ma réponse, l’autre venait de lui introduire d’un coup ses vingt centimètres dans le rectum !
Je tirai une photo en m’appliquant au mieux, puis une autre, mais mon portable saturait.
Je le rangeais et sortais mon sexe endolori par l’enfermement.
Je me suis approché de Laurence en contournant le canapé et j’ai pris sa tête entre mes mains pour l’embrasser.
Omar, qui la sodomisait, me dit : « Vous en avez de la chance d’avoir une si jolie femme. »
J’embrassais Laurence à pleine bouche. Elle me dit : « C’est bon, tu sais, ce qu’ils me font, j’adore ça, mais c’est toi que j’aime ! »

 

Sûr que ça fait chaud au cœur…
Je montais mon sexe à hauteur de son visage et éjaculais entre ses lèvres.
Omar se retira, ôta son condom et se lâcha sur les fesses de Laurence. Elle était visiblement épuisée, mais l’autre n’en avait pas encore assez. Il la fit se mettre en levrette sur le canapé et lui pratiqua une sodomie impeccable, totale. Laurence se tut, comme en transe, tremblante de tout son corps. Elle dégustait comme jamais ça ne lui était arrivé. Le gars était si rapide dans le méat de la douce que j’eus peur, un instant, d’une rupture de préservatif.
Le gars s’épuisa à son tour, retira la capote et se lâcha sur les fesses de ma belle enculée.

Tout le monde mit quelques minutes à reprendre ses esprits. Nous embrassâmes tendrement Laurence qui demanda soudain « et ce Champagne ? »
« Y’en a pas, dit le photographe, c’était juste pour vous attirer là ! »
Y’en a, j’vous jure, ils sont d’un sans-gêne !

On est rentré dans notre bungalow et on a pris un bon bain. On n’en parla plus la journée suivante, qui se passa normalement, et le lendemain, on reprenait l’avion…
Je pense qu’il faudra que je m’habitue aux épisodiques « pétages de plombs » de mon épouse… J’ai l’impression qu’elle n’a pas fini de m’épater…
Tout cela me gonfle un peu, bien sûr, mais ce qui me rassure, c’est qu’elle ne semble pas me mépriser, elle continue de m’aimer, me semble-t-il…

Comme prévu, Laurence est allée voir sa gynécologue vendredi. Celle-ci lui a, comme de bien entendu, trouvé la chatounette et l’anus très chiffonnés, mais Laurence a expliqué qu’elle revenait de vacances, et que bon… La gynéco, pas gênée, a fait « eh bien, tous mes compliments à monsieur K ! » et lui a prescrit une pommade.
C’est moi-même qui la lui ai appliquée, le soir, sur notre lit, c’était très chouette. Le plus dur fut de faire en sorte que ça ne dérape pas dans la fornication… J’ai juste joué avec la délicate vulve de Laurence, et j’ai caressé son clito jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma main. Ah, l’amour !


Ensuite, pour ne pas me laisser en carafe, ma douce a refermé ses lèvres sur mon sexe et m’a sucé avec une sensualité qui m’a fait lâcher les copeaux en deux minutes montre en main. Laurence fut même surprise de voir que ça arrivait sa vite et n’ayant pas eu le temps de se retirer, elle bue le bouillon goulûment. Puis, on s’est endormi.
Le lendemain, mon épouse allait à son court de taï chi. Elle me promit de se tenir tranquille. Non seulement parce qu’elle ne voulait pas aggraver l’état de ses irritations, mais aussi parce qu’elle ne souhaitait pas acquérir une mauvaise réputation dans notre ville. Un petit dérapage, c’est un accident, une récidive, ce serait de la perversion…

 

Ainsi, Laurence mon épouse, avait de nouveau "dérapé" lors de nos vacances en Grèce.

Après notre retour à la vie quotidienne, elle a repris ses cours de taïchi. Un soir, de retour du cours, elle rentra avec Maître Chan, son prof, et l’invita à prendre un apéro. Nous nous installâmes sous la tonnelle du jardin et nous servîmes un Ouzo très frais, ramené de nos vacances.
Je pensais bien que Maître Chan avait quelque chose à me dire, et, après les banalités d’usage, il attaqua dans son argumentaire :
« Voyez vous monsieur K, votre épouse m’inquiète un peu, pour ne rien vous cacher… La sexualité débordante qu’elle vient de connaître est révélatrice d’une libido qui se débride sans la maîtrise de l’esprit.
Si elle n’y prend garde, il lui faudra de plus en plus de copulations frénétiques qui ne se résumeront qu’à de sordides accouplements bestiaux, alors que par l’esprit, nous pouvons maîtriser la libido et atteindre des sommets insondables du Nirvana. »


S’il voulait se taper Laurence, il n’avait pas besoin de nous sortir le grand jeu, le Maître ! Mais son discours m’intéressait quand même. J’avais moi-même eu cette réaction, au début, avec l’autre con, là, le Bruno, croyant pouvoir lui confier l’éducation de Laurence, mais ce fut un échec, comme on le sait…
« Et que préconisez-vous, cher Maître ? » lui demandais-je.


Il me répondit qu’il organisait des soirées de découverte dans sa résidence de Xxx (ce village normand est trop petit pour que je mette son vrai nom, on reconnaîtrait l’endroit de suite). Il nous proposa de nous y inviter un week-end gratuitement (il précisa que cela coûtait 499 euros par personne, sinon. Sans doute histoire de nous décider plus vite…).
Laurence avait l’air intriguée, et nous acceptâmes…


Lorsque nous sommes arrivés au manoir de Maître Chan, c’était après avoir pas mal tourné, parce que sa baraque était plutôt du genre discret, isolée derrière une petite forêt. Il y avait déjà une dizaine de voitures Plutôt des voitures de gens aisés…
Laurence s’était habillée d’une jolie robe de soirée et d’une veste rose, et moi d’un costard noir et d’un polo vert. Décontracté, mais chic.


Un homme tout en longueur, maigre et barbu, vêtu de noir, nous accueillis et nous introduisit dans la maison (en attendant mieux). Là, Maître Chan vint à notre rencontre et nous présenta aux personnes déjà présentes. Que des gens de bonne compagnie, huit couples charmants et deux hommes seuls. Un luxueux buffet avait été dressé, et une coupe de Champagne nous attendait.
Nous parlâmes peu, n’ayant pas grand chose à nous dire, mais Maître Chan était loquace pour tous. Il nous mit à l’aise avec quelques banalités, puis, demanda notre attention.
Il présenta Laurence comme étant la dernière recrue. Celle-ci fit sur cet aréopage un très bel effet.
« Pour entamer cette soirée, nous allons initier Laurence aux fondamentaux de notre approche sensuelle, si vous le voulez bien ». Pour sûr, qu’ils n’avaient pas l’air contre !
« Marie, si vous voulez accompagner Igor dans la pièce à coté, s’il vous plaît. »


Igor était le grand échalas qui nous avait ouvert la porte.
Nous refîmes une tournée de Champagne. Les langues se déliaient et les femelles présentes semblaient chaudes, se lovant contre leur compagnon, voire contre ceux des autres… Puis, nous fûmes invités à passer dans la pièce voisine.
Au centre de la pièce, pourtant meublée comme un salon, il y avait une cabine de douche transparente ! Et dans la cabine de douche, bien sûr, Laurence, nue, les mains pendues en l’air, et les yeux bandés.
Lorsqu’elle nous entendit arriver, Laurence se cambra. Je sentis à quel point cette situation l’émoustillait. Elle écarta délicatement ses cuisses merveilleusement carnées, et gonfla sa poitrine dont les tétons prenaient de belles proportions.
Plus nue que nue, d’un érotisme torride, j’eus de suite mal au sexe, contraint dans mon pantalon.
Monsieur Chan prit la parole :
« Je vous demande votre attention. Laurence est sous notre regard, dans cette cage de verre. Personne ne la touche, mais elle sent quand même sur son corps splendide le fourmillement de nos regards congestionnés. N’est ce pas Laurence ? Vous êtes, sans qu’on vous touche, déjà au bord de l’orgasme ! »


Laurence se tordit un peu et dit « Oui, maître Chan ».
« Maintenant, le fourmillement de nos regards va vous être perceptible, je vous demande de vous concentrer sur votre plaisir, Laurence. »
Pas besoin de concentration, elle était déjà en plein trip ! Je voyais même les traces de cyprine qui lui coulaient dans l’intérieur des cuisses. Elle était formidablement belle !
Et puis, le choc ! Deux trappes s’ouvrirent dans le sol de la cabine, et en sortirent un, puis deux, puis une dizaine de très belles blattes brunes qui se dispersèrent dans la douche.
Lorsque la première de ces bêbêtes monta sur le pied de Laurence, mon épouse émit un soupir en forme de plainte ? C’était trop ! Trop bon. Trois blattes se mirent en tête d’escalader ma sculpturale épouse qui partit d’un orgasme fulgurant. Elle était splendide. Les cafards ayant trouvé les traces remontèrent encore, et comme si elles avaient prévenu les autres, Laurence fut bientôt visitée de partout, sur le ventre, sur les seins, sous les bras, dans le cou.
Laurence ne pouvait pas savoir de quoi il s’agissait, elle savait seulement que c’était bon. Pour ma part, je devais sortir mon sexe, sinon, j’aurai éjaculé sans me toucher!
Je n’étais pas le seul, les hommes avaient fait de même et certaines dames flattaient leur chatte aussi devant ce spectacle dantesque.
Après plusieurs cris, Laurence s’épuisa brutalement et je vis qu’elle perdait énormément de cyprine qui tombait directement sur le sol de la cabine. Monsieur Chan décida d’arrêter la séance.
« Notre amie va profiter d’une bonne douche réparatrice et nous la retrouverons plus tard ! » annonça-t-il. Et nous sortîmes.

Nous reprîmes nos places sur les canapés et nous commençâmes à échanger sur ce que nous avions vu. Je faisais part de mon enthousiasme, bien sûr. La plupart des autres convives ne connaissaient pas cette épreuve mais ils étaient séduits.
Puis, Laurence arriva, radieuse, drapée dans un péplum blanc, et on lui resservit une coupe.
« C’était divin, Maître, je n’avais jamais rien ressenti de tel ! Comment avez-vous fait ? » demanda-t-elle, mais Maître Chan lui demanda de finir son verre et de se lever. Alors, Igor s’approcha, retira son péplum à Laurence.

 

Laurence parut, alors, nue, avec pour toute vêture une queue de cheval, en poils noirs, qui lui pendait des reins, retenue dans un plug anal rouge.
Un homme s’approcha d’elle, lui prit la tête et l’embrassa tendrement à pleine bouche. Leurs langues se mélangèrent un moment, puis un autre vint embrasser Laurence de la même façon. Elle embrassait avec amour, avec fougue, même, toutes ces bouches qui avaient envie de la sienne.
Mon sang ne fit qu’un tour dans ma verge et je rebandais aussitôt.


Puis, Igor passa un collier au cou de Laurence et pu la guider délicatement vers notre maître.
Celui-ci flatta doucement la croupe chevaline de mon épouse et lui dit « J’imagine que vous devez avoir envie d’être satisfaite… ». Laurence répondit « Oui, maître, j’ai envie de faire l’amour avec mon mari ».
La réflexion me fit bien plaisir et je me félicitais de ne pas m’être déjà répandu…
« Vous allez faire l’amour ». Il la fit se mettre à quatre pattes et la conduisit vers un fauteuil bas auquel elle s’accouda. Il écarta doucement la queue de cheval pour dégager la plantureuse croupe de Laurence, sans retirer le plug et posa sur ses yeux des lunettes de feutre noir.
Elle était désormais sublime, cambrée, ouverte, en attente que je vienne la saillir. C’était fabuleux !
Les hommes avaient tous sortis leur verge et se caressaient devant ce joli spectacle.
Puis, Igor, je ne n’avais plus vu, pourvu d’une énorme trique, s’avança lentement, et, presque sans rupture dans le mouvement, emmancha son zob dans la chatte écumante de mon épouse.
Elle ne fut que peu surprise, et commença à gémir au rythme des assauts.
Un instant, elle lâcha « Ce n’est pas mon mari, ça… ».
« Non, fit Maître Chan, ce n’est pas votre mari… Vous essaierez de le démasquer… »


Je comprenais le but du jeu, désormais… Les hommes s’approchèrent un à un, la bite à la main. C’était pour moi un spectacle d’une intensité homérique ! Les uns après les autres, ils vinrent honorer mon épouse, la plupart du temps assez rapidement, d’ailleurs, tant elle leur faisait d’effet. Je voyais les verges ressortir, parfois très vite, leur préservatif rempli de foutre, les types congestionnés, parfois épuisés.
Maître Chan en profita pour se faire pratiquer une fellation pendant que les mâles de l’assistance venaient se vider.


Les femmes ne perdaient pas une miette du show, certaines se gouinaient carrément, ou s’embrassaient en se caressant.
Lorsque je pus enfin accéder à ma femme, je la pénétrais voluptueusement. De suite, elle dit « Ah, oui, voilà mon gentil mari ! Mon gentil mari avec sa petite bite que j’aime tant. »
Loin de me perturber, cette exclamation me survolta et j’éjaculais abondamment dans le corps de mon amour. Elle prit aussi, je crois, malgré la rapidité de l’acte, un plaisir incommensurable.
J’avoue qu’après toutes ces émotions, je me sentais un peu pâle des genoux… et Laurence aussi.

Après que tout ce beau monde ait repris ses esprits, le buffet fut servi. Saumon, fruits de mer, caviar, on en avait aussi pour son argent point de vue bouffe !
Les esprits recommencèrent à s’échauffer sur la fin du repas. Les hommes caressaient volontiers les femmes, y compris la mienne, mais l’ambiance feutrée restait très distinguée.
Fatigués, Laurence et moi décidâmes de rentrer.


La plupart des convives se livraient à une orgie sexuelle généralisée, et nous étions trop épuisés pour y participer.
Nous remerciâmes Maître Chan, qui nous raccompagna sur le perron.
« Vous avez encore de grandes possibilités devant vous, dit-il à Laurence. Vous vous imaginiez qu’après avoir été possédée par une vingtaine d’hommes, vous n’aviez plus rien à apprendre, mais vous voyez qu’il n’en est rien… »


Je pris la voiture, un peu hagard, et Laurence s’endormit sur le chemin du retour.

Laurence, mon épouse adultère est désormais sous la coupe de Maitre Chan, son professeur de tao-chi.

 

Le week-end suivant fut un week-end de récupération. Nous nous occupâmes un peu du jardin et allâmes au cinéma avec les enfants, voir la nouvelle version du Chat Botté.
Dimanche soir, nous fîmes tranquillement l’amour, sans fioritures, tendrement.
Puis, nous échangeâmes sur ce qu’il s’était passé chez maître Chan.
« C’était formidable, reconnu Laurence, mais j’ai l’impression que plus j’avance dans l’aventure, plus j’ai envie d’être le jouet de maître Chan. Il m’a envoyé un mail aujourd’hui. Il m’a dit que je devais désormais être toujours prête à recevoir, tu comprends ?
- Et qu’as-tu répondu ?
- J’ai dit que j’étais d’accord.
- Tu n’es pas en train de m’échapper ?
- Non, ce sera pour mieux te revenir, mon amour. »


J’avoue que cela était quand même tentant. Je ressentais une certaine excitation à cela. Mon tendre amour devenait le jouet d’un autre, mais je veillerai à toujours maîtriser la situation.
« Maître Chan m’a demandé de m’habiller chic, demain, tailleur, lingerie fine. A la sortie du travail, il m’a donné rendez à une certaine adresse, et je devrai m’y rendre à 17h30. Je pense que je vais lui faire confiance…
- Comme tu veux, ma chérie, je m’occuperai des enfants. Il faudra me raconter, n’est ce pas ?
- Bien sûr. »
Puis, nous nous sommes endormis.
Enfin, pas vraiment moi. J’ai un peu tourné dans mon lit pour trouver le sommeil, mais bon, comme on s’habitue à tout…

Ce soir, j’ai tout fait normalement, j’ai fait des nouilles au saumon, les enfants étaient contents… On a fait un Cluedo, et ils sont allés au dodo. Moi, j’ai attendu devant la télé.
Et Laurence a appelé pour que je vienne la chercher à la gare.
A l’arrêt minute, j’ai de suite reconnu sa silhouette perchée sur des talons aiguilles qui la grandissaient et sa mise très bourgeoise. Elle est entrée dans la voiture d’un air guilleret et m’a dit « fouette, cocher ! ». Et nous sommes rentrés.
Directement dans la chambre, Laurence à refermé la porte, s’est tournée vers moi et m’a lâché « Si tu savais comme j’ai envie de bite ! »
- Pourquoi, t’en as pas eu assez ?
- Bien sûr que non ! Tu me prends pour qui !
- Bon, admettons… »


Puis, elle enleva son haut de tailleur, le bas, elle était belle à faire craquer n’importe quel impuissant. Heureusement que je ne m’étais pas branlé devant la télé !

 

Laurence fit glisser ses bas, sa culotte, son soutien-gorge et s’allongea suavement :
« Si tu savais quel pervers il est, maître Chan ! », et elle me raconta sa soirée :
L’adresse a laquelle elle devait se rendre était un immeuble vétuste du 18ème. Elle crut d’abord s’être trompée, mais maître Chan l’attendait dans l’entrée. Il la conduisit dans les étages de cet endroit transformé en squat malodorant, visqueux et sale. Puis, au sommet de l’immeuble, il entra dans un grand appartement sentant très fort la transpiration et l’urine, et là, se trouvait une palanquée de vieux clochards allongés sur des matelas crasseux. Ils étaient au moins quinze !
Maître Chan présenta alors Laurence en termes courtois, la tenant par la taille, jouant avec sa croupe.
« Laurence est une femme du monde, dit-il. Je compte sur vous pour ne pas la maltraiter. »
Puis, il se mit dans le dos de mon épouse, lui tenant les mains en arrière, et les clodos s’approchèrent lentement, comme émerveillés.


Lorsque les premières mains remontèrent le long de ses jambes, caressèrent sa chatte, Laurence fut transpercée d’un orgasme terrible. Heureusement que son maître la tenait fermement par derrière.
Des mains surexcitées déboutonnèrent son corsage, malaxèrent sa poitrine tendue à craquer, et c’était absolument délicieux.
Certains des hommes trouvèrent la force de sortir leur machin, mais l’excitation devait les paralyser, car personne ne tenta quoi que ce soit avec Laurence, qui fut seulement couchée sur un matelas absolument répugnant, troussée, malaxée, pelotée, fouillée avec les doigts. Certains jouirent sur ses bas, un autre dans ses cheveux, deux sur sa poitrine, d’autres sur ses talons aiguilles.
Puis, d’un coup, alors que Laurence réclamait d’être apaisée, maître Chan frappa dans ses mains et stoppa net le jeu.
Les clodos durent se reculer, et Laurence se rajusta pour pouvoir sortir.


Maître Chan fit ensuite traverser la rue à son jouet pour entrer dans un hôtel borgne. Là, il la monta dans une chambre qu’il avait louée, et mon épouse put prendre une bonne douche.
Ensuite, elle dut s’allonger sur le lit, nue, les cuisses largement ouvertes, expectante. Maître Chan lui demanda si elle voulait être saillie. Elle supplia que l’homme abrège son attente, tout son corps désirait d’être assouvit.
« Non, chienne, à quoi te sert mon enseignement ? L’esprit doit dominer le corps. Tu vois ma verge tendue ? Tu la veux ? Il n’en est pas question ! Rentre chez toi, désormais, et honore celui qui doit l’être… ».


Laurence fut stupéfaite. Quoi, il avait sous la main une superbe femme suppliante d’être enfilée et il n’en profitait pas !
En rentrant, Laurence était folle de désir. Elle se frottait à tout ce qui ressemblait à un objet contondant dans le bus, le métro, le RER. Elle croisait le regard de plein d’hommes qu’elle aurait souhaité plus entreprenants, mais non, ces naves restaient comme des flans !
Alors si je ne la sautais pas de suite, là maintenant, elle allait devenir dingue.
Je fus aux anges, bien sûr ! Ma femme était enfin devenue hyper active du sexe, en quelques semaines, alors que je me plaignais jadis de son manque d’appétence !
Notre baise fut divine. Je devais me rétracter très souvent pour ne pas éjaculer, et pourtant, pour parler vulgairement (ce dont j’ai horreur !), je ne touchais pas beaucoup les bords…
Après une séance à inscrire dans le Guinness des records (enfin, pour moi), je tombais épuisé, et Laurence m’embrassa tendrement.
« Merci mon amour, me dit-elle
- Tu n’es pas trop déçue ?
- Non, ce n’est pas grave, tu as fais le plus gros ! »
Si c’est pas beau, l’amour !


Voila comment ma Laurence est devenue hypersexuelle.

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