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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Quand on joue avec le feu... l'histoire de Nicolas et Emilie

J’ai hésité avant de me lancer dans le récit de cette aventure que nous avons vécue à la fin de l’été dernier. J’ai hésité, car il s’agit tout de même d’une sorte de fantasme qui s’est réalisé, et je n’étais pas sûr de ne pas vouloir garder tout ça entre nous. D’autant que ce genre d’aventure n’est pas que positive, quand on n’y est pas préparé. Et puis finalement, j’ai décidé d’écrire cette histoire, en espérant une sorte d’absolution psychique, avec la volonté de garder ces dix jours dans nos mémoires comme une parenthèse refermée sur nos vies.

Émilie et moi nous sommes donc mariés l’été dernier dans notre petit village du Gers. Bien que nous venions du même endroit et que nous nous connaissons depuis notre plus jeune âge, c’est à Bordeaux que nous nous sommes finalement retrouvés en 2000, pour terminer nos études. Nous avons emménagé ensemble l’été suivant, et vivons un amour presque parfait depuis.

Nous nous sommes mariés en juillet 2007, et après un retour au travail de deux mois et demi environ, nous avons posé en congés la seconde quinzaine d’octobre, pour profiter de notre lune de miel. Nous avions prévu de passer quelques jours sur un voilier dans les Caraïbes, avec au programme deux jours d’escale aux Grenadines, pour retrouver un copain de lycée que nous n’avions pas revu depuis cinq ans.

Notre idée de départ était de vivre ce voyage en solitaire pour simplement profiter de la vie à deux. Mais comme ni Émilie ni moi n’avions une quelconque connaissance en navigation, il nous fallait donc être accompagnés du capitaine du voilier. Nous allions donc suivre un itinéraire que nous avions décidé tous les trois au préalable. C’était une sorte de tour des petites Antilles qui nous attendait : Guadeloupe, Barbade, Sainte-Lucie, Saint-Vincent, Grenadines, Martinique, puis retour à la Guadeloupe. Tout ça sur dix jours…


La première étape fut donc de prendre l’avion jusqu’à Pointe-à-Pitre, après l’escale habituelle à Paris. Les vols se sont déroulés tout à fait convenablement, et nous nous sentions légèrement euphoriques à l’idée de bientôt débarquer dans ces paysages paradisiaques. Nous sommes donc arrivés en début d’après-midi en Guadeloupe, où nous avons été accueillis par Philippe, le capitaine du voilier.

La première réflexion que je me suis faite a été que Philippe était vraiment classe, le marin chic par excellence. Il était grand, élancé, assez large d’épaules, et on sentait tout de suite une grande force dans ses mouvements malgré une gestuelle élégante. Avec en plus son mètre quatre-vingt cinq, et ses yeux vert d’eau mis en valeur par sa peau légèrement brûlée par le soleil, le tout dans un bermuda et une chemise en lin blanc, nous nous retrouvions devant la plus belle caricature que l’on aurait pu se faire d’un capitaine de voilier. Il ne manquait que la casquette !

Les présentations faites, Philippe nous a conduits directement au voilier, où nous avons pu prendre possession de notre cabine. Après un rafraîchissement et une bonne douche, nous avons fait quelques courses pour finaliser les stocks, puis avons largué les amarres en fin d’après-midi. Nous n’avons pas navigué bien longtemps ce jour-là, nous contentant de rester au large de la Guadeloupe, entre le Gosier et Saint-Félix si je me souviens bien. Nous avons profité de la fin d’après-midi pour une baignade au soleil couchant, et l’heure de l’apéro a sonné rapidement.

Cette première soirée a été vraiment délicieuse, Philippe nous ayant préparé un excellent repas, et nous avons beaucoup discuté de ses aventures autour de l’Atlantique. Ancien VRP en région parisienne, il avait hérité à trente-cinq ans d’un beau patrimoine, qui lui avait permis de réaliser son rêve et d’acheter un voilier. Après un premier tour du monde réalisé en deux ans, il avait décidé de s’installer en Guadeloupe pour monter son activité, ce qui lui permettait de vivre et de partager sa passion de marin. Ses placements bancaires lui assurant les revenus nécessaires, il réalisait des croisières solitaires « juste pour le plaisir » de temps en temps. À quarante-cinq ans, il était en tout cas tout à fait ravi de son rythme de vie, n’ayant aucune attache en métropole.

Le décalage horaire nous a vite rattrapés, d’autant que le repas était délicieux, et que le ti punch puis le vin avaient eu le temps de faire leur œuvre. C’est donc l’esprit léger et heureux que nous nous sommes couchés.

La nuit fut réparatrice et le réveil charmant. J’avais encore en tête les aventures de notre hôte, en caressant tendrement Émilie qui se réveillait à son tour. Nous avons tendrement fait l’amour ce matin-là, comme pour marquer enfin le début de notre lune de miel. Ce fut un moment très doux et sensuel, bercé par le rythme de la mer.

Je ne sais pas pourquoi j’ai décidé à ce moment là de remettre sur le tapis mon fantasme de faire l’amour à plusieurs avec Émilie. C’est un sujet dont nous avions parlé quelques fois, mais la discussion tournait toujours court car elle ne voulait pas que quelqu’un d’extérieur envahisse notre vie intime. De plus elle ne voyait pas l’intérêt d’avoir des ébats sexuels juste pour le plaisir. Son plaisir, elle le prenait uniquement parce qu’il y avait un amour sans limite entre nous. C’est tout juste si, grâce à notre complicité, elle me titillait de temps en temps en me faisant imaginer qu’un étranger puisse nous voir lors de nos ébats. Le tout est que j’ai remis ça sur le tapis ce matin là. Et encore une fois Émilie m’a demandé d’arrêter avec cette histoire, mais j’ai eu une sensation bizarre à ce moment-là. Nous avons terminé notre câlin matinal, et j’ai bien senti une intensité assez rare.

Nous sommes sortis de la cabine et avons eu confirmation que le voilier était en mouvement. Nous naviguions depuis le petit matin et arrivions au large de Marie-Galante. Pendant que nous prenions notre petit-déjeuner, Philippe s’était approché du rivage et avait stoppé le voilier proche d’une crique. Nous pourrions dans la matinée nous baigner, et nager jusqu’à la plage pour profiter du soleil.

Philippe nous rejoignit ensuite, et se servit une nouvelle tasse de café. Les discussions étaient de convenance sur notre nuit et la sienne, le fait que nous n’ayons ni l’un ni l’autre le mal de mer, etc. Je remarquai tout de même que Philippe ne perdait pas une occasion de jeter un coup d’œil à Émilie. Je me suis rendu compte à ce moment de la tenue de ma femme. À la maison, j’avais l’habitude de la voir porter ce mini-short qui laisse deviner le bas de ses fesses rebondies, et un simple débardeur qui soulignait légèrement les courbes de ses seins, et qui faisait clairement apparaître ses tétons ce matin-là. D’autant que ses cheveux noirs détachés sur sa frimousse coquine rajoutaient à cette intonation de femme fatale que j’appréciais tant en elle.

Je me rendais compte à ce moment que jusqu’à présent, elle ne s’était jamais montrée habillée ainsi devant quelqu’un d’autre que moi. Même chez mes parents ou chez les siens, elle mettait un pantalon le matin. Je ne m’en offusquais pas puisque finalement nous étions sur l’océan sous une douce chaleur, et qu’il aurait été anormal qu’elle soit couverte de la tête aux pieds ! J’étais d’ailleurs moi-même torse nu et en short.

Ce qui est sûr est que cette situation n’échappait pas à Philippe, qui avait dû en voir bien d’autres, mais qui profitait de la vue en tout bien tout honneur, sans regard appuyé qui aurait créé un malaise. Finalement je pris plaisir à ce petit manège, à savoir que ma femme était appréciée, d’autant que je la trouvais du coup encore plus belle e t désirable.

Alors que Philippe était en train de nous raconter une de ses mésaventures (il s’était fait attraper par la police dans les eaux territoriales américaines, sans être muni d’un visa en bonne et due forme) je décidai d’aller me baigner pour finir de me réveiller. J’eus pendant un éclair de seconde le secret espoir qu’Émilie resterait à discuter avec Philippe. Bien entendu cette folle pensée était plus dictée par mon fantasme que par moi-même, presque inconsciemment. C’est difficile de décrire cet état où on ne sait plus vraiment ce qui est sage et ce qui ne l’est pas, quelle est la part de notre volonté réelle, et la part de ce que l’on ose autant par peur que par plaisir.

Et à ma grande surprise Émilie prétexta se resservir un café, disant qu’elle me rejoindrait quelques instants plus tard. La machine était lancée dans ma tête, et les pensées les plus folles se bousculaient les unes aux autres. J’ai pris des palmes et un masque avec tuba, et je suis parti profiter des fonds marins alentours. Je me suis complètement détendu, et j’ai finalement profité du spectacle qu’il m’était donné de voir. J’ai nagé ainsi pendant trois quarts d’heure, allant presque jusqu’à la plage avant de revenir sur le voilier. Ayant fait une grande boucle, je m’approchai sur le côté du bateau et je vis qu’Émilie et Philippe n’avaient pas bougé, toujours à discuter. C’est tout juste si je n’eus pas l’impression de voir Philippe retirer sa main de la cuisse de ma femme, lorsqu’ils me virent arriver. Délire ou réalité ?

Après m’avoir questionné sur ma balade, nous avons décidé de nous doucher, puis de préparer le pique-nique que nous avions prévu de faire sur la plage. Une heure et demie plus tard, et après un petit tour en zodiaque, nous nous retrouvions sur la plage à déguster un repas créole accompagné d’un petit rosé délicieux. Émilie et moi avons ensuite fait une partie de raquettes, les pieds dans l’eau. Le soleil et le vin ont fait leur effet assez rapidement, et nous avons cessé de jouer pour nous allonger près de Philippe, qui faisait déjà la sieste sur cette plage quasiment déserte. Bien qu’allongé à l’ombre, j’avais une douce sensation de chaleur sur mes paupières, et je ressentais une légère caresse de l’air plus frais lorsque je me suis endormi.

J’ai dû dormir deux bonnes heures, et je me suis réveillé avec les deux serviettes vides à côté de moi. Aux bruits que j’entendais, j’ai vite compris que mes deux voisins de sieste étaient en train de se baigner. Encore un peu dans les vapes, je me suis mis sur les coudes pour les regarder. Ils semblaient se chamailler gentiment en se lançant de l’eau. Leur relation avait l’air d’évoluer très vite. Ils ne se connaissaient pas il y a deux jours, et là ils s’amusaient comme des enfants. L’innocence même ?

Émilie me vit et me lança un grand sourire. Elle sortit quasi immédiatement de l’eau, telle une mini James Bond girl. Je dis mini, car elle mesure 1,65 m et James Bond girl, car elle était en maillot de bain deux pièces, qui mettait en valeur sa taille de guêpe et sa poitrine excellemment proportionnée par rapport au reste de son corps. J’étais sous son charme…


Emilie me rejoignit l’air hilare, et me chambra immédiatement sur mes ronflements appuyés, qui les avaient presque empêchés de dormir. Je ne doutai pas un instant de la véracité de ses propos, tant je m’étais senti tomber comme une masse dans un sommeil profond. Elle s’allongea sur moi, ce qui eut pour effet de me rafraîchir instantanément, puis me donna un baiser langoureux et chargé de promesses, si bien que je sentis une érection arriver.

Philippe était debout à côté de nous, et nous proposa de retourner au bateau pour prendre l’apéritif et préparer le repas du soir. Le temps de rassembler nos affaires et de retourner au bateau, le soleil était déjà bas sur l’horizon. Nous sommes retournés dans notre cabine et avons pris une douche. Émilie et moi en avons profité ensuite pour nous passer de la crème hydratante.

Alors qu’elle me mettait de la crème dans le dos, je sentais ses caresses plus sensuelles qu’à l’accoutumée, mais je ne dis rien. J’attendis que ce soit à mon tour de lui hydrater le dos pour la questionner sur les discussions qu’elle avait pu avoir avec Philippe dans la journée. Elle me dit qu’il s’était confié sur sa nature de célibataire, et qu’il aimait prendre le plaisir là où il était, sans se créer d’attache.

Selon ses dires, il nous trouvait être un beau couple et voyait qu’on était amoureux, mais le mariage ne lui disait rien. Alors que j’arrivais en bas du dos d’Émilie, pris dans un tourbillon de fantasmes qui me renvoyait l’image de ma femme dans les bras de Philippe, je passai un doigt dans la raie de ses fesses, en demandant à son oreille si elle aussi voulait prendre le plaisir là où il était.

J’avais une érection presque douloureuse à cette pensée, à imaginer ma femme les yeux presque révulsés, le corps s’abandonnant au contact de cet homme, prendre un plaisir immense. Mais en même temps cette pensée me faisait peur, et l’idée de ne pas assumer tout ça me traversa l’esprit.

Mon geste entre ses fesses lui extirpa un léger râle, et elle me répondit qu’elle préférait attendre après le repas que Philippe soit couché, pour que l’on fasse l’amour tranquillement tous les deux. La réalité me rattrapa rapidement à cet instant, comprenant qu’elle ne pensait pas la même chose que moi, ce qui quelque part me rassura. Mais le fantasme restait très présent.

Émilie enfila une petite robe rose et blanche qui lui allait à merveille et qui lui donnait un air mi fatal, mi décontracté. Après avoir à mon tour enfilé un bermuda et un tee-shirt, nous sommes remontés sur le pont, où Philippe avait déjà préparé trois ti punch maison. Encore une fois, il me sembla que l’apéritif fut l’occasion d’échanges de regards entre Philippe et Émilie. Nous sommes ensuite passés à table, et les discussions ont continué sur nos vies, nos jeunesses, etc. Nous avons terminé le repas en décidant de partir vers La Barbade dès le lendemain matin, avec pour objectif d’y être en début de soirée.

Après avoir aidé Philippe à débarrasser la table, nous avons regagné notre cabine, l’esprit un peu embrumé par l’alcool. Ça a été ce soir-là un feu d’artifice de sensualité et de sexe à l’état pur. Émilie avait quelque chose d’animal dans son regard, et à peine la porte de notre cabine refermée, elle m’embrassa dans un long baiser fougueux, frottant l’intégralité de son corps contre le mien.

Elle avait la peau chaude, et tout en elle respirait les plaisirs du sexe. J’ai commencé à lui caresser le dos, alors qu’elle prenait mon sexe dans sa main à travers le bermuda. J’allais lui écarter les bretelles de sa robe pour la lui enlever, quand elle m’a repoussé pour m’asseoir sur le bord du lit.

Elle m’a regardé droit dans les yeux avec un regard de félin malicieux, et m’a dit de me laisser faire, que ce soir c’était elle la dompteuse, et qu’elle allait m’en faire voir de toutes les couleurs. Elle a alors commencé à bouger légèrement sur le rythme d’une musique intérieure, frottant son petit cul contre la porte, de manière à ce que sa robe remonte et dévoile son string humide.

Puis elle s’est mise à titiller ses tétons, qui n’avaient pas attendu pour se dresser fièrement. Lentement, elle s’est baissée, et sans me quitter des yeux, elle s’est retrouvée à quatre pattes, m’approchant lentement telle une lionne approchant sa proie. Elle a caressé ses cheveux sur mes jambes, remontant lentement le long de mes mollets puis de mes cuisses. En s’approchant de mon sexe, elle a donné un coup de langue sur mon bermuda, ce qui a eu pour effet de m’électriser encore plus.

J’étais à ce moment précis dans un état d’excitation comme je n’avais jamais été, totalement à la merci de ma femme. Elle a lentement déboutonné mon bermuda puis me l’a retiré, enlevant au passage mon boxer pour que je me retrouve complètement nu.

Me caressant le torse de ses mains, elle a commencé à donner des coups de langue tout autour de mon sexe turgescent. J’étais vraiment très dur et très épais à cause de toute cette excitation, chose qu’elle n’hésita pas à me faire remarquer. Ses coups de langue et ses caresses se sont précisés petit à petit, jusqu’à ce qu’elle joue avec une perle d’excitation qui pointait au bout de mon sexe.

Elle l’a alors englouti doucement et goulûment, le caressant avec sa langue à l’intérieur de sa bouche.

Après quelques va-et-vient, elle a replongé son regard dans le mien et s’est mise à faire tournoyer sa langue autour de mon gland. Je trouvais ma femme splendide et envoûtante, et jamais je ne l’avais vue comme ça auparavant. Elle m’a ensuite léché les bourses, est revenue prendre mon sexe en bouche, tout en me caressant avec son autre main.

Puis en me gardant en bouche et en serrant ses lèvres, elle a alors cherché mon anus de son autre main. Elle avait décidé de me faire la totale, elle y allait vraiment sans retenue. Mon sexe toujours prisonnier dans son écrin chaud et humide, elle a fait tourner lentement son index sur mon anneau pour le détendre.

Je me suis naturellement rapproché du bord du lit pour lui faciliter l’accès, et après quelques minutes de ce traitement, elle avait son doigt immiscé en moi. J’adorais cette sensation et elle le savait. D’ailleurs elle n’hésitait pas à me caresser l’anus pendant nos ébats, ce qui avait pour effet de faire grossir mon sexe, et de lui donner plus de plaisir. Mais cette fois-ci, la sensation était décuplée par l’érotisme du moment et la fellation dont elle me gratifiait.

Elle a laissé son doigt en moi alors qu’elle reprenait ses mouvements autour de mon sexe. Puis ce va-et-vient a été accompagné par le même mouvement dans mon anus, faisant vaciller tous mes sens. Je ne savais plus ce qu’il se passait, je n’avais plus conscience de notre environnement, la promiscuité des lieux… seuls persistaient dans mon esprit Émilie et le plaisir. J’étais au bord de l’explosion, il me fallait faire une pause pour ne pas m’effondrer, j’ai donc pris les épaules d’Émilie pour le lui faire comprendre. Mais contrairement à l’habitude, elle a résisté, puis gardant mon sexe en bouche, m’a lancé son regard le plus indécent possible et m’a fait un clin d’œil.

Avant même que je ne comprenne le message qu’elle voulait me faire passer, elle avait repris sa caresse buccale de plus belle. Malgré ma volonté de faire durer cet instant le plus longtemps possible, je me suis répandu dans sa bouche dans un souffle rauque et profond, lâchant le cran de sécurité, la soupape qui me maintenait sous pression. Émilie eut un mouvement en arrière, puis laissa du sperme s’échapper de la commissure de ses lèvres. Le temps que je reprenne mes esprits, je la trouvai toujours entre mes jambes, me caressant d’une main le sexe, et de l’autre se pelotant le sein gauche, la robe à moitié débraillée.

Elle me fit un large sourire en me demandant si j’avais aimé, puis me fit comprendre que c’était à mon tour de lui donner du plaisir, en se frottant la main par-dessus son string. Je ne fus pas long à la détente et je l’attirai vers moi. Après quelques nouveaux échanges de baisers au goût de sexe, je la couchai sur le lit et lui retirai son string. Je pris le temps de laper son corps, de le recouvrir de tendres caresses, avant de plonger dans son entrejambe chaud et trempé. Mon majeur n’eut aucun problème pour entrer dans son intimité, alors que ma langue jouait avec son clitoris. Mon majeur bien mouillé, je voulus tenter à mon tour une descente vers son petit trou. Bien que nous ayons essayé une ou deux fois la sodomie, Émilie n’était pas adepte de cette pratique, non pas qu’elle lui faisait mal, mais elle n’y prenait pas de plaisir. Un éclair de raison fit que je me retins, pour ne pas la froisser et détruire cette si douce atmosphère en lui donnant une sensation négative. Je me contentai donc de prendre son clitoris en bouche et de le sucer comme un petit bonbon.

Elle se redressa presque brusquement en me disant qu’elle voulait que je la pénètre, et qu’elle espérait que mon sexe était aussi gros que tout à l’heure. Elle me mit sur le dos, et vint s’empaler sur mon membre qui avait retrouvé sa forme. Dans cette position, je pus littéralement lui dévorer les seins, ce que j’adore et qui intensifie ses orgasmes. D’ailleurs elle fut rapide à venir, le souffle court, la tête en arrière, tel un pantin désarticulé à force de monter et descendre sur mon sexe. Elle s’écroula haletante sur mon épaule, alors que je continuais à bouger lentement au fond d’elle et à lui caresser les épaules et le dos. Elle prit le temps de récupérer son souffle, et me lécha tendrement l’oreille avant de la mordiller et de souffler doucement dessus. Intense sensation qui traversa tout mon corps.

Puis, toujours calée sur mon sexe encore dur, elle me chauffa en disant qu’il fallait qu’elle finisse de s’occuper de lui. Elle se mit à genoux sur le lit, les seins plaqués contre le mur de la cabine, la tête de côté. Elle me demanda de la pénétrer doucement dans cette position. Je me mis à genoux derrière elle et entrai doucement dans sa vulve toujours aussi chaude. La sensation de ses fesses contre mon pubis multipliait mon plaisir pendant le coït. Je voyais son visage refléter son plaisir à quelques centimètres de mes lèvres, et lui déposai de petits bisous dans la base du cou.

C’est alors qu’elle me demanda entre deux souffles si ça m’excitait de l’imaginer se faire prendre par Philippe devant moi. Ce murmure à peine audible eut un effet dévastateur qui me fit jouir presque instantanément. Je la vis sourire et se mordre doucement les lèvres, alors que je ne trouvais plus la force de bouger. Nous nous sommes écroulés sur le lit et nous sommes endormis dans la foulée, sans même avoir le temps de parler de son estocade.

Il devait être onze heures quand je me suis réveillé. Le bateau tanguait et la cabine était remplie d’une odeur de sexe accentuée par la chaleur de la mi-journée. Émilie dormait encore, nue avec sa robe enroulée autour de sa taille. Je me suis levé doucement et suis parti dans la salle d’eau. Le temps de prendre ma douche, et Émilie s’était réveillée. Elle me sourit en me voyant, et je lui déposai un baiser en guise de bonjour. Elle avait les yeux gonflés par le sommeil, signe que la nuit avait été bonne et réparatrice. Elle prit une douche à son tour pendant que je partais préparer le petit déjeuner.

Sur le pont, Philippe était à la barre, direction la Barbade. On ne distinguait plus au loin que ces bouts de cailloux alignés qui forment les petites Antilles. Je lui dis bonjour et lui proposai un café, qu’il accepta volontiers. Je le lui apportai, et commençai à discuter de la navigation sur un voilier comme celui-ci. Puis entendant du bruit en provenance de notre cabine, il me fit remarquer que nous avions dû bien nous amuser la nuit précédente. Il m’offrit son plus beau sourire, et finit par me dire que c’était normal pour un voyage de noces, et qu’il ne fallait pas qu’on s’occupe de lui.

Émilie arriva sur ces paroles, et nous laissâmes Philippe seul le temps de prendre notre petit déjeuner. Ce fut justement le moment pour revenir discrètement sur notre fin de soirée de la veille. Émilie me dit dans un sourire malicieux qu’elle me connaissait, et qu’elle était sûre que cette petite phrase avait eu son effet.

Je lui demandai alors si cette phrase n’était qu’une phrase, ou si cette pensée était pour elle excitante. Il me sembla bien percevoir une hésitation, et sa réponse ne fut pas la même que lorsque nous avions déjà abordé ce sujet, mais en substance le résultat était le même : ça ne lui déplaisait pas qu’on en parle pour se stimuler de temps en temps, mais elle voulait s’arrêter là pour l’instant.

La journée se passa tranquillement jusqu’à la Barbade. Nous avons profité du pont pour bronzer un peu, puis avons déjeuné en tête à tête, avec Émilie. Je suis ensuite allé voir Philippe, qui m’a laissé prendre la barre après quelques explications et conseils. Il en a profité pour aller manger un morceau au frais, et je l’ai entendu rire en compagnie d’Émilie. Ces rires étaient de bon augure et ont stimulé immédiatement mon inconscient. Les images de luxure totale de ma femme jouissant sous les assauts de Philippe me revenaient à l’esprit.

J’étais un peu excité et perdu dans mes pensées, quand je me suis rendu compte que je n’entendais plus de bruit. Je me suis retourné par réflexe, Philippe était là buvant un café. Il me dit qu’Émilie était partie faire une sieste dans la cabine, et que je pouvais la rejoindre si je voulais. Il reprit la barre et je décidai de rester avec lui. Nous avons discuté de tout et de rien, et quelques temps plus tard Émilie est venue lire un livre à la fraîcheur des vagues.

Nous sommes arrivés à la Barbade en début de soirée et avons dîné sur le bateau, avant d’aller prendre un verre dans un bar, où Philippe était visiblement connu. Le bar passait de la musique rythmée et avait un coin repas, le tout en bord de plage. L’endroit était vraiment sympathique et nous avons décidé d’y revenir dîner le lendemain soir. Nous sommes ensuite retournés au bateau nous coucher vers minuit, et la nuit fut très douce.

La journée du lendemain s’est déroulée au rythme des apéros, repas, baignades et bronzettes, Philippe étant parti à terre toute la journée pour nous permettre de passer un peu de temps seuls. Émilie a passé une bonne partie de la matinée à faire l’aller-retour entre la mer et sa serviette où elle lisait un livre. J’ai quant à moi ressorti les palmes et le masque pour faire un petit tour sous-marin. Nous avons profité du début d’après-midi pour faire une balade dans Bridgetown. Ce fut finalement une journée très calme et reposante.

Le soir venu, nous sommes donc allés dîner avec Philippe dans le bar de la veille, alors que la nuit était bien tombée. Après des mojitos bien frais et un repas somme toute banal, nous avons passé plus de deux heures à danser avec Émilie. Zouk love, reggae, rythmes latinos, tout était bon pour faire bouger son corps de façon souvent suggestive. Les filles de là-bas n’ont en tout cas pas froid aux yeux… et aux fesses ! Philippe passa la soirée à danser avec de nombreuses filles. Je surpris d’ailleurs plusieurs fois Émilie qui fixait Philippe, lors de danses lascives qu’il pouvait faire avec ces demoiselles. Il avait l’air en tout cas très doué, et ses partenaires l’applaudissaient après quasiment chaque danse.

Après un nouveau verre, Émilie et moi avons décidé de rentrer nous coucher. Philippe était au bar en compagnie d’une charmante demoiselle avec qui il avait dansé au cours de la soirée. Ils discutaient en anglais, et nous l’avons coupé un bref instant pour lui signifier que l’on retournait au bateau. Il nous dit de ne pas l’attendre et qu’il essaierait de ne pas faire de bruit en rentrant.

Nous sommes donc rentrés tranquillement au bateau, profitant de la fraîcheur de la nuit sur nos corps chauffés par l’ambiance du bar. Bien entendu, toutes ces danses suggestives et les collé-serré de la soirée avaient ouvert mon appétit sexuel, et ma libido était aux aguets. Émilie était quant à elle exténuée, et nous nous sommes finalement couchés bien gentiment.

Au réveil, l’atmosphère de la cabine était très lourde, chaude et sans air. J’ai eu le sentiment d’avoir eu une nuit profonde mais agitée, pris entre une sensation de repos et de fatigue cumulés. J’eus l’impression que la charge sexuelle avec laquelle je m’étais endormi n’était pas innocente à cet état, et je ne pouvais pas réellement définir les frontières des rêves érotiques qui avaient accompagné ma nuit. En discutant avec Émilie, elle m’avoua être sortie dans la nuit pour prendre l’air, et avoir vu la jeune fille du bar repartir du bateau. Philippe avait dû passer du bon temps avec elle…

Nous sommes montés prendre notre petit-déjeuner alors que Philippe était déjà à la barre, direction les Grenadines.

Nous devions retrouver Sylvain, mon ami du lycée, qui connaissait bien Émilie. Nous avions fait les quatre cents coups tous les deux, allant jusqu’à se refourguer certaines filles… L’idée de le revoir après cinq ans me mettait dans un état légèrement euphorique. Il avait quitté la métropole pour ouvrir un centre de loisirs marins centré sur la pêche au gros. Et je me disais que ça avait dû fonctionner, puisqu’il n’était pas rentré !

Une bonne partie de la journée s’est passée tranquillement, alors que nous profitions de la navigation. J’ai tout de même été surpris ce jour-là de voir comment Émilie s’était rapprochée de Philippe. Elle a en effet passé une bonne partie de la journée en sa compagnie, s’intéressant curieusement aux techniques de navigation, aux voiliers, etc. Après tout nous étions en pleine mer, et malgré un petit sentiment de jalousie je me suis raisonné, car j’avais fait la même chose quelques jours plus tôt, et que ça lui permettait de s’occuper. Mais Philippe profitait tout de même de la moindre occasion pour effleurer ou même caresser innocemment ma femme. J’étais toujours partagé entre peur et envie…

 

A suivre en partie 2 !!!


 

Ce texte m’a été envoyé par Nicolas et Emilie, après qu’ils aient publié en commentaire dans le très beau blog d’Olga : http://philetolga.erog.fr (le lien est à gauche aussi…)

Bonne lecture à tous !

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