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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Mon ex femme et son amant...

Nous nous sommes séparés avec mon épouse en 2006. Après 4 ans de mariage, les disputes étaient fréquentes, et pour tout dire nous ne supportions plus la vie en commun. Pourtant, nous avions partagé jusqu'à la fin de notre relation une excellente entente sexuelle.

Mon ex s'appelle Katia. C'est une femme pulpeuse de 42 ans, petite, jolie, elle a une peau mate et des cheveux auburn très bouclés, et de jolis yeux bleu outremer. Elle est plutôt ronde… Mais j’adore ses rondeurs…

Pendant l’été qui a suivi notre séparation, je suis parti en vacances dans un hôtel de  Saint Kitt’s. Mon nouveau célibat m'a incité à prendre ce genre de vacances, où les rencontres sont faciles et sans grandes conséquences sentimentales.

L’hôtel est composé de jolis bungalows, regroupés par deux avec un petit jardin commun. J'ai vite fait la connaissance de mon voisin, un breton de mon âge, Denis, qui profitait de ses vacances et de sa séduction naturelle pour multiplier les conquêtes. Nous sommes vite devenus copains.

Je l'entendais parfois par les minces cloisons de ma chambre ravir ses compagnes d'une nuit. Il m'arrivait de faire de même, mais j'avais toutefois moins de succès que lui ! D'autre part, je gardais une certaine tristesse de ma séparation. Ce sentiment m'empêchait de faire comme lui le séducteur tous les soirs dans les boites où nous allions trainer.

Après une semaine, un matin, au sortir du petit-déjeuner Denis me dit que ce serait sympa d'assister aux arrivées hebdomadaires. Il ajouta en me faisant un clin d'œil :

« Il y aura peut-être de nouvelles jolies jeunes femmes cette semaine ! »

Nous allâmes donc boire un café au bar de l'hôtel pour meter tous ces nouveaux arrivants harassés par la longue traversée de l’Atlantique

Soudain, mon cœur s'arrêta net. Parmi les touristes, je reconnus Katia, avec une de ses amies, Nathalie, qui m'avait toujours exaspéré. Au moment où j'allais dire quelque chose, Denis me pinça le bras : « He, mon pote, regarde ces deux elles femmes, surtout la brune, avec un si beau cul !!! »

J'étais rouge comme une écrevisse. La brune avec un « magnifique cul », c'était évidemment Katia. J'étais consterné de voir débouler mon ex sur mon lieu de vacances. Il me fallait à tout prix reprendre mes esprits. Je prétextais un besoin urgent et m'éclipsais vers ma chambre.

C'était évidemment un hasard, une pure coïncidence. C’est vrai que nous avions souvent parlé de venir ici, mais sans jamais mettre notre projet à exécution. Et il fallait qu’elle fasse, avec cette gourde de Nathalie, en plus !

Je ne savais pas comment aborder la chose, et surtout pas devant Denis, à qui je n'avais pas raconté ma récente séparation.

Je partis à la piscine... Et je croisais Katia avec ses bagages et son amie qui allaient vers leur chambre. Elles furent aussi surprises que moi. Katia avait l'air furieux. Voyant arriver l'orage, Nathalie s'éclipsa pour nous laisser parler.

« Comment se fait-il... » commença Katia. En voyant ma tête déconfite, elle comprit que je n'y étais pour rien et se calma.

« Ecoute, tu prends des vacances, je prends des vacances. Faisons comme si on était des copains de Paris qui se connaissent un peu. Ca nous facilitera la vie à tous les deux. »

« D'accord, lui dis-je. Mais essayons de nous croiser le moins possible, ça aussi ça sera plus facile... »

Elle acquiesça, et tourna les talons. Je rejoignis Denis qui m'attendait à la piscine et qui était tout surpris de voir que je connaisse les deux filles. Je lui expliquai donc que c'étaient « de vagues copines de Paris » et on en resta là.

Plus tard, alors que l'on se faisait dorer au soleil, nos vîmes les filles arriver à la piscine. Denis me poussa du coude. Il faut dire qu'elles étaient mignonnes en maillot, et surtout Katia, appétissante avec son postérieur tout dodu et ses seins généreux comprimés dans le maillot fuchsia...

Je fis comme si de rien n'était, et fis mine de me rendormir. Je surpris plus d'une fois le regard de Denis sur Katia. Il me sembla bien que mon ex-compagne jaugeait mon nouveau copain derrière ses lunettes de soleil.

Deux jours passèrent. J'avais présenté mes « copines » à Denis, qui ne manquait pas une occasion de me faire une remarque salace sur le physique d'Katia. Cela m'agaçait et je ne pouvais pas lui dire pourquoi. Toutefois, nous ne les rencontrions pas souvent. L'hôtel étant grand, il était possible de ne pas se croiser trop souvent, à part au restaurant, où je pouvais juger de son bronzage grandissant. Avec son type de peau, elle était dorée par le soleil, et pour tout dire très séduisante.

Ce soir-là, nous décidâmes, Denis et moi, d'aller dans la boite de l'hôtel. J'avais marqué quelques points auprès de Mylène, une touriste suisse que je devais retrouver dans la soirée. Denis m'accompagna.

Vers 23 h, alors que j'étais en pleine discussion avec Mylène, Katia et Nathalie firent leur entrée dans la boîte. Katia me jeta un coup d'œil inquisiteur. Elle ne se faisait visiblement aucun doute sur ce que j'entreprenais et je me sentis un peu gêné.

Elle était ravissante : maquillée, ses beaux cheveux noués, une courte jupe mettant en valeur ses jambes gainées de noir.

La bretelle du soutien-gorge contenant sa lourde poitrine dépassait de son haut et je fis un rude effort pour me concentrer sur Mylène.

Denis invitait à danser toutes les filles qu'il pouvait, et je ne me fis pas trop d'idées lorsque je le vis danser avec Katia. Quand les slows arrivèrent, j'invitai ma nouvelle compagne. Tout en dansant, je vis cependant que Denis collait Katia, la faisait danser, boire et il lui chuchotait à l'oreille des mots qui la faisait rire.

Je quittai la boite avec Mylène, que je tentai de la ramener vers ma chambre. J'obtins un baiser passionné d'adolescente, suivi d'une excuse à propos d'une « séparation récente qui la poussait à ne pas s'engager trop vite », et elle partit se coucher.

Je fis de même, un peu désappointé. Je sombrai vers 2 h. Mais vers 3 h, je fus réveillé par des rires. Mon cœur s'arrêta brusquement de battre, tout comme à l’arrivée de Katia, quelques jours plus tôt.

J'avais reconnu les voix de Katia et de Denis. Je les entendis rentrer. Elle avait la voix un peu éméchée. Puis rien pendant un moment. Je me levai pour aller dans la salle de bain, allumai la lumière quand j'entendis se rouvrir la porte de mon voisin, puis on frappa doucement à ma porte. Etonné, j'allais ouvrir. C’était Denis : « Excuse-moi, mon pote, mais j’ai vu qu’il y avait de la lumière, et j’ai pensé que tu ne dormais pas. J’ai un petit problème, pourrais-tu m’aider ? 

Je le fis rentrer. Il chuchota, l'air ravi : « La belle fille au gros cul, elle est dans ma chambre, mais je n’ai pas de capotes Tu en aurais à me prêter ??? »

Alors là j'étais éberlué. Il venait me demander de lui donner des préservatifs pour s'envoyer en l'air avec Katia. Et je ne pouvais rien dire, il m'avait « dépanné » du même service cinq jours auparavant. J'ouvrai mécaniquement le tiroir de la table de nuit. Au moment où j'allais lui tendre la boite il me désigna le tube de lubrifiant qui était à côté avec un clin d'œil : « Et ça aussi, mon frère, je vais en avoir besoin cette nuit ! »

Je lui tendis les deux objets. Il me remercia chaleureusement et me souhaita bonne nuit...

Je me recouchai en essayant de ne pas imaginer ce qui allait se passer à côté. J'étais partagé entre la raison qui me disait que c'était normal, car nous étions séparés, un zeste de jalousie et une étonnante excitation.

Je me rendis vite compte que je ne pouvais pas dormir du tout. Je sortis dans le jardin, et poussé par un mauvais instinct, je me rapprochais en catimini de la porte-fenêtre de Denis, qu'il gardait souvent entrouverte.

Il avait laissé la lumière de sa salle de bains allumée, ce qui laissait une très douce lueur dans sa chambre. Je me rendis compte que ses rideaux ne m'empêchaient pas de voir à l'intérieur, me rapprochai encore et là, je les vis. Ils s'embrassaient passionnément sur le lit. J'étais à moins de trois mètres d'eux et je pouvais les observer tranquillement sans être vu. Il y avait devant moi un petit buisson qui devenait mon allié dans l'obscurité...

Je n'ai pas une mentalité de voyeur mais je ne résistais pas au spectacle. Elle avait dénoué ses cheveux et l'embrassait avec ardeur. Je me dis qu'elle n'avait peut-être pas fait l'amour depuis fort longtemps. Elle s'arracha de sa bouche quand il commença à lui pétrir les seins en gémissant. Sa main malaxa son entrejambe à lui, elle cherchait à le masturber au travers du jean's.

Elle se leva, fit disparaître son haut, ses chaussures et sa jupe et apparut en string, soutien-gorge. Tout en la caressant il se déshabilla entièrement, puis glissa au sol pour lui embrasser l'entrejambe. Il fit tomber au sol le petit string.

Elle sourit : « Toi, tu es un coquin... »

Il se releva, recula un peu et l'admira : « Tu es si belle, Katia ! »

Elle minauda un peu

« Et toi, tu es un bel étalon » dit-elle en observant d'un air appréciateur son érection. Il avait un sexe large et long et, toujours debout, elle lui roula une pelle enamourée en le branlant lentement. Il lui caressait le dos, les fesses avec passion, et elle le poussa à s'asseoir au bord du lit. Elle s'agenouilla, ouvrit la bouche, et lentement, très lentement, engouffra son sexe entre ses lèvres pulpeuses. Il poussa un râle de satisfaction, et lui caressa les pointes de ses seins que je voyais érigées sous la fine dentelle du soutien-gorge. Elle commença à le sucer avec passion, et je savais à quel point elle pratiquait bien cet art ! Il gardait les yeux fermés et ne vit pas ce que je vis : sa main droite à elle disparut entre ses cuisses. Tout en le suçant avec art, elle se masturbait avec délice.

J'avais une vision incroyable d'où j'étais : je voyais Denis, assis sur le lit, en train de se faire tailler une pipe par mon ex-femme que j'observais de dos, son large postérieur s'agitant sensuellement pendant qu'elle se masturbait... J’avais mon short sur moi et je ne résistais pas à me caresser machinalement au travers de la toile...

Denis gémissait sous la caresse buccale, il lui empaumait les seins tout en marmonnant des phrases en italien que je ne compris pas. Soudain, il s'arc-bouta et jouit longuement. Je vis à l'accélération subite des doigts de Katia dans sa chatte, et surtout à la chair de poule qui recouvrit ses fesses, qu'elle aussi jouissait. Elle le maintint dans sa bouche et avala tout. Le foutre coulait entre ses lèves pulpeuses…

La scène était tellement érotique que je me rendis compte que j'avais joui en même temps qu'eux, en me touchant... Lorsqu'il eut fini de jouir, elle se dégagea lentement, le regarda avec un sourire ironique et lui dit : « Si vite ? Et moi, alors ? Je n’ai pas eu ma part… »

Quelle menteuse ! bien sûr qu'elle avait joui ! Je me sentis curieusement rasséréné du fait qu'elle lui reproche sa jouissance rapide. Cela en faisait moins un Superman... Mais il se dressa, son sexe un peu débandé et dit en souriant : « Pas de problème, c’est ton tour, ma puce. »

Il l'allongea sur le lit, et lui écarta doucement les jambes. Il ouvrit avec ses doigts les lèvres humides et roses de désir. Il se mit à lui lécher fort délicatement le sexe en la tenant par les fesses qu'il malaxait voluptueusement. Elle se gémissait, haletait, puis elle fit glisser les bretelles de son soutien-gorge pour libérer sa poitrine, s'humecta les doigts et se toucha le bout des seins. Je l'avais vue pratiquer ce type de caresses souvent par le passé, mais là, la vision était fort différente puisque ce n'était pas moi qui étais en train de la lécher...

Je suivais sur son visage la montée de son plaisir, elle s'agitait de plus en plus sous la langue de Denis. Elle prit la tête de son amant à pleine main, et la lui appuya sur le pubis en haletant. Elle se tendit comme un arc, en criant pendant qu'elle jouissait pour la deuxième fois.

Denis se redressa, son sexe avait repris une forme plus honorable. Katia, insatiable, se pencha sur lui pour le sucer encore un peu, jusqu'à obtenir une rigidité absolue...

Il tendit la main et attrapa un préservatif qu'il déroula sur sa verge tendue et roula sur le dos... Katia se mit sur lui, guida sa verge et lentement, très lentement, se l'introduisit en elle. Elle poussa un râle de satisfaction. Elle était tellement inondée que j'entendais le doux clapotis de leur accouplement. Il la maintenait soudée à lui en lui pétrissant les fesses pendant qu'elle s'agitait en gémissant, ses gros seins totalement échappés du soutien-gorge ballottant au rythme de leur coït.

Il se dégagea doucement, la coucha sur le ventre et la pénétra ainsi. Je savais qu'elle adorait être prise comme ça et elle répondit à ses coup de reins par un roulage des fesses des plus érotiques. Tout en lui faisant l'amour, il se redressa et caressa ses fesses.

Il semblait obnubilé par cette partie de son anatomie. Il glissait de temps à autres son pouce dans le sillon fessier de Katia qui ne protesta pas, comme elle le faisait avec moi.

Il humecta son majeur et lui pénétra doucement la rosette. Elle cria « oui, oui », et eut un troisième orgasme.

Denis, rendu endurant du fait de son premier orgasme, la laissa reprendre ses esprits et, toujours en elle, tendit la main pour attraper le flacon de lubrifiant. Je voyais bien où il voulait en venir. Je m'attendais à un refus d'Katia. Elle n’aimait pas ça du tout, et ne me laissais faire que très très rarement.

Eh bien je me trompais. Visiblement, elle en avait envie, car lorsqu'elle sentit le produit couler sur son orifice anal, après un léger sursaut elle fit juste entendre un « mhumm » qui semblait me donner tort.

« Tu aimes ? » demanda Denis

« Oui, mais vas-y doucement, s’il te plait »

Il enfonça tout doucement son doigt dans son petit œillet lubrifié. Elle roulait des fesses, tendant sa croupe vers le doigt qui lui fouillait l'arrière train, et je sus que Denis n'allait pas tenir longtemps. Il se dégagea de son sexe et approcha son pénis de sa « petite porte d'entrée secrète », selon les mots de Katia. Il lui souffla à l'oreille : « Tu vas me guider en toi, je te laisse faire, décide du moment qui te semble bon…”

Je sentis monter l'adrénaline lorsque je la vis prendre le sexe de son amant et le positionner entre ses fesses charnues. Elle poussait en arrière, gémissait quand le gland pénétrait un peu son intimité anale. Elle tourna la tête vers Denis et lui dit : « S’il te plait, remet du lubrifiant, mets-en bien plus. »

Il ne se le fit pas dire deux fois, et pour le coup se recouvrit le sexe d'une généreuse couche de lubrifiant, ainsi que la « petite porte secrète » de mon ex. Ainsi préparée, elle s'introduisit sans difficulté le sexe de Denis dans ses reins. Lorsqu'il fut entré en entier elle se mit carrément à crier son plaisir. Elle se redressa sur les bras. Il commença à faire des va-et-vient dans ses fesses, d'abord doucement, puis de plus en plus vite. Elle était comme une femelle en chaleur, râlant, gémissant, hoquetant. Ses fesses tremblaient un peu sous les assauts de son mâle, ses gros seins tendus par le plaisir ballottaient. Mon sexe à moi avait la rigidité d'une statue, et je me caressais sans honte, les yeux rivés sur le spectacle de mon ex sodomisée. J’avais rarement été aussi excité que ce soir là !

Elle commença à se masturber la chatte avec ardeur. Denis, enfoncé dans ses fesses, accéléra ses mouvements face à ce spectacle charmant... Elle dit : « Oui, oui, mon chéri, viens dans mes fesses, jouis, jouis »

Accroché à ses larges hanches, il se vida en elle, en criant pendant qu'elle jouissait comme une folle, je vis les doigts de Katia s'agiter à toute vitesse entre ses cuisses charnues, et je dois avouer que moi aussi j'arrosai la végétation autour de moi de ma semence épaisse...

Apparemment repus, ils s'endormirent l'un sur l'autre. J'allais me coucher, plein de pensées très confuses. J'avais à la fois honte de m'être masturbé comme un adolescent en les matant, et j'avais un curieux sentiment de jalousie.  Je me posais aussi des questions sur le désir qu'elle me procurait maintenant. Heureusement qu'elle ne savait pas que j'avais la chambre contiguë à celle de Denis...

Vers 7 h 30, j'entendis par la cloison des bruits sourds, des râles. Apparemment ils avaient remis ça. Je tentai de me rendormir, mais, exaspéré je me levai et allai prendre mon petit-déjeuner. Lorsque je revins, au moment où j'ouvris ma porte, je tombais nez à nez avec Katia qui sortait. Mon cœur battait la chamade. « Ah, c'est ta chambre, ici ? » dit-elle un peu sottement.

« Remarque, j'aurais pu m'en douter, comme tu es copain avec Denis... »

Elle était rouge de confusion, et moi aussi. Je luttai contre une érection envahissante car me revenait ses ébats de la nuit. Elle le vit, et, le regard trouble, me demanda d'une voix douce : « Tu nous as entendus ? »

« Ben... oui. »

Je ne pouvais évidemment pas lui dire que non seulement je les avais entendus, mais que je les avais matés copieusement...

Elle me sourit : « On dirait que ça t'a fait de l'effet. » Son regard désignait la bosse de mon short que je n'arrivais pas à dissimuler.

« Et toi, tu t'amuses bien ici aussi... » Elle faisait allusion à Mylène, et je ne cherchais pas à la détromper. D'autant que depuis notre séparation je n'avais pas vécu comme un saint, loin s'en faut.

« Tu sais, depuis notre séparation je n'avais pas fait l'amour. Et là, avec les vacances, c'est comme un déclic, j'en ai follement besoin. »

« C'est ton problème, bougonnai-je, tu fais ce que tu veux. »

Elle me regarda avec douceur. « Ca peut être le tien, si tu le souhaites. Il y a des choses sur lesquelles on fantasmait tous les deux et que l'on n'a jamais tentées... »

Là, elle me sciait. On avait parfois parlé, dans les jeux de l'amour, de parties avec un troisième partenaire, mais j'avais toujours pensé que c'était un fantasme uniquement...

« Et puis... Tu me manques ! » dit-elle en me poussant dans ma chambre.

Bon sang ! Elle ne doutait de rien ! Cependant, lorsqu'elle me fit tomber sur le lit et qu'elle m'arracha mon short, mon sexe érigé ne pouvait faire mentir le désir que j'avais d'elle.

« Je te vais te soulager, mon pauvre chéri, dit-elle suavement. Et puis je vais parler à Denis. Je suis sûr qu'il est partageur, et qu'il aimerait bien que l'on joue tous les trois. Je vais organiser ça pour ce soir. Tu veux ? »

En me parlant, elle se mit à me masturber avec ardeur. Je voulus lui toucher les seins, elle me fit : « tut-tut, ce soir peut-être si tu es sage. »

Je déclarai assez vite forfait, et éjaculai à longs traits brûlants sous ses caresses insistantes

« Ne t'inquiètes pas, il dort encore, me dit-elle. A ce soir, alors… »

Je la regardai s'éloigner, songeur.

A midi, je retrouvai Denis, dithyrambique sur sa conquête de la nuit. « Elle adore que je l’encule, c’est ahurissant, mon frère, elle adore ça !!! Si tu savais comme elle est bonne ! »

Elle vint le rejoindre au dessert et lui parla à l'oreille un long moment. Je m'éloignai prendre un café. Il vint me voir, hilare : « Elle me dit que tu es sympa, et elle voudrait nous avoir tous les deux ensemble… »

Ca prenait des proportions des plus étranges. Voilà qu'un copain de vacances, amant de mon ex, me proposait une partie à trois avec elle...

Nous allâmes nous reposer à la piscine. Katia apparut, sanglée dans un maillot de bain deux-pièces qui moulait étroitement son anatomie. Elle vint nous voir, et nous dit : « Il fait un peu chaud pour rester au bord de la piscine, moi j'irai bien me reposer au frais.. » « Donne-moi ta clé, Denis, s’il te plait… »

Elle me fit un petit clin d'œil. « Rejoignez-moi dans dix minutes... »

Je ne résistai pas à lui balancer un : « je croyais que tu pouvais attendre jusqu'à ce soir ! » qui lui fit hausser les épaules. Elle s'en alla, ses hanches ondulant de manière sensuelle. Denis me dit : « Je te l’avais bien dit, elle est incroyable ! »

Difficile de lui dire que j'avais profité de ses charmes bien avant lui...

Nous allâmes la rejoindre sans mot dire. Lorsque nous pénétrâmes dans la chambre, l'ambiance était électrique, d'un érotisme intense. Elle nous attendait, allongée sensuellement sur le lit, ses jolies fesses posées sur un paréo blanc et or.

Elle roula une pelle enflammée à Denis en me tournant le dos, je lui pétris les fesses et elle attrapa ma bite bien dure. Je lui dégrafai le haut de son maillot, pendant que Denis lui faisait glisser le bas le long de ses jambes. Je lui empaumai vigoureusement ses gros seins, et elle gémit quand Denis, agenouillé, commença à lui lécher ses lèvres intimes, déjà bien humides…

Nous retrouvâmes nus comme des vers tous les trois, et je m'assis sur le lit. Elle se mit à plat ventre en face de moi pendant que Denis enfilait un préservatif. Visiblement, il ne voulait pas perdre de temps !

Elle m'attrapa le sexe et le prit en bouche. Dans le même temps, Denis, la pénétrait. J'étais fasciné, je voyais sa bouche pulpeuse sur moi pendant que son arrière-train tressautait sous l'assaut de Denis. Elle avalait presqu’entièrement mon sexe, qui bandait comme jamais. Je lui remplissais la bouche de mes va et vient puissants, plein d’excitation et de rage d’être dans cette situation inédite.

Après quelques délicieuses minutes, nous échangeâmes la position et je ne résistais pas à l'envie que j'avais de la sodomiser. Pendant qu'elle avait la hampe de Denis dans la bouche, je m’enfonçais dans ses reins avec facilité. Comment pouvait-elle être aussi ouverte ?

Elle sortit un instant la queue raide de Denis de sa bouche, et me dit d'une toute petite voix : « branle mon clitoris, je vais jouir ! » Je lui massai délicatement son petit bourgeon et elle fut agitée de spasmes violents. Au même moment, Denis déversa son sperme chaud et âcre dans sa bouche. Je me répandis à grands jets violents dans ses reins.

Elle se dégagea, et à ma grande surprise, di d’un ton nonchalant : « Ce soir, j'aimerais essayer avec vous deux en même temps... Là, il faut vraiment que j'aille dormir, je suis épuisée… »

J’étais totalement ébahi ! Comment avait-elle pu changer autant ???

Le soir nous nous retrouvâmes, toujours dans la chambre de Denis. Elle nous avait fait la totale : maquillée, de grande créoles en or aux oreilles, et bien sur, des bas…

Nous avons commence une lente dans de l’amour, nous embrassant tous les trois, sans distinction de sexe, nous caressant partout, ma main effleura même le sexe de Denis, qui ne broncha pas. Je m’enhardis, et le caressais plus fermement. Katia commença à l’emboucher, pendant que je serrais la base du vit de mes doigts. Vu la folie ambiante, je ne pus m’empêcher de poser ma langue sur le gland décalotté de mon copain. Il me regardait faire, toujours aussi « impassible ». Voilà une chose qu’il m’avait cachée !!

Malgré tout, c’était aussi une première pour moi ? J’ai aimé le contact lisse et chaud du gland, à tel point que j’ai fini par le sucer carrément, écartant  Katia. Celle-ci vint poser sa chatte trempée sur le visage de Denis, qui se mit à lui laper le con avec ardeur. J’entendais le bruit de succion de sa bouche sur les lèvres pendantes. Elle gémissait, dansait que la figure de mon copain. Une vraie salope en transe ! Elle jouit une première fois, lâchant un flot de mouille sur la bouche de son amant.

Momentanément repue, elle se coucha sur le coté, me regardant pomper avec ardeur Denis, qui menaçait de jouir entre mes lèvres. Je le lâchais, pour que Katia puisse se faire sodomiser tout à loisir par Denis. 

Je les matais, assis dans le fauteuil ma bite toujours aussi dure dans la main. Elle se laissa enculer un long moment. Hypnotisé, je voyais la longue queue dure de mon pote ouvrir en deux le large cul de Katia. Elle le fit se retirer, changea sa capote, et lui demanda de s’allonger sur le lit.

Elle s'embrocha d’un coup sur lui, se tourna vers moi et me dit : « Viens me prendre, doucement, tout doucement. »  Ca y était, elle voulait que le la sodomise, elle voulait sa double pénétration…. Un vrai rêve pour moi…

Je m’approchai de son cul, qui ondulait sous la pression de la bite de Denis. Sa rosette était encore béante de son premier enculage. Je ne pus me retenir de lécher et d’enfoncer ma langue dans ce petit trou si appétissant…

Enfin, je mis une capote, et posais mon gland contre la rosette distendue. Sans effort, Je la sodomisai lentement. Enfoncé au fond de ses fesses majestueuses, je pouvais sentir le chibre dur de Denis !

Ce fut elle qui commença à bouger. Elle était échevelée, criait des mots sans sens. Nous étions dans une danse du sexe sans fin, bougeant en rythme de nos deux pénétrations fortes et intenses.

Puis elle annonça qu'elle allait jouir, elle me demanda de lui toucher les seins.

« Allez-y mes chéris, jouissez tous les deux en moi, j'aime, j'aime »

Nous eûmes, tous les trois en même temps, un orgasme foudroyant. Il nous laissa pantelant, ko. Mais pas pour longtemps. Quelques minutes après, le désir était là, à nouveau, puissant, dévastateur, violent. Nous cédâmes à nos envies, sans tabou, nous baisant tous les trois à qui mieux-mieux…

Nous continuâmes nos activités à trois jusqu'à la fin de notre séjour, et je redécouvris ma femme, et elle me redécouvrit.

Depuis que nous sommes rentrés, nous avons arrêté la procédure de divorce. Nous habitons encore chacun de notre côté. Pourtant, nous nous voyons presque tous les soirs. Ces étonnantes expériences sexuelles nous ont réconciliés...

Je sais que nous recommencerons, à trois, ou plus. Elle a adoré me voir baiser un homme, et  veut vivre à nouveau cette expérience…

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