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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Bourgeoises en gangbang

Avertissement

 

Cette histoire fictive est vraiment très hard. Elle pourrait en choquer certains. Je m’en excuse à l’avance, et souhaite que vous ne m’en teniez pas rigueur. Mais parfois, j’ai envie d’écrire des choses violentes…

 

Ma mère et moi nous avions décidé d’aller faire les soldes entre filles. Les mecs, par définition, n’aimant pas trop faire les magasins, c’est bien connu, ma mère, Suzanne, avait donc accepté de bon cœur. Mon père étant de toute façon à son travail. Moi, j’avais fait de même avec mon jeune époux, je suis marié depuis à peine quelques mois. Je m’appelle Clara, j’ai vingt-cinq ans, je suis brune, pas très grande, mais il parait que je suis canon d’après les critères masculins en vigueur. Je suis professeur de maths dans un lycée de la région parisienne. Mon mari est flic. Ma mère, Suzanne, cinquante ans, est directrice de banque. Elle est encore une belle femme, elle prend soins de son corps, les revenues confortables de mon père, qui dirige une entreprise de BTP lui permette un train de vie confortable. Elle habite dans une ville bourgeoise de la région.

 

Nous avons donc pris le métro pour nous rendre à Chatelet les Halles, quartier de Paris, pour ceux qui ne connaitrait pas, ou l’on peut faire de bonnes affaires pendant les soldes. Nous commençons à déambuler dans la rue. Quelques regards masculins s’attardent sur nous. Ma mère est habillée d’une jupe courte violette sur des bas noirs. La hauteur de ses talons allonge encore ses jambes. Pour ma part, j’ai enfilé une tunique sur un leggins et des bottes à talons. Nous tournons à droite et nous nous retrouvons rue Saint-Denis, célèbre rue de Paris mondialement connue pour ses prostituées. Ce qui n’est plus tout a fait vrai de nos jours du reste. On y trouve encore des sex-shops mais surtout des boutiques de fringues. Il n’est pas rare de rentrer dans une parfumerie ou une boutique de prêt-à-porter coincée entre deux sex-shops ce qui est assez surprenant.

Nous croisons un groupe d’une dizaine de jeunes, composés de blacks et de maghrébins, qui me jettent un drôle de regard. Il me semble les reconnaitre, ils sont dans mon lycée je crois. Un est dans ma classe en tous cas, je le reconnais et il me fait un signe de tête. Maman et moi nous continuons et on entend des sifflets derrière nous. Ma mère grince des dents :
«  Ces jeunes, aucune éducation ! »


Nous dépensons notre argent dans divers magasins, faisant chauffer la carte bleue ! Nous avions l’intention d’acheter de la lingerie sexy et nous rentrons dans une boutique. Nous restons interloquées quelques secondes aussi étonnés que le gérant qui nous dévisage. En fait d’une boutique de lingerie, ce serait plutôt un sex-shop. La devanture plutôt soft nous a induits en erreur. Ma mère ouvre les yeux devant l’étalage de godes et de DVD pornos. Il y en a pour tous les gouts ! Gang-bang, SM, zoophilie.Des sous vêtement sexys, il y en a. Des tenues de soubrettes ou d’infirmières, pour pimenter les soirées. Des porte-jarretelles en vinyles, des bas résilles et même des escarpins vernis aux talons incroyablement hauts a tel point que même ma mère qui a pourtant l’habitude des talons aiguilles me demanda comment c’était possible de marcher avec ca.

 

Nous nous regardons et rouge de honte, nous pouffons et nous faisons aussitôt demi-tour pour sortir du sex-shop. Nous nous retrouvons bloquées par le groupe de jeunes que nous avons croisé tout a l’heure ! Souleyman, mon élève, s’approcha de moi, un sourire ironique sur les lèvres ! Tu m’étonnes ! Je me mets a sa place, il doit saliver ce petit con, surprendre sa prof dans un sex-shop avec sa mère. Maman me jette un regard inquiet mais nous avançons vers la sortie. Le gérant n’a rien dit. Souleyman m’attrape par le bras.
«  Ben, ne partez pas déjà, Madame. Faut acheter un truc à Roger quand même !
Comprenant que Roger est le gérant, je lui jette un regard hautain et lance :
- Certainement pas !
Ma mère renchérit :
- Ca suffit maintenant, laissez nous sortir ou on appelle la police !
Un grand black, impressionnant, s’approche de ma mère, la poussant vers la caisse de Roger.
- T’entends ca Roger, ce n’est pas gentil ce qu’elle dit la bourge ! »


Nous sommes vite entourées ma mère et moi par tous ces jeunes. Je commence à paniquer sérieusement, je pousse un cri ! Une main c’est posés sur mes fesses. J’entends maman crier aussi. Du coin de l’œil, je l’aperçois en train de se débattre au prise avec trois blacks qui tentent de remonter sa jupe. Ils y arrivent et ils sifflent en découvrant les bas auto-fixant .Roger arrive a son tour.
«  Ces bourgeoises, toutes des salopes, je suis sur qu’elles ont fait exprès d’entrer dans mon sex-shop !!! »


Protestations vaines de notre part. Souleyman me donne une claque sur mes fesses et soulève ma tunique.
« Depuis le temps que tu nous fais bander en classe avec tes jupes courtes, tu vas y passer ma chienne ! Tu ne t’en doutes pas mais on te filme régulièrement en cours avec nos téléphones portables, surtout tes jambes et ton cul et on met les films sur internet ! »


Horrifiée d’apprendre cela, je tente de me dégager. Souleyman me tire par les cheveux et me met a quatre pattes sur le sol, il baisse d’un coup sec mon leggins et je pousse un cri. Il ricane en découvrant mon string en dentelle qu’il écarte, introduisant un doigt dans ma fente.
On ramène maman, échevelée, apeurée, devant moi. Ses seins sont déjà à l’air et des mains noires n’arrêtent pas de les malaxer. Maman, le visage ravagées par les larmes hoquète.

 

Une bite noire se présente devant sa bouche et elle tourne la tête en criant. On la force à engloutir ce sexe énorme et elle doit accepter le chibre dans sa bouche. Elle commence à pomper la bite, la mâchoire déformée par l’épaisseur du membre. Les doigts fouillent mon intimité sans douceur. Je ne suis plus qu’un objet pour mon élève. Souleyman fébrilement se défait et sort un sexe d’un calibre impressionnant, je tente d’esquiver mais une main puissante me force à courber la tête et avaler sa queue. Je me retrouve comme maman à sucer cette bite dure et gonflée qui m’étouffe. Les larmes aux yeux, je salive sur la bite de mon élève.
«  Putain ! Quelle salope, vas y, suce bien ma bite. »
Ma mère pompe elle aussi la queue, j’entends ces protestations étouffées. On lui claque le cul quand elle proteste trop.

Roger, le gérant du sex-shop a sorti des godes, des menottes, des colliers et des laisses. Nous devons arrêter maman et moi nos fellations et nous nous retrouvons avec un collier en cuir autour du cou, une chaine attachée a un anneau. Maman, tenue en laisse par un des black doit faire le tour du sex-shop a quatre pattes, filmées par les téléphones portables, ils prennent tous des photos. Je dois reprendre ma fellation. Souleyman se retira, la bite dressée, et une autre queue s’engouffre dans ma bouche ne me laissant même pas le temps de respirer. Maman, a genoux, tenue en laisse par un des jeunes, suce sa bite en faisant des bruits de sucions obscènes. Elle prend la bite à pleines mains, le branle puis lui titille le gland avec sa langue. Pendant qu’elle suce, les autres l’obligent à leur branler leurs bites.


Je suis renversée sur le dos et Souleyman plonge sur ma chatte. Je sens sa langue m’aspirer le clitoris. Ma mère subit vite le même sort. A quatre pattes, un black derrière elle lui bouffe la chatte. Maman pousse un cri et secoue sa tête dans tous les sens. Le gérant lui présente sa bite qu’elle avala sans rechigner.

Je donne des coups de reins, répondant aux coups de langue de mon élève. Je gémis.
« Tu prends ton pied ma salope !
- Sa mère aussi, une vraie chienne. »


Maman s’active sur le sexe du gérant, pompant toutes les bites qui se présentent à elle. Un des jeunes se positionna derrière elle et l’enfourna. Elle poussa un hurlement. Les mains solidement accrochées aux hanches de ma mère, il commença à la pilonner comme un fou. Ses seins ballotant sous les coups de reins, maman continue de sucer la bite du gérant.

Souleyman releva mes jambes a la verticale et me pénétra, je sursautais sous l’intromission. Ses hanches s’agitent, je sens sa bite aller et venir, me perforant.Un autre black m’a pénétré la bouche de son sexe et je le pompe avec frénésie.
Il éjacula rapidement lâchant son sperme dans ma bouche. Je fus retournée à quatre pattes, tenue par la laisse et de nouveau pénétré par une autre queue. Mon corps secoué par les assauts de mon violeur, j’halète.
J’entends un hurlement déchirant ! Maman, à quatre pattes, jupe tirebouchonnée autour de la taille, se fait branler par deux jeunes. L’un a enfoncé quasiment toute sa main dans la chatte de ma mère et l’autre agite rapidement deux doigts dans son cul.
« Tu t’es déjà fait enculer la vieille ? lui crie-t-il. »
Maman refuse de répondre et gémit.
Quelques fessées (bien que cela soit interdit maintenant !) la ramène dans le droit chemin.
« Non, non, bafouille-t-elle. Jamais !
Éclats de rire général.
- Ben, tu vas y passer la bourge ! »


Cri désespéré de maman.
Le grand black, une bite énorme dans la main s’approche du trou du cul de ma mère qui gigote pour tenter d’échapper à la pénétration. Il posa l’extrémité de son gland sur l’ouverture des reins et il poussa en s’agrippant aux hanches de ma mère, faisant rentrer la moitié de sa bite. Il attendit un peu permettant à ma mère de s’habituer et donnant un dernier coup de reins, il enfonça tous le reste dans le cul de maman. Il commença à la pilonner d’abord doucement puis de plus en plus vite, la défonçant brutalement malgré ses cris et ses supplications.
Toute la scène a été filmée.
Quand à moi, je me retrouve empalée sur une bite et enculée par une autre pendant que je dois sucer une troisième bite. Filmée en gros plan.

Je suis relevée et courbée sur le comptoir et pénétrée par une queue. Je sens le ventre de mon tourmenteur claquer contre mes fesses. Sa bite s’enfonce dans ma fente.
«  Ha la la, quelle chienne, tu vas nous obéir a partir de maintenant ! Avec toutes les photos que l’on a et les films, toi et ta mère vous allez devenir nos putes. »


Je frémis.
Maman aussi proteste.
« Non, non je vous en supplie, ne faites pas ca ! »


Nos cris et nos gémissements se mélangent. Les salauds nous obligent à nous mettre à genoux l’une à coté de l’autre et se branlant au dessus de nos visages, ils éjaculent, nous aspergeant de leurs foutres.

On joua et on abusa de nos corps pendant des heures. On nous enfonça différents godes de différentes tailles dans nos chattes et nos culs. Maman fut même obligée de me branler avec un gode. Sous les éclats de rire de nos agresseurs. Moi, je dus lui sucer la chatte. On nous obligea à nous déshabiller entièrement et nous habiller avec des déguisements. Soubrette pour maman : mini robe noire avec un tablier blanc, bas résilles et chaussures aux talons d’au moins seize centimètres.

Écolière pour moi : micro-jupe plissée écossaise dissimulant à peine mes fesses, un chemisier blanc trop ajustée, mes seins débordant du décolleté, bas blancs montant très haut et chaussures vernis à brides mais a talons hauts. Ils poussent même le vice jusqu'à m’obliger à me faire des couettes. Nous avons gardé notre collier et notre laisse.
« Nous allons sortir, lance Souleyman, les emmener dans d’autres sex-shop, elles vont faire le show et nous rapporter un paquet de pognon !!! »
Nous crions ma mère et moi, et nous sommes aussitôt bâillonnées par une boule en latex que l’on nous enfonce dans la bouche attachées par une lanière derrière la tête. Nos cris se transforment en gémissements. Maman et moi nous nous regardons, la mâchoire déformée par la boule.

Nous sortons du sex-shop, la nuit est tombée. Nous avançons dans la rue Saint-Denis, tenues en laisse, dans nos déguisements de putes ! Les passants nous dévisagent étonnés mais aucuns ne réagit. Nous allons de sex-shop en peep-show, nous faisant baiser par les patrons et les clients, trop contents de l’aubaine ! A chaque fois, Souleyman encaisse les gains et nous avons du succès. Surtout quand Souleyman explique que nous sommes deux bourgeoises, la mère et la fille, venues s’encanailler. Nous suçons des centaines de bites, je suis enculée un nombre incalculable de fois. Maman subit des gangs-bangs monstrueux. On se branle entre ses seins et on lui éjacule dessus. Son visage est maculé de sperme. et je ne suis pas mieux !

Plus de deux heures plus tard, le corps repus, haletantes, en sueur, du sperme gluant dans les cheveux et sur nos visages, les habits déchirés, Souleyman et ses complices nous conduisirent à leurs voitures. Inquiète, je demandais s’ils nous ramenaient chez nous. Souleyman éclata de rire !
« Tu rigoles ! On va dans la cité, on a des potes à vous présenter ! »

 

Dans la voiture qui nous amène, ma mère et moi, dans la cité de Souleyman et ses ignobles complices, c’est l’enfer. On nous a contraintes à remettre nos bâillons-boules dans la bouche, nous empêchant d’émettre le moindre son. Nous sommes à l’arrière et pendant le trajet, maman et moi nous subissons des attouchements de plus en plus pervers. Maman, a les seins à l’air, ils sont malaxés sans vergogne par un black et un autre jeune. On lui suce les tétons, on les pince, on farfouille sous sa micro robe de soubrette et des doigts s’infiltrent dans sa chatte. Elle gémit à travers son bâillon. Pour ma part, je suis dans la deuxième voiture, et l’on m’enfonce dans la chatte toutes sortes de godes, me branlant avec tout le long du trajet.

Nous arrivons dans la cité, cela se reconnait sans mal à voir les carcasses de voitures calcinées qui jonchent le trottoir souvenir de la dernière nuit d’émeutes. Les voitures stoppent devant l’entrée d’un immeuble où traînent cinq à six jeunes. Je suis éjectée de la voiture et maman aussi. Nous nous regardons, maman le regard rempli de terreur, me dévisage.

 

Au pied de l’immeuble, les jeunes nous regardent, étonnés de voir deux belles femmes en tenues sexys mais bâillonnées accompagnées leurs potes.
« Putain ! Vas y. Souleyman, c’est qui c’est deux salopes ?
- Deux bourgeoises en chaleur. On va à la cave, tu surveilles et tu pourras en profiter après. »


Nous sommes entraînées dans un escalier malgré nos protestations étouffées. Nos talons claquent sur le sol. Dans la cave, nous sommes dirigées vers un local où se trouvent quelques jeunes. Ils fument du cannabis et boivent de l’alcool tout en écoutant du rap. Ils s’arrêtent net de discuter en nous voyant.


Souleyman leur explique qui nous sommes, notamment que je suis leur prof et que nous devons subir en entraînement intensif, un dressage avant d’être mises au tapin.
J’entends maman qui émet un son indistinct à travers son bâillon en entendant ces mots.

Les jeunes se lèvent et se dirigent vers nous. Nous sommes empoignées et emmenées au milieu du local. On me malaxe les seins et des doigts inquisiteurs farfouillent mon intimité. Maman est courbée en avant, campée sur ses talons aiguilles, et elle subit une fouille en règle de sa chatte par plusieurs mains. Tout le monde rigole, je sens les doigts qui me fouillent. On me branle, on pince mon clitoris. Des doigts s’enfoncent dans mon cul. On me retire mon bâillon et une bite se présente devant ma bouche.
« Suce salope, suce-moi ! »


Je m’empare de la bite et l’avale, soumise.
Maman à genoux, pompe une bite noire qui l’étouffe à moitié. On lui agrippe les cheveux et la force à l’avaler entièrement jusqu’aux couilles. Elle a des hauts le cœur.
Beaucoup de nos agresseurs sont des élèves de ma classe. Ils font des photos et des films.

Maman, toujours en soubrette, à quatre pattes, est filmée en train de sucer un gode pendant qu’un des jeunes, un type au crane rasé, lui enfonce un autre gode dans le cul.
Moi, on me prend en photo en train de sucer une bite d’un calibre impressionnant.
Je suis horrifiée d’entendre Souleyman dire qu’ils vont créer un site internet pour y mettre les photos. Le site pourrait être payant pour mater les films. Un des jeunes objecte qu’il ne faudrait pas qu’on nous identifie et Souleyman lui dit qu’il n’y a pas de problème car on peut flouter les visages.

Tirée par la laisse, je suis contrainte de m’agenouiller sur le sol crasseux de la cave. Souleyman poussa ma tête jusqu'à ce qu’elle touche le sol, cambrant mon cul. Je sentis le gland de son sexe forcé mon anus et je poussais un cri. Je reçu une volée de claques sur les fesses !
« Tais-toi, salope ! »


Sa bite força mon cul et il commença à me pilonner. Mes seins secoués par ses coups de boutoirs gigotent dans tous les sens.
Maman fut amenée devant moi et courbée en avant, elle dut accepter toutes les bites qui se présentaient devant elle. Il y a au moins une quinzaine de jeunes dans la cave. J’entends leurs cris et leurs rires. A l’entrée, un colosse donne les tarifs et encaisse. Maman suce une queue noire, s’étouffe, hoquète, recrache la bite pour reprendre sa respiration. Une seconde bite investit sa bouche, forçant ses lèvres rouges. On la contraint à branler une queue de ses mains manucurées.

Souleyman continue de me perforer et je sens une douce chaleur envahir mon bas-ventre. Je gémis malgré moi.
«  Tu prends ton pied ma salope ! On va faire de toi et ta mère de bonnes petite putes soumises. »


Ma mère tente de protester mais ses cris sont étouffés par la bite qu’elle suce. De la bave coule sur son menton. On ne lui laisse aucun répit. A peine un des jeunes a-t-il éjaculé libérant son sperme dans la bouche de cette bourgeoise b.c.b.g., qu’un autre le remplace. On la force à avaler le foutre et elle s’étouffe.

Souleyman se retire et me lime la chatte maintenant, les mains crochées dans mes hanches, il me bourre sauvagement, j’halète, c’est plus fort que moi, je sens l’orgasme arriver.. Je pousse un cri et je m’affale sur le sol. Un autre jeune se précipite et me retournant comme une crêpe me soulève les jambes et me pénètre violemment m’arrachant un nouveau cri. Maman, les seins recouverts de spermes, se retrouve à quatre pattes, une bite qui lui ramone le cul. La bouche ouverte sur un cri muet.
Ses gros seins sont malaxés par des centaines de mains. On s’amuse à lui tirer les tétons. Pendant que le jeune lui déchire le cul, elle doit accepter de sucer d’autres bites, sous les commentaires ignobles :
«  Bourre la cette pute, éclate lui son cul de bourgeoise. Défonce lui le cul à cette chienne !
- Je vais jouir dans ton cul, salope !! »

On nous releva et, en fragile équilibre sur nos talons aiguilles, plusieurs mains relèvent une de nos jambes. Nous sommes, maman et moi, masturbées un long moment jusqu'à ce qu’un orgasme nous fasse crier. Je suis pénétrée par la queue d’un petit jeune pendant qu’un gros, presque obèse, enfile maman. Prises debout, nos seins ballotent. Leurs coups de bites nous font gémir. On force maman à sucer un gode.
Je me rends compte que maman à perdu un de ses escarpins et que ses bas sont déchirés.
Le gros défonce maman à grand coups de reins. Les yeux exorbités, elle me regarde. Elle poussa soudain un cri bref et faillit tomber sous la violence de l’orgasme. Je subis les va et-vient de mon tourmenteur. Je sens la cyprine qui coule sur son membre.


On nous positionna à genoux pour le final. Tous les jeunes se présentent devant nous, et bouche ouverte, langue pendante, nous attendons. Les jets de spermes giclèrent allant s’écraser sur nos visages. J’en reçois sur le front, les yeux. Maman en a plein les cheveux et sur ses seins. On la contraint une dernière fois à piper une queue, celle de Souleyman, qui éjacula dans sa bouche l’étouffant avec son foutre


Nous sortons de la cave, titubantes sur nos talons hauts. Maman se tord la cheville. Nous passons devant le jeune que Souleyman était chargé de surveiller l’entrée. Il proteste en nous voyant partir. Il n’a pas eu sa part.
Nous sommes livrées gracieusement à ce jeune. Son visage dissimulé par une capuche rabattue sur sa tête. Il s’empare de nous, nous pousse vers la voiture et nous cambre dessus, nos seins écrasés sur la tôle. Il me pénètre en premier et me donne de furieux coups de reins me faisant couiner. Il se retire et enfile maman qui, passive, accepte la bite de ce jeune qui pourrait être son fils, voire son petit-fils tellement il parait jeune. Il défonce ma mère en l’insultant et en la traitant de grosse bourgeoise salope, de traînée. Il éjacula rapidement aspergeant le cul de maman de son sperme poisseux.

Nous sommes coincées maman et moi à l’arrière de la voiture entre Souleyman et Rachid, un de ses complices. Brahim conduit. Ils nous ramènent chez nous. Nous avons été contraintes de donner nos adresses personnelles. Souleyman fouille dans nos sacs à main qu’il a pris soin d’emmener après notre virée dans les sex-shops. Il découvre la photo de mon époux.
«  C’est ton mari ? Il fait quoi ?
Je lui apprends qu’il est policier, à la BAC, et il ricane.
- Putain ! On vient de se taper une femme de flic, je connais plein de mecs qui seraient ravis de te défoncer ma belle.
Il se tourne vers ma mère :
- Et toi ? Tu bosses ?
Maman, tremblante lui avoue qu’elle est directrice d’une agence bancaire .
- Et ton mari ?
- Il travaille dans le BTP, il dirige une société.
Eclat de rire de Souleyman :
- Je pense que les ouvriers de ton mari rêvent de te déchirer le cul !! »


Maman et moi nous baissons la tête, honteuse.
Souleyman donne ses instructions :
« Demain, dit-il en s’adressant à moi, au lycée, tu seras habillée sexy, jupe courte , talons hauts et bas nylons.
Il se tourne vers ma mère.
- Toi, tu ne vas pas bosser demain, tu seras malade.Tu auras de la visite, habille toi sexy, pour appâter les clients !!! Et t’inquiète pas pour ton boulot, à la banque on va contacter tes employés. Je suis sûr qu’ils seront ravis de pouvoir te sauter !!! »

Nous avons été ramenées chez nous. Maman m’a avoué le lendemain, que Rachid, Brahim et Souleyman l’avaient baisée une dernière fois sur le lit conjugal, l’abandonnant recouverte de sperme.

 

 

Ramenée chez moi, je m’empressais de prendre une douche. Avec une crème apaisante, je soulageais les brûlures dues aux multiples enculages que j’avais dû supporter. Mon mari rentra tard et il me trouva pimpante dans le salon de notre appartement. Cependant, il ne comprit pas quand je trouvais une excuse bidon (j’ai mal à la tête !!) pour qu’il ne me fasse pas l’amour.

Je me demande encore pourquoi je ne lui ai rien dit de notre mésaventure. J’étais très troublée par ce qu’il venait de m’arriver. Maman et moi avions été contraintes bien sûr mais nous avions également eu des orgasmes. Une jouissance que je n’avais jamais ressentie jusque là.

Épuisée, je me couchais de bonne heure et dormis d’une traite jusqu’au matin.


En arrivant au lycée, une petite appréhension m’étreignait la poitrine. J’avais longuement hésité devant ma penderie le matin, me demandant comment je devais m’habiller. Je me souvenais des ordres de Souleyman qui m’avait demandé d’être sexy. Refusant d’abdiquer si facilement, je m’habillais d’une jupe à carreaux s’arrêtant juste au-dessus du genou, un haut blanc, des bas noirs et des escarpins à talons plats.
Je traversais les couloirs me rendant dans ma salle de classe quand je tombais sur Souleyman et Rachid. Je blêmis en les voyant. Souleyman s’approcha de moi :
«  Comment t’es sapée !!! Tu te fous de ma gueule ? On avait dis sexy ! T’as mis une culotte, je parie ?
- Je vous préviens que je vais porter plainte si vous continuer à me harceler ! lançais-je d’une voix que je voulais autoritaire.
Mais Souleyman et Rachid ricanèrent :
- Vas-y porte plainte et demain ton mari et ton père auront les vidéos de vos exploits à ta mère et à toi ! Surtout quand tu jouis tellement que tu tombes par terre ! Alors ? Tu obéis ? »


Tétanisée, je ne pus qu’acquiescer. Rachid et Souleyman m’entrainèrent vers les toilettes.
Souleyman sortit un objet de sa poche. Cela ressemblait à un œuf mais de couleur rose. J’écarquillais les yeux, ne comprenant pas.
«  Tu vas t’enfoncer ça dans la chatte, salope !!
Je me sentis devenir rouge de honte.
- Relève ta jupe !! aboya Rachid. »


Apeurée, et bizarrement excitée, je m’exécutais. Je soulevais doucement ma jupe dévoilant mes jambes. Arrivée à la lisière de la jarretière, je m’arrêtais.
« Continue, connasse ! Fais voir ta culotte ! »


Je soulevai la jupe laissant apparaitre mon string en dentelle. Je reçus immédiatement une violente claque sur les fesses et je dus l’enlever.
Souleyman s’approcha de moi et m’introduisit l’œuf dans la chatte. Puis il sortit une espèce de télécommande de sa poche et me la montra, hilare :
«  Tu vas prendre ton pied ma salope !!! »


Il actionna un bouton et l’œuf se mit à vibrer dans mon intimité !!! C’était une sensation étrange de sentir ce corps étranger bouger dans ma chatte. Très vite, je ressenti une délicieuse chaleur dans mon bas-ventre. Rachid me dégagea les seins de mon haut et baissa les balconnets de mon soutien-gorge. Il me suça les pointes lentement, me les mordillant à peine. L’œuf continue de vibrer et je mouille comme une folle.


Souleyman m’explique qu’il peut choisir la vitesse de vibration de l’engin et joignant le geste à la parole, il appuie sur un autre bouton. Immédiatement, je sens l’œuf vibrer de plus en plus vite. C’en est trop. Je me mords les lèvres en gémissant et donne de furieux coups de reins. Souleyman passe sa main sur ma vulve et ramène ses doigts couverts de cyprine. Il me force à les nettoyer avec la langue et je m’exécute vilement.


Il arrêta le moteur de l’œuf me laissant au bord de l’orgasme et je ne pus m’empêcher de pousser une exclamation de dépit.
« Tu vas aller en cours, sans culotte et avec l’œuf dans la chatte. Je me mettrais au premier rang et je te ferais prendre ton pied en plein cours si je veux !
- Oh non, non pas ça, je vous en supplie. »


Je suis affolée à l’idée de jouir en pleine classe devant mes élèves !
Mais Souleyman et Rachid, impitoyables, me laissèrent seule dans les toilettes. Juste quand résonnait la sonnerie annonçant le début des cours.

Je marche maladroitement sur l’estrade. Gênée par l’œuf. Honteuse d’être sans sous-vêtement, je n’arrête pas de me demander, angoissée, si cela ce voit à travers le tissu de ma jupe.
Au premier rang. Souleyman, Rachid et Brahim me dévisagent, une lueur ironique dans le regard.
Je suis en train de donner une explication à un élève quand je sens l’œuf se mettre à vibrer. Je sursaute et m’arrête net de parler. Je deviens toute rouge. Je continue de donner mon cours en balbutiant.
«  Ca ne va pas Madame ? Vous vous sentez mal ?
- Non, non, ça va, merci. »

 
Les jambes flageolantes, je retourne m’asseoir à mon bureau. Il y a une ouverture dessous et l’on peut voir mes jambes. Certains de mes élèves ne doivent pas se priver de les mater du reste.
Je donne un exercice à faire pour être tranquille.
Souleyman se lève, me regarde dans les yeux et me tend un bout de papier. Horrifiée, je découvre le message.
« Écarte les cuisses que l’on voit ta chatte. »


Docilement, je m’exécute. J’écarte lentement mes jambes. Ma jupe s’est retroussée sur mes cuisses et l’on doit se rendre compte que je ne porte rien dessous si l’on se penche un peu. Je réalise, humiliée, que c’est ce que font plusieurs de mes élèves ! Mon Dieu ! Ils vont apercevoir ma fente !


J’entends des chuchotements et des gloussements. J’essaye de rester naturelle. La sonnerie retentit et je sursaute. Soulagée, je salue mes élèves qui sortent précipitamment. Sauf Rachid, Brahim et Souleyman.
Brahim s’approche du bureau et me demande de me lever. J’obéis.
« Soulève ta jupe !
Il introduit un doigt dans ma chatte.
- T’es trempée ma salope, une vraie fontaine !!! »


Les autres éclatent de rire. Souleyman a sorti un appareil photo numérique et il commence à me filmer malgré mes supplications.
« Monte sur ton bureau », ordonne Rachid.


Je m’exécute et monte sur mon bureau. Je suis obligée de retrousser ma jupe au maximum, dévoilant mes jambes gainées de bas noirs à mes trois élèves pervers.
Il me demande de me mettre en position accroupie sur le bureau. Cette posture ne leur cache rien de mon intimité. Souleyman filme et Brahim prend des photos. Je dois sortir mes seins de mon soutien-gorge et je me retrouve la poitrine dénudée en pleine classe !

Rachid actionna l’œuf et très vite je me mis à gémir. Je les supplie d’arrêter.
« Ca va faire un film du tonnerre, lâche Souleyman, les internautes vont adorer. »


On m’oblige à changer de position et je me retrouve à quatre pattes sur mon bureau, le cul tourné vers la caméra, l’œuf vibrant toujours. Brahim m’enfonça un doigt dans le cul. Le faisant coulisser rapidement. Rachid fit le tour et enfourna sa bite dans ma bouche m’étouffant à moitié. Je lui suce le gland, le pompant frénétiquement. Brahim agite ses doigts de plus en plus vite et je gémis de bonheur. Rachid m’agrippe les cheveux et fait coulisser son membre entre mes lèvres. Il déchargea sa semence qui s’écoula dans le fond de ma gorge. Rachid retira ses doigts et me fit descendre du bureau. Il me retourna et me plaqua dessus, les seins écrasés. Il me pénétra brutalement, et me donna de violents coups de reins. Très vite, il joui et je sentis son sperme couler le long de mes cuisses.
Souleyman réclamant sa part du gâteau mais continuant à filmer, je dus le rejoindre à quatre pattes, comme une chienne me lancèrent-ils, et je dus le sucer sous l’œil de la caméra qui me filme en gros plan, jusqu’à ce qu’il m’asperge le visage de foutre..

Le portable de Souleyman sonna. Il vient de recevoir un texto.
« Des nouvelles de ta mère, me lance-t-il. Elle a bien bossé, elle nous a rapporté un max de fric. Va falloir t’y mettre toi aussi ! »
Je baisse la tête, effondrée. Moi encore, mais ma pauvre maman ! Qu’a-t-elle donc bien pu subir comme humiliations ?

 

 

 

Récit de Suzanne

 

Je reprends la suite du récit de ma fille Clara. A la demande de nos tortionnaires, nous sommes contraintes d’envoyer des comptes-rendus détaillés de nos turpitudes depuis que nous sommes devenues les esclaves sexuelles des élèves de ma fille. Je m’appelle Suzanne, j’ai cinquante ans. Je suis directrice d’une agence bancaire et j’habite un grand pavillon dans la région parisienne. Je suis grande, élancée. Féminine, raffinée. Je fais très attention à mon corps. Souleyman a créé un site internet où il poste les photos et les vidéos dont nous sommes bien malgré nous les actrices. Il a également ouvert un blog où ma fille et moi, nous devons toutes les semaines raconter notre déchéance.
Après cette après-midi de cauchemar où ma fille et moi, nous avions été partouzées par des jeunes de banlieue, Souleyman m’avait ramenée chez moi. Avec ses complices, ils m’avaient baisée une dernière fois me laissant anéantie.


La sonnerie du pavillon retentit et je me dirige vers la porte. Je suis seule, mon mari est à l’étranger pour visiter un chantier. Il est à la tête d’une grosse entreprise de BTP qui passe des contrats important un peu partout dans le monde mais aussi en France.
Je reste bouche bée devant la porte. Trois blacks, des jeunes, sont devant moi. Capuche sur la tête, casquette. Sans hésiter, ils rentrent me bousculant presque.
Je tente de protester :
«  Mais ! Sortez d’ici immédiatement ! »


Un des blacks se retourne et me dévisage.
Il mate mes seins moulés dans mon chemisier en satin. Je m’apprêtais à partir au travail.
« Pas mal, la bourgeoise ! Souleyman m’avait prévenu. Du premier choix !
Ils éclatent de rire et je blêmis.
- Je croyais qu’il t’avait dis de t’habiller sexy pour recevoir tes premiers clients ! »


Je manque m’évanouir. Je ne pensais pas que ces jeunes étaient sérieux quand ils nous avaient annoncé ça dans la voiture qui nous ramenait.
Il me prend par les bras et m’entraîne vers le salon, les talons de mes escarpins claquent sur le sol.
Le plus grand, qui semble commander, me dit s’appeler Moussa. Il me présente ses complices : un plus petit, le crane rasé, le regard méchant qui s’appelle Diouf et un gros, énorme, le ventre en avant. Il a dû trop se nourrir de fast-food. Il porte un sac.


Moussa me demande si j’ai internet. Je les emmène dans le bureau de mon mari. Il allume l’ordinateur et il se dirige sur un site intitulé « Dressage de bourgeoises ». Je défaillis. Ma fille et moi sommes les héroïnes de ce site immonde où l’on nous voit se faire prendre à la chaîne dans le sex-shop et dans la cave de la cité. Je suis quand même soulagée de voire que nos visages sont floutés.


Pendant que je regarde le film, la main de Moussa remonte le long de mes jambes. Je frémis au contact mais ne dis rien, fascinée malgré moi par le film. Diouf déboutonne mon chemisier. Il baissa les balconnets de mon soutien-gorge faisant apparaitre mes seins. Il souleva ma jupe, baissa mon collant et mon string.
« Tu ne devras plus porter de sous-vêtement à part des bas. Tu as un porte-jarretelle ? »


Médusée, je hoche la tête. La main de Moussa me caresse la vulve. Je commence à mouiller. J’ai honte, mais j’aime ce contact. Cette main noire qui caresse ma peau blanche m’excite terriblement.
Moussa m’appuya sur les épaules et je dus m’accroupir. Il sortit son sexe. Un membre qui me parut énorme. Une matraque de chair qu’il m’enfonça brutalement dans la bouche. Je dus le pomper longuement, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles. Il éjacula, le sperme giclant contre mon palais. Je déglutis avec peine et avalai sa semence.

Je fus relevée et emmenée dans ma chambre. Je dus faire le tri dans ma penderie, jeter tous mes pantalons. Moussa et Diouf admirèrent ma lingerie.
«  C’est pas mal, mais pour aujourd’hui, on t’a ramené des fringues. Enlève ta jupe ! »


Je me déshabillais et restais devant les trois hommes totalement nue. Le gros, qui se prénommait Brice, me palpa sous toutes les coutures. Les seins, la chatte, le cul. Puis je dus m’habiller avec les vêtements qui étaient dans le sac qu’il avait emmené.
Un collant noir à couture ouvert à l’entrejambe dévoilant mon cul et ma chatte. Un soutien-gorge ouvert également laissant apparaitre mes seins. Une minijupe en vinyle s’arrêtant juste en dessous des fesses et une paire de cuissarde en vinyle également aux talons très hauts. Moussa ajusta un collier autour de mon cou avec une laisse. Je ressemblais vraiment à une pute ! Non ! Pire, à une esclave.

Moussa m’ordonna d’appeler ma banque pour dire que j’étais souffrante et que je ne pourrais venir aujourd’hui. Pendant que je parlais avec mon stagiaire, Bertrand, un jeune que je chargeais en général d’effectuer les tâches ingrates dans la banque comme faire les photocopies, Brice m’enfonça deux doigts dans ma chatte. Je sursautais !
« Oui, oui, Bertrand. Non, je ne viendrais pas. »


Sadiquement, Brice remue ses doigts boudinés, je mouille et j’entends les clapotis. Pendant ce temps, Diouf me malaxe les seins. Je ne tarde pas à réagir à ses caresses et je donne des coups de reins involontaires. Je raccroche précipitamment et je gémis.
« Arrêtez, je vous en supplie. c’est trop ! »


Ricanement de Brice qui me branle sauvagement faisant coulisser ses gros doigts dans ma fente. Diouf me suce les tétons.
Moussa filme la scène avec une caméra numérique. Brice me branle savamment me caressant lentement puis plus vite me faisant haleter. Diouf m’enfonça son index dans mon anus et je sursautai. Branlée par la chatte et le cul, je ne tardais pas à jouir sous le regard de la caméra.

Le souffle court, je tentais de récupérer. Moussa se pencha vers moi :
«  T’as intérêt à récupérer ma chérie, y a du monde qui va arriver. On a mis une annonce sur le site. Une bourgeoise qui recherche des mâles bien montés pour un gang bang géant. On a vite recruté, ils ont tous payé sans rechigner. Ce sont des blacks qui viennent de différentes cités de la région. Tu vas morfler ! Pute à blacks ! »

Et il éclata de rire.
Voila donc ce que j’étais devenue : une pute à blacks. Moi, la bourgeoise respectable, la bonne épouse, bonne mère de famille. Effondrée, je m’affalais sur le sol.

En effet, ils arrivèrent dans la soirée. Horrifiée, je découvre qu’ils sont au moins une dizaine. Tous blacks. Des jeunes. Ils sifflent en découvrant mon beau pavillon. C’est moi qui vais leur ouvrir dans ma tenue de pute. Je subis des commentaires salaces :
«  C’est toi la pute à blacks ? Qui veut des bites noires pour te faire gueuler ?
Je baisse la tête, honteuse et je dois répondre dans un souffle :
- Oui, c’est moi. »


Je suis empoignée et amenée dans le salon. Je suis accroupie sur la moquette. Les jeunes sont déjà en érection et se branlent doucement. Plusieurs bites d’ébène se présentent déjà devant moi. J’engloutis les membres dans ma bouche. Plusieurs mains malaxent mes seins.
« Vas-y la bourgeoise ! Ouvre la bouche, suce nous, tu vas nous vider les couilles, pute à blacks ! »


Un grand black fait coulisser sa bite entre mes lèvres. Il éjacule rapidement m’étouffant avec son sperme. Des mains se faufilent sous ma jupe me titillant le clitoris. On me suce les seins. Moussa filme bien sûr. Je suce plusieurs bites. Et parfois deux en même temps. Je suis essoufflée. On se vide dans ma bouche et je dois avaler le foutre.
Je suis mise à quatre pattes et on me fesse le cul. Des doigts s’enfoncent dans mon cul et ma fente. Puis une queue me pénètre et une autre s’engouffre dans ma bouche. Mon corps ballote sous les coups de pines. Je gémis. Je suis traitée comme une chienne mais j’y prends un sale plaisir ! Celui qui me pilonnait éjacula sur mon dos et celui que je suçais se vida sur mon visage. Aussitôt un autre le remplaça. Ses va-et-vient violents me font gémir. Il se retira de mon ventre et sans précaution força mon anus. Je voulus crier mais bâillonnée par la bite que je suce, mes cris se muèrent en gémissements plaintifs.
« Quelle salope ! Une vraie pute ! »

Moussa me filme en gros plan.
Cela dura toute la nuit. Mon corps ne m’appartient plus. Il leur appartient. Je leur appartiens. Les petits salauds en abusent. Empalée sur une bite, enculée par une autre et contrainte d’en sucer une troisième, je jouis sans discontinuer. Je serais enculée et branlée en même temps avec un gode. Que je devrais sucer ensuite. On se branle entre mes seins. Mes « clients » se soulagèrent en se vidant sur mon visage. Le sperme gicla allant s’écraser sur mes lèvres, mes cheveux, mes yeux. Un des jeunes, plus pervers que les autres, voulut éjaculer dans mes mains et je dus lécher son sperme ensuite. Pour la plus grande joie de Moussa qui trouva cette scène « génial ! »

Ils partirent au petit matin me laissant affalée sur le sol. Moussa, Brice et Diouf n’eurent aucune pitié. N’ayant pas pu profiter de moi, je fus obligé de terminer la soirée en les suçant tous les trois. Ils se vidèrent rapidement dans ma bouche. J’avais tellement de foutre en bouche que cela déborda et que ça coula sur mon menton.
« Allez, on va te laisser récupérer ma salope !! Mais vite, hein ! Bientôt on t’emmènera dans un chantier qui appartient à ton mari. Vu comment il doit les payer, il leur doit bien une compensation ! »


Ils éclatèrent de rire. Je me relève péniblement.
Après avoir été une pute à blacks, allais-je devenir une pute à chantier ?

Pourtant, malgré les douleurs vécues, je ne peux m’empêcher de jouir quand je me remémore certaines scènes…

 

La suite dans la seconde partie...

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