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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • : Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Première soumission hard

Comme il est d'usage, je vais me présenter. Je me prénomme Caroline et j’ai vingt ans. Chevelure noire mi-longue qui contraste avec un teint pâle et des yeux d'un bleu lagon. Ajoutez à cela un joli 95C en pomme, un petit cul rebondi fréquemment regardé et enfin un sexe entièrement épilé par souci esthétique. Vous avez mon portrait complet.

Je vais vous raconter ce qui m'est arrivé il y a peu de temps. Une aventure inoubliable, qui m'a laissée à la fois de bons et de mauvais souvenirs. Une découverte percutante avec la sexualité bestiale et de groupe. Une entreprise de démolition personnelle, par trois mâles extrêmement virils, et même brutaux.

Avant cette expérience, je n'avais connu qu'un seul homme, mon compagnon. Notre vie sexuelle se passe dans la plus parfaite sensualité, la plus parfaite complicité. Je ne savais donc pas le moins du monde à quoi m'attendre. Ce fut exactement tout le contraire de ce à quoi j'avais été habituée en près de quatre ans.

Jusqu'à ce fameux soir, je n’avais jamais fait le moindre écart. Pourtant, mon compagnon est régulièrement absent durant plusieurs mois en raison de son activité professionnelle.

Les occasions de tromper sa confiance ne manquent pas. Mais nous nous étions promis une totale fidélité. Autant dire que c'en est terminé. Ma morale a volé en éclat.

Expatriée à Budapest depuis septembre dans le cadre de mes études universitaires, j’y ai fait quelques connaissances. Je les côtoie de temps à autre lorsque je ne me consacre pas pleinement à mes très prenantes études. Frantz et Helmut sont de ceux-là.

Respectivement vingt-neuf et trente-trois ans. Tous deux grands, athlétiques, je dirai même musculeux. Cheveux très courts, moyennement poilus. Des visages et des expressions qui ne reflètent pas l'amabilité, même s'ils s'étaient jusqu'alors montrés corrects avec moi. Jusqu'alors seulement...

Tout de même, j'avais bien remarqué que je ne les laissais pas indifférents. Qu'ils me scrutaient de haut en bas. Mais ce n'étaient et ce ne sont toujours pas les seuls dans ce cas. Alors, je n'y prêtais pas grande attention. Je me suis lourdement trompée. Quoiqu'il en soit, par amour mais aussi par respect envers mon compagnon, je ne comptais pas me donner à un autre que lui.

À peine revenue de mes vacances passées auprès de mes parents, je reçois un appel de Helmut qui m'invite à diner à son appartement vendredi soir suivant. Ce n'était pas une première, j'acceptais avant même de savoir que Frantz serait également présent, en compagnie aussi d'un de leurs amis, pour moi inconnu.

Ce n'était après tout qu'un nouveau repas chez Helmut. Je décide de m'y rendre dans une tenue légère dont je suis coutumière. Chaussures noires à talons légers, jupette noire arrivant un poil plus haut que mi-cuisse, débardeur cache-cœur seyant de couleur jaune. Comme seul sous-vêtement, un string ficelle lui aussi jaune. Et pas pour plaire aux hommes, mais pour me plaire.

Prête à partir, j'enfile une courte veste, quitte mon appartement et rejoins la rue. Il fait frisquet, je grelotte mais les dix bonnes minutes de marche qui m'attendent me donneront l'occasion de me réchauffer. Oh surprise ! je sens quelques regards inquisiteurs se poser sur mon accoutrement, peu habituel à cette époque de l'année. Peu importe. Finalement, j'atteins l'immeuble où réside Helmut.

À peine ai-je sonné à l'interphone qu'il descend les trois étages le séparant de la porte d'entrée. Il m'accueille gentiment, me souriant et me complimentant. Nous nous faisons la bise puis rejoignons son appartement. Nous y attend Frantz qui m'embrasse (sur la joue, évidemment) et se montre attentif à ma tenue. Helmut ôte ma veste et l'accroche à un cintre. Mais ne m'a-t-il pas lentement effleuré l'épaule du bout des doigts ?

Je préfère reporter mon attention sur l'inconnu. Il m'est présenté par Helmut comme Otto, quarante-cinq ans. Son visage, scrutateur, ne m'inspire guère confiance, pas plus que sa bedaine prononcée ne risque de me faire de l'effet. Mais, après tout, il est peut-être sympathique.

Il me fait la bise, et après avoir échangé quelques paroles tout à fait respectueuses, nous attendons que le dîner soit servi. Aucun commentaire ne m'évoque le sort que je vais connaître en cette soirée. Nous passons à table. Ces messieurs prennent un repas copieux, arrosé de bières, mais ils restent en complète possession de leurs moyens. Quant à moi, je me contente d'un repas frugal, faisant toujours très attention à ma ligne.

Au cours du repas, le temps passant, les commentaires osés font leur apparition. Les blagues vaseuses aussi. Ce qui a le don de me mettre mal à l'aise et je constate qu'ils s'en aperçoivent mais ne s'arrêtent pas pour autant. Tout au plus se montrent-ils sérieux l'espace de quelques secondes.

 
 


Au bout d'un certain temps, ils décident de gagner le canapé. Je les y suis, m'installant entre Otto et Frantz, Helmut nous faisant face, les coudes posés sur le dos d'une chaise. La discussion me semble plus accessible quoique les allusions sexuelles, mais non orientées vers ma personne, se font encore fréquentes. Je me garde bien de laisser transparaître un sentiment de gêne, pourtant très présent.

Leurs regards se font de nouveau plus scrutateurs. Finalement, je sens la main droite de Frantz se poser sur ma cuisse gauche. Ce qui fait esquisser un sourire à ses deux compères. Sa main se laisse repousser sans difficulté par la mienne. Tout cela pour finalement me saisir aux poignets et les retenir fermement collés au canapé. Quelque peu tremblante, je leur demande d'une voix faible et hésitante d'arrêter ce petit jeu. Ma demande est accueillie par des rires moqueurs.

Je suis tétanisée, mon regard commence à s'emplir de panique. Je me dis qu'ils ne peuvent pas m'y contraindre. Pas ça ! Alors que Frantz laisse le soin à Otto de me maintenir les poignets pour se rendre en direction de la cuisine, Helmut m'explique de quoi il en retourne. Son vocabulaire se fait beaucoup plus irrespectueux qu'à l'habitude. Il m'annonce d'emblée que ce soir, ils m'imposeraient mon seul rôle naturel, celui d'une chienne à bites.

Ils se réjouissent de la peur que me procurent ces paroles. Mais je suis incapable de parler, aucun son ne sort d'entre mes lèvres.

Sur ce, Frantz revient, tenant une paire de ciseaux en main. Il arbore un sourire ... inquiétant. Il se saisit de mon débardeur par le bas, et à l'aide des ciseaux, le coupe progressivement. De bas en haut, puis les manches.

Ils voient ainsi mon buste, ma poitrine nue. Pour m'humilier, ils se moquent de mes seins, selon eux à peine dignes d'une gamine. Helmut quitte sa chaise et me fait face, debout, tout comme Frantz. Il me gifle une fois chaque sein avec virulence, les faisant rougir. Mes tétons, assez gros, pointant après ces claques. Ils rient entre eux tandis que je tremble de peur. Otto approche son visage du mien et me crache dessus, juste sous l'œil droit.

Aussitôt fait, Helmut me saisit par les cheveux et me laisse tomber au sol, à genoux. Il continue à se cramponner à moi et les deux autres en profitent pour ouvrir leurs braguettes. Frantz m'annonce que je vais être traitée de et comme une chienne. Les deux chibres sont déjà durs et impressionnants. Pas tant par la taille, mais par l'épaisseur. Ce qui a le don de me terrifier. Mais étrangement, cela éveille une pointe d'excitation.

Je les regarde tour à tour et je ne sais pourquoi, ma panique se dissipe progressivement. À son tour, le pieu d’Helmut est sorti. Il est plus long que les deux autres mais celui d’Otto est vraiment le plus épais. Me qualifiant de pétasse, Helmut me demande de faire mon travail de pompeuse de queues. J'hésite, et une gifle sans aucune retenue me rappelle à l'ordre. Il m'est demandé d'obéir.

J'effectue ce que je sais faire habituellement, bien que je reste encore assez paniquée. Je le branle lentement puis donne des coups de langue sur son gland jusqu'à le prendre légèrement en bouche. Le temps d'effectuer quelques lents va-et-vient, il ressort de ma bouche et me gifle une nouvelle fois. Ébranlée, je tombe sur le côté droit mais me ressaisissant par les cheveux, il m'agenouille de nouveau et me traite de moins que rien sur un ton très méprisant. Pourtant, je donne mon maximum…


Il se baisse et me crache au visage, en travers du nez. Mon visage d'ange, selon lui, risque de finir totalement souillé si je continue à me comporter comme une débutante. Alors, il s'y prend lui même, et me tenant par les cheveux des deux côtés du visage, il s'empale dans ma bouche. D'un seul trait, gênant considérablement ma respiration. Il n'est qu'à un peu plus de mi-longueur, son chibre serré entre mes lèvres. Je bave abondamment lorsqu'il presse sur ma tête, s'enfonçant petit à petit.

Mon visage rougit, par manque d'oxygène mais il progresse. Arrivé à ma luette, son gland me fait vomir de la bile. Il ressort une nouvelle fois, regarde les dégâts, m'adresse un regard méprisant alors que je tousse. Sans gêne aucune, il se réinsère en moi, me contraignant à tout ravaler. Il se contente de quelques rapides allers-retours puis laisse sa place. Il me fouette le visage avec sa queue, y étalant ma salive. Ma respiration, elle, est haletante. Les larmes me sont venues aux yeux. Ma première gorge profonde...

Vient le tour de Frantz, qui a ôté ses vêtements pour se trouver plus à l'aise. Il me saisit d'une manière identique à Helmut et part à l'assaut de ma gorge, pour la dévaster selon ses propres mots. Je ne cesse de laisser échapper de la bave, qui s'accumule sur mon menton, dégouline sur ma poitrine et de là sur mon ventre. Lui aussi semble décider à aller jusqu'au bout de la gorge profonde. Alors que je me trouve au bord de l'inconscience, ses boules viennent heurter mon menton. Il laisse échapper un râle de plaisir. Il reste ainsi quelques secondes avant que je ne puisse tousser et respirer de nouveau tandis qu'il étale lui aussi ma salive sur mon visage.

Otto ne me laisse pas de répit, et après m'avoir de nouveau craché au visage, sur la joue gauche, il place une main sur ma tête, l'autre sous le menton et s'introduit en moi. Il parvient difficilement à trouver place entre mes lèvres mais il en force le passage. Alors Otto me baise la bouche, à une cadence soutenue. J'éprouve de plus en plus de mal à soutenir leurs assauts mais il ne me vient pourtant plus à l'idée de les repousser. Pour la deuxième fois, un chibre s'introduit entièrement en moi. J'en pleure. Il se retire et s'aidant de mes cheveux, me retient tête en arrière, bouche ouverte. Bouche où il crache. Je dois avaler avec dégout sa salive.

Mon visage est luisant de fluides. Cela semble les motiver encore plus à continuer leur démolition buccale. Ma mâchoire est très douloureuse, mais je ne suis pas au bout de mes peines. Frantz et Helmut me relèvent et me retirent mes derniers vêtements : jupette, string, chaussures. Sur le canapé, ils m'allongent sur le dos, jambes en l'air et tête forcément penchée, contre le rebord inférieur. Leurs bites sont ainsi en surplomb. C'est Helmut qui se remet à la tâche et s'enfonce dans ma bouche. Les mains sous ma tête, il appuie dessus pour cette fois s'enfoncer entièrement. Sans succès. Je ne sens que de la bile revenir en bouche... Il me gifle les seins par désappointement.

Lui succèdent Frantz et Otto qui parviennent une nouvelle fois à s'enfoncer dans leur totalité. Les boules frappent à tour de rôle mon visage, je les sens heurter mon nez. Je ne m'arrête plus de baver, et ils répandent toujours la salive sur mon visage. Le souffle court, je me trouve devant une nouvelle épreuve. Frantz présente ses boules devant ma bouche. Je comprends. J'y hasarde des coups de langue mais profitant de ma bouche ouverte, il y insère l'une de ses boules que je me charge de lécher.

 
 


Il laisse sa place à Helmut qui me présente aussi ses grosses couilles, tandis qu'il place sa main autour de mon cou, le serrant fortement. Quant à Otto, il me précise que je ne suis que leur vide-couilles et qu'ils se foutent totalement de mon plaisir. Et c'est vrai qu'ils ne font rien pour y remédier, me frustrant. Finalement, ils décident d'explorer d'autres parties de mon corps. Ils me font descendre du canapé et installer en levrette au milieu de la pièce. Je dois avouer qu'à ce moment-là, mon excitation forte, était mêlée d'appréhension. Mais, après tout, j'étais déjà tant souillée.

Les mains de Frantz se posent sur mes hanches et son gland pointe à l'entrée de ma fente. Il y fait son entrée sans aucune préparation, ce qui me fait grimacer. Il continue à s'enfoncer sans aucune douceur jusqu'à la garde. Ses boules tapent contre ma fente et il commence ses va-et-vient qui s'accélèrent rapidement. De l'autre côté, Otto approche son chibre de mon visage qu'il me contraint à relever. En le voyant, il me précise qu'il va encore s'amuser avec ma bouche de petite morue. Aussitôt dit, aussitôt fait.

Ma bouche est de nouveau travaillée, entièrement remplie par ce sexe épais alors que Frantz, lui, redouble d'effort. Me voilà prise de deux côtés et je m'imagine que c'est loin d'être terminé. Je ressens un certain plaisir malgré un déjà gros épuisement. Pilonnée, je continue à répandre de la salive jusque sur les bourses d’Otto, qui m'attrape alors par les cheveux pour augmenter sa cadence. Je frise l'étouffement, et c'est à ce moment-là qu'il laisse sa place à Helmut.

Il me donne de nouveau une gifle, appuyée, et me frappe le visage de sa queue. Puis il repart à l'assaut. Il veut vraiment s'enfoncer entièrement cette fois. Frantz ralentit sa pénétration à sa demande tandis qu'il fait très fortement pression sur ma tête. Je parais le prendre plus loin que précédemment mais j'ai bien du mal à m'en rendre compte. Je bave, je laisse échapper quelques larmes. Finalement, arrivé très près de la garde, il relâche ses efforts et me laisse respirer, visiblement satisfait. À Frantz succède immédiatement Otto. Il est obligé de forcer sur ma fente, tant son mandrin est épais.

Et c'est ce qu'il fait avec plaisir. Provoquant de fortes douleurs en moi, il parvient en fin de compte à s'enfoncer dans sa totalité, bien qu'à l'étroit. Il commence immédiatement à me pilonner sans relâche, me faisant crier de douleur. Pas longtemps, Frantz revenant se faire prendre en bouche. Cette fois-ci, il me laisse le sucer à ma convenance. Je ne force donc pas et profite de ce répit pour le lécher sur toute la longueur de son mandrin. Mon visage est grimaçant, crispé. Au bout du compte, Otto ralentit la cadence, se relâche et se répand en moi. De longs jets de foutre tapissent l'intérieur ma chatte. Il pousse un râle de plaisir et se décide à ressortir.

Il vient se placer à côté de Frantz et me présente son chibre ramolli et parsemé de gouttes de sperme. Je comprends. Je le lèche lui aussi sur la longueur récoltant ce sperme au goût amer. Une fois fait, il tient à reprendre place dans ma bouche et s'y maintient aux trois-quarts. La vigueur refait progressivement son apparition et son chibre m'apparaît presque aussi dur que précédemment. Helmut me soulève du sol et s'allonge, me plaçant à califourchon sur son chibre. Il s'y enfonce plus facilement que les deux autres et commence à me travailler intensivement.

Je le vois sourire, alors je tourne la tête. Otto se rapproche dangereusement de mon anus. Au moment où j'allais lui signifier, apeurée, que je n'avais encore jamais été sodomisée, Helmut m'attrape par les cheveux, me gifle et me retient la tête en arrière, m'empêchant tout mouvement. Frantz bloque d'une main mes minces poignets dans mon dos. Je suis bloquée, dans l'incapacité de résister. Évidemment, il m'est réservé le pieu le plus épais. Otto, à l'aide de son pouce, force l'entrée de mon anus. Nous le sentons tous très étroit. Seule la première phalange du pouce est entrée mais ça lui paraît suffisant.

Tandis que Helmut arrête toute pénétration, son gros calibre solidement installé dans ma chatte éclatée, le gland d’Otto se pose sur mon anus. Bon sang, je vais subir en même temps ma première sodomie et ma première double pénétration. C'est insensé !!!

 

Mais, prenant appui sur mes hanches, Frantz tenant écartées mes fesses, il introduit son gland en continuant à forcer. Il provoque déjà de grosses douleurs qui me font gémir, et grimacer. Gland solidement installé, il persévère et pousse. Tous trois voient que j'ai mal, mais cela les motive.

Je laisse à nouveau échapper quelques larmes sur mon visage souillé. Je gémis fortement alors qu’Otto progresse, queue complètement enserrée. Il s'installe sur la longueur, et au moment où je pensais que ça n'en finirait plus, son chibre de nouveau très vigoureux connaît une avancée fulgurante, s'enfonçant d'un coup, à tel point que ses boules viennent heurter le bas de ma fente. En même temps que sa bedaine velue entre en contact avec mon petit cul, avec le creux des reins. Il reste quelques secondes enfoncé jusqu'à la garde.

Enfin, il décide de me sodomiser durement. Il sait que les frottements de son chibre contre ma paroi sont très douloureux mais il ne pense qu'à son seul plaisir, celui de pratiquer sa première sodomie à une jeune femme. Helmut reprend lui aussi sa pénétration quoique dans sa position, il soit gêné. Ma première double pénétration est en marche. Elle provoque douleur et ... plaisir mélangés. Sans doute la découverte de l'inconnu. J'en viens même à jouir, ce qui ne les intéresse pas. Otto laisse immédiatement sa place à Frantz puis me présente son chibre.

J'ai une forte appréhension mais il se saisit de ma tête pour y insérer son chibre. Sur la profondeur. Il me pousse à jouer de la langue. Puis il me baise plus légèrement qu'avant la bouche, ce qui ne m'en fait pas moins baver. Frantz force aussi mon entrée, certes moins difficilement. Son chibre entre dans toute sa longueur tandis qu'il se cramponne à mes épaules pour permettre une plus grande intensité. Il me compresse alors que je suis baisée des trois côtés. Je suis déjà presque totalement épuisée mais ce sont eux qui mènent la danse.

La bite de Frantz, après une longue sodomie, appuyée, se contracte. Il éjacule son foutre épais au fond de mon anus et s'en retire immédiatement. Il se présente devant moi et je me vois encore poussée à lécher les quelques gouttes de sperme restantes. Au moins, il me laisse le sucer à ma guise, sans grande virulence. Helmut en est jaloux, alors il demande à ce que l'on me retourne. Otto m'installe dos au sol, dos à Helmut qui s'insère assez facilement dans un anus fragilisé. Il me  baise en profondeur et commence des va-et-vient à cadence moyenne, les mains posées sur mes hanches.

Otto n'est pas en reste. Il voit ma on abricot martyrisé libre et écartant mes jambes, les mains posées sur mes mollets, il y présente sa bite. Il s'y insère lentement, mais là aussi jusqu'à la garde. Avec une délicatesse feinte, tout en prenant son rythme, il pose sa main droite autour de mon cou, le serrant. Je ressens intensément la double pénétration et garde les yeux clos pour en profiter. D'autant que le mélange douleur - plaisir est toujours présent. C'était sans compter sur Frantz, qui désormais en surplomb, me gifle avec son gros gourdin bandé et le présente à nouveau devant mes lèvres.

Je les ouvre et il s'y introduit, bien décidé cette fois à prendre les choses en main. Pour la énième fois, ma bouche se trouve baisée, dévastée sans la moindre pitié. Je m'y habituerai presque. La double pénétration reste intensive, menée à une cadence très élevée. Le cou toujours serré, j'éprouve les pires difficultés à respirer. Puis je sens Helmut se décharger à son tour dans mes intestins. Là aussi de longs jets crémeux ponctués d'un râle. Le liquide coule entre mes cuisses. Elles sont poisseuses de sperme, de mouille… Ils en profitent pour changer de position.

Frantz, me faisant face, me saisit sous les aisselles et me soulève comme une plume. Mains sous mes genoux, il me retient en l'air, Otto lui emboîte le pas et pose ses mains sur ma croupe. Je me trouve en position aérienne, encadrée par deux hommes bien décidés à achever ma démolition. Leurs queues énormes retrouvent très rapidement leurs places. Frantz dans mon sexe, Otto dans mon cul. Je place mes jambes autour de la taille de Frantz. La double pénétration, rendue peu évidente, se fait moins intense. Malgré moi, je jouis très fort une seconde fois alors qu'ils me labourent sans ménagement dans tous les orifices.

Quant à Helmut, redevenu mou, il contemple la scène tout en se branlant afin de se redonner de la vigueur. Après quelques instants dans cette position, Helmut succède à Otto et n'y va pas de main morte. Il s'enfonce tout du long dans mon cul désormais écartelé. Finalement, ils me redescendent et me placent en position agenouillée, exigeant que ma « gueule de pute » leur soit offerte. Bouche et yeux ouverts, sur leurs ordres, je me prépare à recevoir de nouvelles giclées de sperme âcre et odorant. Frantz se répand le premier, d'abord sur ma joue droite, en partie sur le nez et le front. Il me donne son gland à lécher et j'y récolte ses dernières gouttes de sperme. Aussitôt après, Helmut me gicle sur le côté gauche du visage : lèvres, joue, cils.

Après lui avoir également léché le gland, vient le tour d’Otto qui lâche de très grosses giclées, véritablement impressionnantes. Il m'enduit le visage de sperme et un jet se loge entre mes lèvres. De son pieu redevenu mou, il me baise une dernière fois la bouche comme s'il désirait me démontrer mon « infériorité ».

De leurs majeurs, Helmut et Frantz récoltent le foutre et me les font lécher. Puis Helmut m'ordonne de quitter son appartement. Après m'être passée un coup d'eau sur le visage, je me rhabille tant bien que mal. Sans débardeur, je me vois contrainte de n'enfiler que ma courte veste. Je me retourne une dernière fois vers eux, honteuse ... et ils ne me lancent que des regards méprisants. Je leur obéis et pars.

Sur le chemin du retour, je me rends compte que mâchoire, sexe et anus sont violemment endoloris. Je ressens la honte d'avoir été traitée comme un simple objet, d'avoir été humiliée, insultée. Et aussi d'avoir trompé mon compagnon, qui plus est dans ces circonstances. Mais je ne peux nier avoir ressenti du plaisir. Vu comme j’an joui avec ces mauvais traitements, je doute désormais qu'ils me laissent tranquillement regagner ma fidélité déjà éprouvée.

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