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  • Sophie de R.
  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • J'aime la vie et ses plaisirs, surtout ses plaisirs libertins... Qu'existe-t-il de meilleur que de faire l'amour ? Rien, selon moi !

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  • Les Mémoires Libertines de Sophie de R.
  • : Les Mémoires très Libertines de Sophie, Marquise de R. Je vous livre mes mémoires érotiques, mes rêves, mes fantasmes très débridés que je vous invite à partager dans ce blog. Je compose aussi mes propres récits, selon mes fantasmes les plus intimes.
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Bises libertines,
Sophie

Journal d'un homo zoophile

12 novembre 2008 : il pleut, il pleut, les journées sont tristes et longues. Mon petit ami, un maître chien part demain pour quelques semaines de stage théorique sur le comportement canin. Nous n'habitons pas ensemble, et évidemment c'est à moi que reviens la tache de garder son chien, un berger allemand. Cela ne me dérange absolument pas car j'apprécie fortement ce chien dominateur. Avec mon ami, nous avons déjà essayé quelques expériences avec son chien. Il faut avouer que nous sommes très sexe, tout est prétexte à baiser n'importe où avec n'importe qui.

13 novembre 2009 : 16h30, Steeve arrive avec un sac à dos, et son fidèle chien Pilate, qui frétille de la queue et du sexe…

La gare se trouve à 500 mètres, et le train part à 20h30, ce qui nous laisse le temps de se dire au revoir.

Je me fous à poil, Steeve enlève son jean et s'assoit sur le canapé. La bite déjà toute dure, son gland pointe vers le plafond. Il perle d'excitation, je m'agenouille devant lui et engouffre entièrement son membre dans ma bouche chaude et baveuse. Je le branle brutalement, tout en lui pompant fort le gland qui devient tout rouge. Ses veines gonflent sur son braquemart, il gémit de bonheur. De douleur. Le bonheur et la douleur pour le plaisir de se faire pomper, dégorger, traire la bite jusqu'à la dernière goutte pour son plaisir, pour mon plaisir rien d'autre ne compte !

La bite luisante de salive, dégoulinante de son précieux liquide d'excitation, je m'empale facilement et directement jusqu'aux couilles. Je bande également très fort, ma bite me fait mal, ma tête tourne, je me déchaîne sur ce gros morceau de chaire qui est planté au plus profond de moi. Je me défonce l'anus brutalement comme si j'essayais de faire rentrer ses couilles, il crie, je gémis en me branlant puis je sens des contractions au fond de moi contre ma paroi. il éjacule encore et encore c'est chaud, c'est doux, c'est merveilleux car je me vide aussi au même moment sur mon ventre et mon sperme me glisse sur les couilles puis tombe sur le sol. Dans un état d'extase toujours empalé et de dos à Steeve, je pose mon dos sur son torse. Entre temps, Pilate se délecte de mon sperme tombé sur le sol, puis remonte sa tête au niveau de la bite de son maître toujours planté dans mon cul et commence à lécher. Il donne de grands coups de langue sur mon anus et sur les couilles de son maître. Cette sensation redonne de la vigueur à Steeve et sa demi-érection rebande bien dure dans mon conduit chaud humide et bien lubrifié.

Brutalement, j'enlève sa bite de mon cul, et reprend son sexe dans la bouche. Elle est bien gluante et odorante comme je l'aime. Pilate a toujours sa langue râpeuse sur ma rondelle et me décrasse le fion. Je sens ses dents, la chaleur de son souffle sur mon anus, je suce avec application le gland de Steeve et au bout de quelques minutes il décharge toute sa purée dans ma bouche. J'avale difficilement, mais j'avale tout.

On n’a pas vu le temps passé c'est presque l'heure de son train, Steeve enfile vite son jean remballe sa bite m'embrasse, et part rapidement.

Bon. Je vais être célibataire pendant 3 semaines.

Nu sur le canapé, la bite gluante, le cul plein de sperme et la bouche collante, je me recroqueville et m'assoupis. 22h, mon portable sonne. Steeve est bien arrivé à destination et en profite pour me dire que mon petit trou lui manque déjà.

14 novembre 2008 :
ayant des jours de repos à rattraper, je décide de rester à la maison et de m'occuper de Pilate. Ce matin, c'est décidé, je vais laver le chien.

Pilate qui, sans m'en apercevoir, a squatté mon lit ne m'écoute pas quand je l'appelle. Je hausse le ton, et là il grogne doucement. Mais pour qui il se prend ce clébard ? C'est pas parce que son maitre me baise que je dois me rabaisser et me laisser dominer par ce chien !!! Quoique…

Je le tire par le collier et l'emmène dans la douche. Je commence par le mouiller et là, ce gros salaud se secoue et je me retrouve entièrement mouillé. Je décide de me mettre à l'aise et je me mets à poil, cette situation n'est pas sans me déplaire, et commence par m'émoustiller, je bande.

Je rentre à nouveau dans la douche, et commence à savonner le dos du chien. Puis je frotte ses pattes avant, arrière, la tête, le ventre et arrive le moment où il ne reste que son sexe. J'appréhende, j'ai déjà tripoté le chien, mais son maitre était toujours présent. Il me fixe droit dans les yeux, comme si il me donnait l'autorisation de le toucher.

J'approche ma main de son sexe, et je comme à faire coulissé sa bite dans ma main. Pilate se cambre légèrement, j'astique plus rapidement et là, un gros bout rouge pointe du fourreau. Quelques giclées, et son braquemart sort entièrement c'est énorme au moins 20 cm !

Je le branle énergiquement, il ne bouge plus, il semble au ange, très excité, de mon autre main je me paluche aussi. Je lâche son sexe, me fous à quatre pattes, Pilate me renifle l'anus, me lèche. Je me branle plus vite, je sers mon gland très très fort, je tremble c'est l'extase. Je lâche mon sexe, et me caresse l'anus, je me titille la rondelle et me glisse directement deux doigts. Pilate me regarde ,envieux, je reprends ma masturbation et là Pilate monte sur mon dos m'agrippe avec ses pattes et commence à donner des coups de reins dans le vide.

Je le laisse s'exciter, se frotter contre mes fesses, et j'éjacule à grand jets sur le sol. Je presse ma bite et la donne à lécher à mon compagnon de jeux.

Je sèche Pilate puis utilise la même serviette pour mon corps, j'ai envie d'avoir son odeur sur ma peau.

Après-midi sage, petite ballade dans un petit jardin, et plateau repas devant la télé. Mon portable sonne, c'est un collègue de travail, qui m'invite à son anniversaire demain soir dans un pub privé, et j'accepte avec plaisir.

Ce soir, je ne serai pas seul au lit, Pilate va me réchauffer. Je me déshabille devant Pilate qui a déjà pris place sur le lit. Je rentre sous la couverture et il se faufile dessous et se couche contre mon corps. Ces poils doux, sont corps chaud contre ma peau me procure une drôle de sensation et un bien être qui me fais aussitôt bander. Je me touche le torse tout en lui caressant la tête. Ma main descend sur mon sexe et je me masturbe tout en le serrant contre moi. Je lui fais de petits bisous sur le museau, et accélère ma branlette et éjacule en quelques secondes. Un record ! Je lui donne mon sexe à nettoyer. Je sens sa grosse langue râpeuse sur mon gland c'est divin.

15 novembre 2008 : journée sans grand intérêt. Fin d'après midi, je décide de ne pas me doucher pour garder l'odeur animale que mon corps dégage, mais lubrifie mon petit trou. c'est mieux d'être toujours prêt..
Je sors Pilate pour une grande ballade comme il va passer la soirée seul a la maison.

20h : j'arrive au pub, il y a déjà pas mal de monde, je reconnais quelques personnes et d'autres me sont inconnues.

J'avance vers le buffet après avoir serré plusieurs mains et fait quelques bises, pour prendre un verre de sangria. Au même moment, je saisi le même verre qu'un homme tente de prendre. Un homme, non, un super très jeune homme. Pas très grand, mince légèrement musclé une figure aux traits fin. Chevelure noire avec quelques mèches fines qui tombent sur son visage. Je le fixe droit dans les yeux, il me souris et me fixe également. Je lâche le verre de sangria, qu'il porte à sa bouche, trempe ses lèvres pulpeuses, boit une gorgée, puis me tend le verre et me dit : « Bois le reste à ma santé mon chéri ! », et part discuter avec un groupe de personnes. Abasourdi, rouge comme une pivoine, gêné, intrigué par ce mec, voire même troublé, je pars en direction des toilettes avec mon verre.

J'avale ma sangria d'une traite et pense à ce mec, je pousse la porte des toilettes, et quelqu'un me bouscule par derrière, et la lumière s'éteint. Dans le noir, je suis plaqué contre le mur, une main me pelote la bite à travers mon pantalon, et je sens des lèvres se poser sur ma bouche qui se fait violer l'entrée par une langue chaude et baveuse. Je me laisse faire c'est excitant, j'espère de tout mon cour que c'est le mec de la sangria. Il s'agenouille, sort ma bite qui bande très fort et l'enfourne dans sa bouche. J'ai peur d'être surpris dans cette position, peur de voir la tête du mec, car ce n'est peut être pas celui que j'espère. Il me pompe, sert mes couilles dans ses mains, il me fait mal, c'est trop bon, il sait y faire avec une bite. Il arrête de sucer, me branle énergiquement et au moment d'éjaculer enfourne a nouveau mon sexe pour avaler ma semence et me nettoyer le gland. Le temps de remballer ma bite, la porte c'est ouverte et le mec est parti. Dommage pas eu le temps de le voir.

J'allume les toilettes, me regarde dans la glace heureux de cette petite partie, mais c'est malin car maintenant j'ai le cul en feu et j'ai très envi de me faire mettre.

Je retourne vers les invités, au loin j'aperçois de dos mon bel inconnu. Je me sers une sangria, je le fixe, mais ne se retourne toujours pas. Je prends mon courage à deux mains et part dans sa direction et le heurte doucement. Son regard pénètre le miens, et me dit : « Alors c'était bon ? » Je rougis et il continue : « C’était bon la sangria ? »

Merde, c'est peut être pas lui qui m’a fait une flûte dans les chiottes, je sais plus où me mettre, il me regarde, puis pousse une mèche de mes cheveux qui me tombe dans les yeux. Il me prend par le petit doigt et m'attire dans un couloir désert. Il me fixe, puis me pousse contre le mur et sans me laisser parler me roule une bonne pelle. Maintenant je sais que c'était lui dans les wc, sa salive à un goût de sperme, mon sperme.

Pendant quelques minutes, on se tripote, caresse, on s'embrasse sans échanger aucune parole. Il est beau, je semble à son goût également. Une porte claque ont sursaute et arrête net. Il me sourit et tourne les talons pour retourner à la petite soirée. Bordel, je bande, j'ai l'anus qui mouille, une envie irrésistible de me prendre une bite.

La soirée continue mais j'en ai marre et décide de me casser, il faut absolument que quelqu'un me saute, je suis tellement chaud que le premier venu va y passer.

Je sors et me dirige vers le métro, 23h y'a pas grand monde, je monte dans la rame et qui je vois derrière moi ? Eh oui mon bel inconnu. Il s'installe a coté de moi et on discute. Je suis tout tremblant d'émotion, il me trouble et il le sait, il en profite. Il s'appelle Marc, il a 23 ans et a un charisme énorme. Beaucoup de points communs, et surtout, une grande soif de SEXE et D'AVENTURE.

Arrivée à destination, Marc me prend par la main et m'entraîne dans une rue sombre puis tape un code sous un porche qui donne accès à un couloir gris et vétuste. Il en profite pour me mettre la main au cul et me rouler une pelle. Je le suis au quatrième étage et ouvre la porte d'un appartement, petit mais bien agencé. Décoration typiquement gay, portrait et photos d'hommes nus sur tous les murs.

Il me demande de me mettre à l'aise avec un petit clin d'œil et disparaît dans sa chambre. Message reçu, je me fous a poil, me sert un whisky et m'allonge sur le canapé, j'attends.

5 minutes plus tard, Marc arrive nu avec un cockring en cuir à la base du sexe relié par une courroie sur le torse jusqu'à un collier autour du cou. Il se penche vers moi, empoigne mon sexe et commence par le lécher comme une glace. Ma main caresse son corps imberbe et mon doigt s'insinue dans sa raie pour titiller son petit trou. Mon doigt est stoppé par un énorme plug enfoncé au plus profond de son cul.

Il suce divinement bien, il m'écarte les jambes et commence par me lécher la raie, puis mon petit trou qui coule, qui mouille comme un torrent.

Marc se positionne et me pénètre d'un coup sans capote jusqu'aux couilles, le souffle coupé, j'halète. Il me défonce brutalement mais avec une tendresse dans le regard. Il s'active dans mon fourreau chaud et mouillé. Il me regarde, s'arrête, me renifle et me demande d'où vient l'odeur enivrante animal de mon corps. Il aime, tant mieux. Je lui réponds innocemment que c'est peut-être l'odeur de mon chien, puis Marc continue de me baiser.

Il retire sa bite de mon cul et me la plante dans la bouche. Je suce à m'en décrocher la mâchoire, je lui bouffe la bite, les couilles, enlève son plug et enfile trois doigts dans son cul. Je le doigte et suce en même temps, et à ce rythme-là, me gicle dans la bouche. J'avale tout. Exténué, Marc se couche a coté de moi en me branlant a nouveau et me fats juter en moins de deux. Il me demande de ne pas me laver.

Crevés, on s'endort, enlacés, le corps en sueur et plein de sperme.

16 novembre 2008 : je rentre au petit matin. Pilate me fais une joie comme jamais. Fatigué, je vire mes vêtements, il me renifle et m'agrippe la jambe pour se branler. Amusé je le laisse faire. Excité comme un chien en rut, son énorme sexe entièrement sorti de son fourreau, il se branle contre ma jambe. Ma queue se met aussitôt au garde a vous, je m'allonge au sol et j'attrape sa bite et commence à le sucer. Trop longue, je ne peux pas tout enfourner dans ma bouche. Il donne des coups de rein comme pour me baiser la bouche, il soupire, tout en éjaculant sans arrêt dans ma bouche et sur mon corps. Je laisse son odeur et son sperme sécher sur mon corps, je ne me lave pas car son odeur m'enivre.

Putain, plus ca va, plus j’aime cette bête !

 

 

17 novembre 2008 : Marc me téléphone, il me demande si j'ai respecté sa demande de ne pas me laver et m'ordonne de venir immédiatement chez lui, et de descendre dans la cave. J'enfile mon pull et mon jean de la veille et claque la porte. J'entends Pilate hurler à la mort. Pris de remords je l'emmène avec moi.

Arrivée à la porte, je tape le code et descends à la cave. Une odeur d'humidité flotte dans l'air, j'avance à la cave du fond, et pousse la porte. Petite pièce sombre mais éclairée par une vingtaine de bougies, là, Marc nu attaché sur un sling, l'anus dilaté et occupé par un énorme plug en métal. Il me sourit, me demande de fermer la porte à clef et de me mettre à poil. Surpris par l'arrivée de Pilate, Marc sursaute en sentant sa langue dans la raie de ses fesses, sa langue râpeuse pousse sur son plug. Je me penche et commence par lécher son gland violacé, son membre est harnaché par un cockring en cuir qui l'enserre à la base et remonte entre ses couilles. Il me regarde tendrement et me dit que maintenant, il sait d'où vient l'odeur de mon corps. Il vibre sous la langue de Pilate qui maintenant lèche plus profondément son plug. Ma bouche qui le pompe remonte en serrant légèrement les dents, sont corps tremble, tressaute, j'ai presque envie de jouir sans me toucher, il a un corps parfait. Je laisse sa bite, pousse Pilate et commence par lui lécher les fesses exactement comme le chien, puis ma langue s'insinue dans sa raie, je le masturbe en même temps, il couine ce petit vicelard, c'est à mon tour de me faire lécher l'anus par Pilate, mais j'ai trop envie de planter ma tige dans l'anus de mon amant. Je titille son petit trou avec mon gland, et sans prévenir, je lui plonge entièrement mon engin au plus profond de ces entrailles et au même moment sa bite éjacule comme une lance de pompier. Je retire mon sexe de son tunnel du plaisir et lèche son sperme, je n'en perd pas une goûte et fini par lui nettoyer le gland qui n'a même pas débandé, et je l'embrasse tout en replongeant mon sexe dans son cul. Là, j'ai la tête qui me tourne, j'ai chaud, je le pénètre brutalement, j'ai l'anus qui coule, qui mouille comme une chatte de femme, le sol est mouillé. Mes couilles tapent sur ses fesses, dans la pièce, flotte une odeur enivrante et excitante de sexe, de sueur, de cul, nos corps ruissellent de transpiration. Je continue toujours d'enculer mon pote, mon chéri, mon amour, mon amant, et je jouis comme rarement, tout au fond de son conduit rectal. Immobile, je sens les giclées sortir de mon sexe, giclées chaudes et longues. C'est divin, j'ai les jambes qui tremblent, j'embrasse Marc, il me regarde avec ces yeux plein d'amour, des larmes coulent sur son beau visage et me dit qu'il m'aime. Là, je suis mal barré !

Je le détache, on s'installe sur le sol, il se couche sur moi, m'embrasse tendrement. Nous restons dans cette position, ivre de plaisir.

18 novembre 2008 : à la mi journée, mon petit ami en stage, me téléphone pour prendre de mes nouvelles. Il m'avoue qu'il a du mal à résister à la tentation d'aller faire un petit tour dans un sauna, il a la bite qui le démange. Et me demande si de mon coté je résiste. Ma réponse étant assez évasive, mais je le persuade que pour son plaisir, il doit se faire une petite virée dans un sauna.

Dans l'après midi, je me rends chez Marc, et surprise, je découvre une super jeune femme brune à moitié nue qui déambule dans son appartement. Il me présente sa sœur jumelle. Après un verre, Marc m'attire dans sa chambre et m'embrasse, il me demande si je suis partant pour un trip avec sa sœur. Etant d'accord pour tout ce qui touche au sexe, j'accepte évidemment. Il me demande de me mettre à poil, j'obtempère. Il s'agenouille, me branle délicatement, puis brutalement, décalotte complètement mon gland, il le plonge dans sa bouche, me suce bruyamment.

Sa sœur rentre dans la chambre, elle aussi nue. Directement, elle embrasse son frère et se met à quatre pattes sur le lit. Elle se caresse le minou puis branle son anus avec un, puis deux doigts. Marc me fait signe de la prendre par derrière. Je place mon gland gluant de salive sur son petit trou plissé et pousse sauvagement mon membre jusqu'aux couilles. Elle souffle, ses cheveux noirs en avant, je me fais du bien dans son cul, sans savoir si elle a du plaisir, mais visiblement elle apprécie. Mes pénétrations sont rapides et toujours brutales. Elle se touche le minou. Marc m'arrête, demande à sa sœur de se mettre sur le dos et je l'enfile cette fois ci dans la chatte, chatte très large et baveuse.

 

Dans cette position, je sens Marc se mettre derrière moi, et moi aussi ayant l'anus hyper mouillé, Marc me fourre son membre dans le cul. Maintenant, c'est lui qui marque la cadence, ses coups de butoirs brutaux me font bouger dans la chatte de sa sœur et nous avons un plaisir commun, tout les trois. Apres plusieurs orgasmes, sa sœur contracte son vagin au moment où j'éjacule dans son ventre ? Ca pour effet de me contracter l'anus et serrer la bite de Marc qui, à son tour, me crache son jus profondément. La chatte dégoulinante, je retire ma bite et lèche mon sperme qui coule, et Marc me nettoie l'anus de sa langue sans en perdre une goutte.

De retour à la maison, puant de sueur, gluant de sperme, odeur de chien, pas lavé depuis 4 jours, je m'allonge fatigué sur mon canapé. Pilate se couche à coté de moi.

19 novembre 2008 : Steeve, mon chéri m'appelle pour m'avouer une petite virée dans un sauna gay. Il a bien baisé et me donne les détails croustillants de cette soirée. Cela m'excite et tout en écoutant, je me paluche délicatement sous l'œil de Pilate et fini par juter dans ma main que je lui donne à nettoyer ainsi que mon sexe. Sa langue râpeuse est divine et me procure une sensation indescriptible de douceur, de pincement, de picotements.

20 novembre 2008 : reprise du travail sans conviction, je ne pense qu'à Marc et au rencard de ce soir. Son message à été clair, c'est une soirée exhibition, j'ai seulement le droit de mettre un imperméable et surtout nu dessous. Tout un programme.

23h30 : Marc m'attend sur un banc devant la gare, vu l'heure c'est désertique, il me sourit. Je m'assois à coté de lui il m'embrasse sur la joue, et me murmure à l'oreille, salut mon petit chéri. Je rougis. Il passe sa main sous mon imperméable pour vérifier ma tenue. Nu, nu comme un vers. Il me caresse délicatement le sexe, me décalotte, passe son pouce sur le gland qui mouille puis me masturbe. Un rapide coup d'œil autour de nous, et il sort sa bite attaché d'un cockring en cuir, je vais pour le sucer, il ouvre mon imperméable, et m'urine dessus !

Etonné j'ai un petit saut de recul, puis referme mon imper. Là, il introduit sa verge dans ma bouche que je dois nettoyer pour malheureusement la ranger dans son pantalon. Il m'embrasse avec une belle langue baveuse et se lève en me tirant par la main.

 

Sensation bizarre, mouillée, sous mon imper, l'odeur d'urine me monte aux narines, mon sexe bande comme une énorme banane. Dans une rue adjacente, Marc tape un code, puis nous entrons dans un immeuble qui ressemble plus à une tour vue la hauteur. Il me pousse dans l'ascenseur, et après quelques étages, coupe l'ascenseur. Marc retire mon imper, mon corps maculé de pisse, mon sexe au garde a vous, il baisse son pantalon, retire un énorme gode en latex noir, me retourne et me l'enfile profondément dans l'anus. C'est un pur bonheur. Et là, il m'ordonne de l'enculer sans ménagement. Je commence par poser mon gland contre son anus, et lui-même se pousse brutalement pour s'empaler. Je me déchaîne dans son cul, une odeur de pisse, de transpiration, de merde flotte dans l'ascenseur, je vais jouir, mais ce salaud se retourne et ma bite sort de sont anus dans un bruit de ventouse. Il remonte son pantalon, et me remet mon imper. Déçu, la bite crade, je n'ai pas joui. Mon sexe me fais mal tellement je suis excité. Il m'embrasse et remet en marche l'ascenseur pour monter au douzième étage. D'un coup l'ascenseur stoppe, un jeune magrébin rentre, me dévisage. Il appuie sur rez-de-chaussée. Là, je ressens des vibrations dans mon anus. Ce salaud de Marc a une télécommande et fais vibrer à distance le plug dans mon cul. Le bruit de la vibration résonne dans l'ascenseur, le jeune magrébin me regarde et me dit : « Et m’sieur, ton portable y vibre. » Tout rouge, je lui réponds que je n'ai pas de portable, enfin la porte s'ouvre, il descend se retourne et me traite de sale pédé de blanc, et part.

Marc et moi sortons de l'immeuble, et nous dirigeons vers un quartier réputé chaud. Quelques prostituées se disputent le trottoir. Sur une placette, quelques voitures sont garées, là un homme viens à notre rencontre bise Marc et lui donne une clef. Intrigué, je suis Marc dans une petite camionnette. Enfermé à l'intérieur, sombre une banquette au milieu, Marc me déshabille et ouvre le rideau d'un coté de la rue. Là des hommes, trois, puis cinq, me regardent. Il me semble qu'ils ont la bite à la main. Marc me donne sa bite à sucer, puis suce ma bite crade par la pénétration que je lui ai faite. A l'extérieur j'entends un chien aboyer, puis quelqu'un cogne au carreau de la camionnette.

C’est l’un des mecs. Il veut qu’on le suce. Steeve m’ordonne de le faire. Je vais pomper les cinq mecs à la suite, ils vont juter dans ma bouche. Je joue les vides-couilles ce soir. Je suis un garage à bites, une chienne, que Pilate va saillir après !

Steeve leur annonce que le spectacle n’est pas fini. Il branle Pilate, qui bande très vite. Il me fait mettre à quatre pattes, le cul tourné vers le chien. Celui-ci n’hésite pas une seconde, et me plante sa bite au fond de mon cul dilaté. En même temps, Steeve se met devant moi, et baise ma bouche à fond. Quel pied d’être en brochette entre un chien et un homme ! Ce soir, je suis une vraie salope !

Oserai-je raconter ça à Marc ???

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