Sophie, marquise de
R.
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Bises libertines,
Sophie
Voici encore une histoire qui m’est arrivée il y a quelque temps.
Au cours de l’hiver, je descendais seul en voiture au sport d’hiver. J’avais décidé de partir tard dans la soirée pour éviter les inévitables bouchons dans la vallée du Rhône et vers 2 heures du matin, je prenais la route et me dirigeais vers l’embranchement de l’autoroute à la Porte d’Orléans.
Le temps était vraiment exécrable et, sur Paris, j’avais déjà droit aux chutes de neige, la nuit s’annonçait longue. Avant de m’engager sur la bretelle, je vois sur le trottoir une autostoppeuse engoncée dans son anorak stoïque sous les rafales de neige, le pouce en l’air. Elle agite un petit carton ou elle indique sa destination, elle descend à Lyon.
N’écoutant que mon bon cœur, je décide de la faire monter dans ma voiture. Me voyant seul, elle semble hésiter avant de s’installer dans mon carrosse, bien contente quand même de se mettre au chaud et surtout au sec.
Reprenant la route, nous faisons connaissance, elle m’apprend qu’on la surnomme Féline et elle descend sur Lyon en auto stop car elle a raté le dernier train. C’est une jeune femme d’un peu plus de trente ans, les cheveux auburn trempés et je devine sous son gros anorak ses belles formes. Pour qu’elle ne prenne pas froid, je lui propose de mettre le chauffage à fond le temps qu’elle se sèche un peu et lui donne une serviette pour se sécher les cheveux. Elle essuie sa belle chevelure en l’ébouriffant. Coiffée comme un chien fou, elle n’en a que plus de charme. La chaleur dans la voiture est maintenant très agréable et elle en profite pour retirer son gros anorak.
Sous sa doudoune, elle porte un gilet rouge légèrement entrebâillé, une jupe noire assez courte et des collants noirs qui mettent bien en valeur le galbe de ses jambes. Nous nous engageons sur l’autoroute sous les bourrasques de neige et je suis obligé de me concentrer sur ma conduite car la route est vraiment dangereuse. Au bout de deux heures, nous n’avons fait qu’une centaine de kilomètres quand nous tombons sur un bouchon. Devant nous, nous voyons des gyrophares et la radio nous annonce que la route est coupée suite à un carambolage. La gendarmerie nous fait sortir de l’autoroute par une bretelle de service et nous nous retrouvons dans la campagne sur les petites routes bien enneigées. Il faut dire qu’à ce moment, la suite du voyage semble bien compromise et toutes les voitures se suivent au ralenti.
Je propose à Féline de nous arrêter dans la première ville que nous croiserons pour prendre un café et attendre patiemment la fin de la tempête. Je suis désolé de l’avoir embarqué dans cette galère, mais elle me répond qu’au moins elle est au sec. Je vois bien qu’elle est embêtée mais elle prend ces contretemps avec philosophie.
Après une demi-heure de route à travers la neige, nous arrivons à Auxerre et nous nous arrêtons devant l’hôtel restaurant de la gare. La tempête de neige a encore empiré et nous rentrons nous mettre à l’abri, la salle du restaurant est pleine d’automobilistes qui, comme nous, ont décidé de faire une pause. La situation est vraiment catastrophique et je décide de passer la nuit sur place. Je propose à Féline de se renseigner à la gare si elle peut avoir un train. Et pendant qu’elle se rend à la gare, je prends une chambre à l’hôtel.
Tout le monde a la même idée que moi et je réussis à avoir une des dernières chambres de libre. J’attends que Féline revienne pour m’annoncer si elle a un train. Au bout de 10 mn, elle revient et m’annonce, catastrophée, que la circulation des trains est aussi stoppée. Elle est aussi obligée de rester pour la nuit sur place, mais il n’y a plus de chambre de libre dans l’hôtel. Devant sa détresse, je lui propose de partager, en tout bien tout honneur ma chambre. Je la sens hésitante mais la situation est vraiment exceptionnelle et devant l’afflux des naufragés de la route, c’est vraiment la seule solution.
Pendant qu’elle récupère la clef, je vais chercher nos bagages dans la voiture et la rejoins à la réception. Nous sommes fatigués et montons dans la chambre. Je lui propose de passer en premier dans la salle de bains et, fouillant son sac, elle sort sa trousse de toilette et son pyjama et entre dans la salle de bain. Je prépare mes affaires pendant qu’elle prend une douche et j’attends mon tour. En attendant mon tour, je joue de la télécommande sur la télé en zappant sur toutes les chaînes. En zappant sur Canal, j’ai droit à la bande annonce du journal du hard et, en voyant Clara Morgane à l’écran, je me sens tout émoustillé. Féline a fini sa douche et je change de chaîne juste avant qu’elle sorte de la salle de bain.
Elle a enfilé un pyjama bien sage. Je prends sa place et passe sous la douche. En sortant de la salle de bain, je retrouve Féline qui m’attends déjà couchée bordée jusqu’au menton, en train de regarder la télé. Je la sens sur la défensive et je la rassure :
« Comme convenu, on partage le lit en copain !!
D’accord, mais pour l’instant je n’arrive pas à dormir et je voudrais téléphoner à mon mari pour le rassurer, il doit s’inquiéter. »
Elle compose un numéro et je l’entends qui explique sa situation à son homme.
« Mon chéri, j’étais dans le train et nous sommes bloqués à Auxerre par la tempête de neige. J’ai réussi à trouver une chambre et je passe la nuit ici avant de repartir dès que la circulation est rétablie. »
Heureusement qu’elle ne décrit pas la situation réelle car il n’apprécierait peut être pas que sa petite femme partage son lit avec un inconnu.
Elle raccroche en me souriant et je lui demande si elle veut choisir un programme à la télé avant de trouver le sommeil. Nous sommes bien sagement installés sous la couette et elle zappe de chaîne en chaîne.
Après les documentaires animaliers, maintenant elle redescend les numéros de chaînes, M6, les vidéos clips de chansons connus et reconnus, Arte, c’est trop intello pour cette heure tardive. J’attends avec impatience qu’elle passe à Canal. Bingo, la belle Clara annonce le film hard de la nuit mais Féline, rougissante, aussitôt zappe et passe sur la 3.
Maintenant la 2 et une rediffusion des chiffres et des lettres. La Une, un documentaire sur la pêche. Aucun programme ne semble lui plaire et elle retourne sur la 3.
« J’abandonne, je te laisse choisir !! Et dire que l’on paye une redevance pour voir et revoir toujours le même chose, en disant ces mots elle me tend la télécommande. »
J’ai bien une idée en tête mais je n’ose pas passer directement sur Canal. Je joue avec les chaînes pendant que Féline s’enfouit sous la couette et ferme les yeux. Au bout d’un certain temps, à sa respiration, je sens qu’elle s’est endormie et je baisse le son de la télé. A la sentir à coté de moi, je me sens tout émoustillé et mon sexe se raidis doucement.
Au diable la timidité, je passe sur Canal et commence à regarder le film X de la nuit en mettant le son au minimum.
A voir les exploits de la belle actrice, je bande et, en sortant ma bite de mon pyjama, je me caresse doucement sous la couette en essayant de ne pas réveiller ma belle endormie. Je suis dans un bel état mais, en gentleman, je reste bien tranquillement dans mon coin du lit. Je monte quand même un peu le son et je continue à me branler devant les exploits de la belle Clara Morgane.
Féline a un sommeil agité car elle se tourne et se retourne dans le lit et, je la sens qui dans un mouvement se rapproche de moi, je sens sa cuisse qui se frotte contre moi, ce contact m’électrise et je reste sans bouger. Dans un mouvement, elle se met sur le coté et je sens ses belles fesses se coller contre ma cuisse. Je n’arrive plus à me retenir et je me mets aussi sur le coté et je me colle contre ses fesses. Ma bite, au garde à vous, se frotte contre le tissu de son pyjama et lentement, j’entame de légers va et vient en essayant de ne pas la réveiller. Dans son sommeil, je sens quand même de légers mouvements de ses fesses à chaque fois que je bouge. Je n’arrive plus à tenir et au diable les promesses.
Doucement, je passe ma main sous son haut de pyjama et englobe un beau sein au téton légèrement dressé que je pelote délicatement. Sous la caresse, elle se cambre et mon sexe érigé s’incruste entre ses fesses. Elle est toujours endormie mais semble réceptive à mes douces caresses. Je remonte délicatement son haut de pyjama, dénude sa poitrine et maintenant, je glisse ma main sous son pantalon. Ma main descend et effleure son sexe, elle est totalement épilé et je masse doucement son mont de vénus.
Sous l’effet de mon massage, elle gémit. Ma main glisse vers sa fente. Sa respiration s'accélérait, ses joues s'empourpraient. Mon doigt s'insinue entre ses lèvres sans la moindre difficulté et glisse vers le capuchon qui abrite son petit bouton. Mon doigt dessine des cercles concentriques sur son bourgeon. Délaissant son bouton, j’introduisis deux doigts dans sa chatte et entame un lent mouvement de va et vient tournant. Je fait maintenant aller et venir mon doigt dans la fente humide de Féline dont le cul accompagnait le mouvement en se frottant contre mon sexe. Elle geint de plaisir et ondule sous les caresses.
Pendant que j’ôte la couette qui la recouvre encore, elle se réveille et me murmure doucement :
« Ohhh, enfin je me demandais quand tu allais te décider !!! »
En disant ces mots, Féline se penche, pose ses lèvres pulpeuses sur les miennes et darde sa langue entre mes lèvres, cherchant la mienne. Son haleine était chaude et fraîche, légèrement poivrée et je peux goûter la saveur de sa salive. Nos langues se mêlent passant de ma bouche à la sienne.
Mes doigts s’enfoncent encore plus profondément dans sa chatte et son bassin vient au devant de mes caresses. Féline me sourit puis pose une main sur ma cuisse, me caressant doucement, se contentant de m'effleurer du bout des doigts. Lentement elle remonte et finit par atteindre mon sexe. Sans appuyer plus ses caresses, elle fait courir ses doigts sur la hampe et, peu à peu, la 'bête' s'étire, redresse la tête. Je regarde cette main si fine, si douce, aller et venir, ses ongles griffer légèrement la peau. Abandonnant alors mon sexe, Féline remonte sur mon torse, agace mes tétons, les faisant eux aussi s'étirer. Parfaitement immobile, je la laisse faire, savourant la douceur de ses mains sur moi...
Féline, me chevauchant, s'installe sur moi en position de 69. Sous mes yeux, le spectacle de son intimité, ses lèvres roses, aux contours finement ciselés, l'entrée de son puits d'amour d'où perle la si délicieuse liqueur, fruit de son excitation.
Mes mains s'emparent de ses fesses que je masse quelque peu fermement, les écartant parfois pour admirer son petit œillet sombre. Pendant ce temps, elle n'est pas restée inactive et fait coulisser mon membre entre ses lèvres, m'offrant une superbe fellation. Ma langue poursuit son chemin sur sa fente. Sa chatte est trempée et je me régale de sa mouille. Son bouton pointe fièrement et quelques coups de langue bien appuyés suffisent à faire gémir ma compagne.
Je salive abondamment tout en faisant aller et venir un doigt dans sa grotte puis sors la langue et la remplace par ce doigt mouillé. Je regarde, j'admire devrais-je dire, la lente progression de mon majeur dans cette chatte encore inviolé. Pendant ce temps, elle continue à me sucer avec application alternant des allers retours vigoureux et des longs moments ou elle me léchouille le gland délicatement. Se redressant, elle se place sur mon bassin, me tournant le dos et empoignant ma bitte, s’empale d’un trait sur mon mât. Pendant qu’elle coulisse, j’ai une vue superbe sur ses belles fesses que j’empoigne à pleines mains en les écartant. Féline dans un râle me demande :
« Prends-moi plus fort ! »
Je décide alors de changer de position, et la fait mettre à quatre pattes. Je la saisis par les hanches, et l'investis d'un vigoureux coup de boutoir, lui tirant un long cri de plaisir.
La maintenant fermement, je vais et viens en elle à grands coups de reins, faisant claquer les fesses de la belle contre mon bas-ventre, la faisant gémir sans discontinuer. Cette position me permet aussi de pouvoir admirer le fessier de ma nouvelle maîtresse, ce dont je ne me prive pas. Comme je ne me prive pas non plus de claquer gentiment le cul, lui donnant un légère mais très néanmoins très jolie teinte rose. Féline savoure cette chevauchée, ne se retient pas d'exprimer son plaisir :
« C'est bon ! Vas-y ! Baise-moi ! Défonce-moi ! J'aime ta queue ! Oui... comme ça... n'arrête pas ! »
Encouragé, je redouble d'ardeur et rapidement amène ma partenaire à l'orgasme. Les cheveux collés au visage par la transpiration, la bouche grande ouverte, elle pousse un long râle et je ressens son orgasme au travers des contractions de ses muscles intimes. Mes coups de reins sont toujours aussi profonds. J’écarte les fesses de la jeune femme et me régale de la vue de son petit trou du cul.
D'un doigt curieux, je l'agace et sens rapidement que Féline se crispe. Visiblement, elle n'est visiblement guère habituée aux caresses anales. Peu désireux de brusquer les choses, je me contente d'en caresser le pourtour. Peu à peu, j’accélère la cadence et retrouve le rythme de tout à l'heure, faisant à nouveau gémir la belle. La chevauchée dure encore un long moment puis Féline, me sentant sur le point de jouir, passe une main sous elle et me caresse les bourses.
« Viens ! Jouis en moi ! Arrose-moi de ton jus ! »
Ces paroles à peine prononcées, je me fiche au fond de sa grotte et elle sent avec un plaisir intense les jets fuser en elle. Cela déclenche à nouveau son plaisir et Féline succombe et jouit dans un long râle.Je me retire et, comme une furie, elle se jette sur mon sexe et entreprend de le débarrasser de toutes trace, se régalant du mélange de leurs deux liqueurs, de leurs deux saveurs. Exténués par cette chevauchée et les déboires de notre voyage, nous nous écroulons sur le lit et sombrons dans un profond sommeil.
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