Sophie, marquise de
R.
Vous êtes sur un article en particulier... N'hésitez pas à visiter les autres, à vous délecter de mes expériences intimes vécues, mes rêves, mes fantasmes les plus fous...
Que ces lectures vous procurent plaisirs et excitation...
Chers amis libertins, chères coquines,
Vous venez sur ce site, plus ou moins souvent, pour y trouver plaisirs et peut-être insiprations...
J'espère que vous l'appréciez !
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Bises libertines,
Sophie
Mon premier gang-bang... A cette époque, j'avais 30 ans, je croyais avoir tout vu niveau sexuel, mais j'avais appris qu'à plusieurs, cela ne fait pas de mal, au
contraire !!!
Ce soir-là, je me suis rendue chez mon amant. Lorsqu'il m'a ouvert la porte quasiment nu, j'ai remarqué combien il bandait dur, avant même que je n’arrive, en voyant la bosse sous son caleçon. Il
me fit asseoir et, comme à notre habitude, nous nous sommes embrassés comme des sauvages, je l'ai sucé avidement, il m’a généreusement dévoré la chatte... La routine, quoi...
Après m'avoir fait jouir une première fois, il me regarda dans les yeux et me dit :
« Va dans la salle de bains, j'arrive ! »
Je ne me fis pas prier, devinant déjà une bonne séance baise sous la douche... Il vint se frotter derrière moi, et, surprise, il avait pris mes chaussures (noires, à talons vertigineux...) et un
bandeau dans l'autre main... Adorant les surprises, je lui obéis et chaussait mes talons, puis il me banda les yeux... J'étais de nouveau en train de mouiller. Il me fit faire quelques pas, et
m’adossa à un mur.
« Bouge pas, je reviens... »
J'étais appuyée contre le mur, offrant sans doute une vision de rêve sur mon cul, ainsi que ma petite fleur, quand je sentis une main me caresser un téton, puis une autre appuyer sur mon clito...
Pensant que c'était mon amant, je me retournais pour l'embrasser, mais une main me retint. Etrangement, j'avais 3 mains sur moi. Je me demandais ce qui m'arrivait, lorsque je sentis une 4e main
sur moi. Deux sur mes seins, une autre sur mon clito et une sur mon p’tit cul. C’est sur, mon amant n’était pas seul ! J’en frémis de désir…
« Alors petite salope, on aime le cul ? T’aimes quand on te touche, hein salope !!! »
Cette voix n'était pas celle de mon amant, mais le ton que cette voix prenait m'a terriblement excitée...
« Mmmmm, comme tu mouilles toi... Matez ça les mecs ! Notre petite cochonne mouille sur mes doigts. »
Effectivement, je mouillais comme une dingue, mon clito gonflait sous la pression des mains étrangères, car il y avait maintenant plusieurs doigts qui me tâtaient la moule.
« Vas-y, faut la défoncer cette salope !!! »
Rien que de les entendre me parler comme ça, à suffit à me propulser au stade de l'excitation la plus pure...
Je sentis qu'on me forçait à m'agenouiller. Une bite bien grosse et bien dure vint fouetter ma bouche. Je m'empressais alors de prendre ce membre dans ma bouche. Je commençais par de petits
va-et-vient lents, puis de plus en plus frénétiques, ensuite mes mains massèrent généreusement les lourdes couilles du parfait inconnu.
Je crus m'évanouir de plaisir lorsque je sentis une langue bien chaude venir lécher mon clito...
« Regarde-moi cette chatte de cochonne. Toute épilée, pas un poil, t'as assuré, mon pote, trop trop assuré. »
Je compris alors que mon amant avait invité ses copains, sans me prévenir, heureusement. Il y avait trois hommes dans la salle de bains, à cet instant...
Je continuais de sucer le chibre raide, pliée en deux, les fesses en l’air, pendant que l'autre me léchait copieusement, et que deux mains me titillaient les seins, lorsque tout s'arrêta.
Je ne comprenais pas, mon plaisir était à son comble, et on me privait du dessert ? Des mains plus que baladeuses m'aidèrent à me relever, et on me conduisit dans
une autre pièce. Je ne voyais rien, mais sentait qu'on me regardait avec beaucoup d'excitation. Là, je fus surprise de me retrouver dans le salon (je connaissais bien l'appartement de mon amant,
même les yeux fermés!)
Là, j'entendis des sifflets d'admiration, des applaudissements... Mais combien étaient-ils ? Je me sentais du coup moins à l'aise... Mais mon amant se pencha vers moi et, à l'oreille
:
« T'inquiètes bébé, on n’est que 7 avec toi ce soir... »
Sept queues bien dures rien que pour moi ! Inimaginable ! Depuis le temps que j’en rêvais, c’était du bonheur à l’état pur !
L'un d'eux me poussa vivement sur le divan, j'avais les jambes écartées, et en pensant que ma vulve était offerte à la vue de ces mâles en rut, je ne demandais qu'à
me faire baiser comme une chienne.
Une bite vint se frotter une nouvelle fois contre mes lèvres, et je la pris à pleine bouche pour montrer mes talents. Je sentais que le mec appréciait, vu ses ronronnements de plaisir. Ce qui
m'excitait encore plus.
Une langue vint buter contre mon clito gonflé, et surprise, une autre langue vint, elle aussi, me lécher. Je savourais ces coups de langue, pendant que je suçais la queue d'un inconnu.
On s'occupait aussi de lécher mes seins, de les mordiller, et... de me pincer les tétons avec des pinces à linges !!! Je me faisais tripoter dans tous les sens, lorsque je sentis quelque chose de
froid à l'entrée de mon vagin, alors que je suçais toujours la même queue.
« Eh salope, je viens de finir ma bière, je veux que ta chatte la goute aussi... »
Le truc froid qu'on m'insérait petit à petit n'était autre qu'une bouteille de bière !
Cela me fit mal au début, puis mon vagin s'écarta de plus en plus.
« C'est pour te préparer à ta double pénétration, cochonne ! »
Une double pénétration ? J’étais un peu inquiète, tout de même… Je sentais beaucoup de mains sur moi, de doigts, puis du sperme dans ma bouche, car il venait de libérer tout son jus. Je
m'empressais d'avaler tout, comme une élève bien sage.
On me fit changer de position, je me retrouvais assise sur le visage d'un mec qui commença par me lécher. Deux bites se présentèrent à ma bouche, que j'empressais de satisfaire, en les léchant
une par une, y compris les couilles, et en les suçant alternativement.
« Mmmm, suce bien, petite salope, on va t'en mettre pleins les trous ! »
On me changea de nouveau de position. Je me retrouvais allongée sur le dos, sur un mec, qui s'empressa de me présenter son gros calibre dans mon petit trou, qu'ils n'avaient pas préparé. Je
protestais et sentis deux doigts pénétrer mon anus.
« Ca te va comme ça, hein cochonne ? »
Lorsqu'il sentit que mon trou était assez lubrifié, il me mit sa queue juste devant, mais ne fit aucun geste. Je m'attendais pourtant à me faire bien enculer, mais il ne bougeait pas. Soudain,
une bite s'engouffra dans ma chatte, et je compris ce qui se passait. Ils allaient me baiser par tous les trous... En même temps.
Lorsque la bite me ramonait bien à fond le vagin, l’autre commença à forcer ma rosette. Je grimaçais sous la douleur. Mais il n’en n’avait cure ! Il continuait à me besogner, pour entrer son sexe large dans mon tout petit conduit. Dans un dernier souffle de contentement, il me posséda en entier. Cette colonne de chair violait mon intimité sans ménagement, ça me brûlait, mais petit à petit, ca devint géant. Je n’étais plus qu’un garage à bites, prises de partout. Et j’adorais ça !!!
Je sentais les deux bites dans chacun de mes orifices, aller et venir violemment pendant qu'on me faisait sucer les queues restantes.
On me pétrissait les seins, toutes ces mains, ces queues me rendaient folle. Je tremblais de tout mon corps, puis me cambrait en plusieurs soubresauts. Mon corps était secoué de spasmes de plus
en plus violents. J’ai perdu toute notion de temps, de bien et de mal. Je jouissais pas vague, come jamais avant. . L'autre ne tarda pas à venir et inonder mon ventre et mes seins de son liquide
chaud.
« Ce n’est pas fini ma belle, y'en a encore qui ont pas eu leur part !!! »
Et pour joindre le geste à la parole, à peine le premier sorti, une bite vint se dresser contre ma chatte détrempée pour le remplacer.
Je n'en pouvais plus, mon anus était défoncé, ma chatte pareil. Je ne savais pas si j'allais encore pouvoir tenir à ce rythme-là.
Elle me pénétra sans problème et commença par me limer bien profond, ce qui attisa mon désir. J'eus alors une surprise de taille : une deuxième bite se présenta alors et tenta de pénétrer ma
chatte !!! Deux bites dans ma chatte, je pensais que c'était impossible, mais les mecs m'avaient tellement préparée et ouverte, que je n'eus presque pas mal lorsque ces deux bites me défoncèrent
la chatte.
« Alors tu vois que t'aimes deux bites dans ta chatte de salope ! »
Je me sentais comme la dernière des dernières, la pire salope de la terre, baisée comme une poupée gonflable, à la chaîne. Le pire est que j’aimais ça, et que j’en
redemandais !!!
Ils jouirent très rapidement dans ma bouche et sur mon ventre. Je pensais que tout était terminé, j'étais un peu déçue quand j'entendis une voix :
« Et moi alors ? Vous ne m’avez même pas attendue ? Je la veux moi aussi! »
Ce n'était pas une voix masculine...
« Ah ouais un petit show lesbien, c'est le pied ! Mais vas-y te gênes pas, tu verras c'est une vraie petite salope ! Elle accepte tout, comme la pute qu’elle est ! »
Je me retrouvais étendue sur un matelas, offerte à un corps de femme, moi qui n'avait jamais couché avec une autre fille !!!
Ses mains se posèrent en douceur sur ma peau. Elle caressa longuement mes seins, l'un après l'autre, titillait et mordillait mes tétons puis les léchait longuement. Elle passa une main sur mon
ventre, puis descendit jusqu'à effleurer mon clito.
Je n'entendais plus que des respirations tout autour de moi. Les mecs semblaient captivés par notre show... Il fallait que j’enlève mon bandeau. Je devais voir l’effet de notre petite scène sur
ces mecs en rut.
Un doigt commença à masser mon clito, lentement, puis de plus en plus vite, pendant qu'elle continuait à me caresser les seins. Elle pénétra deux doigts, puis trois doigts dans ma chatte, les fit
tourner dans tous les sens.
J'étais devenue une esclave sexuelle pour mes 8 partenaires... Huit ? Non, neuf...
Une autre bouche vint frôler ma bouche. J'embrassais alors cette nouvelle arrivante.
« Je vois que Mademoiselle aime les femmes... Pour info, tu vas te faire baiser par deux nanas, petite cochonne... Avoues que ça t'excite? »
Je ne sus que répondre, car j'adorais embrasser cette bouche, même si c'était celle d'une fille.
Je sentis alors deux langues contre mon clito, qui s'enroulaient l'une contre l'autre tout en me donnant du plaisir. Mais l'une des deux filles, se mit sur moi, en 69, pour que je la lèche à mon
tour. Je n'avais jamais fait ça avant, mais en humant le parfum de cette moule bien fraiche, je n'hésitais pas et donnait de bons coups de langue, pendant que l’autre continuait de me lécher.
Nous étions là, à nous dévorer la chatte, sous les regards lubriques des mecs, qui ne semblaient toujours pas rassasiés…
Les potes de mon amant faisaient cercle autour de nous. Ils étaient là, la bite à la main, tout en train de se branler frénétiquement devant le superbe spectacle
que nous leur offrions…
Ensuite, je léchais l'autre chatte, tout aussi bonne que la première.
Après nous être bien léchées toutes les trois, l'une des deux se mit un gode-ceinture, bientôt imitée par sa copine.
« Tu t'es faite baiser par des bites de mecs, maintenant tu vas te faire baiser par deux filles... Tu verras que c'est aussi bon ! »
Elles me prirent alors en double pénétration, profitant de se rouler des pelles entre elles, sans m'oublier, bientôt suivies des mecs qui en redemandaient encore...
La suite ? Une orgie bien excitante... Nous avons tous baisé ensemble, dans tous les sens possibles et imaginables. Rien que de me rappeler de cette soirée me fait mouiller...
Alors, je vous laisse, vieux vicieux, et je vais me faire du bien en pensant à vous…
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